
776 F O U
F o u r m i . ( Econom. rufliq. ) Les fourmis nuifent beaucoup
aux arbres fruitiers. Divers moyens employés pour détruire
ces infeflcs, ou pour les, empêcher d’approcher des arbres
qu’ils recherchent. V II. 129. b.
Fourmis, a u f s d e , les naturalises ont démontré cjtie ce
qu’on appelle communément de ce nom , font les jeunes
fourmis même cmmaillottécs dans leur premier état d accroif-
fement, par une efpece de foie que les fourmis tirent de leur
corps. Premiers développemcns de la fourmi. Obfervations
que l e doéleur King a faites dans l’intérieur de ces coques.
Soins que les fourmis prennent de ces oeufs. Oifeauxqui
s’en nourrifïcnt. Defeription des vrais oeufs de fourmi. Em-
preffement des fourmis à venir cou ver les oeufs que la merc
a jettés fur la terre. Auteurs à confultcr fur les fourmis. VII.
230. a.
F ourmi. (Chym. Mat. méd.) Analyse chymique des fourmis.
Maladies contre lesquelles les fourmis font employées. VII.
230. b.
F o u rm i . ( Mytholm Les Grecs prétendoient defeendre des
fourmis d e la forêt d’Egine. Les Thcffaliens honoroient les
* fourmis. VII. 230. b.
. FOURMILIER, ( Zoolog. ) tamandua guacu du Bréfil.
Defeription de ce quadrupède. Comment il fc nourrit de
fourmis. Pourquoi on l’a nommé urfus formicarius. VII. 230. b.
Fourmilier. Defeription de quatre efpeccs de fourmiliers. X.
10. b. Foyer vol. VI. des planch. Regne animal, pl. 16.
* FOURMILIERE. (H ifi. nat. ) Différentes fortes de fourmilières.
V II. 230. b.
Fourmilières ; vapeur dangereufe qui s’en élevé'. Suppl. IV.
463. b.
F ourmilière. ( Econom. rufliq. ) Dommage que caufent
aux prairies fechcs ces petits monceaux de terre que les
fourmis forment en cône pour leur demeure. Méthode à
pratiquer pour ruiner toutes les fourmilières. Inffrument dont
op fe fert en certains pays pour couper les fourmilières.
VII. 231. a.
Fourmiliers , ( Midtc. ) maladies des paupières. Defeription
de cette maladie. VII. 231. a. Foyer V errue des paupières.
FOURMILIERE, (Maréchal.) Suppl. III. 413. a.
FOURMI-LION. ( Hifl.nat. ) Defeription de cet infeéle.
VII. 231. a. Il ne marche qu’en reculant; il ne vit que d’in-
feéles ; mais il ne peut aller chercher fa proie. Artifice avec
lequel il fe la procure. Pourquoi il a été appcllé fourmi-lion.
Comment il fe débarraffe des relies de la proie , lorfqu’il
n’en tire plus rien. Longues abRinences qu’il peut foutenir.
Comment il travaille à la métamorphofe. Coque dans laquelle
»1 fe renferme. Ibid. b. Tems qu’il y demeure. Comment fe
fait fa transformation. Comment la demoifelle fort de la
coque. Dépouilles qui y relient. Elle y dépofe aulTt quelque*
fois un oeuf avant de fortir. Defeription de cet oeuf. Il ell
infécond , avant été pondu avant l'accouplement du mâle
avec la femelle. Pourquoi les fourmi-lions font rares. Etat de
la demoifelle en fortant du fourreau. Defeription de ces
dcmoifelles. Jbid. 232. a.
FOURMILLEMENT dans Pair , qu’on apperçoit fur un
poêle & fur un fourneau. ( Chym. ) Caufc de c e fourmillement.
VII. 248. 7. a. Inconvénient qui en résulte pour le chymiAc.
Moyen d’y remédier. Ibid. b.
FO U RM O N T , ( l ’A bbé ) fes loins pour la bibliothèque
du roi. II. 240. a.
Fourmont. ( Etienne ) Obfervations fur ce favant. Suppl.
III, 349. a , b. Son explication de la fable des Gorgones, v i l .
'46. a , b. Eloge de fon livre fur les racines de la langue latine.
0 1 1 .7 4 7 .* . 6
FOU RN A ISE, dieffe : fête en fon honneur chez les Romains.
V II. 188. b.
FOU RN ALISTE, ( terme de Potier de terre ) ouvrier qui
fait toutes les groffes pièces comprifes fous le nom général
de fourneau. C ell encore un ouvrier qui fait tous les vaiffeaux
de chymie en terre. VII. 232. a. Quels font les ouvrages
que les ouvriers de cette communauté ont droit de faire.
Police Se flatuts de cette communauté. Matière dont on fait
les fourneaux Se les creufcts. Outils des fournalifles. Comment
fe font les fourneaux & les crcufets. Palettes des four-
nalifles. Leurs différens ouvrages. Ibid. b.
FOURNEAU d ’une mine, ( Fortifie. ) VII, 433. a.
Fourneau fuperfleiel, (Fortifient.) ou caijfon. VII. 233. a.
Fourneau. ( Bimblot. ) VII. 233. a.
Fourneau à fondre les caraâeres d’imprimerie. V II. 233. a.
Fourneau A Chapelier) trois fortes de fourneaux chez
ces ouvriers. VII. 233. a.
F o u r s im j. (Cuifint) VII. I 33. |
T oum ,.u de, grandes fonderie, I W B ro n z e .
F o u r n i des uflnci en cuiv rc. ^ ¿ C u v k e
tourneau des ufines en rr. F
t e d. e , , Il , t.r‘ Foyer GROSSES FmOR"CnEiSs.-
Fourneau des tailleurs de lime»; VII 221 b
- Fourneau chez les migifficr, y ’ cV zm o .s cu b .
rm m m i des fondeurs en fable, VU. z33.(, Sab ie s
F O U
F o u rn r aU , ( Plombier) trois fortes dW
foffrec , rla p oêrle , lie zfou rnea>u fà «ram elorr. tcVs IId e 22* I » i
F o u r n e a u . ( Potier d ’étain) VII. 233 *
F o u r n f a u . ( Rafineur de fu e r e ) V il. 232 b
F o u r n e a u . ( Fontaine fiatante) Foyer Sel Sa io
Fourneau des teinturiers. Foye^ T e in t u r e '
F o u rn e a u . (F e r r e r ie ) 'Foye^ V e r r e r i ê ' - •
.K o u rn e a u ,. U h ym , | 4 i
Noms corrcfpondans en latin. L auteur fe pronof ^
11er ici des exemples des différentes efpeccs ile °
que des travaux aflidus & une longue fuite d’»« Incaux»
ont perfeélionnés. . xpérwnccs
D " fo u rn e a u y ¡ j lU U ,v a r „ f i c n / im . Conítr„aio„ i '
fourneaux , & leurs différentes efpeccs. Defcnniif, ?
divers fourneaux repréfenfés dans les planche« , i / r i .
VII. * 33. F ou rn e au ,^ , ,4. Fourni,“ i l W B M
Comment s’agencent enfctnblc les corps des fourneat«, li
vient tic décrire, Fourneau ; fig. 84. Fourneau fía / 2
neatt .J lg. ,23. M d . , 3+ fo ,,r „« ," 4 ’£ pf
& 6 , m b. Fourneaux à capii,le: Ils
de deux efpcces: ou ils fervent par emprunt aux ratifi, « -
ou ils y font particulièrement deílinés, Se ¡]s fc trouve
alors quelquefois compris fous le nom d’Athanot Vovüí
f i s - p . Deferin,Ion d’une capfttle. Fomneat, 1
capitile repréfenti fig. 23. Les « r e n t e , cfpccet de bai,,,
ne font que des fourneaux fcmblabics i quelques-uns de
ceux dont 011 a parlé, mais qui portent des différent
félon 1 mtermede qui cunflittic ce bain. Fourneau defliné atî
bain-marie, j ÿ . tt. Autre fourneau pour le bain-marie lie
118. Autres bains de différente* fortes. Bain de la limaille
Jbid. b. Bain de fumier. Bain de feittre. Bain fcc. Fourneaux
de décodions, Jig. 1 2 , d p , 7 * , Fourneaux à aludcls
ou de fublimation, jíg. s , ( 6 , 9 8 , ,6y. Des anciens four-
ncaux : Geber ell Paincuf le plus ancien qui les ait figurés.
Incertitude fur le tems où il vivoit. Avant cet artille l’ignorance
Se la mauvaife foi s’éroient toujours enveloppées
du voile de Temblóme & de l’énigme. Si Geber cil tombé
dans cet inconvénient quant aux opérations,au moins a-t-il
pu être de quelque milité par la defeription de fes uilcn-
filcs. Defeription qu’il donne du fourneau qu’il déÎtinc aux
aludcls. Ibid. 235. a. Fourneau fublimatoire de la fig. 66.
Fourneau deftiné aux aludels dans lefquels on doit faire la
fublimation de la marcaffttc : il ell tiré de Geber, voyez,
fig. 98. Fourneau qui donne un grand degré de feu. Le
fourneau que Geber vient de décrire, ell un fourneau de
fufion, quoiqu’il l’applique à fes àludcls. Ibid. .b. Edition de
Geber dont on a tiré ce qu’on vient de donner de lui. Quatrième
& dernier fourneau fublimatoire,fig. i6y. Comment
les fournalifles de. Paris préparent leur argille. Pratique des
artilles pour conflruirc des fourneaux. Détails de tomes les
opérations néccffaircs pour conduire un fourneau à fa per-
feélion. Ibid. a. Obfervations fur l’argille de Gentilii. Maniere
de traiter l’argillc & ,d c la cuire pour la conflniélion des
fourneaux. Des différentes comportions pour les fourneaux.
Ibid. 236. a. Foye{ L u t Se V aisseau.
D e s fourneaux à difliller par le côté. Defeription dfc cclifr
qui ell repréfentéfig. i. Ibid. b. Fourneau de diltillarion latérale
marqué mr. y. Manière de le conllruirc. Ibid. 236. a. O11 multiplie
ce fourneau, en le conflruifant de maniere qu’il puiffe
contenir pluftcurs cornues. Defeription du plus grand de
tous, celui des diAillateurs de Parts; on l’appelle la eahre.
Appareil avec lequel les diAillateurs font Peau-forte. 1^ / .,.’
Le fourneau fig. 67 . ell non-feulement un appareil de difhl'
lation latérale, mais encore d’une diflillation où l’on cxpolc le
corps à difliller nu feu nud, fans l’intermède d’aucun vaiffeati.
Conilruétion du fourneau, fig. 66. Autre fourneau de diitma-
tion latérale ,fig. 6p. Ibid. 237. a. Fourneau ,fig. 7?. Fourneau,
fie . 147. pour difliller les acides minéraux àfcunuu. Fourneau,
fig. 161. 1 .
Des fourneaux à difliller par deficenfion. L ’auteur n en donne
qu’un (cul exemple. Ibid. b.
Des fourneaux A calciner, divifés en propres & CJ c0™’
muns. Fourneau de la première efpece, fig. 17 Se 16. ba c -
* cription Se conAruélion. Ibid. 237. a. On peut mettre au ra g
des fourneaux h calciner ceux d’effai. , ,
' D e s fourneaux de fiifion. Fourneau de la fig. 6. Manière a
le coniiruîrc. Ce fourneau donne un feu d une vivacn p
digieufe : les deferiptions qu’on en donne ici font de do
haave Se de Glauber. Ibid. b. Avantages de ctt inllrum
Ibid. 238. a. Précautions éprendre ; écran dont il fautic ^
vir en travaillant â ce fourneau. 11 parelt que 1 , , ux de
le premier qui ait introduit les tuyaux dans les ‘oU” ,boj¡QUC.
chymie. Des fourneaux de figure elliptique ou par
Ibid. b. Celui qui ell marqué fig. 8-10 différé d eJ■ ■
m as i | f s OE »
maniere* de le conllruirc. Scs avantages, w/íí*. > i-Tnece
fourneau de fufion,en b riqu e,
de fourneau, & fon ufitge. Ibid. a. De
les fourneaux dy fufion. De la caffc.' grand Í vieux*
F O U
vient. Détails fur le foufflet. Ibid. b. Il faut encore dans un
laboratoire pliilofophiqtie Un fouiller monté fur un chalfis, afin
de l’appliquer aux fourneaux où il cil néceffairc. Au lieu d’un
foufflet, on peut faire ufage d’une éolipyle. Au défaut de
cet infiniment, on peut employer tout Vaiffeau qui en approchera.
Cependant le foufflet double mérite la préférence; La '
fiS- 37- nU’ >- repréfente le petit fourneau de fufion fait en l
terre des fournalifles de Paris. Ibid. 239. a. Sa defeription.
Manière djen faire ufage. Autres fourneaux portatifs à vent;
mp mef fournalifles. On ne les indique ici que pour en
difuiadcr 1 ufage. La fig. j 6 repréfente un petit fourneau
qtiarré portatif pour les eflais. Defeription Se ufage. Efïai de
dc m*nc dc C1,*vrejointe à une roche de fufion
difficile. Cbifunénr on fond h c e fourneau une mine de fer, &-c.
Ibid. b. Fourneau de M o n de tô le , varié pour la facilité de
rappliquer à différentes dpéràtiônsi "Voyezfig. 26-37. Détails
fur fa conflriiclion, & fur ies variétés que ce fourneau admet.
Ibid. a. Ba/fin où catin de réccptiôh.- M<itiere appcllée'braf-
q u e , dont on fe fert pour faire le catin. Brafquc pelante Se
brafquc légère. Manière de les 'préparer ; leur ufage. Ibid. b.
Les effets de la chaleur & du froid ne fe commùniqifcnt
jamais avec plus de difficulté qu’au travers des corps foli-
qui font rares, caverneux Se fpongieux. Comment on
empêche une matière en fufion de fc refroidir promptement.
Ufage du mélange du pouflier de charbon h J’argillc. Suite
de la conflriiclion du baflin. Le fourneau fig. 26. cil princi-
palcmcnt defliné aux fufions ; on les y peut faire avec des
vaiffeaux, ou même fans ce fccours. Détails fur la manière
t a d c ,cc fourneau. Jbid. 240. a. Si l’on veut fort*'
dre à feu iirté des mines de cuivre, de plomb, d’étain, de
f e r , ou réduire Ictus chaux.oii' fcorics, on fc fcrvïra de cen-
d n e r , fig. 32. Détails fur ces opérations. Ibid.b. Fourneau de
fufion qu a dort'né Bêcher, fig. 71. Fourneau qui mérite attention
jjiir fa fingularité : détails que donne fur ce fiijet M. de
Kramer de Vienne. Propriété de ce fourneau. Matière dont
on le fait. Sa édnAruflibn. Ibid. a. La fig. 38 repréfente un
fourneau ue fufion qui prqdtijt‘des effets inconnus jufqu’ici:
r' defeription. Manière d’en faire ufage.
Ibid. b. La fig, 39-44. troiivc aiiffi fa place avec les fourneaux
de fufion. Détails fur..fa cpnffmftïôn. Ibid. 241. a. Manière
• ni i ? ^crt- Mit. b. Avantages que lui attribue M. Cramer.
Vaiffeaux .qu’il emploie' pour fort ufage. Au défaut de
ce fourneau., M. Cramer s’eft fervi avec aflez de fuccès de
fon athanor. Comment il s’en fervoit. Ibid. a.
De s fourneaux d’effai. Proportions que les fournalifles de
Paris donnent à ceux qu’ils font en terre. Comment on fait
des fourneaux d’effai fur le champ. Ibid. b. Fourneau d’effai
fans grille , qui cil Celui de Fachs,fig. ; | | Fourneaux d’Agri-
cola. Ce que dit Stahl fur les fourneaux J ’effai à 1 angloifc,
fis- 4F 4P- Foiirhçau dés éibaillciirs. Pourquoi il cft finis’
grille. Ufagé du fourneau ,fig. 30-33. décrit à l’article Ejfai.
Ibid. 242. a. Circonftances auxquelles il faut faire attention
pour en conduire le feu avec cxaélitudc. Ibid. b.
De s fourneaux d'affinage ou de raffinage. Defeription du
fourneau repréfenté fig. 17-18. tiré de Schluttcr, dont on fe
iért en Saxe, en Bohême, en Hongrie, 6>c. Fourneau dont
Schluttcr fc dit l’inventeur, fig. 19-21. Sa defeription. Ibid. a.
Son ufage. Application du fourneau anglois à l'affinage. Obfcr-
vation fur 1 origine du fourneau anglois. Ibid. b. JLa fig. 22
repréfente un fourneau à vent à affiner l’argent dans un
tcfl fous un moufle. On conflruit pluficurs de ces fourneaux
le long d’un mur fur un foyer commun. Comment
on les difpofe.
Des fourneaux de verrerie. Des athanor s. Ibid. 243. a. Defeription
de l'athanor, fig. 36-60. Manière de le conflruirc.
Ibid. b. Détails fur fou ufage. Ibid. b. Obfervations fur le
xégime du feu dans ce fourneau. Ibid. 244. a. Utilité dont
âl peut être à un effayeur. Defeription de l’athanor. fig. 6.
Jbid. b. Invention d'une forte de tour dans les athaners ,
<lont le charbon tombe dans le foyer des fourneaux qui lui
Font joints. Moyen d’avoir dans 1 athanor de charas un feu
égal pendant vrngt-quatre heures. Différentes formes qu’on
oortnc à la tour de l’athanor. .Moyen de convertir le dôme
«c la tour en un appareil utile, en mettant une terrine â fa
place. Ufage de quatre regifircs niix quatre coins de Tatha*
p o t. Ibid. a. Grille horizontale qui doit le trouver darts la tour
«le 1 athanor j outre la grille du foyer: quand il y adcuxfoiirr
ncaux, & qu’il n’y a qu'une tour, il faut néccffaircmcnt unc
{flaque à l’une Se à l’autre, v c . Figuré conique dé la tour
de l’athanor. M; Cramer cil le premier qui a remédié aux
athanors anciens. Obfervations fur l’athanor de M. Cramer.
Athanors de Gellcrt Se de Ludolf. Ibid. b. On peut confi*
dércr les fourneaux à lampe comme des athanor«.
1 Des fourneaux polychrejles. Il y a des auteur, qui prétendent
qu’avec un pareil fourneau , on peut fe diipenfcr de
tout autre, pourvu qu’on n’ait pas pluficurs opérations à
faire îi )a fois. Examen de ces prétentions. Ibid. 245. a. Il
faut entendre par fourneau polychreAc celui qui peut fournit
à pluficurs opérations dilparates. Obfervations fur ceux
Joint 1,
F O U 777
vo u lu t faire à la foi, dettx
peut i s
fourneau, f y . M m .
Ueccl.cP C£ nP"°Ç du lab°ttttoire portatif de
Becchcr , j% .7 t. Son ufage. l h d .a , b. Divers ditatls fur ica
opérationsauxquelsort peur 1 employer./¿¡d. ëfig - 4 L . fm...
16 mWMi treertt a (a fcfiion, peur encore fcrvtr aux diftilfoiions &
lublimations. Ufages qu’en peut tirer un effayeur. Divers
auteurs qui fe font éxercés à trouver des fourneaux poly-
chreilcs. Ibid. b. Fourneaux dé décoftion proprement, dite,
0.M(l ° n expofe la matière dans une baffi ne , un chauderon,
une cuiller de fer, &>c. avec l’eau expOféq à l’air libre.
Divers Ufages auxquels on peut les appliquer , comme dif-
terens bains, diAillatiôns, fublimarions de certaines matie-
res. Fourneaux de lampe confidcrés comme polychrcAcs :
fig. 64 Se 63. Ufages de ces deux fourneaux. Autres fourneaux
polychrcAcs. On no doit pas appcllcr polychreAc
lF l j ourncau ©n l’on fait deux opérations de mcine genre.
j 247. y . Cependant ce font de tels fourneaux qui ont
conduit a l invention des polychrcAcs. Fourneau catholique ou
umverfel de Beccher. ‘
, f ourntaux philofophiques. Quels font les fourneaux
défij'nés par ce nom. On n’en donne ici qu’un exemple,
o I^oquctaillade, connu fous le nom de
Rüpefcijfa. Efpece de fourneau apnellé philofophique par ceux
qui cherchent la pierre philofppiiale. Defeription d u , fourneau
de Pupefcijfa. Ibid. b. Se luiv. Le fourneau de lampe
clt appcllé fourneau fecret des philofophes. Auteurs à confultcr
luk* les fourneaux philofbphiqucs. En quoi notre four-
ncau ,f ig . 1 , diffère de celui de la Roquctailladc. Ibid.
*4 7- fX
Généralités fur la divifion des' fourneaux. On a divifé les
fourneaux , non d’après Taélion combinée de l’air & du feu,
. mais d’après les corps auxquels on veut appliquer le feu.
Raifons d’une telle divifion. Pourquoi l’auteur n’a point
parié des fourneaux de cémentation. Ibid. b. Négligence
1 des chymiAcs qui ont écrit avant Géber, en ce qu’ils onc
! negligô de parler des uAcnfilés du’ils employoicnr pour leurs
opérations. Enumération des ffx fourneaux eflcntreÎs à un
laboratoire, Se que la plupart des auteurs s’accordent à regarder
comme fuffifans. Ibid. 248. t . a. Méthodes de quelques
auteurs dans la (livifiôn des fourneaux : ces méthodes regardées
comme infuffifantes, & fùjettes à pluficurs inconvé-
niens. Ibid.b. Diverfesobfervationsfur les regifircs, Ibid. 248. 2.
Des degrés du feu . C ’eA par lès regitres Se le foupirail,
qu on regie ces différens degrés. Ibid. ¿.Degrés de feu diAin-
gués par les anciens. Ceux que Vanhclmont a diAingués.
Divers moyens par lefquels on a évalûé les degrés du feu.
Ibid. 248.2. a. Gradation qu’on peut établir entre les feux les
plus violens.
De Paliment du feu. Ibid. b. Concours de l’air néceffairc
pour Pembrafement. Du choix à faire dans le charbon. Les
charbons doivent être tenus dans un lieu fcc. Qualité du
charbon de terre. Celle de la tourbe. De Tufage du bois.
Emploi de l’huile Se de l’cfprit de vin pour entretenir lo
feu. Ibid. 14%.^. a.
Généralités fur le jeu de Pair & du f e u , b f u r fon alimene
dans les fourneaux. Fourneaux qu’on échauffe avec le bois;
Moyens d’éviter les inconvénicns de la fumée. Ibid. b. La
flamme du grand fourneau anglois ne rcflcmblc point à la
flamme ordinaire. A quelle caufe on doit attribuer cette différence.
Suite des obfervations fur la fumée des fourneaux.
Ibid. a. Defeription du poêle fans fumée dcM. Dalcfmc. Ibid. b.
Opérations dans Icfqucllcs il feroit utile d’employer une
flamme qui n’auroit que très-peu ou point du tout de fumée.
Fourneau qui feroit le plus approchant du poêle fans fumée.
Comment on pourrait lui donner cette propriété. Mariera
noire Se fcche qui s’attache à la partie fupérjcurc des fourneaux
dans le four des fournalifles. Des moyens d’établir
des poêles domeAiques fans fumée. Odeur de foie de foufre
Se quelquefois de foufre brûlant qu’on fcntquandonallume
les fourneaux. Ibid. 248.4. a. Mpyen de les allumer lentement.
Pourquoi Taélion du feu dans cette maniere d’aliumer fe
communique de haut en bas. Ibid. b. Diverfes obfervations
fur le feu , les moyens de l'entretenir & de le gouverner.
Obfervations fur Tufage des fourneaux de métal Se des fourneaux
de terre par rapport à la manière dont les uns Se les
autres confervent la chaleur. Méchanifme par lequel le
charbon brûle dans le foyer d’un athanor. Ibid. a. Bains-
marie faits d’un grand chauderon, au milieu duquel pâffe
une tour de fonte qui contient le feu comme une tour d’a-
thanor. On eA en ufage en Pharmacie , de fécher les plantes
, ¿je de tenir fechcs certaines drogues avec, un athanor,
ou „av<rc 11 n P0®lc â l’italienne. Ibid. b. Description du poêle
§ l’italienne. Scs avantages 1 urie poêle ordinaire. Ibid. 248. «.
a. Ses avantages fur les pthanors dont les apothicaires te
fervent pour leurs étuves. Principes qui ont dirigé les
L L L L 11111