
8 4 4 ■ G O A G O E
dicnne tracée darul’églifcdcS. Sulpiceile Para. Ibid. 140. a.
Méridienne établie en 173 a par M. Calfini danrla grande lalle
de l’obfervatoireroyal de Paris. Ibid. b.
-S
e
Gnomon , étymologie de ce mot : ufage des gnomons des
Anciens. XI. 464. b. Des gnomons dés anciens 8c des modernes.
X. 384. b. Maniéré d’obferver la hauteur du .pôle
par un gnomon. XII. 902. a; Efpece de gnomon des anciens ,
nommé feaphi. X IV . 760. a . .
G N OM O N IQ U E , ( Math.mixt. ) étymologie de ce mot.
Définition de l’art appelié de ce nom. Autres noms qu on lut
a donnés. V II. 725. a. Inventeur des cadrans. Celui que
conftruifit Berofe. Cadran d’Ariftarque. Premier cadran fo-
laire qui parut à Rome. Autre cadran apporté de Sicile à
Rome par Vaicrius Meflala. Il paroit qu’il y a eu chez les
Juifs des cadrans beaucoup plutôt que chez les nations dont
on vient de parler. Cadran d Achaz. Defcription d’un cadran
iolaire portatif trouvé dans les ruines d’Herculanum. Ibid.
b. La gnomonique eft entièrement fondée fur le mouvement
des corps céleitcs. Connoiffances qu’il faut acquérir
avant de s’appliquer à cet art. Çlàvius eft le premier auteur
de la gnomonique parmi les modernes. Divers auteurs
3ui en ont traité après lui : quelques observations fur leurs
ifférentes méthodes. Le cadran Horizontal eft celui de tous
ju’on peut tracer le plus exaélément 8c le plus facilement.
_>lais les lignes des cadrans verticaux font moins Sujettes
à être effacées par les pluies. Les cadrans équinoxiaux
font d’une defcription plus Simple que tous les autres. Ibid.
726. d.
Gnomonique, cadrans antiques trouvés fur le mont Tufculum,
& dans les excavations de Civita. Suppl. III. 240. b. Cadran
hémicycle, vu par M. le Roi fur le roc de la citadelle d’A thènes.
Defcription d’un cadran portatif trouvé dans les excavations
d’Herculanum ou de Portici. Jaloufie avec laquelle
les doéteurs Napolitains tiennent cachés aux yeux des étrangers
les objets curieux tirés d’Herculanum & renfermés dans
[e mufeeum de Portici. Ibid. 2 4 1 . a.
Gnomonique, vo yez C a d r an . Traité de gnomonique du
P. de la Madelaine. VIII. 3 1 1 . * , b. Cette Icience nommée
photofeiatérique. XII. 5 28. b. polyhedre gnomonique. 943. b.
G nO S IM A Q U E S , ( H ijl. eccl. ) hérétiques qui le décla-
. rent ennemis de toutes les connoiffances. recherchées de la
religion. Etymologie de ce mot. Quelques auteurs donnent
un fens plus particulier à ce mot. Ils penfent que les gno-
iimaques étoient des ennemis des fpiritualités , oc vouloient
qu’on fe contentât de faire de bonnes oeuvres tout Amplement.
V II. 726. b.
GNOSSE, (Géogr. anc.) ville de Crete,capitale du royaume
de Minos. Villages qui ont aujourd’hui pris la place de cette
ville. Traits hiftoriques fur Epiinènide , natif de Gnoffc. VII.
726. b.
Gnojfe, faute à corriger dans cet article de l'Encyclopédie.
Suppl. III 241. a. Obfcrvations fur le fameux labyrinthe de
Crete qu’on voyoit auprès de Gnoffe. Ibid. b.
G N O ST IQU E S , ( H ifl. eccl. ) anciens hérétiques fameux
dans l’Orient. Etymologie du mot. Pourquoi ces hérétiques
s’étoient attribué ce nom. C ’étoit d’abord des philofophcs,
qui s'étoient formé une théologie fur la phuofophie de
Pythagore & de Platon. Mais ce nom devint enluite un
nom générique, qui fut donné à différons hérétiques du
premier fiede. V it . 726. b. Quelquefois c’eft un nom particulier
qu’on donne aux fuccelfeurs des premiers Nicolait.es,
& des premiers Carpocratiens. Auteurs anciens à confulter
fur ce fujct.J Doétrine des gnoftiques; comment ils la fon-
doient fur l’Ecriture. Le nom de gnoftiques fe prend aufti
quelquefois en bonne p a rt , comme on le voit dans Clément
d’Alexandrie. Caraélcrc du vrai enoftique félon cet
auteur. Ibid. 727. a. Quoique les gnoltiques compofaffent
différentes f c â e s , ils convenoient tous fur certains chefs.
Expofition des principaux. Pourquoi on les voit appellés
docetes. Leurs principes de morale, & leurs moeurs déréglées
& infâmes. Divers noms que l’on donnoit aux gnoftiques
, prefque tous relatifs à leurs dogmes ou â la déÎiràyation
de leurs moeurs. Divers ouvrages apocryphes fur
cfquels sfquc
ils fondoient- leurs impiétés. Ibid. b.
J dnojliques, principe —: de leurs héréfies. I. 280. b. Leur ori-.
ginc & celle de leur fcience tnyftérieufe appellée grioje. V.
74** d. Evangile d’E ve en ufage parmi les gnoftiques. VI.
1 17‘ a- Evangile des gnoftiques. Ibid. a , b. 110. a. Les
gnoftiques accufés d’avoir mangé des viandes immolées aux
idoles. XVII. 229. a. Seétes de gnoftiques défignées par
Icsunr * ^uivan* : antiraéles, I. 517. a. barbéliots, II. 73.
a. balihdiens, 117. «. hèracléonitcs, VIII. 140. a. menan-
y m w a \ Aptolémaïtes , XIII. 548. b. faturniens,
V. 697. a. Valentiniens. XVI. 815. « , b. Sur les gnoftiques.
Voye[ PHILOSOPHIE ORIENTALE. XI. 6 4 3 .0 , b.
G O
C O A , ( Géogr. ) ville de la prcfqul’’iflc en deçà du Gange.
Remarques hiftoriques fur cette ville. Elle étoit la u
commerce d’Qricnt. Etat miférable où elle fe trouv •
d’hui. On y garde toujours dans un fuperbe tombea» u ,0ur'
de S. François Xavier. Situation de la ville de Go °v/tS
728. d. • 'U .
Goa. De fon inquifition. VIII. 77«. b.
GOBA IL LE , célébré maître écrivain. Suool TV c.
G O B E -M O U CH E , ( Zoolog. ) petit lézaïï A , T 7:,?'
Couleurs différentes du mâle 8c de la femelle. Leurma • ?*
fenourrir. Ils font très-communsdansles foréts&.ilan.?‘Cre .
fons.VII.728.«. Voyez L éza rd . ctsottl»nslesmai-
: G obe-m o uch e. ( Ornith. ) Gobe-mouche hupé de M-,
dagafear, vol. V id e s planches. Rcgneanimal, n f . , e û t
mouche hupé du Brefil. Suppl. 1. 99. b. b«-
G obelet.( A n tia u it.) Gobelet des Romains nom mkeyathe
IV . 585. a. celui des Lacédémomens , nommé cothon ix'.
139. b. Divination par le gobelet. IV . 346. b —
C o upe.
G o bele t, ( Econom. domefliq. ) defcription. VII 728
a. Les gobelets dans lefquels on boit des liqueurs chaudes
font revêtus quelquefois d’un bois mince, qui s’échauffe difficilement.
La chaleur fe répand avec moins de facilité dans un
corps fait de plufieurs pièces que s’il étoit d’une feule. VII
728. b.
Gobelets de cry jlal, maniéré de les travailler fur le tour.
X V II. 98. b , &c.
Gobelets purgdtifs. X II. 626. b.
G obelets , tours de , ( A n d ’efcdmotdge ) defcription des
gobelets au’on emploie dans cette forte de jeux. Comment on
fait les balles à efeamoter. Maniéré e d’efeamoter d’efeamot les '
balles. VIL
728. b. Voyez TOURS.
G O B E L l ‘
.INS, le s , {H iß . des arts) lieu particulier du faux-
bourg S. Marceau à Paris. Origine du nom d e Gobelin 8c del’é-
carlate des Gobelins. Premier tapiffier des Gobelins. Hôtel des
Gobelins : artiftes qu’on y loge. V II. 728. b.
Go belins, habiles ébéniftes que cette manufacture a fournis.
X . 128.a . Manufacture de tapificries des Gobelins. XV. 897.
a ; b , vol. IX des planches, les 18 dernières. Teinture des
Gobelins, vol. X des planches, les 14 premières.
GOBERGE , f Ichthy. ) defcription de ce poiffon qu’on
apporte de Terre-Neuve tout falé. Qualité de la chair. VIL
7*9- *•
G o b e r g e , {L a y et ie r ) dimenfions des petites planches de
hêtre qui portent ce nom. VII. 729. a.
GOBERGE , ( Marqueterie) VU . 729.«.
G o b e r g e s , (Tapiffier) V I I .729.«.
G O B IN E T , ( Charles ) fa patrie , fes ouvrages. XIIT.
698. a.
G O D A R D , Saint- ( Géogr. ) Dcfpréaux l’a nommé le
mont Adule. C ’eft une des plus hautes montagnes des Alpes.
Ri vieres qui y prennent leur fourcc. Hôpital de capucins fur
cette montagne. V II. 729. b. Voye{ G o th a r d .
G o d a r d , { S a in t ) deSalen cy.Suppl. IV. 70 7 .a.
G O D D A R D , gouttes de. V II. 7 7 1 . b.
G O D E A U , (A n to in e ) faites d e l’églife par cet auteur.
V I . 4x8. b. ■
G O D E FR O I de B ou illon, élu advoué du S. Sépulchre. I.
153. a. Pourquoi l’on a cru qu’il avoit vendu ou engagé le
duché de Bouillon. Suppl. II. 36. a.
Godefroi-Maurice, duc de Bouillon- Suppl. II. 38. a.
Gode/roi Charles-Henri, de la Tou r d’Auvergne, duc de
Bouillon. Suppl. II. 38. a.
Godefroi, auc de la Baffe-Lorraine, adopté par 1 empereiw
Alexis. Suppl. 1. 174. a.
G O D IN , fon catalogue d’étoiles. Suppl. IV . 9°°*y ..
G O D IN O T de Rheims : fa générofitè envers les indigens.
V . 646.«. 749. ASesdépcnfespourl’embelliffementdcKheim*.
¡leterre dans
^ O D m A W cH E S T E R , ( G io ir . )^bourjd’Anglei
la Il des
1 province de Huntington. I l exiftoit du tems des
Jacques I le tira de fon obfcurité. Application de ic
•tans à l’agriculture. Suppl. III. 24 x. b. , ,
G O D O L PH IN , (G é o g r .) colline d’Angleterre dans; u
province de Cornouailles. Eimloitatioh de fes mines
Comte de Godolphin. Suppl. III. 241. b.
amie u cuouuiüiiiii. «»/r • 1 1 * 1 •« Y V 22<f. a.
G O D W 1N , ( Thomas) littérateur anglois. A v . m
G O E G H Y , ( H ijl. d 'A fie ) feétc de bénians dans les Indes.
G O E G H Y , ( H ifl. (
Leur genre de vie. VII.V II. 729.
X
G O EJLEETTT ET ,E ( (.. .Marit
M....a...r..i.n..e. ) defcription dece petit M * "«®
I. b. Ufage qu’on en fait aux ifles d’Amérique.
V IÎ. 729. b. U fage qu’on entait aux mes u g P g S R É ■;iA é A
à chaux, fon ufage. Quelles font les pierres dontonfiu
en Amérique. Ib id tn x o .a . _ QA b
G O E T A , ( Botan. ) efpece d’arbre. Suppl A . ^
G O E L L É , (Géogr .) petit pays de la Brie. •> W
896. a. . . n>„VGit pour ob-
G 0 ET1E , (M a g i e ) magic infime qui nave r
jet que de faire du m a l, féduire le peupl .,xvoqucr ies mâ-
crimc. Les miniftresdecctart fe XanI0'*Ü,nutceaui v ouvoit
n e t. IisemployoiçQC dans leurs cèré/non»« ^ rcj oujjicf
G O L redoubler la terreur des efprits foiblcs. Différence effentielle
entre la magic goctique & la magie théurgiquc. VII.
730. a.
G O E T R E , ( Chirurg. ) les habitans des montagnes font
fort fujets à cette maladie. Conjcélures fur fa caufe. Etymologie
du mot. VII. 730. a. Plufieurs l’ont confondu avec le bron-
chocele. Le goëtre eft formé par une congeftion de fucslymphatiques.
Dans quelle partie le fait l’engorgement de cette hu-
rncur.:^ ‘^“ rcntcs e ‘Peces de goëtre. Moyens curatifs affortis
aux différens cas. Ibid. b.
Goitres, leur principale caufe attribuée aux eaux de neige.
V . 104. b. Leur caufe dans les lieux voiGns des glacières.
Suppl. III. 230. a. & chez les habitans du T yrol ¿c dît Valais.
470. a.
G O G 6* M A G O G , (Théolog.) l'écriture a défign é par
ces noms des nations enncmies.de Dieu. Vaincs conjeélures
des interprétés fur ces nations. VII. 731. a.
GOILAN D , (Ornithol.) genre d’oifeau maritime. Ses
caraéleres. On compte deux genres fubordonnés dans la
claffe générale de ces fortes d’oifeaux. Ces oifeaux chaffcnt
fur terre & fur mer. Lieux où 011 les trouve. Defcription
donnée par le P. Feuilléed’un goiland du Chily. VII. 731.
Lieux où ces oifeaux nichent. Leur ponte. Defcription
de leur langue. Différentes fortes de goilands. Ibid. b.
GOKOICF, ( Hijl. nat. du Japon,) terme générique de la
langue du Japon , qui fignifie les cinq fruits de la terre dont les
Japonoisfenourriffent. Quels font ces cinq fruits. Selon qu’ils
abondent on eftime la valeur des terres. Ils fupplécnt au défaut
de la viande défendue dans le Japon. Autre fienification du
mot Gokokf. VII. 731. b.
GO LCO N D E , ( Géogr. ) royaume dans la prelqu’ific en
déçà du Gange. Scs bornes. Sa fertilité. Scs ports. Son commerce.
Scs mines de diamans font fa plus grande richeffe. Capitale
de ce royaume. VII. 731. A
Golcondc, mines de diamans de ce royaume. IV. 938. a , b.
Ouvrage de Tavernicr fur ces diamans. XVI. 876. a.
GO LD B ËRG , (Géogr. Hijl. n a t.) ville de Siléfie. VII.
731. b.
Goldberg, efpece de terre bolaire qui fe trouve à Goldberg.
Sespropnétés. VII. 731 .b .
G O LDM AN , éloge des ouvrages que cet architeéle a publiés.
Suppl. 1. 540. b.
G O LG O TH A , ( Géogr. & Théolog. ) quelques-uns fe
font imaginé qu’Adam y avoit été enterré. Saint Jérôme
rejette ce fentiment. Pourquoi ce lieu a été nommé calvaire.
VII. 732. a.
GOLGUS , ( Géogr. anc. ) ville d’Afie dans l’ifle de Chypre
toute confacrée à Vénus. Invocation de cette déeffepar
Catulle. VII. 732. a.
G O LG U S , ( Géogr. ) obfervations qui montrent que Pa-
phos & Golgos font deux villes différentes. Suppl. III.
4GÔ LIA TH | fa taille. V II. ç 37 . a.
GOLIUS , ( Jacques ) favant hollandois. V III. 24. a.
GOLPHE. ( Géogr. ) Les golphcs d'une étendue confidé-
rable font appellés mers. V IL 732. a. On dillingue les gol-
phes propres & les golphcs impropres , les golphes médiats
& les golphes immédiats. Différence entre une baie & un
golphe. On connoît des baies plus grandes que certains
golphes. Ce qu’on entend par anfe 8c cul-de-jac. VII. 732.
b. Table des golphes félon la méthode que M. Gordon a
ébauchée. Ibid. 733 a.
Golphe■ Caufe de la formation des golphes : à qui appartiennent
légitimement les détroits & les golphes. IV. 904. b.
Pourquoi la marée eft plus fenfiblc dans le golphe de Vcnifc
que dans le refte de la Méditerranée. VI. 900. a.
G olphe d'Arguin. ( Géogr. ) Golphe de l'Océan fur la
côte d’Afrique. D ’où il tire fon nom. Ce golphe eft tout femé
de bancs & impraticable aux moindres bâtimens. VII.
733*
Golphe de Bengale , dans la mer des Indes. Ses bornes.
Sa largeur & fa profondeur. Ses principales ¡fies. VII.
733- a‘
G olphe de Botnie ou Bofnie. ( Géogr. ) Obfcrvations qui
démontrent que les eaux de ce golphe baiffent continuellement.
On eftime cette diminution (le quarante-cinq pouces
depuis un fiecle. Suppl. 111. 242. a.
G olphe de TEchelle, ( Géogr. ) nom donne par Dcnys
de Byzance au golphe d’Arnaut. Kaifon de cette dénomination.
Origine du nom d'Echelles donné aux ports les plus fréquentés
du Levant. Suppl. III. 242. a.
Golphe de L y o n , origine de ce nom. VII. 733.«. V oyez Sinus
gallicus.
Golphe perfique, entre la Pcrfc & l’Arabie. VII. 73 3. a. On
y trouve du corail noir 8c de belles perles. Ibid. b.
Golphe perfique. Obfervations fur cet article de l’Encyclopédie.
Supp[. \l\. 242. a. nn
G O L T Z , ( Henri ) peintre 8c graveur. VII. 867. b. 889. a.
X .8 S J .Î .8 d . a .
Tome L
G O M 845
1 , ] célcbre ami,iuiirc' x - “ î- 4- 6 s°-
GOMARISTES. ( Thtolog. ) Les gomariftes font oppolï»
aux arminiens. Ils ont p,¡s leur nom deGomar. On les appelle
anffi conere-remontrans On peut coimoître leur doRrine en
confultant l article A rminiens. Ouvrage de Boffiiet à corn
Julier. Hiftoire des gomariftes. Perféeurions qu'ils firent
efluyer aux arminiens. VII. 733. 4. Quoiqu'il ait éti
permis cnfiuto | ceux-ci d’avoir des iglifes dam quelques
villes des Ërovinces-iimes, les gomariftes font toujours le
parti dominant. On eft encore obligé de fe conformer aux
dogmes rigides des premiers réformateurs pour avoir part
aux emplois cccléfiauiques. Il en eft de même en Angleterre*
Cependant une grande partie des miniftres dans la réforme,
s eft rapprochée des fentimens des arminiens. Parti fage que
les magiftrats hollandois ont pris fur ces matières. Ibid. 7K . b .
Gomarijlcs, leurs difputcs avec les arminiens. 1. 696. b. IV .
140. A Décrets abfolus félon eux. III. 840. a. Leur doftrmc
fur la pcrfévérance. XII. 427. A
G OM B A U L T , ( Jean Ogierde) poëtc françois. X IV. <24.
a. Suppl. IV. 700. b.
i l i e i i l ( Botan. ) plante potagère , commune
aux Antilles. Sa defcription. Ufage de cette plante en
cuifinc. Son ufage en médecine. VIL 72«. A Voyez
Ke tmia. j v
GOMBETTE , lo i.ïX . 6 6 1 .b.
GOM ER E , (Géogr.) obfervations fur cet article de l'Encyclopédie.
Suppl. III. 242.«.
GOMEZ de Cindad Réal,p oë tc .VIL973.«.
G omez, (Madamede) Suppl. IV .699. A
GOMGOM , ( Luth. ) Voye[ T a t a b g a n g .
GOMINE , mariage a la. X . m . a.
G OMME, ( PhyJiq. ) celle qui découle d’elle-méme paroit
être une maladie de la feve des arbres. Elle perce par
quelque endroit tendu, écorché ou rompu, & fait mourir
les parties voifines. Moyen d’arrêter les progrès du mal.
V IL 735. A Mais le fuc végétal gommeux qui tranffude
quelquefois fur le fruit, n’eft pas une maladie. Efpece de
gomme qu’on voit fouvent fur plufieurs pommes des pays
chauds. Gommes que jetrentles prunes, oc le laurier-cerne.
Ibid. 736. a.
Gomme. Plufieurs réfines improprement appellées gommes à
XIV. 173. a.
G omme, eau d e , ( Peint, enminiat. ) X . çjri.a .
G omme. (Chym. Pharmac. fi* Mat. midic.) Définition & propriétés
de la gomme. Ce qu’on entend par tirer le mucilage d'une
gamme. Maniéré de la réduire en poudre. Effets du feu fur la
gomme. Celles qu’on emploie en pharmacie. O n donne encore
le nom de gomme à des réfines & à des Rommes-rèünes.
VII. 73Ô.«. ,
G omme-resine , (Chym.Pharmac. Mat. médic.) moyen de
retirer de cette fubftancc la partie. réfineufe , 8c la partie
gommeufe. Comment on obtient la diffolution du corps entier
des goinmes-réfincs. Vif. 736. a. Moyen de les introduire
dans la compofitiondcs emplâtres, Gommes-réfines employées
en médecine. Leurs qualités communes. Ibid. A
, Gommes-réfines. Maniéré de les employer dans lcs emplâtres.
V . 589. a.
G omme de notre p a y s , ( Mat. midic.) celle de . divers
arbres de nos climats : elle a les mêmes propriétés que la
gomme arabique. Pourquoi l’on préfère cette derniere. VU.
736. A
Gomme du gommier, ( Hijl. nat. des drogues) galipot d’Amérique.
Deux fortes d’arbres d’Amérique appellés gommiers.
Gommier blanc. Qualité 8c ufage de fon bois. Defcription
de cet arbre & de Ion fruit. Gommier rouge ; fa defcription :
fon fruit. VII. 736. A En quoi ces arbres différent ne nos
térébinthes, félon le P. Plumier. En quels lieux de l’Amérique
on les trouve. Ufage que les Mexicains font du gommier,
8c de fa réfine. Abondance avec laquelle elle fort
du gommier. Ufage qu’on en fait en Europe. Comment 011
la tranfportc d’Amérique. Les Américains fe fervent des
feuilles dans leurs paniers d’aromates. Comment les marchands
fophiftiquent cette gomme. Ibid. 737. a.
Gomme rouge de l’acacia : fes ufages. Suppl. 1. 81. A Gomme
jaunâtre ou purpurine de l’acacia. 82. a. Gomme du gommier
blanc. 8t. A Principaux lieux où l’on fait la traite de
la gomme au Sénégal; 86. a. Commerce de la gomme de ce
pays. Ibid. A 87. «. ..
G omme adragant, I. 146. «. Suppl. I. 8oç. A Plante d’où
ollc découle. XVI. 512. A
GOMME ammoniaque. I. 364. A Gomme arabique. 1. 770. aÿ
A Suppl. I. 309. «.
G omme-gutte. (H ijl. des drogues. ) Caractères de cette fub-
fiance. Lieux d’où l’on la tire. Divers noms qu'on lui donne
Ibid. 737. a. Elle n’a été connue que depuis l’an f 603. C h o ix .
de la meilleure. Arbres dont elle découle. Comment on la
recueille. Ufage que la peinture en retire. V il. 737. A
E E E E E e e e e e