
3 0 0 C H E
battent dttflaflc.ll. 155. *. Chatouilleux. 'H. 25t. n. Cheval
de deux coeurs. 601. *. Cheval qui fe coupe. IV. 3 51. 0. Ute-
val effilé» V. 408. <*. efflanqué, Ibid. b. ¿hanche, 439. a, b.
Cheval qui s’embarre. <50. b. Cheval qui s’emporte. 594- a > *
Cheval encapuchonné, 606. a ,b. encaftelé, Jbid.b. enc e-
vêtré, 6ai. b. enfeUé,7i3. a. entablé, acculé, 716. .
entier, 723. « , ¿. irréfolu. 724. «. Cheval qui nt^ccouP®>?
b. qui s’attrappe./W.C h e v a u x craignantleau,chevauxqiusy
couchent: moyen de les guérir. a o o a . i .a ïo .u iD é am s
des épaules des chevaux, 7,7. *. - 7«»; *• < ¡ 8 *
VI. 4Ï4. i. Cheval coufu, 843. - 9M- “ • Çlwval
qui forge. VH. >7°. Cheval gros dhaleute. 9,3. 4 , ¿. Chevaux
plats. Suffi. U> «xi- Cheval ranungue. 3QIL 785. e.
Effet de l’ivroiefiir les chevaux vicieux. XVII. 684. b. Garantie
dans la vente deschevaux. VH. 481. a,b.
V Quelques maladies des chevaux. De 1 art de guérir les
chevaux, voye^ Hip pia triq ue. VHL 210. b. Defeription
& traitement de leurs maladies, foit externes, foit internes.
Suppl. III. 401. a, b. &c. Réflexions fur les maladies des chevaux
& les livres qui en traitent. V. 579. b. La nature fait plus
pour la guérifon du cheval que pour celle de l’homme. VI.
74. b. Maladie des chevaux appellée les eaux. V. a 10. a, b.
Autres maladies dont le principe eft le même. 212. a,b. Ecart,
accident qui furvient aux chevaux. 219. b. 220. a, b. Ebullitions.
217. b. Surdents du cheval. XV. 686. a. Cheval encloué,
ferré, piqué. V. 62 ç. b. Enflure du cheval. 673. a. Tumeurs
du jarret. 751. a, b. Maladies des épaules. 7 5 7 b. &c. Epauler
un cheval. 763. a. Châtrer un cheval. III. 251. b. Les autres
maladies & opérations de maréchallerie fe trouveront décrites
à leurs articles particuliers.
VL Des chevaux par rapport à leurs différentes efpeces. Chevaux
de Barbarie. U. 71. b. Suppl. III. 29 y. a. Petite efpece
nommée bidets. II. 242. b. Des chevaux arabes Sc de leurs généalogies.
I. 566. b. Suppl.l. 509. u. Efpeces de chevaux qu’il
faut dans un état militaire & commerçant. VIIL 42. a. Chevaux
de Theffalie. XVI. 276. b. Chevaux d’Efpagne. Suppl.
III. 293. a.
VU. Des chevaux par rapport à Véquitation. Ancienneté de
l ’ufage des chevaux. Suppl. ul. 372. a. Il eft difficile de fixer
le tems où les hommes ont imagine de réduire le cheval & de
le maîtrifer. V . 5 38. a. Comment 3 eft vraifemblable qu’on
parvint infenfiblement à emboucher les chevaux. Ibid. b. Ancienneté
de l’ufage que l’homme tire du cheval : hiftoire de
l’art démonter à cheval. 883. b. &c. Armes défenftves des chevaux
dans les anciens tems. 1. 688. b. Cheval bardé. Suppl. L
808. b. De l’exercice du cheval par rapport à la fanté. V . 894.
a , b. Suppl. II. 848. a, b. Caparaçons (les chevaux. EL 625. b.
De la danfe des chevaux. 46. a. Courfes des chevaux, voye[
C ourse , Éq uit at io n .
VIII. De l ’entretien du cheval. Du foin que l’on doit avoir
des chevaux. Suppl. III. 400. b. De leur nourriture. Ibid. a , b.
Du fourrage. VII. 248. 9.«, b,c,d. 249. a,b. VII. 39.6.230. a.
Ufage de l’eau pour les chevaux, comme boiflon ordinaire,
comme boiflon dans leurs maladies, avec préparation, comme
employée à l’extérieur de l’animal. V. 206. a, b. &c. Soins
qu’exigent les pieds des chevaux. IV. 373. b. Nouveau fyf-
tême fur les moyens d’avoir en France, fans recourir à
l'étranger, les meilleures efpeces de chevaux, pour les divers
ufages du royaume. VIII. 42. b. Sec. De l’art dé perfectionner
les races & d’élever les chevaux, voye% Ha ras. Des
exercices auxquels on aflùjettit les chevaux. Suppl. III.
400. b.
IX Du cheval par rapport àu manege. Des mouvemens du
cheval. Suppl. III. 396. a, b. Airs du cheval. 1. 229. a. Allures.
289. b. Pas. XH. no . a. Enchaînement 8t dépendance des
diverifmouvemgns de l’animal. V. 239. b. Cheval uni, XVII.
380. b. défuni, IV. 900. a. qui dévide. 909. a. Méthode à
iuivre pour donner au cheval fes premières leçons. III.
689. a. Moyens de gagner fa volonté. VII. 423. a. De l’art de
donner de la fouplefle aux mouvemens de l’animal. V. 630. b.
Gourmer un cheval. VIL 733. b. Conduire fon cheval étroit
ou large. HI. 843. b. Elargir un cheval. V. 441. b. Embrafler
un cheval. 360. b.Faire fàlquerun cheval. VI. 388. a , b.
C h ev al , ( Agricult.) examen de la queftion, s’il vaut
mieux fe fervir de boeufs ou de chevaux dans le labourage.
VI. 329. a,b.
C heval de rencontre ,{Jurifpr.) ce qu’on entend par-là dans
k coutume de Poitou. III. 207. b.
Cheval de fervice. Cheval dû par le vaflal au feigneur féodal,
ancienne coutume qui a donné lieu à ce droit. Différence
entre le fervice du cheval & le cheval dé fervice. Coutumes
- pu Ü eft parlé du cheval de fervice. Diverfes maniérés
d’eftimer & de payer ce droit, félon les différentes coutumes.
III. 5? 7* b. Qualités que devoit avoir anciennement le
cheval de fervice. Ouvrages à confulter. Ibid. 308. a.
Cheval traverfant, eft le cheval de fervice que le vaffal,
qui tient à hommage plein, doit par la mutation du feieneur
féodal en certains endroits du Poitou. Il ne faut pas confondre
co cheval avec celui qui eft dû par la mutation du vaffal. Arti-
CHE des où il en eft parlé. Divérfes difbofùions de la coutume dè
Poitou, relatives à ce droit. III. 308. a.
C heval marin, poiffon de mer. Selon Arthedi, on l’avoit
Inis au nombre des infeâcs. Pourquoi on l’a nommé cheval
marin. III. 308.’ a. Sa defeription. Ibid. b..
C h e v a l , ou petit cheval, ( AJlron. ) conftellation. Son
origine. Étoiles qu’elle contient. Lohgitude & latitude de la
principale. Suppl. II. 390. a.
Cheval, petit, conftellation. III. 308. b.
C h e v al de bois, cheval de fiife, (Art milit.1) Ufage qu’on
en fait. Origine du nom. Defeription. III. 308. b.
C hev al de terre , ( Marbrier ) III. 308. b.
C h e v a l , (Zi/r. Mvthol. ) figure fymbolique. XV. 7**
Déefle des chevaux. VIII. 217. a. Chevaux de plufieurs divinités.
Suppl. UL 376. b.
C h ev al , ( Blajon) animal qui paroît de profil dans l’écu:
Différentes épithetes qu’on lui donne, félon la maniéré dont
il eft repréfenté. Eloge oc qualités du cheval. Il eft l’hiéroglyphe
de la valeur Sc de 1 intrépidité. Suppl. U. 390. a.
C h e v al , ( Blafon) cheval effaré , Suppl. IL 775. b. gai.
Suppl. III. 166. a.
C h e v a l , ( Mvthol. ) animal coflfacré à Mars. Sa vus
étoit un préfage de guerre. Les Perfes, les Arméniens, les
Maflagetes immoloient des chevaux au foleil. Les Sueves
nournffoient des chevaux blancs , dont ils tiroient des pré-
fages. Suppl. IL 389. b.
Cheval de Troie. Hiftoire de cette machine , par le moyen
de laquelle les Grecs prirent la ville de Troie. Cette fiâioh,
qui nous paroît aujourd’hui fi folle , étoit appuyée fur une
vieille tradition, oc fur la crédulité des peuples. Paufanias
croit que ce cheval étoit une efpece de. bélier, qu’Epéus
imagina pour battre les murs de Troie, Sc qu’on y fit une
large breche , par laquelle l’armée entra la nuit dans la ville.
Suppl. II. 389. b.
C h e v a u x , courfes de , ( H ijl. anc. ) origine & progrès
des courfes de chevaux. Suppl. U. 390.a . La table en rapporte
l’origine à Hercule, l’aîné des Cu. etes, qui propofà un jour
à fes freres de s’exercer à la courfe, &de voir qui d’entr’eux
remporteroit le prix. D’autres difent que Jupiter, après avoir
triomphé des Titans , inftitua lui-même les exercices de la
courfe à Olympie, & qu’Apollon fut vainqueur. U eft hors
de doute que ces premières courfes fe firent à pié ; le cheval
n’étoit point encore alors un animal domeftique. Le premier
héros dans la Grece qui trouva le fecret de le dompter , fut
Bellerophon, Sc il s’en fervit utilement à combattre un monftre
terrible, qu’il tua enfin à coups de fléchés. Ibid. b. Il paroît
de-là que l’ufàgc de monter à cheval ne commença en
Grece , que l’an du monde 263O, 13 ou 14 cent ans avant
l’ere chrétienne. —■ Mais il eft certain , d'après l’Hiftoire
faime , qu’en Égypte on fe fervoit de chevaux long-tems
auparavant. — Lés poètes ont fait Neptune créateur dit
cheval ; mais les hiftoriens plus amateurs du vrai que du
merveilleux , ont abandonné ce conte , dont on n’a pu
trouver le fens allégorique. — L’exemple de Bellerophon
donna aux princes de la Grece le goût des chevaux Sc de
l’équitation. Les haras de l’Épire , d’Argos Sc de Mycenes,
l’emporterent fur tous les autres. — Les Theffaliens, peu-
Eles voifins de la Grece , Ibid. 391. a. Sc parmi eux les
apites , excellèrent dans l’art de manier un cheval. — Ce
fut à-peu-près dans ce tems que Pélops fit célébrer les jeux
olympiques en l’honneur de limiter , avec plus de pompe
que n’avoient fait fes prédéccfleurs ; Sc l’on peut croire,
avec affez de fondement, qu’il y eut à ces jeux des courfes
de chevaux Sc de chars | mais il paroît que les chevaux étoient
encore alors rares & précieux. — On ne peut douter qu’à
toutes les célébrations fuivantes des jeux olympiques , il n’y
eût des courfes de chevaux Sc de chars. Ibid. b. Interruption
de ces jeux depuis Oxylus, roi des Éléens. Les divers combat?
qui en formoient le fpeâacle, ne fe maintinrent dès-lors
tout-au-plus qu’aux funérailles des princes & des héros de
la Grece , dans lefquelles les courfes de chevaux Sc de
chars avoient été introduites dès les premiers tems. — Mais
quatre ftecles environ après la prife de Troie, Iphitus, un
des defeendans d’Oxylus, rétablit les jeux olympiques. Alors
ils prirent une forme régulière , & on les poliça par de
bonnes loix. - Mais ce ne fut que peu-à-pen qu’on y rétablit
les différens exercices qui avoient été auparavant en ufage.
Ibid. 392. a. Et il eft certain que la courfe des chars n’y fut
ramenée qu’en la XXVe olympiade, plus de cent ans après
le rétabliffement de ces jeux. — En combien de manières fe
diverfifioient lés courfes de chevaux. i°. On couroit avec des
chevaux de felle , 20. avec des poulains montés comme des
chevaux de felle, 30. on couroit avec des jumens, dont on
montoit l’une, & l’on menoit l’autre en main. - Dans toutes
ces courfes, les enfans étoient admis à difpmer le prix auffi
bien que les hommes. - Ayant que d'achever la arriéré
iàlloit tourner autour d’une borne , plantée dans un endroit
f. ferré, fi périlleux , que quiconque n étott pas fort adron ,
couroit rifque de tomber du cheval SC de perdre la viflone.
** NI CHE .ScS étoit différent de
^fui où i on couroit en char. Le ftade fervoit pouf les courfes
f t ï l Sc fans doute étdit moins long que lhippodrome qui
Æ.Îvnit oour les courfes de chevaux. Ibid..393 * a.
W t i m do cirque. Honneurs qu’on fctfoit aux chevaux ou.
.vohmt courü dans le cirque, Dans certaines infcnptions, les
différentes couleurs de ces chevaux font marquées; on trouve
j . nç d’autres le nom de leur patrie. Suppl IL 393-a-
C h e v a u x du foleil, ( Mythol.) figniiicauon des noms que
les poètes leur ont donnés. Suppl. II. 393: u.
Chevaux de Murs. Servtus les nomme emue Sc photos. Suppl.
^ 'c & u x d , Laomedon. Ceux que ce prince promit à Her*
r f n * 93Comment Anchife|procura: de la race de
c e u x quejupiter avoir donnés i Tros. lorfqu’il lu. enleva fon
xante. Ils étoient immortels.
^HEVALÉMENT, efiiecéd'étai, compofé d’une ou de
plufieurs pièces de bois. Defeription & ufagek III. 308. b.
. Chevalement, tête de , XVI. 203. ai
CHEVALER, ( Maneee ) III. 308. m s ■ ;
Chevaler. Ufage de ce verbe dans prefque tous les arts ou
l’on fe fert de chevalet. III. 308. b. n.,,*«»
CHEVALERIE. Diverfes fignifications de ce mot. Quatre
fortes de chevaleries. Chevalerie militaire i d’ou vient le nom
de chevaliers dorés.Cette chevalerie n«ft point héréditaire.
«Ile s’obtient. & ne peut être révoquée. Chevalerie régulière.
tLauThonorai,e. Chevalerie faciale; Auteurs nu. ont natté
delà chevalerie, HI, 300. a. Ce que dit M. de Vlontefquieu
fur l’origine de la chevalerie. Naiffance de la galaniene.
^ “chevalerie. Romans de Chevalerie. Tems de l'origine
de la chevalerie. XIV. B § 9
l’inftitmion de divers ordres de ch e v a le r ,e . lli. î ^ u. Des
■ordres de chevalerie. XI. 601. a , t. - 60 5. i. La chevalerie
étoit autrefois le premier degré d’honneur dans
E l l ie . u. Différentes cahÆs qui firent naître lefpnt de
’chevalerie. XIV. 343. a. Accolade dans la chevalerie. L 73.
i Nobleffe de chevalerie. XL 17e. a. Voeux de chevalcne,
XV1K 414. b. V. 679. a , b. Liqueurs que fervotent les
ècuycrs dans les feltins de chevalerie. Vin du coucher. XII.
^ C hevalerie, (Jurifpr.) cas de chevalerie. Aide de cheva*
lerie. III. 309. b.
C h e v a le r ie , terme de coutumes. 111. 309. *• .
CHEVALET. Chevalet ordinaire. Sa defeription. 111*
Ï0& h Èvalet , (Hijt.anc.) forte de torture-pour tirer la
Vérité des coupables* Pourquoi «e fupplice a été aboli; 11 ne
»’employoit d'abord que pour des efdaves. En auoi il con-
fiftoit. On s’en eft lervi contre les chrétiens. 111; 209. bt
Cet inftrument employé en Angleterre par le duc d Excter,
gouverneur de la tour fous le regne de Henri VL 111.310. a.
Chevalet, fupplice. XV. 676. b.
C hevalet au peintre, ( Afiron. ) conftellation méridionale.
C hevalet , outil d’arquebufier. Defeription Sc ufage. III.
31 C hevalet , terme de paffementier^boutonnier. Defcrip-
tioh & ufage. III. 310. a. , , ..
Chevalet , en terme de cardeur, de chamoifeur , en
charpenterie , HI. 310. a. en termes de ch^uderonriier , de
corderie, de corroycur, de couvreur, de doreurs fur bois,
«n terme d’hydraulique. Ibidt b.
Chevalet. Travail du chamoifeur fur le chevalet. 111.7 1. a.
C hevalet du tympan, en terme d’imprimerie. III. 310. b.
C hevalet , dans les inftrumens de mufique. Ul. 311. a.
C hevalet dont fe fervent les tanneurs, mégimers, pelletiers,
&c. III. 311. a. .
C h e v a le t , (Peinture) defeription de cet inftrument. Maniéré
de l’employer. 1H. 311. a. Voyc{ vol. VU1; des planeh.
Peinture, pl. 4 * s » 6.
C h e v al e t , (Rubann. ) IH .3 1t.a. . .
CHEVALET , ou machine à forer, ( Serrur. ) defeription &
Ufage. III. 311. a.
C hevalet , terme de tonnelier. III. 3 n . b.
CHEVALIER , ( Hijl. anc. ) fécond ordre de la république
romaine. Ce qu’étoient lès chevaliers dans les premiers
tems. Dans les derniers tems , ils devinrent publicains,
fermiers des impôts. Marque de leur ordre. Boiflcaux d’an-
teaux de chevaliers, recueillis par Annibal. Pierres gravées
de ces anneaux que conferVent les antiquaires. Revue que
les cenfeurs faifoient des chevaliers à chaque luftre. Caufes
qui les faifoient exclure de cet o/dre. Son aviüffeiuent fous les
empereurs. III. 3 l l .^<
Tome i,
CHE p* ÇheValIers Romains. Leur, origine'. 35«'. b. Suppl. IV.
672. b. Anneau des chevaliets. I. 480. a. Tuniquè (lès chevaliers.
VIII. 13. «'.Comment céux qui avoient exefcé une
magiftrature cûrule i idonnoieht leur fufffage dans le fénat.
Suppl. IÉ 303. ¿.Compte que rendoient ceux oui avoient
fervL Gomment ils s’eJtemptèlrettt dans la fuite au fervice.
Suppl. b\ . . — , ■
C hevalier , {Hift. ffiod.) uiie perfontie élevée oU par
dighité , où par attribution , au-deflùs du. rang de fimple
gentilhomifle. La chevalerie Étoit autrefois le premier degré
d’honneur dans les armées. Ce qu’on emehdoit par adouber
un chevâlict. Cérémonies pratiquées autrefois pour la création
d’un chevalier. Manteaux qu’ils portoierit. Chevaliers en
lOix qui s’introdUifirerit en Francfe vfers le quinzième fiecle.
Comment on les diftinguoit des autres. H falloir être^ chevalier
pour armer un chevalier. Maniéré dont on fait un
chevalier en Angleterre. Cérémonies poür la dégradation
d’un chevalier. Aviliffement de la qualité de chevalier par
le grand nombre qu’on en fit. Origine del’inftirutioh de nouveaux
ordres de chevalerie. IlL 312. a. Chevalier s’entend aufli
d’urieperfonneadmife dans quelque ordre, foit militaire, foit
religieux; Ibid. b. ■ ■
Chevaliers; Comment ils étoieht diftingués dès écuyefS. V.
386. b. Comment on en acquéroit le titre : leur folde. lbidi
Comment l’écuyèr. paffoit la veille düjour où il devoit être
armé chevalier. XV. 422. a i b\ XVI. 874; b: Le titre de
bachelier fynonymè à Celui de fimple chevalier. XVII. 756.
a. En quoi confiftoit la diftmftiori des fimples chevaliers. Ibid,
Les bacheliers formoient le plus bas ordre de? chevaliers.
H. 7. a. Des lances des chevaliers. IX. 236. -b. 237;a, b.
Manteau d’honneur du chevalier. X. a. Epées, remarquables
des aricicris chevaliers. Suppl. I l 814.a. Noms qu’ils
leur donnoient. 816. a. Engagemens des anciens chevaliers
dans leurs entreprifes d’armes. V. 679. a , b. Voeux des
chevaliers. Ibid. Sf. XVII. 414. b. Leurs faits extraordinaires.
Y* 763,. b.- Quêté des chevaliers. XIH. 705. b. Combats dès
chevaliers dans les joûtes & tournois. vHI. 898. b. XVI.
486. b. Affociation entre deux chevaliers. VII. ¿90. a , b.
Chevaliers freres. d’armes. XVH. 790. a , b: Chevaliers dé
la table ronde. X V. 800. b. Chevaliers appellés milites adob.
ati. I. 142: ¿. Comment les chevaliers françois réuflirent à
fe rendre prefqu’invulnérables. I. 687. b. Leur armure. 688;
ai Comment cette dignité étoit conférée. H. 7: a. Chevalier*
dorés. Origine de ce nom. II. 7. a. HI. 309. a. A quelle*
personnes cet honneur eft conféré. V. 55. ¿. Origine des
chevaliers en loix Sc des chevaliers d’armes. VL 27; a. XH.
u . a. Chevaliers d’honneur. VHI. 201. a. Chevaliers pour-
fuivans d’amour. XHL 249. ¿. Gherahers de Malthe, appellé*
fervans d’armes. XV. 120* b. Chevaliers de différens ordres
dans l’hiftoire moderne* XI. <>oa. ¿- ôoç. b.
Chevalier errant. La bravoure romanefque des ailcien*
chevaliers étoit la chimère dés Efpagnols. Le duc d’Albé
attaqué de cette manie. But du roman de dom Quichotte.
Ce qu’étoient, dans leur origine, les chevaliers errans: Brigandage
des gentilshommes-^ans les provinces. IH.
Voyei P a l a d i n . , •
Chevalier-maréchal -, éh Angleterre. III: 312. ¿i . .
Chevaliers de la province ou du parlement ; gennkhommes
anglois, élus par une province, pour être fes repréfentatifs
en parlement. Il falloit autrefois que ces chevaliers foffent
milites giadio c'uiHi. Chaque theValiet de province doit avoit
au moins 500 liv. fterling de rente. IIL 312. b.
Chevalier du bain, ordre militaire en Angleterre. On en
ignore l’origine. Tems où il fut en honneur. ILfutreffufcité
par le roi Georges I. Ce que fit ce roi pour le mettre ent
honneur. HI* 313.«. . ■■ ■
Chevalier baronet < claffe, entré les barons.« les fimples
chevaliers en Angleterre. Création dé cet ordre par Jacques
L Leur titre & celui de leurs femmes : leur placé à 1 armée:
foldats qu’ils doivent entretenir en Hollande. Quittance en-
doffée à leurs lettres-patentes de 1095 liv; fterling. IU.313;
a. Voyez SlRE; ■ . . . . .
. C h e v a lie r , ( Jurifp. ) chevalier du guet : pourquoi on le
nommoit prafetlus vigUum. Celui de P a r k fuppnmé de
même qu’en plufieurs autres villes. HL .313. aXhevaherd honneur.
Chevalier de juflice: Chevalier-k-loix : divers fchevalierS
de cette forte rapportés ici. Ouvrage à confulter. Ibid: b.
Chevalier. Fief de chevalier; VL 700. b. Sergent chevaliet;
P a l i e r j ( Omith. ) oifeau aquatique : fa deferiptioû;
Ôn l’a auffi nommé chevalier aux pieds verts. Autre nommé
chevalier aux pieds rouges. HI. 313.J; . ; - *
Ch e va lie r , calidris, ( Omith.) pourquoi ainfi nommer
On diffingue le rouge & lé noif. Defeription du rouge.
Lieux où on le trouve ; il eft excellent à manger. Description
du nôlr. Willughby foupçonne qii’ils font fun Sc l’antre
mâle & femelle de la même efpece. in* 314. a.
CHEVANT, fief chevant 8c levant. VL 700. b. _
CHEVAUCHÉE, {Jurifp.) fcrVice que les vaffaux Sc
* f ~ ‘ G G g g