
desTux.'1 H | k f | JC PreDdre des ét° d« à l’horizon pour.
La nature gui a donné à l’homme la fkculté de se reproduire lui a imnosé 1 obligation de chercher à subsister. L'Égypte a pour voisins quarante mille Arabes
d’Égyme comme leu rT reSS°UrCe B t “^ i l f arides - «godent le territoire
gaX T l ’ Ct’ M I prétCXte’ y Viennent er mille brig
dages. Les gouvernemens ont cherché dans tous les temps à les rénrimer •
aïs ,1s ny sont pas toujours parvenus. A travers ce conflit, le malheureux felMh
est trouvé froissé entre les agens du gouvernement qui le ¡ ■ B l i l
lestoient et les Arabes qui le pilloient et l’assassinoient. Tel étôh le sort du
peuple d Egypte; ,1 est bien à desirer qu’un pareil sort puisse être amélioré. /
Itinéraire de la reconnaissance des lacs de Natroun et du Fleuve sans eau.
Distances parcourues, mesurées ou indiquées.
OBSERVATIONS
caravanes.
Par indication.
DPairre icntd. iNca.t ieotn S. .
Par indication.
Nous nous sommes porlés, [| ltee 6S ,P aluuv cl°osuev [e2nÎt jda'enlv-Biearr]â,m à o(u’esx. irénùié nord des lacs. ce / , nous avons .traversé le Fleuve sans eau.
Angles que font quelques’directions avec le méridien magnétique.
La direétion du Q asrau couvent d’el-Bafim ous............
La ‘ direction' génQéraasler adue sc oluavcenst .d.e..s. .S..y..r.i.e..n..s. ........................ ............ .......... ........".*.................. ■*-’e côtéE . du couvent des Syriens ......................• • • • • • • • • • • • ......... . . . , --------- - . .
LLeas f aecnet r«éje’esn dfeése t rdouis c aouutvreesn ct oduev Senaisn rte-gMaradceanirte l,e Nno. redt. S............................................................................................................................................
MÉMOIRE
SU R
LES F IN AN CE S DE L’É G Y P T E ,
Depuis sa conquête par le sultan S e l y m I." (1), jusqu’à celle
du général en chef B O N A P A R T E ;
P a r M. l e C o m t e ESTÈVE,
T r ÉSORIER GÉNÉRAL DE LA COU RONNE , O f E I C E R DE LA L É G ION D’ HONNEUR,
e x - D i r e c t e u r g é n é r a l d e s r e v e n u s p u b l i c s d e l ’ É g y p t e .
I N T R O D U C T I O N .
C e Mémoire sera précédé d’un court exposé sur le go,evernement et les propriétés
de 1 Egypte, parce quon ne sauroit suivre la marche des impôts, sans connoître
tes institutions qui en sont la base ou la matière.
L empereur Selym I." ébaucha un système d’administration et de gouvernement
particulier à l’Egypte; mais sa mort, survenue peu de temps après sa conquête,
lempechade terminer cet ouvrage important. SoJymân, son fils et son
successeur, 1 ayant complété, ¿est au règne de ce prince qu’il paroît appartenir
Ü ¡ f i C° de entier des lo,s organiques sur l’Égypte. Tel est cependant l’effet
que produisent les victoires et les conquêtes : les peuples sont plus frappés de leur
éclat que des institutions administratives, qui influent bien davantage sur leur
manière detre. Les Egyptiens d’aujourd’hui ne se souviennent que du sultan
beiym, et citent a peine le véritable auteur des lois qu’ils suivent.
D U G O U V E R N E M E N T .
L e chef du gouvernement en Egypte étoit un pâchâ dont le pouvoir, limité
par le grand et le petit dyvân, consistoit à présider ces assemblées, à sanc- mËM REGI I PPl 1« ordres nécessaires pour qu’elles fussent
cutees 2). Son kiahya et le defterdar prenoient ses ordres avant les délibérations
lu, rendoient compte des décisions dont elles étoient suivies. II résidoit dans k l “ “P*» r“ S d , (a) Il assisioit ans d, vSns en se , enant derrière Ie rideau d une fenetre qui donnoit sur le lieu de l’assemblée.