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cription de celle de M a r i* IX. É | «■ Machine qui fert 1
élev er l’eau dans le jardin de madame P . X . 803. a , "•
Différentes machines par lcfquclles on peut élever l e a t .
XIII. 8. b , C/c. Machine du pont Notre-Dame à Parts. 66./.
D u travail des chevaux dans les machines hydraulique;.
VIII. l i t . b. Manicre la plus efficace d'employer les hoir.-
mes à des machines qui produifent leur effet par c jeu c
pompes. I l a. Comment M. Dcfaguhcrs détermine le
maximum de la perfcûion des machines hydrauliques, Ibid.
Mcfure de la force du moteur dans ces machines. A . 765.
b. Des tuyaux qui leur font adaptés. X V I . 768. a , b. Lies
proportions de leurs diamètres pour donner une certaine
quantité d’eau, g » , b. 733. ■>. Somme qu on retire a Pans
de la v ente de l’eau pour l’entretien des machines hydrauliques.
TV. 1064. b. D e la conduite des eaux dans les prair
ie s , Suppl. JL 48. b , b c . Paflage qui prouve que les anciens
avoient déjà de grandes connoiflances en hydraulique.
X V II. 163. a. V o y c z ïe s planches d’hydraulique dans le vol. V .
Hydraulique, adj. Artifice hydraulique. I. 74a* »• Statue
hyd rau lique.XV.497.é .
H y d r a u l i q u e , ( Chymie) nom que M . le comte de la
Garaye donne à l’art d’extraire toutes les parties efficaces
des mixtes, fans f e u , fie par le moyen d’un diflolvant général
, commun , fimple, doux fit homogène , lavoir 1 eau
pure. Moyen employé dans cette nouvollc chymie. Détails
fur la maniéré d opérer. VIII. 367. a. On traite par ce procédé
les végétau x, les animaux fit les minéraux. Prétentions
de M ;. de la Garaye fur les produits des fubftances
métalliques retirés par fa méthode. Qu e l a été le produit de
la trituration avec l’e a u , des vipères fie de la corne de
cerf. Obfervations fur les produits de la trituration exécutée
fur les minéraux fit fur les animaux. Ibid. b. Examen
des fcls cflcnriels de la Garaye. Réfumé du jugement de
M. G e o ffr o y le cadet fur cette préparation pharmaceutique.
Avantages de l’infufion ménagée par les gens de 1 art
fur la trituration de M. D . L. G . On doit obfcrver ici que
par l ’une fie l’autre méthode on n’obtiendra jamais que les
fubftances végétales folublcs par l’eau. Jbid. 368. a.
H YD R E de Lerne , ( M y th . ) defeription de ce monftre. Sa
défaite par Hercule. Explication hiftorique de cette fable. VIII.
368. a. Foyer L e r n e .
H y d r e . ( Aftron. ) Hydre femelle, conflcllation méridionale.
Son origine. Nombre de les étoiles. Afcenfton droite fie
déclinaifon de la principale, appelle le coeur de l’h ydre.
Suppl. III. 468. b.
Hydre m i l e , conftcllation plus méridionale qui ne paroit
point dans nos régions. Afccnfion droite fie déclinaifon de
fa principale étoile. Suppl. 111.468. b . ............................
H y d r e , ( B la fo n ) meuble d’armoirie. Signification do ce
fymbolc. Suppl. 111. 468. b.
H Y D R E N T É R O C E L E , (C h iru r g .) compofition de ce
mot. Qu elle cft cette maladie, fie la maniéré de la traiter.
VIII. 168. *. , . , ,
H Y D R IA , ( A n t iq . ) vafe percé qui repréfentoit le dieu
des eaux chez les Egyptiens. Adoration de ce vafe. Efprit fie
but de cette cérémonie. VIII. 368.6.
H Y D R O B E L E , ( Chirurg. ) tuméfaflion de la peau du
ferotum, eau fée par des humeurs aqueufes. Defeription de
cette maladie. Son traitement lorfmi’clle arrive aux enfans
nouveau - nés. Son traitement dans les adultes. V 111.
368. b.
H Y D R O C A R D IE , ( Chirurg. ) hydrppific du péricarde.
Scs caufcs. VIII. 368. b. D iv er s fignes auxquels on reconnoit
cette maladie. Ce s Agnes ne font pas univoques : il' n’y a
que la douleur 8c l’opprcffion fur la partie antérieure de la
poitrine qui puiffent indiquer que l’eau cft ramaffée dans la
capfule du coeur. Recherches de M. de Senac fur cette maladie.
Remcdcs contre l’hydropifie du péricarde. Précautions
à prendre en faifant la ponélion. Ibid. 369. a.
H Y D R O C E L E , ( Chirurg.) tumeur du ferotum formée
par une collc&ion de lymphe. Etymologie de ce mot. D eu x
fortes d'hydroceles. Divers fentimens des auteurs fur le ficge
de cette maladie. Celle qui fe fait dans la tunique vaginale
du tcfliculc cft la plus ordinaire. Caufcs de l’hydroccle.
Efpecc d'hydroeele fymptômatique. V 111. 369. b. Aetius
nous apprend qu’Afpafia a mis cette maladie au nombre de
celles des femmes. La cure de l’hydroccle cft palliative ou.
radicale. En quoi confiftc la première. Defeription de l’opé
ration attachée à la cure palliative. Panfemcnt qui doit lui-
v r c . En quoi confifte la cure radicale. Jbid. 370. a. Méthode
particulière d’opére r, propoféc par M. Bcrtrandi ,
pour éviter les inconvéniens qui peuvent venir de l’ufagc
des cauftiqucs ou de l’incifion. Traitement de l’h ydroccle formé
par la maladie du tcfticulo. La dcftru&ion du fac cft un
objet très-important dans l’opération fie dans la cure de 1 hydro-
cclc. Ibid. b.
Hydrocele mêlé d’air. VIII. 376. a , b. Efpecc d’hydroeele
confondu avec le farcocelc. X lV . 646. b. Enfans guéris d’h ydroeele
par latranfplantation.XVl. 359. b.
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H Y D R O C E PH A L E , ( Chirurg.') hydropifie de la tête.Plu-
ficurs efpcccs d’hydrocéphales, eu égard à la fituation des eaux.
VIII. 370. b. La feule qui cft prouvée par les obfervations,
cft l’augmentation contre nature des eaux qui font naturellement
dans les ventricules du cerveau. Effets de.L’hydrocéphale
des enfans dans le fein de leur merc. Caille» fie lymptô-
mes de cette maladie. On remarque qu’elle cft particulière
aux enfans. Elle pourroit être traitée dans fon principe par
l’ufagc des hydragegues; m aislorfqu’c lle cft confirmée elle eft
incu rablc. Ibid. 371.4«
H Y D R O C O T IL E , ( Bota n. ) caraftercs de cette plante.
Lieux où elle croit. Scs propriétés. Etymologie de fon nom.
V I I I . 3 7 1 . a PbyrçEcuELLE d ’e a u .
H Y D R O D Y N AM IQ U E , le premier qui s’eft fervi de
c e terme eft M. Daniel Bernoulli. C e favant paroit é:re le
premier qui a réduit les loix du mouvement des fluides à
des principes fûrs. Traités danslefquels il a donné l’explication
de fa nouvelle théorie. Principe dont il fe fert principalement.
Ou vrage de M. Jean Bernoulli dans lequel il
fc propofe le même objet. Efiai de M. Maclaurin fur le
mouvement des fluides qui coulent dans des vafes. O u vrage
de M. d’A lcmbcrt fous le titre de traité de l ’équilibre
6* du mouvement des fluides. Précis de "cet ouvrage. V lIL
3 7 t . b. F oy er au mot flu id e les principales loix du mouvement
des fluides. Réflexions qui fervirout comme de complément
à c e qui a été dit dans cet article. La première a
pour objet la contraftion de la veine d’eau qui fort d’un
vafe. Obfervations fur la cataraéle de Newton. La féconde
réflexion de l'auteur regarde la preftion des fluides en
mouvement. Foy er au mot flu id e la méthode de déterminer
cette preftion. Obfervations fur cette méthode Ibid. 372.
a. fie particulièrement fur la théorie de M . Daniel Bernoulli,
qui prétend que dans les cas où la formule qui exprime
cette preftion devient n ég a tive , la preftion doit fc changer
en fuétion. Ibid. b. La troificme obiervation de Fauteur a
pour objet l’application du calcul au mouvement des fluides.
Ou vrage à coufultcr fur la méthode générale pour appliquer
le calcul à ce mouvement. Avantages de cette méthode.
Réponfc à M. Eulcr qui a prétendu qu'elle n’étoit
pas aufti générale qu’on pourroit le defirer. Ibid. 373. a*
Sur la réliitnnce des fluides au mouvement des corps , voye^
les articles F l u id e b R é s i s t a n c e : ouvrages à confultcr fur
le même objet.
Hydrodynamique, cette fcicnce diftinguée de l’hydraulique.
V I I Î .3 6 0 .6 .
H Y D R O G R A PH IE , partie de la géographie qui confidere
la mer en tant que navigable. Etymologie du mot. Objets de
cette fcicnec. En quoi confiftc l’hydrographie, lorfqu’on entend
par-là l’art de naviguer. Foy e{ N a v i g a t i o n , C a r t
e s , Pi l o t a g e . Ouvrages qui ont été publiés fur ce lùjcr.
V I I I . 373. b.
.H Y D R O G R A P H IQ U E S , cartes. V I I . 6a6. a . Suppl. IL
23 1 . b.
H Y D R O L O G IE , ( H ifl. nat. ) partie de l’hiftoirc naturelle,
qui s’occupe de l’examen des eaux en général, de leur nature
fit de leurs propriétés. D iv c r fc s modifications que les
eaux fouffrent en fc combinant a v e c les fubftances avec le s quelles
elles ont quelque analogie. V I I I . 373. b. Nulle eau
n’eft parfaitement pure. D iv er s naturaliftes ont diftribué les
eaux félon différentes clafles , fondées fur les différentes
fubftances auxquelles elles fe trouvent jointes. M. Wallerius
divife les eaux , en eaux douces , fie en eaux minérales.
Subdivifions de Ces deux clafles. Enfuite c e t auteur parle des
eaux qui fc trouvent dans les minéraux, les plantes fit les animaux.
Nouvelle hydrologie publiée par Cartheufcr. Q u e lle
eft fa diftribution méthodique. Ibid. 274. a.
Hydrologie, fcicnce qui traite qe la nature des différentes
e a u x , de leurs propriétés fpécifiques 6c de leurs ufages. O u vrages
fur ce fujet. ' Suppl. III. 4^8. b. Elquifle de cette
fc icn ce , telle qu’il conviendroit que quelque favant entreprit
d’en développer toutes les parties. I. Idées générales fu r
l ’eau. Son expanfibilité. Chaleur qu’elle peut acquérir. Sa
pefanteur fpécifique. Sa volatilifation. Sa congélation. Son
incompreftibilité. L’eau pure paroit inaltérable 6c indeftruéü-
ble. D e la combinaifon de l’eau avec différentes matières.
Q u elles font les eaux les plus pures. Jbid. 469. a. II. Efpeces
d ’eaux. Leur divifion en eaux communes 6c eaux compo-
fées. III. E a u x communes : envifagées premièrement par
rapport à l’a ir , d’où elles tombent fous différentes formes,
fie enfuite par rapport à la terre qui les reçoit. Différentes
pefanteurs des eaux. Propriétés des eaux de roche. Eaux de
fotircc qui coulent périodiquement. Eaux de puits naturels.
Conftru&ion des puits artificiels. Différentes qualité»
des eaux des rivières 6c des ruifleaux. Les eaux les plus
mauvaifes pour les hommes 6c les b ê te s , même poiïr certains
poiflons , font les eaux morte s, dormantes, ouftagnan-
tcs. Des eaux des lacs. IV . E a u x compofées. Leur combinaifon
cft d’autant plus parfaite, que les matières q m y font
difloutes ont plus d’affinité avec l’eau. Ibid. 470. a . O u les,
H Y D
ttüftingue en froides fie en chaudes. V . E a u x de Hier. Pfin-
ICI IWillllUlII lUUICilUe U4ID 1 VilU. VUUIIIKIIl VII GAIItfll IV «V»
d e l’eau de la mer. Différens fcls qu’on en tire. V I . Fontaines
fa lée s. Principes dont leurs eaux font compofées. Ibid. b. Comment
on en fait cryftallifcr le Tel. Expérience par laquelle ,
on reconnoit ces eaux falées. V I I . E a u x minérales. Ces eaux ,
font froides ou chaudes. Dans la première elafte, il y a les
eaux froides fpiritueufes ou éthérees. Il y a des eaux minérales
groffiercs, qu’on nomme eaux cru es, eaux dures, eaux ;
terreufes. Nature 6c propriétés de ces deux efpeces d’eaux.
Eaux vitrioliques de cémentation cuivreufe. Eaux vitrior
liques martiales. Eaux vitrioliques de zinc. Ibid. 471. a.
Eaux alkalines. Eaux bitumineules. Eaux fulphureufcs. Sour- .
ces acidulés dans différentes combinaifons. Eaux qui contiennent
un fel neutre. Eaux favonneufes ou fmeélites. Eaux
qui contiennent plufieurs fortes de fols unis 6c combinés.
Ib id. b. V I I I . E a u x thermalest fécondé claffe d’eaux minérales.
Çaufes de leur chaleur. Différentes efpeces de ces eaux. Principes
de le u r compofition. IX. Mélanges de tous ces principes ,
avec l ’efprit. Jbid. 47a. a. Propriétés que cet efprit donne à
ces eaux. Qualité qu’elles acquièrent par fon évaporation, j
L e s eaux de pluie font les plus fpiritueufes. Sources dont les
eaux renferment le plus d’efprit. Expofé de différens articles
que devroit développer un traité d’hydrologie complet. Ibid. b.
X . Epreuves des eaux pa r les fen s . Leur limpidité n c ft pas toujours
une preuve de leur pureté. Comment il arrive que les
parties métalliques plus pefantes peuvent flotter dans leau , .
fit devenir invilibles. Comment la vu e , l’odorat peuvent aider
à connoître la nature de l’eau. Du goût des différentes efpeces
d’eaux. Ibid. 473. a. Ufage de la balance hydroftatique pour
connoître leurs qualités. X I. Epreuves par la chymie. Ces
épreuves diftinguées en deux clafles j favo.r les générales fie
les particulières, dont on donne ici la defeription. Epreuves
pour découvrir dans l’e a u , le cuivre , le fer ,, le zinc , e
foufre , l’acide vitriolique, l’a lk aü , le vitriol martial v o la til,
l ’a lun, le fel neutre, les eaux crétacées. Méthodes à employer
pour découvrir la quantité ou la proportion dont les eaux
minérales font pénétrées de ces principes. Manière de précipiter
les p a r t ie s f e r r u g in e u f e s , ochreufes ou pyriteufes, qui
nagent dans certaines eaux. Ibid. 474. *■ Comment on s affure
qu une eau contient du fel marin ou du fel commun, ou qu el e
renferme des fels neutres. Principaux moyens ( ç i o m é t è
imaginés pour connoître la compofition des eaux. XII. Obfervations
générales fu r les propriétés des eaux
1 eau eu u y j nuifib es aux animaux. Eaux
lesp iu siaiu . « . fortent i,eux ¿levés
fonl-bonnes ou mauvaifes. Des P ' j f f 4“ f * P}e“ t
S à A diftillation
font pomtpo ables Leur ana ^ quantité i ’.au. Cet.e
pourra retirer raflembler une longue fuite, fit comlorfque
1 on cn pourr divers tems 6c en divers
r er r ' ^ n t i r ^ e am e n d e anature lieux. Comment le lage auteur u a fuppléé auM doéufavue-t
de"leur mouvement & de leur cirment
d u eaux. iVJtül» rifultent fes divers ufages
perpdnmr&'rempiacementfucce^ffdefeau^dans loutre globe.
e a u x des m e r s , ■®e s . l . . du glob e. S a g e flc a v e c laquelle
t o u s ’ l e s ’m o u v e ^ en s dont on »daneds 8e caleulé
s. Ibid. t . | r . Br£,iire l’a v en ir par le m o y e n
S i - & d iv in a tio n .
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V I I I . 374* à. inventeur de l'hydromantie, félon Varrort.
Maniéré de conftruire une machine, par le moyen de laquelle
on fera perdre une image ou un objet de vue au fpeélateur,
6c on le lui fera appcrccvoir de n ou ve au , fans changer la
pofitien de l’un ou de l’autre. Maniéré de conftruire un vaif-
feau hydromantique , qui repréfente les objets extérieurs
comme s’ils nageoient dans l’eau. D iv er fes efpeces d’hydro-
m an tic ou divinations par le moyen de l ’eau, employées par
les anciens. Ibid. b.
Hydromanthie. Faute à corriger dans cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. III. 477. b.
H Y D R O M A N T IQ U E , ( Mathém. ) art de produire par
le moyen de l’eau des apparences fingulieres. Deux faits très-
connus fur lefquels cet art eft fonde. VIII. 373. a.
H Y D R O M E L , ( Pharm. ) maniéré de faire l'hydromel
fimple, 8t l’hydromel vineux. Suppl. III. 4^7. b. Propriétés
médicinales de cette derniere préparation. Comment on fait
l’hydromel compofé. Ibid. 4781 a. Son^ufage médicinal. Précaution
par laquelle on peut confcrver l’n ydromel pendant
plufieurs années. Ibid. b.
H y d r o m e l ; méthodes pour le faire. X V II. 293. a. 294. a.
Foy e[ M ie l . Hydromel en ufage chez les Abyffins. XIV»
658. b.
H YD R OM É TR IE , ( Ma th . 6* P h y fla .) En quoi confifte
cette fcience. C e mot eft moderne. Chaire d’nydrométrie
fondée dans l’univerfité de Bologne en 1694. VIÏI. 373. a.
H Y D R O M PH A L E , ( C h ir .J tumeur au nombril. Etym.
du mot. Comment on diftingue cette tumeiir des aiitres
qui viennent au nombril. Moyens de la diffiper. VIII»
373. a.
H Y D R O P A R A S T A T E S , (HiJI. m l ) voyrç E n c r a t ï t e s .
H Y D R O PH A N E , ( H ifl. n a t .) genre de pierres à demi-
pellucidcs. Etym. de ce mot. Nature 8c caraftere de ces
pierres. D eu x efpeces de ce gen re , l’une appellée la purr t
changeante, l’autre /’tri/ de Belus. VIII. 37Ç. b.
H Y D R O PH O B IE , ( A i « « . ) Etymologie de ce mot.
Pourquoi la maladie de la rage eft appellée de ce nom. VIII.
376. a. t
Hydrophobie. Méthode des anciens dans le cas de la mor-
fure des animaux enragés, qui devroit être la règle de notre
conduite. V I . 623. b. Obfervations fur l’hydrophobie , St
les moyens de la guérir. XII. 631. a. Vüyt{ R a g e .
H Y D R O PH O R E , ( My th. ) ftatue de bronze. A quelle
occafton Thémiftode l’avolt fait faire. Hlfloire de cette ftatue.
Examen d’un fentiment de M. Dacier. VIII. 376. a.
H YD R O PH IL LO N , ( Bot. anc. ) nom donné par les
auteurs G re c s , à une plantc-qui croît auprès des truffes. Obfer-
vations fur ce qu’ils nous difent touchant cette plante. V l l l .
37H Y D R O PH TH A LM IE , ( Chir. ) dilatation du globe de
l’oeil caufée par l’augmentation contre nature du volume des
humeurs. Les anciens fe fervoienr mal-à-propos du mot
exophthalmie pour exprimer cette maladie. Signes auxquels
on reconnoit que la caufe de la maladie eft tfans l’augmentation
de l’humeur aqueufe, ou dans celle de l’humeur vttree.
Douleurs qu’éprouvent les malades. Traitement de l’hydroyh-
thalmie félon ies différentes clrconftances. Exemples d ou l oti
déduit la néceflité 8c la maniéré de ce traitement. V I1L
3 H Y D R O PH Y SO C E L E , (C h i r . ) tumeur du ferotum,'
hydrocele mêlé d’air. VIII. 376. a. Signe auquel cette complication
fe fait connoître. Remedes pour difliper la flatuofitè
de l’hydrocele. Ibid. b. _.
H YD R O P IS IE , ( Mtdcc. ) En quoi elle cpnfifte. Uilte-
rentes efpeces de cette maladie. Leucophlegmatle. Anafarque.
Hvpofarque. Hydrocéphale. Bronchocele. Hydropifie de
pmu lne, voytr P o i t r in e . Hydiocardie. Afcite. On defigne
par ce dernier nom celle qui fe forme dans le bas-ventre ,
Sue l’on a communément en vue lorfquon parle d hydroplfie
finalement, 8c dont ¡1 eft principakuicnt traité dans cet
article VIII. n h . b. Du fiege de 1 hydropifie g on la dif
tinEue en enkiftée, 8c véficulaire. Hydropifie du ferotum ,
h y ln e eU . Celle de la matrice, des ovaires, du vagin ; voyrç
ces mots. Enflure oedémateufe, ademe. La tympamte 8c 1 cm
phyfeme font placées mal-à-propos par quelques auteurs parmi
Fes différentes efpeces d'hydropifie. Caufes prochaines de cette
maladie. 1°. T o u t ce qui peut faire obftade au coûts de la
lymphe féreufe. Ibid. 377- «• Quelques-unes de ces caufcs
confirmées par une expérience de Lower fur les chiens. a .
La diflolution du fang. Pourquoi les phtifiques paroiffenr fou-
vent mourir hydropi?ues Ibid b. Elle peur
diatement, ou être à la fuite d une autre maladie. Différentes
caufes éloignées de l’hydropifie dans le
j . „ 1 1 . „Si cft la fuite d’une autre maladie. Ibtd. 378. a.
Avmn/éffie/ de l’hydropifie , 8c parficnlléremen. de l’afcite.