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refpe&ifs des citoyens, exigeroit qu’on écartât toutes
les occ^afions qui pourroient faciliter cette tromperie ;
mais eft-il permis dans cette fuppofition d’emprifon-
rier une femme qui n’a rien à fe reprocher? & eft-on
en droit d’aggraver les infirmités de fa grojfejfe , par
les défagrémens d’une vie folitaire, ou par la douleur
de fe voir foupçonnée & obfervée de fi près ?.I1
réfulteroit de moindres inconvéniens de l’inobfer-
vation de ces réglés, qu’il n’en réfulteroit de la pré-'
caution pouffée fi loin. Ces cas fur lefquelson a peine
à ftatuer, font aflez rares, j’ajoute même qu’il faut
un concours de circonftances très-fingulieres pour
les produire.
Le principal & le plus fur des lignes dz grojfejfe
eft le mouvement de l’enfant dans le fein de fa mere ;
mouvement dont on peut s’affurerpàr le toucher,
& qu’on apperçoit quelquefois par la vue. Ce mouvement
qui fe fait fentir lorfqu’on applique la main
fur le ventre , fur-tout fi elle eft froide, ne peut être
exécutée que par un corps vivant ; & quoiqu’il y ait
des flatuofités ou des borborygme* qui imitent par
leurs déplacemens ces mouvemens intérieurs, il eft
aifé de diftinguer les uns des autres par l’habitude.
Ce ligne manque malheureufement dans les premiers
mois de la grojfejfe, lorfque le foetus n’a pas acquis
aflez de force, &c quelquefois même on a peine à le
reconnoître<vers les derniers mois, lorfque le foetus
eft foible, exténué ou infenfible par différentes cau-
fes. « Dans quelques femmes, les mouvemens de
» l’enfant font fenfibles dès le terme de deux mois ;
» mais dans le plus grand nombre * c’eft à quatre
» mois & demi : il y a des femmes dans lefquelles
» il ne fe meut bien fenfiblement qu’à lix cm- fept
» mois, comme dans les femmes hydropiquès, dans
» celles qui font extrêmement groffes fans être ven-
» trues, ou qui portent plufieurs enfans fi ferrés l’un
» contre l’autre, qu’ils ri’ont pas aflez d’efpace pour
» fe remuer. Les matrices fquirreufes en quelques
» endroits, rendent auflï peu lenfibles pendant long-
» tems, les mouvemens de l’enfant » ( Puzos, Traité
des açcouck. ).
La main trempée dans l’eau froide & -appliquée
tout de fuite fur La région de l’utérus, eft un moyen
aflez fur pour exciter ces mouvemens ; mais il faut
obferver que leur abfence ne prouve rien contre la
grojfejfe. V . / ?
Quelques-uns ont regardé la faillie du nombril
comme particulière à la grojfeffe, tandis qu’ils ont
fuppofé que dans toutes les tumeurs du bas-ventre
qui dépendoient d’une caufe différente, le nombril
étoit enfoncé & comme bridé en-dedans ; niais on a
vu des afeites dans lefquelles le nombril étoit aufli
faillant'que dans la grojfeffe ; l’une & l’autre font
fou vent compliquées & le trouvent à la fois dans le
même fujet, comme le prouvent les obfervations ;
& d’ailleurs ce ligne, tiré de la faillie du nombril, ne
peut avoir lieu que lorfque le volume du foetus eft
aflez confidérable pour foulever la partie moyenne
de l’abdomen ; ce qui n’ârrive qu’à la fin du troifieme
mois.
Un troifieme ligne regardé comme très-pofitif,
eft celui dont parle Hippocrate dans fes aphorifmes;
quoe utero gérant , his uteri os connivet. Ce refferre-
ment de l’orifice de la matrice a l’avantage de pa-
roître vers les premiers tems de la grojfejfe, & peut
fuppléer en partie aux autres: mais il n’eft pas toujours
l’effet de la conception, il peut dépendre de
plufieurs maladies de la matrice, & quelquefois
même on voit cet orifice defeendu & incliné en-
arriere, tandis que l’utérus eft lui même porté en-
avant par plufieurs maladies qui lui font particulières.
Le meilleur moyen de s’affurer fi cette cônftriôion
dépend de la grojfejfe, confifte à écarter tout foupçon
de maladie locale dans cet organe, à porter les doigts .
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fur l’orifice, le repouffer légèrement en-haut & en-
arriere, & voir fi, lorfque la femme eft droite, l’utérus
fait fentir un poids plus confidérable que de coutume
; il faut encore obferver fi l’orifice, quoique
fermé, ne préfente pas une dureté trop confidérable :
car dans les groffejfes la folidité de cette partie eft
moindre que dans l’état fain, ou dans la plupart des
maladies de l’utérus.
Le toucher dont on ufe quelquefois pour s’affurer
de l’état de cet orifice, eft fans doute l’un des meilleurs
moyens pour indiquer la grojfejfe : on fait qu’à
mefure qu’elle s’avance, le cou de la matrice qui auparavant
faifoit une faillie aflez confidérable dans le
vagin, diminue en longueur, s’applatit, s’efface enfin
; les parois de ce cou auparavant épaiffes, s’amin-
ciffent & deviennent prefque membraneufes ; la longueur
du vagin diminue aufli relativement, & l’orifice
de l’utérus fe trouve plus rapproché des parties
externes. Ces changemens s’opèrent par fuccefîion
de tems , de façon néanmoins que ce n’eft que vers
les derniers mois de la grojfejfe qu’on les apperçoit à
un certain dégré, & c’eft par le degré des changemens
qu’on juge de la proximité de l’accouchement. Dans
les premiers mois de la grojfejfe, ces lignes font moins
évidens, l’applatiffement n’eft pas fenfible , l’épaif*
feur des parois eft la même, mais le cou eft plus près
des parties extérieures & l’orifice plus refferré. Il
femble que par ces deux derniers lignes,-on auroit
une reffource aflez complette contre l’incertitude ;
mais les variétés de conformation de ces parties ne
laiffent aucune réglé confiante par laquelle on puiffe
juger des proportions. Le cou de l’utérus eft fitué
très-bas fur certaines femmes ou filles ; dans d’autres,
il eft fi éloigné de l’orifice extérieur qu’on a peine à
l’atteindre par les moyens ordinaires ; fon orifice eft
fujet aux mêmes variétés quant au diamètre, & l’on
ne peut fans imprudence rien ftatuer fur ces deux
lignes, fur-tout fi pour les reconnoître au moyen du
taft, on s’eft borné à porter les doigts dans le vagin,
comme l’ont recommandé prefque tous les auteurs
de médecine légale.
M. Puzos, célébré accoucheur , ajoutoit à ce
moyen du fimple toucher, la circonftance de porter
une main fur la région hypogaftrique, tandis que
l’extrémité des doigts de l’autre main portoit contre
la pointe de la matrice : en preffant alternativement
le bas-ventre & repouffant l’utérus, il voyoit fi la
preflion ou le mouvement fe communiquoit d’une
main à l’autre ; & lorfqu’il y parvenoit, il en con-
cluoit avec raifon que le volume de ce vifeere étoit
augmenté au point de le foumettre à la preflion
exercée fur les tégumens de l’abdomen ; ce qui n’arrive
point dans la vraie fituation de la matrice hors
l’état de grojfeffe. II eft vrai que les hydatides, les
moles, les hydropifies ou les épanchemens quelconques
propres à la matrice , peuvent produire la
même dilatation que là grojfejfe , & tranfmettre également
la preflion d’une main à l’autre; aufli n’ofe-J
rois-je point âffurer l’infaillibilité de ce nouveau
moyen pour diftinguer de quelle nature eft la caufe
qui dilate la matrice. Ce moyen ne peut être employé
avec fruit que vers le troifieme mois de la
grojfejfe ou environ, lofrfque le volume de la matrice
'augmente au point de fortir du petit baflin & de,déborder
les os pubis.
La bizarrerie des variétés individuelles rend encore
utile là connoiffance des détails qui ont fuivi les
grojfejfes antérieures. On a vu des femmes qui parvenues
vers le troifieme ou le quatrième mois de leur
grojfejfe, éprouvoient- des pertes habituelles .& très-
confidérables; le ventre, dont le volume s’étoit accru
, s’affâiffoit prefque tout-à-coup. L’abfence des
mouvemens, le défaut d’élévation dans l’abdomen,
& la continuation de l’hémorrhagie paroiffoient
annoncer
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annoncer'ttne fauffe grojfeffe, on même détruifoieht
tous les préjugés qu’on avoit conçus auparavant
d’une fécondation : il ne reftoit que les lignes vagues
pris de l’état habituel &c comparés: à ceux
que ces femmes avoient éprouvés dans les grojfejfes
précédentes, & ces fignes trop peu pofitifs pour
détruire les autres, étoient négligés. Malgré tant
de préemptions contre la grojfejfe , on voyoit
fuccéder des avortemens à l’exhibition de certains
médicamens énergiques, oii à la feule continuation
de l’hémorrhagie.
J’afliftai à l’ouverture du cadavre d’une fille d’environ
vingt ans, qu’on difoit morte d’une fuppreflion
de réglés. La matrice qui étoit fort ramollie & gorgée
de fang, avoit à-peu-près le volume des deux poings,
& je vis des taches noirâtres fur la furface ' qui -furent
prifes d’abord pour des points gangreneux ou
fphacèlés. J’eus la curiofité d’examiner ce vifeere de
plus près, & de juftifîer quelques foupçons que
j’avois conçus fur le feul expofé qu’on m’avoit fait
de la maladie & du traitement.
J’emportai la matrice avec les appartenances; & '
je me convainquis que les taches brunes n’étoient
que des caillots de fang extravàfés dans ^tiffu.
Ayant fait une incifion fur fon corps, j’apperçus un
foetus d’environ trois travers de doigt de longueur,
très-bien formé, contenu dans fes membranes, &
nageant dans la liqueur ordinaire, fans qu’aùcune de
fes parties préfentât la moindre marque de putridité.
Les eaux étoient au contraire très-limpides, &c je ne
vis rien dans l’utérus qui m’annonçât un état extraordinaire.
C’eft aufli par la variété de conformation qu’il
faut expliquer pourquoi l’on a peine à découvrir des
fignes fenfibles de grojfejfe dans certaines femmes
même vers le quatrième ou le cinquième mois &
^au-delà. Outre que l’embonpoint exceffif de quelques
unes peut marquer l’enflure qui eft due à la
grojfejfe pendant les premiers tems, & porter ob-
ftacle aux obfervations qui dépendent du taft fur
les différentes régions de l’abdomen, on trouve encore
des femmes dont les baffins font figurés de maniéré
à contenir la matrice déjà beaucoup dilatée,
fans qu’elle s’élevè au-deffus du pubis.
L’enflure du ventre dépend quelquefois de diffé*
rentes caufes étrangères à la grojfeffe : l’une des principales
eft Ja fuppreflion des réglés qui, enfoulèvant
fuçceflivement l’abdomén, imité aflez bien l’élévation
que produit la préfence d’un enfant. Un peu
d’attention néanmoins fait appercevoir que cette enflure
eft accompagnée de fymptômes, de cachexie,
comme là pâleur, la fievre lente, l’édeme ; à mefure
que la groffeur s’accroît, elle fe répand dans toute la
partie inférieure de l’abdomen, altéré les fondions
des différens vifeeres l’on diftingue fouvent pendant
ces maladies, des tems marqués & correfpon-
dans à-peu-près au retour des réglés, durant lefquels
les fymptômes paroiffent s’accroître ou s’envenimén
Si la tumeur eft édémateufe & dépend des .férofités
épanchées , on fent une fluduation ; l’impreffîon du
doigt fe conferve fur la partie qu’on a preflèe, & l’on
ne trouve qu’une molleffe bien différente de la réfi*
fiance qu’oppofe la matrice. La tympanite ou les
vents offrent encore une réfiftance & une élafticité
qui ne font pas .naturelles ; on entend un fon aflez
reffemblant à celui d’un tambour* en frappant fur la
tumeur. Les fquirrhes de l’utérus parvenus âu point
de foalever le ventre & d’imiter la grojfeffe,; font
f entir Une dUreté qui ne fe trouve jamais dans les
•foetus. Ces tumeurs font circonfcrites , uniformes.*
& pour l’ordinaire cantonnées dans l’un ou l’autre
côté du bas-ventre. L’enfant, au contraire, caufe
des inégalités aflez fenfibles ; lorfqu’il a reçu un certain
degré d’accroiffement : il fe porte pour l’ordi-
Tome I l f
G R O *73
n a i f é ’ v e r s l ’ u n & l ’a u t r e c ô t é t o u t - à - l a - f o i s , <k l ’o i i
p e u t , p a r l e t a f t m ê m e à t r a v e r s l e s t é g u m e n s Si là
m a t r i c e , f e n t i r c e s in é g a l i t é s q u e f o rm e n t q u e lq u e s -
u n s d e f e s m em b r e s .
L e g o n f l em e n t d u f e in q u i f u i t l ’e n f lu r e d u v e n t r e ;
l a f u p p r e f l i o n d e s r é g l é s , fa n s q u ’ i l p a r o i f f e d ’ a i l l e u r s
a u c u n in d i c e d ’ h y d r o p i f i e , d ’ é d e m e , &c. p r o u v e n t
a f l e z c l a i r em e n t l ’ é t a t d e grojfejfe, f u r - t o u t s ’i l e f t
f u i v i d e la f o rm a t i o n d u l a i t ; m a is c e g o n f l em e n t p r i s
f é p a r é m e n t p e u t a u f l i d é p e n d r e d e la f e u l e f u p p r e f -
f io n d è s r é g l é s fa n s c o n c e p t i o n p r é c é d e n t e . L a c o r -
r e f p o n d a n c e d e s m a m e l l e s a v e c P u t é r u s , q u i e f t
l ’u n e d e s m i e u x p r o u v é e s d e l ’ é c o n o m i e a n im a l e ,
m e t c e s p a r t i e s , e n é t a t d e f e f u p p l é e r l ’ u n e p a r
l ’ a u t r e . L a c o u l e u r l i v id e d è s m a m e lo n s r e g a r d é e e n c
o r e c o m m e u n l i g n e d e p lu s p o u r in d iq u e r l a grof-
fejfe, t i e n t a u x m ê m e s v a r i é t é s & f u b i t l a m ê m e l o i .
L e f e u l c o u r s d u fa n g v e r s l e s m a m e l l e s , l o r f q u e la
v o i e d e P u t é r u s lu i e f t i n t e r d i t e , e x p l iq u e t r è s - n a t u r
e l l e m e n t t o u t e s c e s a n o m a l i e s ;
I l f e r o i t p o f l îb l e d e s ’ a f f u r e r d e P e x i f t e n c e d e l à .
F # / » p a r l e s f i g n e s d o n t j ’a i p a r l é , & l ’o n p o ù r r o i t .
f e f l a t t e r d e d i f t in g u e r l e s m a l a d i e s q u i o p è r e n t d e s .
c h a n g em e n s à -p e u -p r è s f e m b l a b l e s , f i c e s d i f f é r e n s
é t a t s é t o i e n t t o u j o u r s d i f t i n û s o u i f o l é s ; m a i s i l s f e
c o m p l iq u e n t f o u v e n t ; & m a l g r é le s o b f e r v a t i o n s l e s
p lu s f c r u p u l e u f e s , o n e f t e n c o r e f a n s r e f f o u r c e G o n t r e
c e s c o m p l i c a t i o n s . L a grojfeffe p e u t ê t r e a c c o m p a g n é e
d ’é d e m e , d ’h y d r o p i f i e , d e f i e v r e l e n t e ; i l p e u t y
a v o i r d e s f q u i r r h e s , d e s m o l e s , d e s f a u x g e r m e s ,
d e s h y d a t id e s d a n s u n e m a t r i c e q u i c o n t i e n t u n e n f
a n t . C e s m a l a d i e s p e u v e n t a u g m e n t e r e n m êm e s
p r o p o r t i o n q u e l e v o l u m e d e l ’ e n f a n t , l e s f y m p t ô m
e s q u i l e s ' a n n o n c e n t p e u v e n t m a f q u e r l e s v r a i s
f ig n e s d e la grojfejfe ; & q u o iq u ’ o n n e v o i e p a s d e S
p r e u v e s f e n f ib l e s d e P e x i f t e n c e d’ u n e n f a n t , o n f e r o i t
im p r u d e n t d e d é c id e r q u ’ i l n ’ y e n a p o in t .
O n a b e a u c o u p p lu s d e f a c i l i t é à d é c id e r l a grof-
fejfe d ’u n e f e m m e q u i n o u r r i t , f i a u x a u t r e s f ig n e s f e
j o i g n e n t la d im in u t i o n d u l a i t , f o n a q u o f i t é , l e c h a n g
em e n t d e f à c o u l e u r & d e f e s - q u a l i t é s , l ’a f f a i f f e -
m e n t o u l’ e x t é n u a t i o n d e s m a m e l l e s , &c.
11 e f t in u t i l e d ’ e n t r e p r e n d r e la r é f u t a t io n - d e p l u -
f i e u r s a u t r e s f i g n e s f o u r n i s p a r l e s a u t e u r s , c o m m e
l a d i f f é r e n t e c o u l e u r d u f a n g o u d e s u r i n e s , l e s
t a c h e s d u v i f a g e , l ’ e n f lu r e d e s p a i r i e s in f é r i e u r e s , l a
c o u l e u r d e l a p e a u , la g r o f f e u r d e s v e i n e s é p i g a f t r i -
q u e s , l a v o r a c i t é , &c:.{Cetarticle ejlde M. l a F o s s e ;
docteur en Médecine de la Faculté de Montpellier. )
GROTTE d e s F é e s , ( Hijloire naturelle. ) Grotte
des Fées dans le Chablois, fituéè dans des rochers
affreux , au milieu d’une forêt d’épines, à deux petites
lieues de Ripaille ; dans la paroiffe de Féterne;
Ce font trois grottes en voûte l’une fur l’autre , taillées
à pic par la nature, dans un roc inabordable. On
ri’y peut monter que par une échelle. Chacune à fort
fond dans un baflin, dont l’eau paffe pour avoir les
mêmes, vertus que celle de Sainte-Reine.
L ’ e a u q u i d i f t i l l e d a n s l a f i l p é r i e u r e à t r a v e r s les.
r o c h e r ^ y a f o rm é d a n s l a v o û t e la f ig u r e d ’ u n e p o u le :
q u i c o u v e d e s p o u f l in s . A u p r è s d e c e t t e p o u l e
e f t u n e a u t r e c o n c r é t i o n , q u i r e f f e m b l e p a r f a i t e m
e n t à u n m o r c e a u d e l a r d a v e c f a c o u e n n e , d e
f a l o n g u e u r d e p r è s d e t r o i s p ie d s .. O n y t r o u v e : en-^
d o r e d e s f ig u r e s d e p r a l i n é ; à c ô t e , là f o rm e d ’u n
r o u e t o u t o u r . à f i l e r à la q u e n o u i l l e . P lu s l o in , l e s
c o n c r é t i o n s f t a l à f t iq u e s a v o i e n t d e f î in é u n é . f i g u r e
in f o rm e d e f e m m e q u ’o n n ’ y .V o it p lu s : d e - ià l a Grotte
des Fées.Quejl. Ehcÿcl. ÎV* partie,p. 142.1 7 7 1 . ( G )
* § G r o t t e d u C h i e n . . . . ; . ..Jcaveme au
royaume.de Naples .. . . . File êfl au pie'd de là montagne
àppelléè de nos jours la.Solfatara ; l i f e z là. Sol-
fatara. Les anciens. Pont nommé (nommée) Spiracula
& S croies Çfiaronice. P Une en fait mentionliv. I l *
hlirç