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CHAMBRANLE, ( Archit.') définition. III. 44. b. Orne-
xncns du chambranle. .Chambranles en menuiferie. Chambranles
qui fervent à décorer les cheminées. Ibid. 45. a. Voye{
Cheminée. \
CHAMBRE, ( Archit.) chambre d’éclufe. Chambre^ de
port. Chambre civile ou criminelle. Chambre du trône.
Chambres du dais. III. 45. a.
C h a m b r e du confeil, celle où s’affemblent les confeillers
d'état, &c. Chambre du confeil dans une ville de guerre.
Chambre du confeil aux Invalides. Chambre de communauté.
Chambres de parade. Chambres à coucher ; leurs orne-
rnens. III. 45. a. Ce qu’il faut obferver dans la difpofition
d’une chambre à coucher. Ordinairement on affefte fur les
murs de refends des portes feintes oppofées à celles d’enfilade
, qui par cette affeftation mettent les cheminées au milieu
de la piece. Ibid. b. Inconvénient qui en réfulte. De la
hauteur des chambres à coucher. Des commodités qui doivent
les accompagner. Ibid. 46. a. Chambres à alcôves. Chambres
en niche. Chambres en galetas. Obfervations fur les
acceptions figurées du mot chambre. Ibid. b.
C h a m b r e . Gentilshommes de la chambre. VUL 604. a,
b. Huiffiers. Vm . 341. b. \ ^
C h a m b r e , (en matière de juftice & de police) il y a plu-
fieurs jurifdiftions & affemblées auxquelles le titre de chambre
eft commun, & qu’on ne difiingue que par uni fécond
titre qui leur eft propre à chacune. On va les indiquer, renvoyant
néanmoins fous les autres lettres l’explication des jurif
diétions dont le nom peut être féparé du mot chambre,
ou qui fe trouvent liées avec quelque autre .matière. III.
46. b.
C h a m b r e des aliénations faites par les gens de mainmorte.
III. 46. b.
C h a m b r e d'Anjou , une des fix divifions que l’on fait
des auditeurs de la chambre des comptes de Paris, pour diftri-
buer à chacun d’eux les comptes qu’il doit rapporter. Explication
de ces divifions, & pourquoi on les appelle chambres.
Il n’eft pas d’ufage de diftribuer à chaque auditeur d’autres
comptes que ceux qui font du reifort de la chambre où il
cil lui-même diftribué. Il n’y a point de rang particulier
entre ces chambres, &c. III. 47. a.
C h a m b r e apofiolique, confeil des finances du pape. Officiers
de cette chambre. Objets de ce confeil. La voie de la
chambre apofiolique fert à faire expédier toutes provifions
de bénéfices, autres que les confifioriaüx, &c. III. 47. a.
Ordre établi dans les affaires de cette chambre. La cour de
Rome prétend appliquer au profit de la chambre les fruits
des bénéfices qui n’ont pas été perçus légitimement. Ouvrage
à confulter fur le fujet de cette chambre. Ibid. b.
Chambre apofiolique, clercs de cette chambre. III. 527. a.
Notaires. XI. 220. b.
- . Chambre apofiolique de l’abbé de fainte-Génevieve. Limitation
du pouvoir qu’elle avoit autrefois. III. 47. b.
Chambre ardente. Lieu où l’on jugeoit les criminels d’état
qui étoient de grande naiffance. Origine de ce nom. Chambre
ardente établie par François II. pour les caufes d’héréfie.
Chambre ardente établie en 1679 pour la pourfuite des em-
poifonneurs. III. 47. b. Ce qui donna lieu à fon établiffe-
ment. Plufieurs personnes impliquées dans l’affaire de la Brin-
villiers. Condamnation de la Voifin. Fin des féances de la
Chambre. Autre application qu’on fait du terme de chambre
ardente. Ibid. 48. a.
C h a m b r e de VArfenal. n i. 48. a.
C h am b r e s affemblées. Deux fens de cette expreffion. Qui
font ceux qui ont droit de demander d’être jugés par les
chambres affemblées. Ce qu’on appelle l’affemblée du cabinet.
Arrêt rendu confultis clajfibus. 111. 48. a. Ordonnances
qui règlent les cas où les chambres peuvent être affemblées.
lbidr b.
C h a m b r e baffe ou des communes. Comment la chambre
baffe a commencé à faire partie du parlement. Comment les
villes & provinces commencèrent à être leurs rcpréfentans.
Les communes n’avoient point alors voix délibérative. Comment
le peuple augmenta fes prétendons 8c fes droits. Sous
Edouard IL le parlement s’arrogea le pouvoir légifiatif conjointement
avec lé roi. III. 48. b. Et fous Edouard IV. la
chambre baffe partagea le pouvoir légiflatif. Son pouvoir
augmenta fous Henri VII. — Sous Charles I. le parlement
obtint de ne pouvoir être caffé que du confentement des '
deux chambres. Suppreffion de la chambre des pairs par
Cromwel, rétablie par Charles II. La chambre des communes
augmentée en 1707 des députés du royaume d’Ecoffe.
Comment elle eft aujourd’hui compofée. Elle n’a point de
jurifconfultes. Maniéré de convoquer le parlement. Comment
fe font lès délibérations. Ibid. 49. a. Les députés des
communes fbnt debout^ au lieu que les feigneurs font affis.
Sur quel pié font confidèrès les députés des communes. Ouvrage
à confulter. Ibid. b.
Chambre baffe ou des communes. Voyez ce qui en eft dit
aux articles Commune, IH. 726. b. & Parlement d'Angleterre.
XII. 38. a. 8cc. Anciens repréfentans du clergé dans 1
chambre baffe. IV. 169. b. Voyez auffi Repré/entant. XIV
143. b.
C h a m b r e des blés. Origine & fuppreffion de cette chambre.
Ouvrage à confulter. III. 49. b.
C h a m b r e de Champagne. III. 49. b.
C h a m b r e civile du châtelet de Paris. Ses tems de féanr ■
Affaires qui y font portées. Ordre fuivi dans l’exercice d "
fa juftice. III. 49. b.
C h a m b r e de la commijfion. III. ço. a.
C h a m b r e des comptes. III. 782. a, b. — 793. ^
CHAMBRE du conjeil-le^-la chambre des comptes. Raifon de
fon établiffement en 1461. Objets de fon reifort. III, p0
C h a m b r e du confeil, dans les autres tribunaux. Elle eft
ordinairement derrière la chambre d’audience. Il y a des
tribunaux qui n’en ont point. Chambre du confeil auflî
ceux qui compofent l’affemblée. Etabliffement â’une telle
chambre au parlement de Paris par François I. & auparavant
au parlement de Dijon. Quatre chambres entre lef-
uelles eft partagé le fervice des confeillers au châtelet de
aris. III. 50. a.
C h a m b r e du confeiU XII. 28. a.
CHAMBRE des confeillers généraux fur le fait des aides IH
ço. b. .
C h a m b r e des confultations. Plufieurs chambres deftinées
à cet ufage. Le bâtonnier, les anciens bâtonniers, &c. s’y
affemblent quelquefois, &c. Pareille chambre dans les autres
parlemens. lll. 50. b.
C h a m b r e de la couronne de France. La Rochelle eft fpé-
cialement qualifiée de ce nom. Il y avoit plufieurs de ces
chambres du domaine. Noms qu’elles recevoient. Autres
en poffeffion de ce titre. III. 30. b.
C h a m b r e criminelle du parlement^Chzmbre criminelle au
parlement de Rouen, créée par François I. pour les matières
d’héréfie. III. ço. b.
C h a m b r e criminelle du chdtelet de Paris. Comment s’y
jugent les matières de petit 8c de grand criminel. Les confeillers
diftribués en quatre colonnes qui changent de fer-
vice tous les mois. III. çi .a .
C h a m b r e aux deniers , où fe paient les dépenfes de
bouche delamaifondu roi. Ordre de cette chambre. IIL çi. a.
C h a m b r e dorée du palais, grand’chambre du parlement.
D’où lui vient le nom de chambre dorée. III. çi. a.
C h a m b r e s de l'édit. V. 394* a- III- 55- <*• Leurs chancelleries.
III. 113. a.
C h a m b r e des enquêtes. XII. 29. b. Voyez E n q u ê t e .
C h a m b R e de l'étoile. Origine de ce nom. Son atitorité
augmentée par Henri VII & Henri VHI. Son abolition. III.
S1- *•
C h a m b r e de France, l’une des fix divifions de la chambre
des comptes de Paris. III. çi. a.
C h a m b r e des fiefs, à la chambre des comptes de Paris.
III. çi .* . •*.
C h a m b r e , G r a n d ’ ou chambre du plaidoyer. Première
chambre de chaque parlement. A quoi elle eft deftinée. Pourquoi
on la nomme grand.'chambre. Ses autres noms. Elle étoit
quelquefois fimplement appellée le parlement. Depuis quel
tems elle fut appellée la grand'chambre. Dans une ordonnance
de 1344, on trouve un état de ceux qui de voient tenir la
grand’chambre. Elle eft nommée auffi caméra parlamenti.
Ibid. b. Magiftrats qui la compofoient. Comment elle eft compofée
aujourd’hui. Objets de fon reflbrt. La grande & la
petite audience. Audience de relevée, le mardi 8c le vendredi.
Réparation du vaiffeau de la chambre. Ouvrages à
confulter. Ibid. 52. a.
C h a m b r e , grand', du parlement de Paris. XII. 2 ç.
C h a m b r e haute du parlement d’Angleterre. III. ç 2. a. Origine
du nom de chambre haute. Origine du parlement. Epoque
de la diftinftion de chambre haute 8c de baffe. Officiers
qui compofent la première. Variations qu’a fouffertes cette
chambre. Le nombre des pairs féculiers qui la compofent ne
peut être déterminé. Lieu de fes affemblées. Jurifconfultes
qui y font admis. Ouvrâge à confulter. Ibid. b. Voyeç P a r l
em e n t .
C h a m b r e haute 8c chambre baffe, dans les convocations
du clergé en Angleterre. IV. 169. b.
C h a m b r e impériale, premier tribunal de l’empire germanique.
Tems de fon établiffement. Comment le traité de •
weftphalie la compofe. Par qui font créés fes officiers. IH.
52. b. Objets de fon reffort. Obfervation fur l’efficacité de
les jugemens. Différence entre cette chambre & le confeil
aulique. Lieu de fes affemblées. Vifitation de la ohambre
impériale. Ibid. Ç3. a.
Chambre impériale. AffeffeurS de ce tribunal. I. ?68.ta. F
C h a m b r e de juftice. Commiffion du confeil établie extraordinairement
pour la recherche de ceux qui ont mal^
verfé dans les finances. Cette commiffion n eft que paffagere.
La plus ancienne dont il foit fait mention. III. 3. a. Enumération
de celles qui ont été établies en différens tems,
jufqu’à
C H A C H A 2<$9
iufau’à la derniere en 1716. Chambre de jufttce ert 1 ç8 i, établie
pour connoître des contraventions à l’édit de pacification
en 1Ç77- Projet d’une chambre de juftice en chaque
parlement, demeuré fans effet par la mort de Henri IV*
^Chambres de jufiiee. Réflexions fur leur établiffement. IX»
^ C h a m b r e de Languedoc, l’une des fix divifions des auditeurs
de la chambre des comptes de Paris. III. 53. b.
Chambre de Languedoc. XII. 27. b.
C h a m b r e des maladreries. III. 53. b. Deux chambres de
ce nom établies en différens tems. Ibid. 54. a.
C h a m b r e de la marée. Lieu de fes affemblées. ^Objets dont
elle connoiffoit. Comment s’exerçoit la police fur ces
mêmes objets, avant fon établiffement. III. 54. «.• Tems de
cet établiffement. Ibid. b.
C h a m b r e mi-partie, pour juger les affaires auxquelles les
gens de la religion réformée étoient intéreffés. Premier édit de
pacification en 1570. Chambre mi-partie au parlement de
Paris en 1576. III. 54. b. Celles qui furent établies en d’autres
Îiarlemens. Chambre de l’édit qui apporta du changement a
a chambre mi-partie. Suppreffion des chambres mi-parties.
Ouvrages à confulter. Ibid. çç. a. Voyez Chambre de l edit.
CHAMBRE des Monnoies. ( ancienne) III. ÇÇ. a.
Chambre des Monnoies. L’une des fix divifions de la chambre
des comptes. Origine de fon nom. III. çç. a.
CHAMBRE de Normandie. ( ancienne) III. ÇÇ. n.
C h a m b r e d« pairs, à Paris, en Angleterre. III. çç. a.
C h a m b r e du plaidoyer, la grande ou première chambre
ide chaque parlement. III. çç: a.
C h a m b r e des prélats, la grand’chambre du parlement de
Paris. Pourquoi elle fut nommée d’abord chambre des prélats.
Prélats admis en cette chambre par diverfes ordonnances,
jufqu’en 1461. Arrêt du parlement de cette année. Ce
qui s’eft pratiqué depuis fur l’admiffion des prélats. III. çç .b.
C h a m b r e de la police. Son origine. Deux fortes tl’au-
diences du lieutenant de police. Création de lieutenans 8c
de chambres de police aans toutes les villes où il y a
juril(liftion royale. III. çç. b.
C h a m b r e privée, ( Gentilshommes de la) en Angleterre.
IIL çç. b.
C h a m b r e du procureur du roi au châtelet. Fonftion qu’y
¿ait le procureur du roi. III. ç6. a.
CHAMBRE quarrée, ou de tour quarUe. ( ancienne) III. ç6. a.
Chambre de là queftion. III. ç6. a.
Chambre rigoureufe, jurifdiftion établie dans quelques villes
'du parlement de Touloufe : en quoi elle confifte. Il y en
avoit une à Aix. Ouvrages à confulter. IQ. ç6. a.
C h a m b r e du roiy en matière de domaine. ( ancienne )
III. ç6. a.
C h a m b r e royale. ( ancienne) III. ç6. a.
C h a m b r e royale de Met{. Son établiffement. Plainte du
cardinal Nicolas François, fur l’établiffement de cette chambre.
III. ç6. b.
C h a m b r e royale de Verdun. Son établiffement. Sa durée.
III. ç6. b.
Chambre de la fanté, bureau établi dans la ville de Lyon.
Objets de fon reffort. Comment elle eft compofée. Capi-
taine-baillif ou prévôt de la fanté, qu’on établit à Paris daps
les tems de contagion. III. ç6. b.
Chambre à fel, lieu établi dans certaines petites villes, pour
renfermer le fel qu’on diftribue au public. III. ç6. b. Juges
établis pour y juger des affaires concernant les fois. L’établiffement
des greniers à fel eft plus ancien que celui des
chambres. Quelques-unes érigées en greniers à fel. Création
de plufieurs chambres à fel depuis cette éreélion. Recueils
8c mémoires à confulter. Ibid. a.
C h a m b r e royale & Syndicale de la librairie 6* imprimerie.
Objets de fon reffort. III. Ç7. a.
C h a m b r e des terriers, à la chambre des comptes de Paris.
Pièces qu’on y dépofe. Commiffaires au dépôt des terriers. Ce
dépôt endommagé par incendie en 1737, fe trouve en partie
rétabli. Commiffaires en office. III. Ç7.<*.
•j trtfor » «t la chambre des comptes. La première
des fix divifions de la chambre des comptes. Objets de cette
chambre. III. Ç7. b.
Chambre du tréfor. Anciens officiers de ce tribunal. V . 26. a ,
9. Etendue de fa jurifdiftion. Ibid. b.
C hambre des tiers , ou des procureurs-tiers. XVI. 323 .b.
CHAMBRE de la tour quarrée. XVI. 462. b.
C h a m b r e tri-partie, pour connoître des affaires où les
catholiques affociés 8c les religionnaires étoient parties. Pourquoi
ces chambres étoient appellées tri-parties. Eues font quelquefois
confondues avec les chambres mi-parties Sc les cham-
ç. de Médit. Ouvrages à confulter. III. Ç7. b.
a m b r e des vacations. XII. 31 .b.
« ambre des affurances. Police d’affurance. Prime d’affu-
Pour* • fUr Icfquels fo peuvent faire les affurances.
quoi Ion a excepté en France de ces objets d’affuran-
Tome I.
Côs , ceux qm regardent la viê des hommes. Il faut que lâ
valeur affurée foit effeftive, III. ç7. é. Ces affociations peuvent
fe foire Ou par fociété générale ou pat coin m en dite.
Ce quon entend par fociété générale; En quoi confifte
1 affurance* Société <1 affurance en commendite. D’où dépend
fon crédit. Utilité de ces chambres à l’état. Ce qui leur aflùrô
la confiance. D’où dépend le prix des afîùrartces. Ibid. ç8. a.
D’où dépend le rifque effeftif en tems de paix 8c en tems de
guerre. Le rifque effeftif a deux effets , celui de la perte
totale, 8c celui des avaries. Réglemens que ce dernier effet
occafionne. Evaluation de la perte annuelle pendant dix-huit
années de paix. Celle des avaries. La loi donne par-tout la
préférence aux affureurs. La concurrence des chambres
d’affurance eft très-précieufe à l’état. Tems de l’établiifé-
ment des fociétés d’afiùrances. Exemples qu’on cite pour
montrer que les anciens ont connu les affurances. Ibid. b.
Les Anglois prétendent que.ee commerce a commencé chez
eux. Un peu avant 1668 , il y avoit à Paris quelqües affemblées
d’affureurs. Règlement donné par la chambre d’affurance.
Comment les chofos fe pratiquoient dans cette
chambre. Autre chambre formée en 1686, avec un fonds
dépofé de 300 , oôo liv. Peu d’effet qu’eut cet établiffement;
III. <9. a. Efprit de gêne introduit alors dans l’admintftration
politique du commerce. Nouvelle chambre formée en 17ÇO.
^Son-fonds eft de fix millions , &c. Chambres pareilles dans
•diverfes villes maritimes. Celle de Sainr-Malo formée pendant
la guerre. Affurances particulières. Celles qui fe font en
Hollande. Polices, d’affurances en Angleterre. Statuts de la
reine Elifabeth fur cette matière. Ibid. b. Chambres d’affu»
rances formées en Angleterre en 1720. Chartes 8c ftatuts
qui les concernent. Comment elles font compofées. Ibid.
60. a. Leurs appointemens. Défenfo de foire aucune affurance
fur les vaiffeaux ennemis. Les loix de l’Aneieterre fur les
affurances, font allez fomblables aux nôtres; Ouvrage à confulter.
Ibid. b.
C h a m b r e de commerce. Établiffement de dès chambres en
France. Leur objet. Villes où elles le trouvent* Comment
on fupplée à leur défaut en certaines villes. III. 60. b. Confultcz
le diftionnaire de commerce, fur le détail de chacune de ce9
chambres.
Chambre de commercet Ce qui donna lieu en lç6 i , à l’établiffement
de la chambre de commerce de Paris. IV. 103. b*
Direfteurs des chambres de commerce. 1027. a.
Chambre garnie, celle qùe l’hôtel loue toute meublée. III*
60. b. Origine des chambres garnies. Attentions de la police*
Offices du magifier cenfâs , établi par Augufte. Réglemens de
police établis en France fur cet objet* On les renouvelle en
tems de guerre. Ibid. 61. a.
C h a m b r e de port, ( Marine ) pour recevoir 8c réparer un
vaiffeau. Defcription de ces chambres. III. 61.d.
Chambre des vaiffeaux. Lieux deltinés pour le logement
du capitaine 8c des officiers. Difpofition de ces chambres
dans les vaiffeaux du premier rang 8c dans les moindres.
III. 61. b.
C h a m b r e garnie ou tapiffée, ( Jurifpri ) don de noces 8c
de furvie. Provinces où ces ftipulations font ufitées. Ancienneté
de cet ufage. III. 61. b.
C h a m b r e de l’a il, ( Anatom. ) eipace compris entre le
Cryftallin' 8c la cornée. Chambre antérieure , chambre pofté-
rieure. Conteftations entre les anatomiftes fur la catarafte }
les uns étant pour la membraneufe , les autres pour la glau*
comique. III. 61. b. Difficulté de connoître la capacité des
deux chambres , 8c laquelle eft plus grande que l’autre.
Expérience par laquelle la poftérieure s’eft trouvée plu*
petite. Ibid. 62. a. Dans quelle proportion. Expériences
fomblables faites en Allemagne & en Italie. Ophtalmometr*
de M. Petit. Ibid. b. — Voyc{ Suppl. IV. 113* é* 629* a*
Chambre obfcure. Defcription , inventeur ¿Utilité de cette
machine. Théorie de la chambre obfcure. III. 6a. b. C«nf-
truftion d’une chambre obfcure ', où les objets du dehors .
feront repréfentés dans leur vraie fituation. Conftruftion
d’une chambre obfoure portative. Ibid. 63. a.
Chambre obfcüre. Comment on peut y multiplier les objets.
XII. 944. a. Voyez les planches ae deffi», vol. III. planch*
4 8c ç , 8c les pl. d optique , vol. V. pl. i . Tableau quê préfente
une chambre obfcure,. Suppl. 1. 178. b. ■
C h a m b r e , ( dans l’Artillerie) cavité dans le métal. IIL
63. b. ' . .
C h a m b r e , ( Fabr'iq, deiarmes. Fufil,) cavité dans l’intérieur
d’un canon. Infiniment avec lequel on juge, de fa profondeur.
Les chambres font un défout capital 8c dangereux. Comment
les ouvriers adroits les font difparoître pour un peu de tems.
Suppl II. 314. b.
Chambre , dans les canons 6* mortiers. Chambré Cylindrique.
Chambre fphérique. Pourquoi ces cavités fphériques ont été
inventées. Chambres cylindriques dans les pièces de 24 8c de
16. Pourquoi les pièces au-deffous de 16 n’en ont point. IIL
63. b. Incorivéniens de ces chambres. Moyen d’y remédier.
L'inconvénient des chambres fphériques eft plus grand. Com