Efpeces.
1. Frêne à folioles dentelées à fleurs apétales.
Frêne commun. Grand frene. _
Fraxinus foliolis ferratis , floribus apetalis. Lm.
Sp. pl. Fraxinus excelfior. C. B. P .
Comrnon ash.
2. Frêne à folioles ovale-lanceolees, dentelees, a
fleurs pourvues de pétales. Frêne à manne. Frêne a
feuilles rondes. Frêne de Calabre. # .
Fraxinus foliolis ovato-lànceolatis ferratis , floribus
corollatis. Lin. Sp.pl» Fraxinus rotundiore folio. J. B.
Ash tree with a rounder leaf} manna ash.
3. Frêne à folioles dentelées, à fleurs pourvues
de pétales. Frêne à petites feuilles. Frêne nain de
Théophrafte. Frêne, de Montpellier.
Fraxinus foliolis ferratis, floribus corollatis. Lm.
Sp. pl. Fraxinus hurniliorJive altéra Theophrajli minore
& tenuiore folio. C .B .P .-
Dwarfdskof Theophrafiiis. . , „
4. Frêne à folioles luifantes ovale-lanceolees 6c
rapprochées, à longs pétales.-
Fraxinus foliolis lUcidis ovato-lanceolatisproximis,
petalis longioribus. Hort. Colomb. Fraxinus foliolis lanceolatis,
glabris,floribus paniculatis termina tricibus.Mïll.
FraxinusJLorîferabothryoides. Mor. Hijl.ornus. Mich.
The ft&wering ash. # .
ç. Frêne àfoliole très-entiere , à pétioles cylindriques.
Frêne de la nouvelle Angleterre.
Fraxinus foliolis'intëgerrimis ,~petiolis teretibus, Flor.
Virg. 122.
New England ash.
6. Frêne à folioles lancéolées , finement dentelées,
à pétioles cylindriques & velus. Frene de la Ca-
rolique à fruit large. N°. 6. de M. Duhamel.
Fraxinus foliolis lanceolatis, minirnê ferratis , petio-
lis teretibus, pubefeentibus. Mill. Fraxinus Caroliniana
latiore fruBu.
Carolina ash.
On ne trouve dans Miller que fix efpeces Ae Frêne,
non plus que dans le Traité des arbres & arbriffeaux
de M. Duhamel. En voici de nouvelles que nous cultivons.
7. Frêne à plus larges folioles, pointues aux deux
extrémités, éloignées entr’elles, dont la terminale
eft ordinairement la plus large.
Frêne nain, ou noir d’Amérique.
Fraxinus foliolis làtioribus ab utrdque extremitate
mücronatis , raris , extremo majore. Hort. Colomb.
8. Frene à très-larges folioles , terminées par le
bout en pointes inclinées.
Fraxinus foliolis latijjimis recurvo-cufpidatim défi-
nentibus. Hort. Colomb. ^
On nous a envoyé fous le nom de frêne la
Louifiane une efpece: que nous foupçonnons n’être
autre chofe que le frêne de la Caroline: fes folioles,
font arrondies par le bout comme celles des feuilles
de noyer. La circonftance du duvet & des pédicules
ne peut être une piarque cara&ériftique , puif-
qu’elle eft commune à trois efpeces de frêne. Nous
avons reçu, fous le nom de frêne de la Caroline, une
autre efpece qui reffemble beaucoup au frêne à fleur.
Les feules différences que-nous y ayons remarquées
font des folioles un peu plus étroites, moins luifantes
6c d’un verd moins foncé. La forme du fruit
pourra feul nous décider, nous ne 1 avons pas encore
vu. Ce frêne porte des pannieules fleuris aufli
beaux, auffi amples, & de la même odeur que ceux
du frêne à fleur.
On trouve dans plulieurs ouvrages le frêne de la
nouvelle Angleterre caratterifé par des folioles terminées
en pointe , circonftance qui convient à trois
efpeces différentes. 1
Après avoir lu l'article Frêne du DiB. raif. des
SclertiêS, Sec. nous ne trouvons que tres-péu dé
chofe à ajouter à ce grand & bel article de M. Dau*
benton. Il dit qu’il eft très-difficile de faire des femis
dt frêne en grand, par la raifon que cet arbre aime
les terreins anfraûueux 6c pierreux, terreins qu’il ne
feroit nas aifé de préparer à recevoir fa femence. Il
dit ailleurs que le frêne fe plaît aufli dans les terres
fraîches pourvu qu’elles aient de la pente , ce
qui eft très-vrai : d’où il fuit qu’il feroit facile de
faire des femis d e frêne dans ces fortes defpl;dans
ceux de la première efpece nous avons réufîi par la
méthode fuivante fur, une petite étendue. De quatre
en quatre "prés , nous avons fait faire des trous d’un
pied en quarré, dont on a extirpé les pierres, & qu’on
a rempli avec de la terre prife à la fuperfiçie 6c dans
les lieux voifins. Enfuite on y a enterré à deux pouces
de profondeur une douzaine de bonnes, femences
de frêne, elles ont fort bien le v é , 6c il a été, très-
facile de les farder. On a ôté. du plan là où il y en
avoit trop, on en a remplacé là où il en manquoit.
Cette méthode fimple & économique peut s’appliquer
à tous les femis en .grand.
Le frêne, n°. 2 , ne s’élève guere dans l’Europe
occidentale & feptentrionale qu’à la hauteur d’environ
quinze ou feize pieds. Ses fleurs, portent au
printems des côtés des branches 6c font de couleur
purpurine, elles paroiffent avant les feuilles , dont
en Calabre la manne exfude au plus chaud de l’été.
On l’écuffonne fur le frêne commun. La première
année l ’écuffon fait un jet confidérable , mais en-
fuite il pouffe très-foiblement. Cet arbre peut fervir
à la décoration des bofquets printaniers. .
Le n°. j croît aux environs de Montpellier, cet
arbre eft d’une petite ftature, fon feuillage d’un beau
verd foncé eft très-élégant, il foutient jufqu’à la mi-
novembre ; il convient donc de planter quelques-
uns de ces frênes dans les bofquets d’été 6c d’automne,
où ils ajouteront une variété agréable. Il fe multiplie
très-aifément par fa femence, & s’écuffonner
à la fin d’août. '
Miller dit que le frêne, n°. 4 , a été élevé par le
dofteur Uvedale à Enfield , par fes femences que
le dofteur Guillaume Sherard avoir apportées d’Italie
, pays originaire de cet arbre. Quelques, perfonr
nés ont penfé qu’il différoit de celui mentionné par
Moriffon dans fon Prceludia botanica ; mais en les
comparant on trouve que la reffemblanee eft par-
• faite. Les grands panicules de fleurs blanchâtres qui
terminent toutes fes branches à la fin de mai , lui
aflignent une place dans les bofquets de ce mois ,
elles exhalent une odeur douce 6c fuave ; ainfi elles
ne peuvent qu’ajouter aux livrées 6c aux parfums du
printems des nuances gracieufes. Le port de cet arbre
eft plus agréable que celui du frêne commun, fes
branches 6c fes feuilles étant plus rapprochées 6c
plus convergentes. On fait que fon feuillage n’eft
jamais attaqué par les cantharides. Ce frêne qui fe
hâte de couronner la main qui l’a planté , 6c dont la
greffe fur frêne commun prend beaucoup moins de
corps que le fujet, paroît par ces raifons n’être que
de la troifieme grandeur. On peut donc en planter
les individus à fxx ou neuf pieds les uns des autres.
Le frêne, p ° .S , paroît ne devoir guere s’élever
qu’à 15 ou 20 pieds. Il prend très-peu de corps,
& par les hivers très-rigoureux les bouts des branches
périffent.
Le frêne, n°. 6, a été porté en Angleterre paries
femences envoyées en 1 7 2 4 à M . Catesby ; cette
efpece, ainfi que les dernieres, s’écuffonnent fur frêne
.commun , 6c ne peuvent guere fervir qu’à jetter de
la variété dans les bofquets d’été, par la diverfité
d e - le u r s feuillages.
Nous allons tranferire de Miller des obfervations
intéreffantes fur le frêne commun. Il ne faut pas ,
dit notre auteur, placer cet arbre dans le voifinâgè
des autres efpeces d’arbres, ni le mêler dans des taillis
6c dans des haies, bientôt il s’empareroit de leur
terrein, & abforberoit à leur préjudice tous les fucs
de la terre. Eloignez-les fur-tout des pâturages ,fes
feuillçs mangées par le bétail communiquent au
beurre un mauvais goût. Que penfer d’après cela du
çonfçil que donnent plufieurs livres d’Agriculture de
cultiver cet arbre dans la vue de fécher fes jeunes
branches pour fervir de nourriture aux beftiaux
durant l’hiver ? je fais qu’en Suiffe on en donne
aux moutons; mais je penfe qu’il 11’a point d’in-
convéniens pour les bêtes blanches. ( M. le Baron
DE Tse H OU DJ..)
FREOUER, ( Ven. ) marque que le cerf fait aux
branches des arbres, quand il y touche de fon bois
pour détacher la peau velue qui le couvre. ( + )
FRESCATI ou FRASCATI, ( Géogr. ) Tufculum,
petite ville. d’Italie à 12 milles de Rome , avec un
évêché , un des fix qui font optés par les fix plus
anciens cardinaux. Elle eft embellie de plufieurs
maifons de plaifance délicieufes par les eaux, les
jardins, les tableaux , parmi lefquelles on diftingue
celles des princes Ludovifio, Borghefe 6c Aldobran-
din. Les Jéfuites, qui y avoient une fuperbe maifon
dont le cardinal d’Yorckles a expulfés en 1771, ont
couvert cl’untoît le pavé à la mofaïque bien confervé
de la maifon de Cicéron.
« Le cardinal Paffionéi ( comparable, dit Me du
» Bocage, au conful romain en éloquence, mémoire,
» érudition, efprit patriotique) y a fait un hermi-
»tage charmant, orné de ftatues antiques, d’urnes,
» de tombeaux de marbre diftribués avec goût fur
» les terraffes : delà l’oeil traverfe la plaine, s’étend
»jufqu’à. la mer, fe promene fur les Apennins,
>> voit^1 Algide & le Soraéle couronnés de neige,
»sarrête lur Rome, & f e retourne volontiers pour
» admirer la diftribution ingénieufe des cellules que
» la maifon renferme..,. La paix, les mufes, les ver-
» tus y fixent leur demeure ». Lettres fur C Italie,pag.
30 1 , édit. 17G4.
^ La falle à manger , dit M. Grofley , eft ornée
d’une cuvette tirée des ruines du palais d’Adrien à
T iv o li, de trois pieds de long fur quatre de large,
percee dans fon centre par un je t , qui jouant pendant
le repas, donnoit pour boire & rincer les verres
, de l’eau de la plus grande fraîcheur & de la meilleure
qualité ! « Je n’ai vu , dit cet auteur, aucun
t> monument d’orfèvrerie comparable à cette cuvette
» pour l’élégance de la forme,le goût des ornemens
»> & le précieux du travail.
» Le heu le plus apparent du cabinet du cardinal
» etoit occupé par le portrait du grand Arnaud,
» dotteur de Sorbonne , & par un grand in-8°, relié
» en verd fans titre : en l’ouvrant, on y trouvoit les
» Lettres provinciales en cinq langues ». Cet hermi-
tage, [’admirationdes curieux, a été démoli d’abord
apres la mort violente du cardinal Paffionéi en 1767,
parles Camadules, à l’inftigationdesperes duGiefu.
Grofley , Voyage £ Italie, tom. II. (C )
§ FRESQUE, (Peint, ant.') On peut tenter de
rendre les frefques moins altérables par la pluie , en
paffant une couche de lait fur la peinture ; ou bien
en humeâant la peinture avec de l’eau commune
dans laquelle on mettra certaine petite quantité
d’huile de vitriol ; en fe fervant de la pozzolane au
cm dj ^able or^ naîre i en effayant d’employer du
labié des verres faits avec la cendre dé fougere. Dans
les Lettres fur ta découverte de C ancienne ville d'Her-
cu ne, par M. Seigneux de Correvon , 2 vol. in-
^ » lmPri*nés à Yverdon en 1770, l’on affure que
<>eS Pe^ntures bfrefque que l’on a trouvées
dans Herculane, ont été gâtées par le vernis que
M‘ d’Y aP P ^ “ er- P**« rapporte
q i t e l e c é l é b r é A p e l l e s à v o i t i n v e n t é t in v e r n i s q u i
g a r a n t i f f o i t l a p e i n t u r e d e l ’h u m id i t é ; i l a j o u t e q u e
c e f e e r e t é t o i t p e r d u : l ’o n a c e p e n d a n t t r o u v é d a n s
H e r c u l a n e u n e a n c i e n n e p e i n t u r e à frefque q u i p a -
r ô i f f o i t a v o i r é t é v e r n i f l e e ; l ’o n y a d é c o u v e r t d e s
t a b l e a u x p e in t s à frefque q u e l ’o n a v o i t f c i é s f u r l e
m u r oc q u e l e s a n c i e n s a v o i e n t e n f u i t e f a i t e n c a d r e r .
D e p u i s e n v i r o n 6 0 an s l e s p a p e s f o n t f e i e r l e s frefques
q u e R a p h a ë l , G i u f a p e O t t a v i a n i , L i b o r i o F a t -
t o n , M u z ia n i^ C o n t i , C l o r i , P o z z i a v o i e n t p e i n t e s
d a n s l e s l a l l e s d u V a t i c a n , &c.. O n f a i t c o p i e r c e s
t a b l e a u x e n m o f a ïq u e s d e la m ê m e g r a n d e u r .
P r e f q u e t o u s l e s m u r s e x t é r i e u r s d e s m a i fo n s d ’H e r -
c u l a n ë , & l e s m u r s d e s c h a m b r e s 6c d e s g a l e r i e s
ë t o i e n t p e in t s à frefque. D a n s l e s t em p l e s d 'H e r c u l a -
n e , l ’o n a t r o u v é q u e l q u e s t a b l e a u x d e c e g e n r e d e
p e i n t u r e , d o n t l e s f ig u r e s o n t e n v i r o n c i n q p i e d s
& d em i d e h a u t e u r . O n d o i t f u r c e t t e m a t i è r e c o n -
f u l t e r l e s d e u x p r em i e r s v o l u m e s in-folio im p r i m
e s à N a p l e s q u i o n t p o u r t i t r e Pitture antiche <FEr-
colano. ( V. A . L. )
F R È T E , f . f. Clathri retiti , ( terme de Blafon. )
m e u b l e d a rm o i r i e s f a i t d e q u a t r e p e t i t s b â t o n s e n t r e l
a c e s , d e u x e n b a n d e s , 6c d e u x e n b a r r e s .
S e lo n q u e lq u e s - u n s , c e m o t v i e n t d e fre t, q u i e n
v i e u x f r a n ç o i s f ig n i f io i t rompu , 6c é t o i t d é r i v é d u
l a t in fraBus.
D ’ a u t r e s l e f o n t v e n i r d u m o t frété q u i a é t é d i t
a n c i e n n em e n t d u n c o m b l e , d ’u n t o î t f a i t d e p e r c h e s
c r o i f é e s .
D u c a n g e a f f u r e q u ’ a u t r e f o i s o n a p p e l l o i t fretesy. me
e f p e c e d e f l é c h é , & q u e c ’e f t - l à l a r a i f o n p o u r l a q
u e l l e o n a n o m m é écus frétés c e u x q u i é t o i e n t c h a r g
e s d e c e s frétés c r o i f é e s .
P id o u x d e M o n t a n g l o f t , d e F r a n c h e v i l l e à C o u -
lo m m i e r s e n B r i e ; d'argent à trois frétés defabU.
L a t t i e r d ’ O u r c i e r e s , e n D a u p h in é ; d'azur à trois
frétés d argent, au chef de même.
§ FRÉTÉ , a d j . ( terme de Blafon. ) f e d i t d ’ u n é c u
c h a r g é d e f i x c o t i c e s e n t r e l a c é e s e n d i a g o n a l e s , t r o i s
à d e x t r e , t r o i s à f é n e f t r e . Frété fe d i t a u f l i d ’u n e
c r o i x o u a u t r e p i e c e d e l ’ é c u , c h a r g é e p a r e i l l em e n t
d e f i x c o t i c e s d a n s le m ê m e f e n s . Voye^ fig. 181. pl.
IV. de l art Héraldique , DiB. raif. des Sciences , & c .
N a m p i e r d e l a R o q u e r i e , e n N o r m a n d i e ; cCor
frète d'aqur.
D ’H a u f f o n v i l l e d e V a u b e c o u r t , e n L o r r a i n e ; d’or
à la croix de gueules , frétée d'argent. (G .D .L . T .)
F R E T E V A L , ( Géogr. H ifi.j v i l l a g e p r è s d e
B l o i s , o ù l ’ a r r i e r e - g a r d e d e l’ a rm é e d e P h i l ip p e -
A u g u f t e f u t d é f a i t e e n 1194. S e s b a g a g e s , f a c h a p
e l l e , f o n f c e a u , 6c t o u t e s f e s a r c h i v e s f u r e n t e n le v
é e s p a r l e s A n g l o i s , & ja m a i s l e u r r o i R i c h a r d n e
v o u l u t l e s r e n d r e .
E t r a n g e c o u t u m e d e n o s r o i s , s ’ é c r i e l e f a g e p ré *
f id e n t H é n a u l t , d e p o r t e r a lo r s à la g u e r r e l e s t i t r e s
l e s p lu s p r é c i e u x d e la c o u r o n n e ! C e t a b u s f u t rél
f o rm é , & c ’ e f t l ’ é p o q u e d u t r é f o r d e s C h a r t r e s q u i
f u t d ’ a b o r d é t a b l i d a n s la t o u r d u L o u v r e , o u a u
T e m p l e , & d e p u i s p a r S . L o u i s e n la S a in t e - C h a p
e l l e d e P a r is , o ù i l e f t a u j o u r d ’h u i . G u é r i n d e S e n -
l i s e u t l ’h o n n e u r d e c e t é t a b l i f f em e n t . (C .)
F R E U D E N T H A L , ( Géogr.') c h â t e a u , v i l l e 6t
f e i g n e u r i e d e la h a u t e - S i l é f i e , a u x c o n f in s d e l a
M o r a v i e 6c d e s p r in c ip a u t é s d e J æ g e r n d o r f & d e
■ Neiffe. C ’ e f t u n e d e s c o m m a n d e r i e s d e l ’o r d r e T e u -
t o n iq u e , & la d ix - f e p t i em e d u b a i l l i a g e d e F r a n c o -
n i e . S o n c h â t e a u f e r t à la r é f i d e n c e d u c o m m a n d e u r ;
la v i l l e e f t f i t u é e d a n s u n v a l l o n a g r é a b l e , 6c f e rm é e
d e m u r a i l l e s ; le s B o h ém i e n s 6c l e s P o l o n o i s l ’ a p p e l le
n t Brumhal :.6c l a f e i g n e u r i e a p o r t é p e n d a n t u fl
t em s l e t i t r e d e p r i n c ip a u t é , à l ’o c c a f i o n d e lai
c h a r g e d e c a p i t a in e - g é n é r a l d e l a h a u t e & b a f f e
S i l é l i e , d o n t f u t r e v ê t u a u f i e c l e d e r n i e r u n g r a n d *