
 
        
         
		bornée àcefeul coquillage : on l’a obfervée dans une  
 efpece  de  limaçon  terreftre  du  Languedoc,  dont  
 Lifter  a donné la  figure dans fa  Conchyliologie ^ fous  
 la dénomination  àebuccinum  album,  claviculd production  
 ferè  abrupto. ,  G alliez Narbonenfis, pl.  X V  II.  
 n°.  12. Elle  leur  eft commune  avec le popel,  autre  
 coquillage  fluviatil, mais  d’eau falée  du  fleuve Niger  
 ,  dont  j’ai  donné  la  defeription  &   la  figure,  
 page  163  , planche X .  de  mon  Hifloin  naturelle,  des  
 coquillages  du  Sénégal. 
 C’eft  autour  de  la  coquille  du  barnet,  fur-tout  
 de la  variété  dont la  couleur  eft blanche veinée  de  
 brun,  que  fe  forme  une  petite  efpecé < de  mille-  
 pore ,  à  mamelons.,  qui  la  défiguré  tellement,  
 qu’on ne  peut  en  reconnoitre  la  forme &   les-contours, 
   qu’en  la  dépouillant  entièrement.  Gomme  
 elle  eft ordinairement habitée  par une  petite  écre-  
 yifle,  de  l’efpece  de celles  qu’on appelle foldat, ou  
 bernard fhermite, cet animal en prolonge l’ouverture  
 à  peu-près  comme  auroit fait le coquillage vivant,  
 dans  toute  l’épaifteur  de  la millepore  ,  qui  eft  de  
 près  d’une  ligne.  Cette  coquille  ainfi  incruftée, &   
 recouverte de la millepore., emprunte la figure d’un  
 ovoïde obtus  .à  fes  extrémités, long  de quatre  à fix  
 lignes,  fur trois  à quatre  lignes de largeur.  Sa  couleur  
 eft noirâtre  au-dehors, mais lorfqu’elle a  roulé  
 quelque  tems  fur  le  rivage,  fes  mamelons  en s’u-  
 fant,  prennent  une  couleur  blanche,  femblable  à  
 celle qui régné dans fon intérieur. Lifter a figuré une  
 de  ces  coquilles dans ce.dernier  état,  au  bas  de  la  
 pl, 686, de  fa Conchyliologie. (  M. A  d a n  s o n  . ) 
 BARO,  f. m. (  Hift. nat.  Ichthyologie. )  nom  que  
 les habitans des îles Moliiques donnent à une  efpece  
 de ppiffoin du genre  de ceux  qu’on  appelle  orbis  ou  
 coffre,  &   qui  a  été  gravé  allez  bien  par  Ruyfch,  
 dans  fa  Collection  nouvelle  des poiffons. d’Amboine ,  
 planche VU. figure 7 ,  aux nageoires  pe&orales près,  
 qui ont été oubliées.  ■  . i 
 Ce poiflon eft  petit  &   d’une forme  fingüliere.  Il  
 a le corps  ovoïde , affez  court, à peine une fois plus  
 long que large,  boflii  fur là  tête,  qui  eft  alongée  
 en groin de  cochon ,  &   terminée  par  une  bouche  
 rondeg  fort petite. 
 Ses  nageoires  font  au  nombre  de  cinq ,  toutes  
 affez  petites &   courtes,  fçavoir,  deux  peâoràles  
 arrondies, une dorfale &  une anale quarrées, enfin,  
 une à  la  queue  qui eft  tronquée  &  affez grande. Il  
 n’y  en  a  point  de  ventrales. 
 Sa couleur générale  eft  un purpurin-clair  à  l’exception  
 de'trois  grandes taches  jaunes  dorées,  qui  
 forment  une efpece dé fellé" für le dos. 
 Moeurs. Le baro eft un poiffon fort drôle, &. facile  
 à apprivoifer.  Il vient manger  dans  la  main  quand  
 on  l’appelle :il n’a  pas un  grand  goût  quand  on  le  
 mange  frais ; mais  fec il  eft meilleur : les Maures le  
 font fécher  &  boucaner à  la  fumée,  pour  en  faire  
 leur  nourriture  ordinaire.  ( M .   A d  a n  s o n . ' ) 
 * §   BAROCHE,  (  Gèogr. )  ville  d’Afrique . . . .   
 life{  ville  cFAfie. 
 BAROMETRE S im p l e   ,   (  Phyf. )   voici unnou-  
 veau moyen de le faire avectoute la précifion pofiïfcle. 
 On  prendra un tube, bien net,  de  la longueur  de  
 36  pouces  environ,  & .d ’un  diamètre  quelconque.  
 A l’extrémité  fupérieure ,  on foufflera une boule ou  
 bouteille  qui  la  fermera  hermétiquement.  Cette  
 boule peut être plus ou moins groffe, pourvu qu’elle  
 ne  foit  pas -moindre que  le  triple  de la capacité du  
 tube.  A l’autre extrémité, .on, loufflera une fécondé  
 bouteille à-peu-près quadruple de la première : puis  
 en  courbant  la  partie, inférieure du  tube ,  on fera  
 venir  la . bouteille  dans  une  direôion  parallèle  au  
 tube.  Cette, fécondé  bouteille  deftinée  à  fervir  de 
 réfefvoir  au mercure ,  doit refter ouverte  ,  &  être  
 à la.diftance  de  30  pouces  environ  de  la  boule fupérieure. 
 Quand  on  voudra charger  le  baromètre,  on attachera  
 un fil defecaurdeffous de la boule fupérieure,  
 &   on verfera dans -la bouteille,  inférieure  autant  de  
 mercure  bien  purifié.qù’il  en  faut  pour  remplir  le  
 tube  & „ la  boule  fupérièure.  On  côuehéra  enfuite  
 le  tube  de  toute  de  fa longueur, fur un  brafier,  &C  
 on le; fera chauffer de maniere que le mercurë bouille  
 fortement  dans  la  bouteille  inférieure  ,  &   que  le  
 refte du tube foit prêt à rougir.  Alors  par le moyen  
 du  fil  de  fer  on  releVerade  tube  ,  on le retirera de  
 deffus  le brafier,  &  oh  le tiendra  dans une  fituation  
 verticale. Quand le tube  fera  refroidi, on l’inclinera  
 pour  faire  monter  une  partiè  du mercure  dans  la  
 boule  fupérieure  ; puis  oh  le  reportera  fur le brafier 
 ,  en  ôbfervant  de  le  coucher  de  maniéré que  
 la  boule  inférieure  foit  de  deux  ou  trois  pouces,  
 -plus  élevée  que la boule fupérieure.  On excitera le  
 feu  principalement.fous  les  deux.boules,  &  quand  
 on  verra  le mercure  bouillant  paffer en  vapeurs de  
 la  bqule  fupérieure  dans1  la  boule  inférieure  ,  on  
 relevera promptement le tube,  on  l’ô.tera de  deffus  
 le  brafier,  &   on  le  tiendra  ,  comme  la  première  
 fois ,  dans une  fituation  verticale ,   jufqu’à  ce  qu’il  
 foit  refroidi. 
 Cette fécondé  opération pourroit fuffire ; mais il  
 eft bon de la  répéter plufieurs  fois.  La réglé la plus  
 sûre .eft  de  continuer  à  faire  bouillir  le mercure  ,  
 jufqu’à  ce  qu’il  paroiffe  devenir  infenfible  au.feu  
 comme  du  plomb  fondu  ;  c’eft-à-dire,  jufqu’à  ce  
 qu’ilcefle  de  bouillonner:  alors  on eft  affuré  qu’il  
 eft  parfaitement  purgé  d’air &  d’humidité. 
 Les  baromètres  conftruits  félon  cette  méthode,  
 auront les  avantages fuivans.  La  furface fupérieure  
 du mercure fera  plane,. &  permettra de  juger  avec  
 précifion  de  la vraie hauteur du baromètre. L’accord  
 entre  tous  les baromètres  conftruits  de  la  même maniéré,’ 
   fera  parfait ; ou s’il y  a  quelque  différence,  
 elle viendra du frottement : ilné s’agira que de donner  
 lin  petit  coup  fur  ces  .baromètres  ou  de.les  remuer  
 un peu,  pour les faire monter  au même niveau.  Le  
 mercure  fera  brillant  dans  les  tubes,  &   l’on  n’y   
 verra aucune  tache. 
 Obfervons  que  le  mercure  de  la  bouteille  inférieure  
 ,- reftant expofé à l’air, reprendra bientôt l’air  
 &  l’humidité  dont ,on  l’avoit  dépouillé  ;  c’eft  pourquoi, 
   iorfque  le  baromètre  fera fait &  mis  en expérience, 
   il  faudra  avoir  l’attention  de  ne  plus  faire  
 remonter le mercure  de  la boule inférieure  dans la  
 boule  fupérieure ;  autrement l’air &  l’humidité pé-  
 nëtreroient  dans  le  tube  ,  &   rendroient inutiles  les  
 précautions qu’on a prifes. Pour empêcher que  cela  
 n’arrive ,   on  fera bien, de  fitpprimer la boule  fupérieure  
 ,  après que  le baromètre aura été  chargé. 
 A  cet  effet,  avant  que  de  charger  le  baromètre ,'  
 on amincira à la lampe  la partie fupérieure  du tube  
 qui  touche  à  la  boule,  de  maniéré  que  le  paffage  
 du tube, à la boule ait moins  d’une  ligne  de diamètre  
 intérieur. On chargera  enfuite le tube comme  on Pat  
 dit :  puis  en  tenant le  tube  verticalement,  on rapprochera  
 de  la  lampe >  &   avec un chalumeau,  on  
 dirigera  la  flamme  fur  la  partie  du  tube  qu’on  se  
 amincie.  Le  verre  s’amollira,  on  enlèvera  avec la  
 main  la  boule  fupérièure  ,  &   le  tube  fe  trouvera  
 fermé  hermétiquement, fans que  l’air  extérieur ait  
 pu y  pencher. 
 B a r o ,m e t r e   c a p i l l a i r e - On donne ce nom aujç  
 barometr.es,  qui  ont  moins  d une  ligne  de  diamètre  
 intérieur.  Ceux dans lefquels  on n’a pas fait  bouillir  
 jg  mercure  ,  ne montent  jamais  à  la  hauteur  des  
 autres-baromètres, &C ils fe tiennent d’autant plus bas, 
 qn’iîs’ font  plus  capillaires  :  mais  ceux qui  ont  été  
 conftruits  félon  la méthode  que  nous donnons  ici,  
 s’accordent exa$emènt avec les plus gros.baromètres.  
 Ainfi  on  peut,  à peu  de frais,  fe  procûrèV  un baro-  
 metré  bon  &   commode.  Il  faut  feulement,  après  
 qu’ils  ont été chargés  de mercure,  enlever la boule  
 iuperieure  comme ; on  vient  de  le  dire ,  ou  avoir  
 l’attention  de.  ne  plus  faire  remonter  le  mercure  
 dans  cette,  boule.  Cette  précaution  eft encore  plus  
 neceffaire  pour  les baromètres ^capillaires,, que  pour  
 les gros  bdrome,tres :  car on s’eft  affuré  par des  expériences  
 réitérées, que ces baromètres ne fetenoient  
 ■ au  niveau des âlitres ,  qu’autant  que  le  cylindre  dé  
 mercure  y   était  parfaitement  purgé ‘ d’air  &   d’humidité. 
   Lorfque  le mercure  de  la  boule‘inférieure  
 a été imprégné d'air,  &  qu’on  l’a fait re'mbriter dans  
 la  boule  fupérièure  ,  il  fe  tient  conftamment  plus  
 haut  qu’auparavant.  Cette  expérience  peut-  avoir  
 fon application dans  la fameufe queftion des  tuyaux  
 ■ capillaires.  -  •  'j-,  . \  \ 
 Baromètre à base v a r ian t e . C’eft ainfi qu’on  
 .peut appeller en général les baromètres qui font leurs  
 excurfions  dans la  partie inférieure  du, tuyau. Tels  
 font le  farametré  conique  de  M. Amontons,  le baromètre  
 reftangulaire de  M. Cafiîni',  &c.  Ces baromètres  
 ont  une  très-petite  bafe ,  &   entre  autres  'défauts ,  
 pn  peut  leur  reprocher  d’-être  toujoCirs  plus  élevés  
 que  les, autres.  Lorfque  leur bafe eft très-capillaire,  
 l’excès de leur  hauteur fur celle des gros baromètres,  
 eft de .1,5  a  18 lignes.  En général ,• ils montent  d’au-  
 •tant  plus haut, .que leur bafe. eft .refferrée. dans un  
 tube  plus  étroit. 
 BAROMETRE  PHOSPHORE,  Les  baromètres conftruits  
 félon la méthode publiée parM. duFay, étant  
 fecoués dans l’obfeurité,  font paroître dans'le vuide  
 un  jet-de  lumière  :  mais  ceux  qui  ont  été  faits  
 félon  la méthode  que  nous  donnons  i c i ,  étant pa-  
 •reillément  fecoués  ,  ne  donnent  aucune  lumière.  
 Cette différence ne peut venir que de la çpnftrucïion. 
 Dans  nos baromètres ,  le  mercure  a  bouilli  avec  
 force  &   à plufieurs réprifes,  &   paffant rapidement  
 de  la  boule  fupérieur.e dans la boule  inférieure ,  il  
 a ,  par  fon  frottement  &   fa  chaleur  ,  détaché  &   
 enlevé  jufqu’aux  moindres parcelles  d’air qui pou-  
 vôient  y  adhérer.  Il  n’en  eft pas ainfi  des baromètres  
 de  M. du Fay.  Le mercure n’y   .a bouilli que  foible-  
 ment &   par  parties,  &   on  pourroit  prouver  qu’il  
 eft  refté fur les  parois intérieures  du  verre  quantité  
 de  parcelles  d’a ir ,  contre  leiq’uelles  frotte  le mercure  
 en- montant &   en defeendant  dans lè  tube.  Le  
 frottement dtrmercure contre l’air adhérent au yerre,  
 eft  vrailèmblablement  la  caufe  de  la  lumière  qui  
 paroît, clans  les-baromètres de M. du  Fay.  • 
 Ce  qui  femble  confirmer  cette  conjeâure,  c’eft  
 que  fi on  fècoue  dans l’obfcurité  un de  nos baromètres  
 ,  &   que par  hazard  une bulle  d’air vienne à  s’y   
 introduire,  cette bulle enfillonnant  le mercure fera  
 lumineuse  ,  &   le  baromètre  qui  auparavant.n’.étoit  
 pas  lumineux  ,  le  deviendra  dti  côté  oit  le .tube  a  
 été  touché  par  l’air. 
 Effet  de  la  chaleur fur  le  baromètre.  La  chaleur  
 raréfié le mercure, &  à m'éfure qu’êlle  eu augmente  
 le volume,  elle en diminue  la  pefanteur ipécifîque.  
 M.  Chriftm a  trouvé par des  expériences  faites avec  
 àrt &  précifion , que  le volume du mercure eondenfé  
 Par/l |   froid de la  glace  eft  au  volume du mercurë  
 raréfié  par  la  chaleur  de  l’ eau  bouillante  comme  
 66  eft  à  67  ;  c’eft-à-dire  que  l’augmentation  du  
 volume  du mercure  ,  ou ce  qui  revient  ,au  même,  
 la  diminution  de fa  pefanteur  fpéçifique,  eft de  ?  
 à  compter depuis le  terme  delà  glace jufqu’à  celui  
 de  1 eau  bouillante.  Donc un baromètre qui  pafleroit  
 du froid de la  glace à la chaleur de l'eau  bouillante,  
 haufleroit  d’une  quantité  égale  à  la  66e.  partie  de  
 Totpe  1. 
 fit hautetff, fans qu’il foit fur venu aucun changement  
 dans la preflïon  de l ’atmofphere. 
 Suppofpns maintenant  un  thermomètre,  tel  que  
 celui.de Ly on , divifé en ,100 parties égales depuis le  
 froid de la glace jufqn’à la chaleur de l’eau bouillante.  
 Il  eft  clair  qu’en partant  du  terme  de  la  glace-,  le  
 baromètre haufiera de  par chaque dégré du thermomètre. 
  Ainfi dans les lieuxoiiia hauteur moyenne  
 du  baromètre eft de  27  pouces ± ou  de  3 30  lignes ,  
 la  chaleur,  depuis la glace jufqu’à  l’eau bouillante ,  
 fera monter le mercure  de  8 .lignes, &   par confé-  
 quent  de ^   de ligne,  ou.de |  de.p.oint  par chaque  
 . degre  ,du thermpmetre.  D(onc.fi/m ye.ut, avoit; l’effet  
 de  la  preftion  de  l’air  tel ..qu’il  feroit  au’ terme  de  
 la  glace ,  il  faut  retrancher  de  la  "hauteur  aâuelle  
 du  baromètre  autant  de  vingtièmes  dé  ligne  que  le  
 thermpmetre marque de  degrés au-deffus du  terme  
 de la cohgellation j ou par la raifon contraire, à jouter  
 à  la  hauteur  du  baromètre  autant  de  vingtièmes  de  
 ligne  que  le  thermomètre  marque  de  dégrés  àu-  
 deffoiis  du  même  terme, c   .  .  .  . 
 On  pourra  faire  la même corredion  fur un baromètre  
 dont  la  hauteur  fera de 2,7.011 de.28:pouces,  
 parce .qu’un  pouce  de  plus  ou  dq  mpips. ne  peut  
 faire fur ie .-total qu’irne  erre'ur infenfible,  Mais fi on  
 tranfpprtoit  îe baromètre  fur des  hautes montagnes ,  
 &  que le  mercure  defeendît  à  25  îd'.C  .  -ou  15  
 pouces-,  il faudroit retrancher  dé cette haiitéur,  ou  
 y  ajouter moins d’un vingtième de ligne par chaque  
 degre  du  thermomètre,  ainfi  qu’on'le  verra  dans  
 les tables  fui vantes.. 
 P R E M I E R E   T A   B  L  E. 
 L e   bàrometère étant à 27  pouces  6 lig n e s ,  v 
 Thermomètre  de  Lyon. Corrections  à. faire  fur 
 le  baromètre. 
 100 d eau  bouillante. 5 lignes  0  . ]points. 
 5° .............................. 2, 6 
 40  . . . . . .   .  . 2 0 g 
 30  . . .   .  | I 6 
 20  . . . . . . . .   . I ■  •  •©• 
 10  :.  .  .  .  .  '.  .  .  . O 6 ’  * ■  ' = 
 9   •  ............... O '5  f '  ^ 
 8 ............................... 0 4   f 
 7 .............................. O ' .   4 .f: ? 
 6 !.............................. O ....  .3 - 1 
 ï   •  •  ■  .................... Q -3 *  1 . 
 4   .............................. O 2- ■  •  Srti J i y «ri 
 2  .1.  .*•............ O T   -f' 
 1 ................................... O 11H 
 1  .  .  . .   . .   . .   . O °   î- 
 2 .............................. O ,1. T 0  ;  • 
 3 ................................... <X I  i S 
 4  . . . . . . .   . O •2. f -  rtL: 
 5 ................................... O 3 ï 
 6  \  -.  BR . . . . . . 6 3  j c 
 7 .................................. 0 4   f   ' ■  g 
 8 ...................... 0 4   f 0- 
 ;  II! •  •  •  .  ..   •  •  • 0 5.7 i l 
 •  1 0 '« • ' . ■ .   .   .  .  ,  J 0 6 1 
 X •  •  0. *  .  1 . 
 Pc.  &c. '  K 
 K K k k k   ij