
1 6 6 BER BER
Leur mamirS de vivre. Leur caraSere. Origine qu’as s'ar-
"^SiUbtns, ces peuples habitent le montMatagaraX iS6. i.
BÉRÉCLNTHE T Myth. ) la mere des dieux. Ongine de
ce nom. Son culte dura, dans les Gaules, jufqu’au quatrième
üecle. Comment onia promenoit dans les champs. 11. M i»
BÉRiciKTHE, ( Glogr. ) deux montagnes de ee nom. L une
Bêranger de Tours le - ^ f i e c l e . B
hé?èfieTpaffi.ee de Guimond, où il expofeafes fennmeffi
i t e v a r S des Berçngariens fur l'Euchanfce. Ces hérè-
tiaues étoient en fort petit nombre. 11. 207. o.
BÉRENGER, archidiacre d’Angers, qui attaqua la prê-
fence réelle. 132.4, b. Conférence entre cet eccléfiaftique
& d’autres théologiens. Suppl. 11. 53. b.
Bérenger, empereur,concurrent d Arnoul.Sapj^. 1.564.4,*.
BÉRENGER, ( Pierre) fa patrie, fes ouvrages. X1L «92. *.
Suppl- IV. 467. b. m- - 4
Bérenger de Carpi, {Jacques) anatomifte. Suppl. 1. 394.
a. Sippl. IV. 348. b. , « -i 1 tr
BÉRÉNICE-, ( Hift. i ’É&ptc) fceurde Ptolomée-Ever-
«ete femme d’Antiochus fumommé Dieu. Sort malheureux
qu elle éprouva de la part de Laodice, première femme
de ce roi. Suppl. I. 880. b. g
Bérénice, femme de Ptolomée-Evergete. Hiftoire de fa
chevelure, dont Conon de Samos , aftronome, fit une con-
fteüation. Poëme fur ce fujet. Mort cruelle que lui fit endurer
fon fils. Suppl. I. 881. a. ^
B é r é n ic e , nile de Ptolomée-Aulete.Hifioire de fon regne.
Sa mort. Suppl.l. 881. a. . TTT .
BÉRÉNICE, chevelure de ( Ajlron. ) conftellation. 111. 316. p.
BERG, comptoir que quelques villes d’Allemagne ont à
Bere. III. Ç47* * ». , r c.\. •
BERGAME, groffe tapifferie. Matières dont elle le tabri-
quc. Origine du nom qu’elle porte.-Diverfes qualités qu on
en tire de Rouen & d’Eibeuf. Hauteur de ces tapiffenes.
Marchands qui en font commerce. Bergame qui vient de
.Tournay. U . 208. a. . . „
B e r g am e , ( Géogr. ) ville d’Italie. Ses révolutions. Hommes
célébrés de cette ville. Son commerce. Caraftere des
habitans. Bergame eft connue par les rôles d’arleqnin. Suppl
I- 881. b. I j . | § H
BERGAMOTTES, (Jardin.) ongine de 1 oranger de ce
■ nom.II. 208. a. .. . . . .
BERGEMOLETTE, village du Piémont: détails hiftori
ques fur une avalanche, qui en 1755, enfevelit plufieurs
maifons dans ce lieu. IX. 308. b.
BERGER, devoirs & fondions dun berger. 11. 20». b.
Berger, lieu où fe tiennent les bergers , lorfque les mou
tons parquent. XI. 926. a. Malverfations des bergers, par
rapport aux laines. XVI. 717. g Chanfon des bergers de
l’ancienne Grece. II. 458. a. . . _
B erger , muficien de Grenoble. Voyc[ les articles C rescendo
& Epinette.
B erger, (/. Gode froide ) anatomilte. Suppl. 1.402. a.
BERGERAT , maître écrivain. IX. 908. b.
BERGERES, (Menuiferie) vol.VII des planch. Menuife-
rie en meubles : planch. 6 ,7. & vol.* IX des planch. Tapifiier
^ B E R G E R IE , différence entre la bergerie & l’étable. Con
ftruftion des bergeries. II. 208. b.
Bergerie, fituation & conftruttion dune bergerie. AVI
716. b. 7X7. a. Aire d’une bergerie. I. 238. b.
BERGERIES , ( Belles-lettr.) pièces de poéfie & de mufi-
que d’un goût champêtre. Obfervations fur les bergeries de
Racan. Moyens par lefquels le genre paftoral peut devenir
touchant. Pourquoi il ne peut être que foiblement comique.
Suppl. I. 881. b. Le paftoral qui n’eft point pathétique ne fe
peut foutenir qu’autant qu’il eft gracieux & riant, ou d’une
aménité touchante; mais fafoiblefTe alors ne comporte pas
une longue aétion. — De l’ufage des choeurs dans la paltorale.
Ibid. 882.a.________ _ I
BERGERONETTE, ( Omith. ) defcnpnon de deux efpe-
ces debergeronettes. H. 208. b. Nids & pontes de cet oifeau.
Ibid. 209. a.
BERGHEM, (Nicolas) peintre payfagifte. V. 324. a,b.
BER&HEN, en Norwege : maifon dans cette ville, qui
fervoit de comptoir aux villes anféatiques. XL 692. a.
Berghen, perte que firent les François, dans les vergers
de Berghen. Suppl.1. 620. a,b.
BERGIER, {Nicolas ) obfervations fur ce favant & fes
ouvragés. XlV. 246. atb.
BEKGIUS , ( Pierre-Jean) phyfiologifte. Suppl. IV. 364. b.
BERGOPZOOM, lignes de contr’approcnes au fiege de
cette ville. IV. 129* pi •
BERGVISCH j (Ichthy. ) poiffon ainfi uonjmé par les Hollandois.
Sa defeription £f. fes moeurs. Il paroît être une efpetfè
■de lump. Qualité de la chair. Suppl. 1.882. a. Lieux ou on
le pêche. Obfervations fur ce que Linnæus en a écrit. Ibid. b.
BERGUSIE , ( Géogr. ) ville de l’Efpagne Tarragonoife.
Autres villes de ce nom dans la Gaule Narbonnoife. C’eft
ijourd’hui Bourgoin. Suppl. I. 882. b.
BÉRIGARD, ( Claude ) hiftoiré de ce philofophe. VIII.
to. a , b. Obfervations fur fes ouvrages. Ibid. b. & X. 818. a.
BERÏL , ou aigue-marine , ( Hift. nat.) pierre précieufe ,
de couleur d’eau de mer. Les anciens en diftinguoient plusieurs
fortes. II. 209. a. Maniéré de la contrefaire. Ibid. b. Voy.
A igue-marine.
BERKLEY, (George) fes argumens contre l’exiftence des
corps. IV. 261. b. VI. 260. a. 267. a. XVII. 184.*. Vinaigre de
Berkley. VII. 751. a.
BERLIN. Académie royale des*fciences & belles-lettres ,
fondée à Berlin. I. 53. b. Bibliothèque de Berlin. II. 234. b.
BERLINE, voiture de la nature des carroftes. Étymologie
de ce mot. Defeription de cette voiture. Elle eft très-commode
en voyage. 11. 209. b.
Berlines repréfentées, vol. VII. des planch. Menuiferie en
voitures, pl. 1 — 8. & vol. IX. des planch. Sellier-carroffier,
pl. 4 - 7. ‘
BERME , ( Fortifient. ) efpace large de quatre à cinq pieds, ■
entre le pied du rempart & le côté du foffé. Son ufage. II.
20a. b. Comment on fortifie la berme. Ibid. b.
Berme 011 relais, ( Hydraul. ) IIL xvj.
BERMÉENS , habitans du village de Bermé, en Égypte.
Leur induftrie dans l’art de faire éclorre les oeufs de poule ,
par la chaleur des fours. X1Q. 200. b , &c.
BERMINE, rayons à la , ( Orfévr.) XIII. 836. b.
BERMUDE I , ( Hift. iTEJpagne ) roi d’Oviedo & de
Léon. Précis de fon regne. Suppl. l. 882. b. Voy. A lp h o n s e II,
dit l e C h a s te .
B ermude I I , fumommé le Goutteux, roi de Léon &
d’Oviedo. Précis de fon regne. Suppl. I. 882. b.
Bermude III, fils & fuccefleur d’AlphonfeV. Abrégé de
fon regne. Suppl. I. 883. a.
BERNACLE, ( Conchyl. ) coquillage , dont la coquille
eft compofée de cinq pièces. On y peut diiHnguer le pédi-?
cule , la coquille & l’animal qui l’habite. Defeription de ces
trois parties. II. 210. a. M. Néedham foupçonne que les
bernacles fe multiplient comme les polypes. Autre efpcce
de bernacles, plus petite que la précédente. Analogie entre
ces coquillages & les animalcules à roues de Leuwenhock',
& les polypes à pennache de M. Trembley. Pourquoi le
bernacle a été appellé concha anatifera. Ibid. b.
Bernacle , voyez CONQUE ANATIFERE.
BERNARD, ( Saint ) ' obfervations fur ce pere de l’églife ,
& fur fes ouvrages. XII. 348. a. Autorité dont il jouiiToit.
Suppl. H. 753.4.
Bern ard, (Édouard) favant critique & aftronome. XVL
300. a , b.
Bernard , ( Catherine) obfervations. fur fes ouvrages. XIV.
396. b.
B ernard de Circa. Colleâion des décrétâtes, faite par cet
évêqufe. IV. 718. a , b.
B ernard , ( Jacques) iàpatrie., fes ouvrages. XI. 143. b.
Suppl. IV. 93. b.
Bernard ,( le P .) curé-prieur de Nanterre. Suppl. IV. 6. b.
B ernard, (grand Saint-) montagne de Suide &de Savoie."
Lieu autrefois litué fur^cette montagne. XV. 658. A. PaU'age
d’Annibal par le Saint-Bernard. Suppl. III. 958. a.
Bernard-l’hermite, (¿Hift. nat.) animal du genre des
cruftacées , aufii appellé le foldat. Ce qui le diftingue des
autres cruftacées. Loges dont il s’empare , où il eft folitaire- ,
comme une fentinelle dans fon pofte. Defeription de cet
animal. Son hiftoire naturelle. Longueur de ceux d’Amérique:
Les habitans du pays le mangent ; mais on ls dit pernicieux
pour les étrangers. H. 211. a.
BERNARDI -, ( Jean ) graveur en pierres fines. XII. ç8o. b.
BERNARDIN de Sienne ( Saint ) XV. 177. b.
Bernardins , (Hift. ecclif.) religieux fondés par faint
Robert , abbé de Cîteaux , d’ou ils font appellés religieux de
Citeaux. Leur ordre eft une réforme de celui de S. Benoît.
Pourquoi ils ont été appellés Bernardins. Leur habit. Abbayes
.de bernardins enFrance. Ordres qui font compris dans celui-ci.
Bernardines. II. 21 i.'b.
Bernardins. Habit de leur ordre. IV. 325. é.
BERNE, ( Géogr.) le fécond & le plus grand des Treize-
Cantons. Sa divifion. Capitale du Canton. II. 21 x. b.
Berne. Glaciers du Cânton de Berne. VII. 691. a , b. De la
richefle des habitans de ce Canton. Suppl. H. 803. b.
BERNHARDI, (Barthelemi ) premier minïftre luthérien
qui ofa fe marier. VÎ. 465. b. .
BERNIER, ( Nicolas ) muficien. X. 34- b-
BERNIN, (Jean-Laurent) artifte célébré. XI. 18. b. Obfer*
varions fur ce fculptour 8i peintre, & fur fes ouvrages. XIX»
68. b, 829. b.
BER B E S x67
BERNINA. Glaciers de Bernina chez les Grifohs. vol. VI.
Ses planches : r'gn'minéral. GhcUrs
BERNOULLI, ( Jacques) fes recherches fur la caule du
phofphore du baromètre. II. 84. a. Son hypothefe fur les
cometes. m. 673 . a. 678. b. De la compreftion des fluides,
éîaftiques, félon cet auteur. V. 446. b. Sa méthode pour
trouver la fomme d’une fuite dont les termes ont 1 pour
numérateur, & pour dénominateurs des nombres figurés d’un
ordre quelconque. VI. 782. a. Analyfe qu’il a donnée des
problèmes fur la ligne ifochrone. VIII. 927. a. Théorie des
figures ifopérimetres curvilignes , expliquée par M. Ber-
noidli. Ibid. b. Controverfe de ce géometre avec M. Leibnitz,
fur les logarithmes. IX. 632. b. Spirale logarithmique , tracée
fur fon tombeau. 634. a. ;? B
B e r n o u l l i , (Jean) fes nouvelles penfées fur lefyftême
de Defcartes , avec la maniéré d’en déduire les orbites &
les aphélies des planetes. I. 562. a. Problème propofé par
M. Bernoulli , fur la courbe de la plus vite defeente. II.
392. a. Du centre ipôntané de rotation , félon ce géomètre.
827. a , b. Son ouvrage fur les vibrations des cordes.
IV. 210. a. Sur le calcul différentiel. 985. b. Il eft l’inventeur
du calcul des quantités exponentielles. 989. b. Solution qu il a
donnée du problème de l’élaftique. V. 448. a. Ufage qu’il a fait
de la découverte d’Huyghens, fur la confervarion des forces
vives.-VII. 115. a. Sa théorie de la réfiftance des fluides.
VI. 888. 4 , h. Son hydraulique. VIII. 371. b. Théorie des
figures ifopériittetres , curvilignes, expliquée par M. Jean
Bernoulli. VIII. 927. b. Son ouvrage fur la manoeuvre des
vaifleaux. ,X. 49. a. Comment il a perfeéHonné le calcul
intégral. Suppl. Ul. 619. b. 624. a. Sa phyfiologie. Suppl. IV.
^ B e r n o u l l i , ( Daniel) fa méthode pour obferver l’incli-
naifon de l’aiguille aimantée. I. 201. b. Son mémoire fur le
mouvement des clepiydres. III. 52t. 4. Differtarion dans
laquelle il démontre la compofition des mouvemens. 770. b.
Ses recherches fur le mouvement des fluides éîaftiques. V .
•446. 4 , b. Son ouvrage d’hydrodynamique. VL 886. b. VII.
ï 15. a. .VIII. 371. b. 372. b. Son ouvrage fur le flux & reflux
de la mer. VI. 905. b. 908. a. Son explication de la réfon-
hance de la douzième oc de la dix-feprieme majeure avec
l’o&ave. VII. 55. a , b. Son hypothefe fur la caufe de l’in-
clinaifon des orbites des planetes. VIII. 650. b. 6 51. a. Son
inftrument baliftique. Suppl. III. 612. b. Son mémoire fur
le milieu à prendre entre les réfultats de plufieurs obfervations
, lorfque ces réfultats ne font pas d’accord. 936.4, b.
Sa phyfiologie. Suppl. IV. 356. a. Sa théorie fur les rames
des navires. 566. b. Ses tables de réfraélions aftronomiques.
900. 4.
B e r n o u l li , ( Jean ) fils. Extrait de fa piece fur la meilleure
figure des ancres. I. 443. a , b. Son fyftême fur la
’ propagation de la lumière. IX. 722. a. Sa théorie fur le fon.
XV. 344. b.
B e r n o u l li , (Jean) petit-fils. Table de nutation dans fon
recueil pour les aftronomes. Suppl. IV. 894. Tables de la
préceflion dans cet ouvrage. 898. b. Des aberrations des
étoiles. 903. 4.
BEROSE. Obfervations fur cet hiftorien, prêtre de Belus à
Babylonè. VIII. 112. a. Annales babyloniennes, félon cet
auteur. III. 393. a. Sa ftatue érigée par les Athéniens. I. 786.
a. XV. 498. b.
BERQUEN , (Louis de) comment il découvrit l’art de
tailler le diamant. XII. 596. b.
BERRUYER, ( Jofeph Ifaac) fon fentiment fur lafignifi-
cation du titre de Fils de Dieu. VI. 805. b. Auteur qui a fait là
meilleure critique de fon ouvrage. Suppl. III. 810. a.
BERRY. Chancelier du duc de Berry. III. 92. a. Cour de
Berry. 355 .b. Grands jours de Berry. VIII. 894. a. Anciens
peuples rie cette province. Suppl. 1. 905. a.
BERTHOUD, ( Ferdinand ) horloger. Sa pendule à équation.
V. 860. b. Defeription d’une montre à équation de cet
artifte, à fécondés, marquant le quantieme & le mois, 863.
b ; d’une pendule à équation, à fécondés, marquant le mois,
le quantième , l’année biffexrile , & allant treize mois fans
être remontée. 864. 4 , b. Succès de*fes recherches pour les
longitudes.Suppl. III. 773.4.
BERTIER , ( Jofeph-Étienne ) anatomifte. Suppl. 1. 410. a.
Phyfiologifte. Suppl. IV. 359.a.
; BERTIN, (Ni.) foin qu’il prit d’encourager & de perfectionner
l’agriculture. Suppl. I. 219.4. 222. a , b.
B e r t in , ( Jofeph-Exupere) anatomifte. Suppl. L 410. a.
Phyfiologifte. Suppl.IV. 339.b.
BERTrAM , ( Comeille-Bonaventure ) miniftre & profef-
feur à Geneve & a Laufanne. XVI. 298. b.
BERTRAND, ( François ) avocat & poète. Suppl. IV.
7 - b.
. B e r t r a n d , (M .) fes ouvrages fur l’hiftoire naturelle.
$uEPf II- 627. 4. Son diélionnaire & autres ouvrages fur les
nen SuPP1-1^- 91. a, b.
JîLRTRANDI, ( Pierre ) fa difpute avec Pierre de Çugnietes
, fut les abus de l'autorité eccléfuftiqüe. IX, 77. a , b.
’ I ■¿mbr°if ' ) “"S'omlfte. Suppl. t. 412,4.
^BERULLE , ( Purn <U ) cardinal. Son éloge. Suppl. IV.
BERYTE ou B éroé. École de droit dans cette ville de
Phénicie.V. 305. b.
BESA, dieu connu dans la Xhébaïde. XI. 536. a.
BESAAN, ( Ichthy. ) efpece de befaan , nommé çhietfe-
vif ch. Suppl. II. 397. b.
BÉSAANTÏE, ( Ichthy. ) nom d’un poiffon, d’Amboine,
appellé petit voilier, par Coyett. Sa defeription. Suppl. 1. 883*
4. Lieux où il vit. Ce poiffon paroît former un genre particulier
, que l’auteur nomme befaan. Ibid. b.
BÉSAANVÏSCH , (Ichthy. ) autre efpece de béfaanrie
delà même*mer desifles d’Amboine. Différence entre ces
deux poiffons. Suppl. 1. 883. b.
BESAN, (Blafon) piece ronde d’or qu d’argent. Voyer
B ezant. Ce que reprefente cette piece. Suppl. 1. 883. b.
Befan. Différence entre les tourteaux 8c les beiansi XVI.
493.4. Tourteau-befan. Ibid.
BESANÇON 3^( Géogr. ) ville de Frartcè. Merveilleux
qu’on a raconté dans un mémoire de l’académie , en 1699,
fur une grotte , à cinq lieues de Befançon. Ce merveilleux
confirmé par un fécond mémoire en 1712 , 8c abfolument
détruit par une relation, contenue dans un troifieme, donné
en 1726. Réflexion de l’auteur. Ce font des philofophes qui
nous rapportent des faits faux, des préjugés. de mauvais
raifonnemens, que d’autres philofopnes reçoivent, impriment
8c accréditent de leur témoignage. U. 212. b.
B esançon. Glaciere naturelle à cinq lieues de Befançon:
VII. 689.4, b. Hiftoire du parlement de'cette ville. XII. 41. b.
Doyen de ce parlement. V. 96. b. Chancellerie de Befançon*.
m . 109. b.
BÉSICLES, ( Lunetier ) on appelloit ainfi autrefois les
lunettes à mettre fur le nez. Ufage des béficles à verre convexe
8c-de celles à verre concave. Effets de ces deux formes fur
les rayons rie lumière. II. 213.4.
Béficles. Inventeur de cette efpece de lunettes. VIII. 848 b.
IX. 742. b. XVH. 97. b. 98.4 , b. ^
BESLER, ( Bofiie) fa patrie , fes ouvrages. XI. 285. b.
B e s le r , ( MicheURupert) anatomifte..Suppl. I. 396. b.
BESOIN , fentiment défagréable occafionné par l’abfence
apperçue , & la préfence defirée d’un objet. Conféquences
qui réfultent de cette définition. Les befoins ont donné lieu
à la formation de la fociété, qui, à fon tour, en multiplie le
nombre, 8cen rend le fentiment plus vif. ü . 213.4.
Befoin. Effets des faux befoins que les hommes fe font. IV.
886. 4. L’homme le moins corruptible, eft celui qui eft le
moins fujet à de tels befoins. Ibid. L’homme eft toujours ce
que fes befoins le font être. VIII. 275. b. Befoins naturels -,
8c ceux que la fociété a fait naître. 276.4. Des befoins publics»
8c de la maniéré d’y pourvoir. V. 344.4, VII. 74. b. Trois
fortes de befoins, auxquels le commerce doit fon origine. III.
690. b.
t Befoin , nécejfité , indigence , pauvreté, difette , ( Synon. )
différence entre ces mots. IL 213. b.
BESSANELLO , (Lago di) lac d’Italie. XVI. 793.4, b. '
BESSARION, cardinal. Obfervarion fur ce prélat philofophe.
XII. 752. 4. XVI. *574.. b. Comment il eut part à la
difpute qui s’éleva en Italie dans le quinzième fiecle , entre
les platoniciens 8c les ariftotéliciens. Extrait d’une lettre de
ce cardinal, qui montre fa fageffe 8c £1 modération. XII.
744. 4 , b.
BESSEY , ( Géogr. ) lieux de ce nom dans le Béarnois.
Suppl. I. 681. b.
BESTIAIRES , ( Hift. anc. ) ceux qu’on payoit chez les
Romains pour combattre contre des bêtes fauvages, & que
la juftice avoit condamnés à cette punition. H. 213.. b. Comment
fe faifoit ce combat entre ces derniers 8c. les’bêtes
auxquelles on les livroit. Les chrétiens étoient des beftiaires
de cette efpece. Autre efpece de beftiaires , qui combat-
toient pour acquérir de l’expérience. Les jeunes gens de la
première qualité s’exerçoient à ces combats. Beftiaires qui
l’étoient par état ; m^is qui fe préfentoient armés 8c .plufieurs
enfemble , 8c combattoient en liberté contre un certain nombre
de bêtes. — Voyeç Ch a sse , ( Syn. ) A m p h ith é a t r a le .
BESTIAUX. L’entretien des beftiaux important à l’agriculture.
VIL 366. 4. 821. 4. Cet entretien eft une fburce
d’abondance. Suppl. I. 30. b. Quelle devroit être la régie
de l’agriculture, pour augmenter, autant qu’il eftpoflible,
les profits fur les befHaux. VI. 533. 4 , b , 8co. Recherchés
fur le profit des beftiaux dans l’état aftüel de l’agriculture
en France. 537. a. Soins qu’on a donnés en France à l’entretien
du bétail., Suppl. I. 218. a. L’agriculture ne peut
avoir de fucces étendu que par la multiplication des beftiaux.
VI. 513.4. Cette multiplication aura lieu par l’établiffemenc
Ëlus général de la grande culture en France. VI. 537. a , b.
érections fur la conduite du bétail. III. 809. a , b. Importance
de l’abreuver avec foin , ^c de le bien nourrir. 80 f.