
1 !
i, ! lI i t' îÆs
I * !
îi» i: , ! i ÎW - 'J j Ili i î ;1 ; r t ; 1 ,
728 DE L ÉTAT A C TUE L
A,Tde mUS“]Ue £xécu,éPar ,e hautbois appelé zamir, tandis qu'on promène la nouvelle Mariée
autour de son quartier.
t Ce,t !a!r se M M aui ant de fo'S q«’il Plaît au musicien; c’est l’air de Malbrmh
exécuté à ia manière des Égyptiens.]
Prélude.
H
Autre Air propre a la même circonstance.
Æ - r p PRhythmes
que marquent les femmes, sur le tambour de basque, tandis que la nouvelle Mariée.
assise sur son divan -, reçoit les cadeaux qu’on lui fait.
[ Les notes à double queue indiquent les sons graves. ]
Rhythme de la main droite.
m
1 "t ' i i ï [IRhythme
des doigts de la main gauche qui tient le tambour de basque.
Chant d un Cheykh, ou pauvre, demandant îaumône, au Kaire (i).
* T
et des ¡ 1 ^ ^ ; C0"P,T de-CeS T ' “ ” “ ' I 1 1 P™ " '" * - « " a i -
On rencontre des hommes on des femmes, suivis d’un' des"premier™' « “ « t “ “ " '* I " “ '“k “ “ t " "
ou deux enfàns, qui chantent aussi alternativement un ami/honie. ' a"C,CnS appclo,cnt
Chant
DE LART MUSICAL ÈN EGYPTE.
Chant d’un Faqyr de Girgeh.
Nota. Nous n’aVons pu distinguer les paroles de ces sôrtes de chansons.
7 2 9
= F f ~ l = E = ^ Ë
Chant d’un Faqyr de SyoaU
Chants des Bateliers du Nil*
Ces chants sont plus ou îiioins gais ou vifs, suivant que les bateliers et les rameurs
éprouvent moins de difficultés et qu’ils sont plus contens : ces mêmes chants servent
à régler leurs mouvemens, et ils les continuent, tant qu’ils ne changent point de manoeuvre.
En faisdnt route.
Zey - ny - â he ley - ouehi
Lorsque te veni e it bon.
m
Qom yal - Iah a - bou sa - Iâm.
Lorsque la barque touche le fond, et que les Marins, craignant de s*engraver, ont abandonné leurs moqdâf
[r am e s ] , pour se servir du medreh [de la perche], et qu'ils plongent au fond du lit du fleuve, pour
détacher la barque et la remettre à flot.
Crîs pénibles que font les Matelots, quand, après avoir été obligés de se mettre à l ’eau, et de s ’adosser
aux flancs de la barque pour la désengraver, ils la poussent avec effort.
Quand ils commencent à remettre la barque à flot.
i •
t f « M *
1 1 1
i l
i l l
1fiillil 11i f i1 il i l l
iaIl» lì1 f l f i l
g a i æ n
i M i l l
l i I ?
• l i i
1 p f l l l 1® 111 p i i t i » II; ili
HÉÏ
l i