
facs de la hyene, du taiffon, du rat mufqué, fe préparent
dans des follicules de cette efpece. Il y a ;
apparence que toute la peau eft pourvue de ces glandes
, quoiqu’elles foient invifibles, car toute la pëau
s’enduit d’une efpece de pommade toute femblable
à la liqueur des glandes'lébacées connues.
Il eu très-ordinaire aux glandes fébàcéës de produire
dés poils : céla n’arrive pas aux glandes mu-
queufes.
Les follicules fimples des deux claffes produifent,
en bien des endroits, des glandes compofées. Chaqué
follicule a fon conduit excrétoire particulier : .ces follicules
étant voifins l ’un de l’autre f leurs conduits fe
réunifient avant que de s’ouvrir dans la cavité qu’elles
font deftinées à arrofer, & forment un canal excrétoire
, quiléur eft commun à toutes. Il y à de ces
glandes de la claffe muqueufe dans lès inteftins, dans
l ’eftomac de l’autruche.
Il y a des glandes fébacéès compofées dans le vi-
fage ,. au nez, dans l’animal à civette.
Il y a des glandes qui;, fans avoir un conduit excrétoire
commun , font compofées de glandes fimples
qui ne font que voifines, & dont chaque follicule
a fon conduit particulier ; telles font les glandes
arytænoidiennès de Morgagni.
Une autre efpece de follicule, c’eft le finus, avec
les pores, qui y ont du rapport. Dans cette çlafle il
n’y a point de follicule vifible , mais un pore apparent
qui perce la peau. Il y a de ces pores dans la cloi-
fon du nez , dans lè larynx, & dans l’intèftinre&um.
Il y a des finus plus évidens encore dans l’ürethre
des deux fexes, à la racine de la langue, & dans la
cloifon du nez. Ce font des cavités longues & cylindriques,
formées par les membranes de la cavité j
dans laquelle ils s’ouvrent, & qui dépofent une mu-
cofité , fans que des follicules apparens y puifferit être
démontrés.
Les amygdales different des finus muqueux, en ce
qu’il y a des glandes manifeftes qui s’ouvrent dans
des cavités formées par des replis membraneux.
Les glandes fébacéès des paupieresont du rapport
aux finus muqueux : ce font de petits boyaux oblongs,
dans lefquels d’autres boyaux de la même nature dépofent
la pommade qu’ils ont féparée. •
Tous ces follicules & ces finus féparent une matière
vifqueufe. Elle ne paroît pas l’être à fanaiffance.
Dans le rhume les narines rendent une liqueur claire
au lieu du mucus : l’irritation empêche cette liqueur
de féjourner , & elle confërve fa limpidité primordiale.
Dans l’urethre l’irritation cauféè par une in-
jeftion â c re, ou par une prife de cantharides, pro-
. duit un écoulement clair & jaunâtre au lieu de la
mucofité que ces finus rendent dans l’état de la farité.
La deftination commune de ces follicules & de ces
finus, éft de conferver quelque tems la liqueur fluide,
que le fang y verfe, d’en procurer Tépaiflîffement,
& de fournir dans l’occafiônüne vifcofité plus abondante
pour enduire les mémbranes fenfibles d’une
cavité.
L’épaifliffement fe fait par la refôrption veinéufè ,
qui repompe la partie la plus aqueufe.
La liqueur eft retenue dans le finus ou dans le
follicule, par le petit diamètre de l’orifice, qui ne
paroît permettre la fortie,que lorfqu’une cômprëf-
lion vuide le follicule. Cette cômprefllon-eft lé plus
fouvent une irritation, & l’humeur vifqueufe eft
évacuée par une fage précaution de la nature, pfécr-
fément dans le tems que la caüfe irritante pourroit
blefier les parties fenfibles.- Saris la capacité plus àmpfé
du follicule * uri fimple vaiffeairhè fourniront :qu’ûri‘è
petite quantité de liqueur , deftmée à lirbrifiet cës
parties fenfibles.
3 Voilà à-peu-près ce que l’on corinoît de plus précis
fur .les follicules. Je ne crois pas que d’âiitrès
liqueurs foient préparées par cette efpece d’organes.
Il feroit même difficile que dans un réfervoir beaucoup
plus ample que fon canal de décharge, une
liqueur pût refter fluide.
C’eft la première des raifons qui s’offrent à l’ef-
prit contre le fyftêrfie de Malpighi. Cet illuftre aria-
tomifte avoit beaucoup travaillé fur les glandes fimples.
On s’attache ordinairement aux fujets dans lef-
quéls on excelle. Bientôt Malpighi trouva par-tout
des follicules.
Il regarda comme tels les petits grains des glandes
conglomérées ; il étendit cette hypothefe aux vifceres
, dont plufieurs ont des grains plus ou moins
marqués. Le foie, la' rate, les reins, le tefticule même
& le cerveau font com'pofcs , félon Malpighi, de
follicules, dont les canaux excrétoires réunis forment
les conduits biliaires , les conduits de l’urine,
les canaux excrétoires çles tefticules, les nerfs : la
rate feule a chez lui des glandes, fans avoir de canal,
qui en décharge la liqueur.
Ces grai ns font affez apparens dans le foie ( V. ci-dev.
F o ie ) , dans les reins ; dans le tefticule on apperçoit
dumoins.çles lobules : pour le cerveau, Malpighi ÔC
fes difçiples ont trouvé moyen d’y former des grains,
en le faifarit bouillir dans de l’huile.
Ces grains font, creux, continuoit Malpighi, on
les trouve remplis d’une humeur épanchée : c’eft
d’eux que fe forment les hydatides, les fquirrhes, les
tubercules arrondis & remplis de matière calcaire ,
fi communs dans ces vifceres. Littre crut avoir vu les
grains des reins, devenus vifiblespar l’épanchement
d’une matière endurcie ; il reconnut jufqu’au vaiffeau
particulier de chaque glande, & à fon conduit excrétoire.
Cette, hypothefe gagna toute l’Europe. Elle eut
pour défenfeurs de grands hommes. Boerrhaave lui-
même & Morgagni écrivirent pour venger la gloire
de Malpighi. La foule des favàns fuivit ces héros.
Edmond King paroît être le premier, qui dès l’an
1666 * enfeigna la ftrufture vafculaire des vifceres.
Ruyfch lui-même fut jufques à fa cinquantième année
dans l’opinion commune. Il reconnut les glandes
élémentaires des vifceres en 1691.
Néhémie Grew adopta le fentiment de King. Mais
cet excellent anatomifte fefouvint, & mieux même
que Ruyfch, du fécond élément du corps animal,
plus univerfel que les vaiffeaux même, je parle dû
tiffu cellulaire.
Peu-à-peu Ruyfch éleva fes idées. Sorti d’une
boutique d’apothicaire, ne jouiflant pas des avantages
que procurent lés belles-lettres, il n’eut pour lui
qu’un travail aflidu , & une propreté fans égale dans
fes préparations anatomiques., Je ne crois pa$ que
jamais mortel ait plus diflèqué & plus préparé que
Ruyfch. Il y employa au-de là de 70 ans & un
nombre incroyable de cadavres. Inftruit par Swam-
merdarii, il s’appliqua à l’injé&ion & à la conferva-
tion des parties’ du corps humain injectées, travail
à-peu-près nouveau , & que les Vefales & les Eufta-
chi n’avoient connu qu’infpatfaitemenr. ,
A force de, voir la nature, il apprit à la connoî-
tre. Il avoit irijeûé, macéré, préparé des vifce-
res.dèpnis quarante ans. Il n’y avoit jamais vu des
grains conftans ? l’injëéHon avoit 'très-fouvent paflo
des artere^ dans Jes. veines. Ces grains, qu’il avoft
regardés commè des glandes , s’étoient fondu dans
l’eau, & étoient devenus des paquets de vaiffeaujc ;
car Ruyfch paroît n’a vçir regarde le tiffu cellulaire
que comme une matière inutile, que l’anatomiftè
'étoit accoutumé à détruire.
Il éleva fa vôix en 1696, & répéta dans lés nom-
breüfes brochures qu’il .publia de tems en tems ,
que les Vifceres n’éioient qu’un tiflu‘dé vaiffeaux.
Il n’admit, qu’avec une efpece de regret, quelques
g lan d e s fim p le s , d o n t il ch an g e a riiêmé le r io r ii, &
n e v o u lu t les a p p e lle r q u e des grottes. I l p a ro ît a v o i r
v o u lu e x t irp e r le fô u v e n ir d e s g lan d e s q u ’il c om -
b a t to i t ; il v o u lu t d é tru ir e c e lle s m êm e d e s in te ft in s ,
f i v if ib le s & fi é v id en te s .
Il entra en liffe avec Boerrhaave. Ce grand homme
âvoit pour lui l’éloquencè, le favdir , l’ordre
dans le difcours, l’art fupérieur de rapprocher des
faits épars pour étayer une thefe, qu’uri feul de ces
faits auroit mal foutenue ; l’art enfin dé réunir des
probabilités, dont la fomme, grâces à fes foins, pa-
roiffoit certitude.
Ruyfch n’avoit pour lui que l’expérience, encore
propofoit-il mal ce qu’il enténdoit parfaitement bien ;
il répétoit ; il ennuyoit en difant la vérité.
Mal défendue, la vérité ne laiffa pas que de prévaloir.
Boerrhaave accufoitfon ami d’écrafer par fon
inje&ion les follicules des vifceres & de les faire dif-
paroître. Il ne fut pas difficile à Ruyfch de répondre
que fa cire colorée paffoit de l’artere dans le canal
«xcrétoire ; que dans la fuppofition de Malpighi le
follicule étoit entre l’artere & ce canal, que l’art
n’avoit par conféquent pas effacé les follicules, &
qu’au contraire il devoit être gonflé par la matière
ânjeôée, & acquérir un nouveau volume.
Les fquirrhes , les tubercules remplis de matières
pierreufes, les hydatides ne prouvoierit pas mieux
î ’hypothefe des follicules. Ils naiffent par-tout dans le
corps animal, fans qu’on puiffefoupçonner des glandes
dans les vifceres & dans les organes où il s’en trouve.
C ’eft let;ffucellulaire, dont les cellules fe remplif-
fent d’une mâtiere étrangère.,On a vu de ces tumeurs
'dans le placenta, dans la cornée -de l’oeil, daris le
fémur & dans les autres extrémités oùperfonne ne
foupçonne des glandes.
L’anatomie rapproche fon flambeau. On vit les
glandes des reins difparoître. Le tefticule fut évidemment
un tiflu de vaiffeaux-, formés en paquets
par la cellulofité. Il ne refta pas le moindre veftige
de^follicule dans la partie corticale du cerveau.
_ La théorie vint à l’appui de l’anatomie. On vit
bientôt que le retardement càufé par la ftruéfure folliculaire,
la rendroit abfolument incapable de fervir
à la fecrétion des liqueurs fluides & aqueufes,des
larmes , de la falive , de l’humeur tranfparente.
Les liqueurs pouffées avec art dans les artères, exhalèrent
fans rencontre de follicule. La liqueur du péricarde
, celle de la pleure, du bas-ventre, des ventricules
du cerveau, les larmes même furent imitées
par des înjeôions aqueufes, qui pafferent fans peine
dans les cavités, que remplit dans l’animal une liqueur
fluide.
Les hommes errent fouvent, mais ils font nés pour
la vérité ; ilsTadorent dès qu’elle leur eft préfqntée
dans fa pureté. L’Europe entière abandonna l’hypo-
lhefe défendüe par le favôir, & embraffa la vérité
que lè bon-fenslui offroit fans orneméns. ( H. D . G. )
§ FOMAHANT, ( Afiron.') étoile de la première
grandeur, fituée à la bouche du poiffon auftral. He-
velius écrit fomahandt ; Flamtteed,fomalhàut; Ty-
cho ,fomahant ; M. Hyde, pham-al-hût ; Schikardus
l ’appelle fomolcuti. Ces variations font ordinaires
pour les noms Arabes que l’on écrit en cara&eres
Européens. (M .d e l a La n d e . )
FONCTION, f. f. ( Grciinm. ) c’eft l’aÉfion de l’agent
qui fait la chofe à laquelle il eft deftiné ou obligé.
Cet eftomac fait bien fes fonctions, il digéré
bien. C’eft un homme qui fait bien fes fonctions, qui
boit, qui mange , qui dort bien.
Fonctionne dit figuréinent en chofes morales * en Parlant des aû es, des devoirs, des occupations où
on eft engagé. C’eft un magiftrat qui fait bien toutes
les fonctions de fa charge. Quand urt baillif eft interdit,
c’eft fon lieutenant qui fait fa fonction,
Tome III,
Fonction l i g n i f i e a u f l i t i n e f im p l e c o m m i f l iô n o é
o r d r e q u ’o n e x é c u t e . C e f e r g e n t a v o i t o r d r e d e f a i *
f i r e n c e t t e m a i f o n ; d è s q u ’i l e u t f a i t f a fonction, i l fe
r e t i r a . ( + )
§ F O N D A M É N T A L - , ( Mufîqf) I I m e f e m b l é q u e
l a m a r q u e d i f t i n û i v e d ’ u n a c c o r d fondamental, c ’ e f t
q u o n n y p u i f f e f u b f t i t u e r a u c u n f o n à u n a u t r e fa n s
c h a n g e r l ’h a rm o n i e & l a m a r c h e n a t u r e l le d e l à b a f f e ;
c a r f i l ’o n p e u t c h a n g e r u n f e u l t o n f a n s q u e l ’h a rm o n
i e & fa m a r c h e c h a n g e n t , l e t o n q u i é t o i t à la p l a c é
d e c e lu i q u ’o n a fu b f t i t u é n ’a p p a r t e n o i t p a s a b f o l u m
e n t à l ’a c c o r d q u i p a r c o n f é q u e n t n ’ é t o i t fondamental.
N o u s V e r r o n s à l ’article Système la r a i fo r t
d e C e t t e r em a r q u e . ( F.. D .C .)
* § F O N D A T I O N , .... fe dit figurément du corn*
. thencement d'une ville, d'un empire.,.. Les chronologues
comptent jjo , ans depuis la fortie d'Egypte jufquà là
f o n d a t i o n de Rome. C e c a l c u l n e s ’ a c c o r d e p o i n t a v e c
l à c h r o n o l o g i e d ’ U f f e r i u s , q u ’ o n f a i t p r o f e f l î o n d é
f u i y r e d a n s l e Dici. raif. des Sciences , & c . ; c a r Ü f -
f e r i u s n e c ô r i ip t e d e p u i s la f o r t i e d ’E g y p t e ju f q u ’ à l à
fondation d e R o m e , q u e 7 4 3 a n s . Lettres fur l'Ency*
clopedie.
F O N D E M E N T , ( Mufiq. ) I l n ’y a p a s b i e n lo r ig -
t em s q u ’o n n o m m o i t fondement l a b a f f e - c o n t i n u e : i l
e x i f t e e n c o r e d e s p i è c e s I t a l i e n n e s g r a v é e s o ù l ’o n
t r o u v e fondaménto a u l i e u d e B . C . ( F. D. C. )
§ F Q N D I , ( Géogr. ) p e t i t e v i l l e f i t u é e à t r ô i s
l i e u e s d e T e r r a c i n e ( & n o n à c i n q , c o m m e l e d i t l e
Dicl. raif. des Sciences, & c . ) , f u r l a v o i e A p p i e n n e >
q u i e n f o rm e e l l e -m êm e l a p r i n c ip a l e r u e . C ’é t o i t
a u t r e f o i s u n e d e s v i l l e s d e s A r u n c i , p e u p l e s d u L a t
iu m ( & n o n d e L a t i u m . ) S t r a b o n , P l in e , M a r t ia l^
f o n t u n g r a n d é l o g e d e s v i n s d e Fondi.
Hcec Fundana tulït felix autùmnïis opinii,
ExpreJJitmülfum confùl & ipfe bibet.
C e s v in s f o n t e n c o r e e f t im é s a c t u e l l em e n t .
F e r d i n a n d , r o i d ’ A r a g o n , d o n n a , c e t t e v i l l e à
P r o f p e r C o l o n n e , g r a n d g é n é r a l d e f o n t em s ; m a is
e l l e f u t p r e f q u e r u i n é e e n 1 5 3 4 p a r l e s T u r c s , q u i
v o u l o i e n t e n l e v e r J u l i e d e G o n z a g u e , ë p o u f e d u
c o m t e d e Fondi, l a p lu s b e l l e f e m m e d e f o n t e i n s .
P o u r s ’ e n v e n g e r , B a r b e r o u f f e p i l l a l a v i l l e , r e n v e r *
f a l a c a t h é d r a l e ,& f i t e f c l a v e s b e a u c o u p d ’h a b i t a n s .
I l d é t r u i f i t l e s t o m b e a u x d e s C o l o n n e , m a is o n l e s à
r é t a b l i s d e p u i s .
O n v a v o i r à Fondi la c h a m b r e q n ’h a b i t o i t f a i l l i
T h o m a s - d ’ A q u i n , & l ’ a u d i t o i r e o ù i l e n f e r g n o i t l a
t h é o l o g i e , q u i f o n t l ’ u n & l ’ a u t r e e n g r a n d e v é n é r a t
i o n c h e z l e s d o m in i c a in s .
L e l a c d e Fondi e f t t r è s - p o i f f o n r i e u x , m a i s i l r e n d
l ’a i r d e l a v i l l e m a l - f a in : l e s e n v i r o n s a b o n d e n t e n
o r a n g e r s , c i t r o n i e r s , c y p r è s ; V i a - C a f t i l l o , p è ü
é l o i g n é , e f t l a p a t r i e d e l ’ e m p e r e u r G a l b a . ( C \ )
* § F O N D S B A P T I S M A U X , . . . . D a n s c e t a r t i c î é ,
a u l i e u d e Poffevin, l i f e z Pafcafin.
F O N T A I N E , f . f.fons, tis-, ( terme de Rj.afoii. ) ré*
p r é f e n t a t i o n d ’ u n t fontaine q u e l ’ o n v o i t e n q u e l q u e s
a rm o i r i e s .
O n n o m m e fontaines jailliffariies c e l l e s q u i o n t
d e s t u y a u x , g e r b e s & c h û t e s d ’ e a u .
Fontaine d e C r a m a y e l l e à P a r i s ; d'argent aune fo r t*
t a in e de fable à uti tuyau d'eau à deux chûtes definoplè»
( G. D. L T . )
$ Fontaines (origine des), Phÿf. D a n s c e t ai1*
t i c l e d u Dicl. raif. des Sciences, & c . o n f a i t d i r e a i t
P . R i c e i o l i q ü e le P ô f o u r n i t e n u n e h e u r e i o o m i l l é
p e r c h e s . . . . I l y a u r t z é r o d e t r o p j i l d i t f e u l e m e n t
i o ' m i l l e . (C.)
* § F O R de Béarn . . . ; H e n r i d ’ À i b ë r t î f
d u n o t t t , r o i d e N a v a r r e , . . . l i f e z Henri d'Atbrei. Lit3,
très fur fEncÿclopèdiét
M l