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luloùu.^ c-'uru- & (Vrv.'c. (jit mu' ol'i-oco .l'-inno^ui
,,n p.n, r.-,.lU- , rn lo >lc I,. v.-tuK- . ^ i
trouve- I'Vicco d'nil trou cx.lvk-monl roiul . quv urn
;,1 momhr.mo vollulurc-liu' )C vu'US ilc i\oonro ,
lV ou'v-n .ii'"oUo r'.v-/r;v/r. I -i vhoroi-lo n oil litlx tuu
toùtiiu.,ir,o‘i. Je b i-ie-mcre. qui I'roJml '''- " ‘■ .''r
Jru-.uteut 1.1 l.ime noue Jo l.i lelerolique t elk- u ett
non plus .me i-roa..tt.o.. Je la le\eron-|«e. Dans
n,ouuue ee.le ute.uhraue ell u.olle ev.ve.ue.nem
vireuleuie. naturelloiueut I'rune . J un bum '■
ue,;x , ue tena.u la Celérotuiue que par Jes nerts
Je Jes valtVeaux. La ehoro.Je pabt avec lape. , a
taee Inlerue qui reeou-.e la renne , x' qm u' e
I- .r,-e>e ell brune Je eouverte Jans I homme eV
Jan>'prclq..e tons les ammaux , June humour mu-
queul'e . Jun brim ton noir. Dans les lapms blanes
Jx: Jans les neqresblanes, cette mucotito none man-
one , Je la fae'e interne Je la ehorsiiJe eit couleur Je
roie', étant rompiie Je vaill'eaux roupes. Dans pbi-
lleurs quaJrupeJes . elle elt J'un hn.a.it tres-s.t ,
iaune . verte ou bleue : elle ell eouverte J im velouté
cellulaire très-tin . Je phlbe tians |>lulienrs qua-
Jrm-e.tes par Jes rlJes lerpentantes. Dans le loup ,
cbe'eit comme creuiee par Jes cellules rondes bette
in-erne une membrane tiès-JirtuUU' dan^ Icb
pouVon>. Sa ilrudure v didere ennôremont Je celle
de !a choroïde ; elle v'cil noire de rude dans le tems
cue'la chx:»roide elt enneremem areentee. On peut
la feparer dans le banit', de mcme quelquetois dans
Inomme : c’ed la rnylchienne ; les vailTeaux lont
d'uniliui très-didcrent. La choroOe proprement
dite elî couverte d'une cellulolitc fine , qui
mente à inclure au elle approche de lins, ^ qui
devient dans l'homme un anneau blanc très ■ diilm-
c-'-’ par lequel 1a choroïde elt attachée a I union
de la ùlerotique il !a cornee; elle s’en lépare cependant
aiLez faalement. C'eit de cet anneavi que 1 on a
cru voir s'elever une membrane qm tapilic la tace
mierleure ou polUrieure de la cornee. Je ne croîs
pas nue cette membrane puilîe être demontree dans
Lbonime- b l'ai vue tres-diftincle dans le cheval. On
ettaliep'.us loin; on a cru quelle s’étend jufqiies
à ’a r-'--- i-'ér-eure Je poibérieure de l'uvée , aux
ravons biiaires JC au-cryltalitn, qu’elle embralTeroit
a -'r.-blen que le corps vitré : ces faits ne font pas
encore a-llez avérés. Ceft de l’anneau ciliaire que
fo-t l'iris , membrane percée au milieu, qui toutend,
comme nous l’avons dit, le l'egment de cercle lermé
par lacornee. On a douté ù l'iris fait partie de l’uvee :
on a alleoué qu’on la fepare par la macération. Elle
e;: cependant bien manifeiiement la mé.me membrane
dans les poilTons : on y voit les points argentés
te ccnrir.uer de la choroïde de l ins. J’ai vu dans les
Oheaux la celluloüté dont 1a choroïde eft couverte,
fe conri.nuer fur l’iris, & dans les boeuts , des plis
s’elever de la choroïde &c de la ruyfc’nienne , & fe
continuer d’un côté far l'iris, & de l’autre fur l'uvée.
E'Je eft bien furement convexe & un peu plus longue
du côte du nez. Le trou dont elle eft percée dans
l’homme , eft appelle la prumlli : il eft circulaire
dans l’homme & un peu alongé du côte du nez.
Dans le c'naî c’eft une fente , & on a vu des perfon-
nes dont la prunelle avoir la même figure. Dans le
baeuf ehe eft rranfverfale : elle eft circulaire dans
les olieauï .de dans les poifions. L ms, étant parve-
r._e au bord de la p.-uneile , revient fur elle-même ,
£c îVii une fécondé membrane qui lui eft parallèle,
& qui rtvien: s’attacher à l’anneau ciliaire. La cloi-
fon ce l’ceil qui four end la cornee, a donc pour lame
anterieure l’iris , i c pour lame poftérieure l’uvée.
L nntcrvalle de l’iris & de l’uvée eft rempli par une
celiulofité fort courre dans l’homme : dans les poif-
fons elle eft plus lâche , &c l’on peut féparer avec le
foalpel l’uvée l’iiii. L'iris eft couverte de floc-
(d: I L cons colore^ . un pon rvlovcs en hoH'o , qui lornuMif
comme lies ll.immcs , q"' rcprclonroiu , tm qiiclq\
u’ m.miiTC , des arcs convexes tlii cote de la pni-
nelle. C'luque lloccon ell tonné par des raies ler-
peiuaiiie.s c?v con\-eri;entcs, par des taches. Les
lloecons le réiinilleiu pour l'oriner, h quelque dil
. I (•lit.' ............ ‘
OE I L
tance de la prui ;erde dentelé cpii Lut
bolVe. Ivutrc la [>runelle ce cercle , les iloccems
fout plus petits , pins courts , nuis du relie Icm-
blablcs. St ils l’ortent de la circonférence extérieure'
du cercle dentcle. Le fond de l.i membrane cil brun ,
& paroit .1 découvert, entre les lloecons, dans quelques
endroits. Les lloecons donitcnl J l’iris fa couleur.
l.e noir de l uvcc , les nerls Je les petits x.iil-
lèaux 1.1 tenqierent ; les r.ucs lerpentent d.ivant.igo
quand la prunelle eft él.irgic , Je deviennent plus-
droites quand elle eft rcllerrée. J’ai conlijerc CCS
lloecons ,'i la loupe dans des pcrioimcs vivantes.
La couleur de l’ iris elt extrêmement variée dans
pliilicnrs animaux : elle eft comme dorée dans les
poifl’ons : elle ell |aune Je hiilanto dans le loup : dans
l'homme elle cil grife ou bleu.âtre rlans la plus grande
partie des peuples fcptentrionatix : cela n’eft p.is général
cependant , Je les Samojedes ont l’iris notre.
Elle l'im d'ailleurs afl'cz la couleur des chevcu.x , Je
la couleur brune devient tons les jours plus com-
nunie au-del.l du cinquantième degré. Dans le (nd ,
la couleur brune foncée eft prel'que générale. Les
nègres blancs ont l'iris grife. La face poftérieure de
l'uvée eft enduite d'une matière noire , dont la couleur
fe mêle i celle des tloccons de l’iris : l’uvée n’cll
d'ailleurs pas couverte de tloccons. (fiiaïul on l’a
lavée 6c m.acérce dans l’eau claire , le noir difparoît ;
on apperçoir alors dans l’uvée des raies droites ,
élevées, faites par des plis de la membrane de l’uvée,
qui fe continuent depuis la féparalion des rayons
ciliaires d’avec l’iivée , & qui te continuent jufqucs
au tranchant de cette membrane ; elles tout cependant
moins apparentes d quelque diftance de la prunelle.
Dans les poift'ons, ce font encore plus évidemment
des plis de l’uvée. On les a regardés comme
des fibres mufcnlaires, Je on leur a attribué la dilatation
de la prunelle. Cette idée ne peut pas fe fou-
tenlr , puifque l’iris n’eft pas irritable. Irritée avec
une aiguille, frappée par un cône de lurniere, dirigé
de maniéré qu’il ne frappe qu’elle , l’iris eft immobile.
Elle n’ell gtiere lenfible , quoiqu’elle ait des
nerfs nés du ganglion ophtalmique, très-apparens
dans les oifeaux. M. Daviel afftire qu’il n’a jamais
vu les malades fe plaindre quand il l’a coupée , Je
qu’aucune inflammation n’eft furvenue à fes petites
bleffures. Les auteurs ont fuppofé des fibres circulaires
dans l'intérieur de l’uvée , & à peu de diftance
de la prunelle. Ces fibres, par la plus exaae recherche,
n’ont pas pu être démontrées, même dans le
boeu’ f , Je à l’aide des plus fortes loupes. Dans l’intervalle
de l’uvée & de l'iris, il y a des vaiffeaux &c
des nerfs fort aifés à démontrer dans les poiflùns ,
où cet intervalle eft plus fenfible.
La membrane pupillaire ne me paroit pas fort
connue en France ; elle a été découverte en 1740.-
Elle ne fe trouve que dans le foetus ; ejle s y rompt
même dès le fepiiemé mois, & difparoît au tems de ■
lanailfance : on la trouve auffi dans les quadrupèdes.
C’eft une membrane extrêmement fine , gnla.re ,
qui complelte l’iris & qui ferme entièrement la prunelle
Elle eft extrêmement vafculeufe ; fes vaifleaux
partent principalement du cerc'e de l’uvee & des
vaiffeaux longs qui le forment. Il y a des exemples
que cette membrane a fubfifte apres la naiffance Je
empêché la vue. M. Hunter a vu une lame tres-fine
vafculeufe qui, de la capfule du cnftalltn, s elevoit
au bord de la prunelle & s’y attachott Le mouve-
m-nt de la prunelle a été connu des Arabes & même
tic Galli'ii; mal.son y a dticoiivert des pardcularitcs,
on (’H a tcclicrclic L- niccliaiiKinc d<‘ nos jours.
Lt'.s fnlimsoni l-i pnimdlc (t»i l mobile , les vieil birds
l’ont plus fl.ve ; elle devient immobile par l’allbupil-
l'ement & p;ir r.imaiirolc. l'ille ell mobile dans les
ciiiadrupcdcs & dans les oilcaux ; elle ell immobile
aux poi(l<)iis. (.cncralcmciit [)arlant, l’iris s cicnd 6c
la primell« le rétrécir, avec une aiiiuncniation qtiel-
coiKpic de lumière. Quand cette aujpnentatioii ell
lubite 6c violente, la pninclio (c rétrécit malf^ré la
calaradlc. Hile cil: cxiiêmemetit dilatable dan.s les
animaux qui voient île nuit, comme dans le cheval,
la chouette, l'.lle le dilate dan.s les ténèbres, 6c pour
les objet.s éloignes par la meme ruilbn , parce que
la lumière qui en vient cil tbible : elle le dilate encore
quand on rcganlc Lins intérêt ; elle dl dilatée
dans le (ommcil, dans la mort, 6c relie telle après
la mort. C’d l un fait contefté , mais avéré j)ar des
expériences réitérées, tllc fe dilate dans l’hémcra-
lopic , clpecc d’amaiirofe qui n’d! pas durable.
L’iris l'e comrade encore quand on regarde des objets
fort vüifins, 6c qu’on les regarde avec beaucoup
erattention. Elle le contrade après la mort , parce
que l’humeur aqueufe fe dillijîc , que les folides de
l’ic/V étant moins diHendus, le contradent, 6c que
l’iris a une convexité plus petite à couvrir. L’irritation
quelconque, le feu , rétincdlc éledrique, force
la prunelle ù le rétrécir. La caufe de cc mouvement
n’efl pas bien connue encore : elle df dans la rétine,
puifque la catarade , en empêchant l’adion de la
lumière l'ur la rétine , 6c l’amaurofe, qui eft une in-
Icnfiinlitc de la rétine , detruifent le mouvement de
la prunelle; elle n’eft pas dans l’iris même, nous
l’avons fait voir ; elle n’eft certainement pas dans
la volonté. J’ai vu dans Voeil d’un chat, confervé
pour voir les changemens du criftallin , la chaleur
opérer vingt-quatre heures après qu’il eut été arraché
de l’orbite , 6c la prunelle fe fermer. Le mouvement
de riris eft d’ailleurs involontaire, 6c la
prunelle fe ferme l’approche de la lumière, malgré
les ordres de la volonté. Les fibres annulaires de
Tuvée , qu’on a imaginées pour expliquer la contraction
de la prunelle, n’exiftent pas ; les fibres rayon-
nées même ne font pas bien avérées.
On a propofé une nouvelle hypothefe depuis peu
d’années. L’état naturel de l’iris eft d’être élargie ,
dit-on , 6c par confequent celui de la prunelle eft
d’être étroite. C’eft la dilatation de la prunelle , qui
eft l’effet d’une aélion animale , deftinée à recevoir
une plus grande proportion de lumière. Il y a une
difficulté , c’eft que la prunelle s’élargit dans le fom-
meil, dans la ftupeur , dans la mort même. On con-
noît l’expérience de Meri. Dans un chat plongé fous
l’eau , la prunelle fe dilate extrêmement, & on voit
dans l’animal mourant les vaift’eaux de la rétine.
J’aime mieux attendre des lumières plus certaines,
que d’offrir des conjeéfures.
Le corps ciliaire eft d’une ftrmfture des plus furpre-
nantes 6c des plus belles : U fe trouve d.ins les quadrupèdes
& les oifeaux ; les poift'ons en font prives.
C ’eft une produftion de la lame interne de la cho-
ro'ide ou de la ruyfchienne : U eft circulaire & un
peu plus étroit du cote du nez. La ruyfchienne commence
à fe plift'er avant que d'arriver à l’endroit où
l’anneau ciliaire fe colle la fclérotique : ces plis
s’élèvent h mefure qu’ils avancent vers Tuvéc : ce
font des petites duplicxitures de la choroïde a\'ec une
ccUuloftré entre fes deux élévations. Ces plis lont
alternativement plus élevés ; ils font couverts par
l'anneau ciliaire , ils lui font attachés ; ils pofent fur
la couronne muqueufe , comme celle-ci ]>ole lur La
membrane vitrée ; ils s’élargiiVcnt en allant ; ils quittent
l’anneau au même endroit auquel l’uvce s'en
fépafe ; ils pafl'ent par la petite vallée entre le cri-
(E I L U 7
ftallin 6c l’uvée, 6c pfjlcnt fur la capfule du crift.illin,
un peu plus intérifurernent fpie fon grand cercle t e
lur la liirliicf inlérieurc. Ils y font collé-, par une
iiiiicfjlilé noire fans y être atrathée ; ils iu-.primenf
des r:ii”s noires à la caplule du cnüaiiin 6c a la ré-
inie. Il y il même des animaux clans l'-Liuels le corps
ciliaire ne t'jucbe pas le criftallin. Dans le
dans le nirDiujii , la macération diffour la mucofité
mure , 6c le corp', ciliaire abandonne le criftallin
()iii devient mobile hc finittc fa place. Dans Icî gros
tmimau.v , l’anneau cili.iire a pour bafe une membrane
aifée à démontrer, compofée de véficules;
les éminences y font couverte', d’une viilofité ; ils
reviennent fur eux-mêmes fur le crifLilün , 6c y pa-
roiffent doubles avec une anfe. il n’y a rien de muf-
culairc dans toute la ftruéture 6c dans aucun animal.
1,’anneau muqueux eft un anneau particulier.
Tonte la ruyfchienne, la face poftérieure de t’ :vée
6c du cor[)S ciliaire, eft enduite d’une mucofité brune
extrêmement foncée 6c prcfquc noire , diffoluble
clans l’eau , mais non pas dans refprit-de-vin ; cdle
eft fort attachée à ces membnines, 6c des taches de
la même matière fe collent à la rétine dans l’homme
6c dan.s les animaux, mais fur-tout dans les poiffons.
Cette mucofité manque dans les lapins blancs 6c dans
lesnegres de cette couleur. C’eft apparemment le défaut
d’une liqueur néceffaire pour modérer l’impref-
fton de la iumicre qui rend les yeux des negres foibles
, & qui les force à ne voir que de nuit, parcs
qu’ils ne j)euvcnt pas foutenir la lumière du jour.
La mucofité noire qui, aux véritables negres , donne
la couleur brune foncée , paroit manquer par une
caufe commune & inconnue ; 6c c’eft apparemment
la caufe de leur blancheur qui reffemble à celle
d’un cheval blanc. Dans les enfans , cette mime
matière noire forme une efpece de fleur que j’appelle
anmaiL rnuqutux, 6c qui paroit quand on a
enlevé avec précaution le corps ciliaire. Il eft,
comme l’iris, plus large vers les tempes, & plus
étroit du coté du nez ; il couvre une partie du
criftallin , du vitré , de la rétine , felon plufteurs
auteurs: fes raies répondent à celles du ciliaire. 11
eft exaélemem circulaire dans les poiffons. On ne
connoît pas encore l’organe qui prépare cerre mucofité
noire ; les glandes qu’on a fiippofées font imaginaires.
Il eft étonnant que de nos jours on ait cru
en expliquer la formation , en l’appellant sthiops
animal, & en la compofant des elprlts mercuriels
des foufres du fang : on croyoit la liberté des hvpo-
thefespius bornée. M. le Cat a cru pouvoir i ’etendre,
La rétine eft le nom que les Grecs ont donné à la
troifieme enveloppe de \'(zH ; nom qui lui convient
en quelque maniéré, parce que cette membrane
avec le nerf optique dont elle naît, reft'embia
enquelquc maniéré à l’elpece de filet qu’on nomme
trouble. Cette membrane eft la plus molle ce toutes
les membranes du corps humain, elle conlerve la
nature médullaire du cerveau. Sa minceur la rend à
demi'tranfparente avec une teir.rure de (aune ic de
gris, affez femblable à la couleur de la l'ubftance entière
du cerveau : elle eft plus tranlparente quand oa
l'a plongée dans l'eau, l'acide iS; i'efpri;-de-vin la
rendent opaque. Elle le détruit d'elle-méme dans un
<z'd que l’on conferee. Elle eft formée par les filets
médullaires, qui l'ortent du nert ootique èc p.uler.t
par les petits trous de la lame cribleufe. Ils :e reu-
niffent de forment au-de\-ant de cette dern:ere membrane
une elpece de godet un peu e\c.ivc , plus îen-
fible dans les animaux que dans l'homme. De ce
godet la retine s'épanouit, emb-affe le corps v-jrc ,
devient concentrique à la choroïde, de s'att.iche. par
un bord un peu ronde de bien finl.au grand ."r-.-.-l
corps riliairc. Dans les oi'.'ea'.ix la retine termine?
par le cercle que je viens de nommer, predui: -.me