
* 8 3 C H A CHA fwmr M p m i r te Mam«,pr«licAt.bcvillc,III. t n . i .
Une charrue en matière de privilège, figmfic la quantité de
terre rive chaque charrue peut labourer. Edi», réglcmcn* ce
déclaration* ou le m»t de charrue eft pris dan* ce (en*, Eva-
\mx\t,n de la charrue dans l'Orléanoi». /A/<fi 218. »,
CHARTE, U urifP<') 4« latin charia. Hiver* ien« de
mot,, Coutume* dan*| lieeffqtuelle* il Te prendJ ppoouurr U/ ltra <
,««> /</« & mf.if.im.nl. Ce m ’oil apfçUoii de
fou* Je* deux premíete* race*. ML 218, ». Han* quel ien* on
J entend lorfqu’op l’emploie aujourd'hui. ib/d. 218. A.
Charte. On appelioit anciennement charte» ce que nou*
appelions Uures-paienies. IX. 426. A Sur le* charte*, vtyrç
Di W.OMf., OkOOUHAHCk,
C h a r t e - p a r t i e , ( Comm, ) dan* l’ordonnance de marine,
ce mot a deux fynonyme* , offre tant ni <k nolifftment. La
charic-parfie eft plutôt le nom de l'afte par lequel on affrenc
& on nolifé. Dan* quel* cas la charte-partie eft en ufage;
utilité de ce contrat. A qui s'adreflent ceux qui veulent aiFretter
ou îouer un vaifléau , loriqu'il appartient à jduiieur* propriétaire*.
Article* fpéeifié» dan* la charte-partie. 111.218, A,
Comment cet allé doit être paffé ; précifion dan* les terme*.
L'ordonnance de la marine oc le* u* & coutume* de la mer,
ont pourvu à prcfque tou* les cas ; on en rapporte ici quelques
uns pour faire connoitrc l’efprit de cette loi, C'cft altérer
l'égalité de condition entre le* contrallan» « que d’en fou-
lagcr un par préférence} & devlor* c'cft une extreme injufticc.
Article* de iWdonnancc qui déclarent l'cfiét que doit avoir la
charte-partie, s'il y a déclaration de guerre avant Je départ
du vaifléau. Les chartcs-partic* faite* pétulant la guerre, fub-
lifteront lorfque fes ríft/uej. feront paffé*. /bid.xiy. a. Une
charte-partie ne laiflc pas de fuhfiffer, quoique le vaifléau
/bit arrêté dans un port par force majeure, parce que Je
voyage n'a été entrepris qu’à caufé du chargement. Ene as de
fhmge, ire, la chitrtcrpartic fera réfiïtée rcipcétivcment k la
potuon enlevée, parce que le contrat n eft pas remolí quant
a cette portion. Autres cas ici énoncé», tiré* de l'ordonnance
de.la marine, IbUt, b. Auteur*, ordonnance* & loíx â confuiré/
fur les chartcspartie*. /An/, 120. »,
CharK-partu , VOytX HOVROfOiS. IL yjo. a.
(MA HT O W f J/. A X % ( Util. anc. ) gardien de* archive* à
Conftanrinoplc. Í1Í. 220, ». Etymologie du mot. Dignité (k
fonù'tom de cet officier, Deux officier* de ce nom, 1 un pour
f f 1#^,*, V V I lir t t lIV f HM M- %. V U ||» t.f.
garde de* archives de la chancellerie. 1/r chartophilax en
France, e'eft le procureur-général du parlement. Titre* dont
il eft le gardien. Comment on peut eu obtenir copie. /Aid. A,
AVj'rj' SctvOFHSLACn.
CH AUTRE, par corruption pour charte. Ce mot lignifie
des titre* fort ancten*, comme (fit dixième, treizième ficclc,
//'ou viennent le* difficulté* de fixer le* datre* de* chartes te
des chronique*. 11L 210, A,
Chartre. Moyen de diftinguer le* Chartres fupoofées ou
altérée* d'avec le* pièce* authentiques, IV, totff.b. cce. Tréfor
des Chartres du roi de France. 11L 113. A, XVI, 597, A — y/p.
A. Epoque du tréfor de* chartrc*. Suppl. Ill, 147, b. Dépôt de*
chartre*. 111,223, A, Le* vaflaux fignolent autrefois les Chartres
après le* grand*officiers, XVI. %5. A. A'qyrç Dipwme.
Chartre de Champagne, lettre* en forme de chartre. qui
dévoient avoir leur exécution dan* la province de Champagne,
1(1, 220, A, Origine de cette diflinci'ion des chartre» de
Champagne, d'avec les chartre* de France. Ibid. 22t.a.
Chaxtxe*, ( Commiffaire aux) 111, 22t. »,
Chaut«*: dé commune, lettres par lefquelle» Jes hahhan»
d'une ville éunent érigés en corps & communauté, Origine
de ce* lettres, Tems ou elle* furent multipliée», Principal
objet de l'établiflément de ce* communes. Principaux droits
de commune. Autre* objet* renfermé* dans ces Chartres,
Les Chartres de commune font les ébauches des coutumes.
On ne trouve point que Pari* en ait jamais obtenu. III. 22i, »,
Chartre de commune. Première chartre de commune qui
foit connue, I1L 723, a.
Cma%tre, demi- fil. t u . a.
C h a x tx e s françoifes, greffiers des Chartres, Chartres en jaun
e, intendant des Chartres. Chartres de Juifs ou Ma tans, III.
221, b.
t *■ ( b,trtst* ) expédiée* en forme de chartre*.
J*.fvf*£**pétuel, adrettequ'elle*contiennent, III. 22t.a,
Mf AftTftftt, Uttres de. Soyez. IX, 420, b.
Jfnvarte, lettre* deftinée* pour la Navarre
U L x u .b . mt& m ,U ^ mp^wcur de la Navarre,
confirmation de fes privilegs*, U{ ^ .
cesankles font
gueur, mais qui reçoivent tou* le» jour* éïverfeï%tilm§
par le privilège accordé à J'univerfité de Paris , dont le*
caufc* font attrihuée* au prévôt de Paris, Autorité que cette
chartre ne laific pas de conferver en Normandie, Hccucilà
confuí ter, f'oyc^ ci-deffous Chartre au roi Philippe,
(.HAtimk de paix. Chartre ou prifo/i 1 d’ott vient le n«m
de S, Hcnis de la Chartre, 111. 222, a.
(.11 a tir u ti privée, lieu autre que la prifoti oh quelqu'un
eft détenu par force, &c. Défcnfe* contre le* Chartres mi-
VéCS. III. 222. a. , ~
CtiAuritF, au roi Philippe, donnée par Philippe Anguftc
pour la Normandie, III, 222, a. Cette chartrc employée
dans l'ancien coutumier de Normandie, de inférée nantie
cahier de la nouvelle coutume en it$é. Recueils à
fulter, /Aid, A. 7 d m ”
Chartre, taxc-chartre, III, 222, A.
Chartres h deux vifages. Ce qu'en dit M, de lu Roque
en Ion traité de la nohlcfte, III, 222, b. Obfervations fur
quelque* endroits de cet article de l'Encyclopédie, Suppl, il
370, A, *
Chartre, ( la grande) ancienne patente contenant le*
privilèges de la nation angloifc; raifons pour lefquelle* on
l'appelle grande, Son origine ; Roi* qui l'ont confirmée, Ce».
fe«ion de la grande chartrc par Henri III. Ht, 222, b. Serment
qu'il fit de l'obferver, File eft la hafe du droit &
des libertés du peuple anglois, Conccffion que la nation
avoir faite au rot pour l'obtenir. Ibid, 223,, b.
Chartre, 1* grande. Comment elle a été formée. V, 120, a.
Ohfervation* fur cette ancienne patente. Vil, 85«. a XVli*
5% A
Chartre A Médecine) enfant en chartre. Origine de cette
exprefuon, lit, 221, //>
CHARTRFA, ( Géogr.) ancienne capitale du pays char-
train dan* rOrléannois, Son éreûion en duchc. Siège «je
cette ville par le* proteftans- Sa cathédrale. Grand* homme*
que cette ville a produit», Suppl, 11, 370, A
CHARTREUSE, monafterc à cinq lieue* de Grenoble,
bon fondateur. Ce nom a paffé k ton» le* monafterc* de
chartreux. Collège appellé hôpital de Stttton, fondé k la place
de la chartreufe de Londres, Etat de ce collège, 111, 223, a.
CHA«T«i,üstS, ( //i/?, dra ordres relig. ) Des filles char-
treufos. Il craroit que leur premier monafterc a été fondé du
vivant du bienheureux Guignes, vicaire général de l'ordre,
Monafterc de Sallobrand en Provence , diocefe de Préjtis,
Cinq monafteres de chartreufe*,aujourdltut exiftans. Leurs
ftatuts& difcipline, Suppl. Il, 371, a, Confécration des vierges,
Leur promeffe â'oné'iSfance. Lés monafteres de ce* reli-
gieufe* ont leurs terme* ou limite», au délit defqoel* il
eft défendu aux vicaire* & prieure* d'envoyer le* religienfe»
qui demeurent chez elle», fan» la permiffton du chapitre général.
Pourquoi il n'y a qu’un petit nombre de monañere* de
chartreufe*. Leur habillement, Silence qu’elles gardentfur
ce qui concerne leur ordre, /A/d, A,
CHARTREUX, ( l/ifl, teel.) ordre dé religieux, inftitué
par S, íhuno en tobo. III. 223, u, Auftérité de fa regle, La
piété monaftique s’eft mieux confervée dans cet ordre que
dan» le* autre*, comme l’a démontré dont Innocent Manon
contre M, l'abbé de Raneé, Perfonnages diftingué* que les
chartreux ont donnés k l'églife, Titre que prettd leur général.
/A/d, A,
Chartreux, cloître* remarqua ble* de chartreux, I II, 347, a.
Cellule* de chartreux, 11. 808, //,
Chartreux, forte de chat. Chartreux, laine trèsfftne. III.
223, A,
CHARTRIKR, (Jurijp.) lieu oh font renfermée* le* chartes,
Charnier du roi ou de France ; ce chantier enlevé par
Richard, roi d'Angleterre, Etahliftément du tréfor des chartes,
Chartrier, ptifotmíer. III, 213, A,
CHARTULA1RE. officier dans l’éklife latine, femhlahie
au chartopbylax de l'églife grecque, lïl, 223, A,
(MARYilDIÎ, ( Mythol, ) hiftoirc de charybde félon les
poetes, III. 223, A, Le détroit appellé de ce nom, a perdu
aujourd'hui tout ce qu'il avoir d'effrayant. Voyez Scylla,
Carybde. Ibid, 224, a.
ÙHAS. diverfe* acceptions de ce mot dans les arts &
métier*, fil, 9,24, //.
CffASNAiMR A G ASÍ. Eunuque qui garde le tréfor
de la fultane-mcrc, Son crédit, 111, 224, a,
Chajhadar Baehi, grand tréforier du ferrad. En quoi il difiere
ou tefterdar ou grand tréforier d'état, la chambre du
tréfor eft la féconde du fcrrail, La première eft celle des favori*
du fultan', officier* qui compofent la chambre du tréfor.
ML 224, a. . . « > v ,.
CMAS-OJM, un des appartement intérieur* au terrait.
C.íiytvblM./ÍAC.Íi l , nom d’un t^fícíerdn firaml fetgiietir.
I l i , î ï . , cid ferme. III. bM. ^
C.IIÁSSH, îmirïitke du toutes fomf d anlnwu* tiump,.
QrMe sm JL sv itte r íe & r » « « * . Msifeai«eWens,
CHA nom«.fclon les »mm»«* eMttfcjJ» tüine oh «Ile/« Oit,
& les moyens employés. On fe borne e parler ici d« la
ehaffe en général. I,a chafté eft un de* plu* ancien* exercice*
1ÍÍ- 224. b. C eft une occupation proferiré dans le livre
Oc Moyfe, te divinifée dans la théologie païenne. Ce que
le bon feus non* fuggere for l'origine de la chalfe. 'Cet exercice
a été chez toute* les nations d’autant plu* commun ,
qu'elle* éioicnt moins civilifécs. Commet» fes ancien» ont
fait la chafté aux quadruueds* te aux bifeaux. Ibid. 223. a.
Ohfervation» contre l'ufage de la chafté, Ibid. A
Chaffe, il eft dit dan* l'Encyclopédie, que « fou* Sallufle
» la chafté étoit tombée dans un fouverain mépris, te que
» le* Romain* n'y employoient plus que des efolaves, «
Ohfervation* critique* for ce paffage, Citations d Horace «
de Pline le jeune, Suppl. IL 372. ». ,
CAuËr, Réflexion» de Thompfon fur cet exercice, XVII,
710, u, Ohfervation* fur l’art de tendre de* pieges, XII.
«70, A, De la maniere de dreflér le* chiens k la chafté, III,
130, A X, 478, A 479, », Différente manière de parier au
ciiicn félon l’efpcce d animal quels véneur lance, XVU, 3, A
Rufos de* animaux pourfutvt* k ia chailé, VIII, 796. » , A
De la chafté du cerf, 11, 841. A, De la chafté du fanglier.
XIV, rito, A, Chalfe du vautrait ou des béte* noire*, x v i ,
864. A Chafté avec les oifeaux de proie, XVII. 440. A,
't^oytz les article* particuliers des différente* forte» d animaux
qui font l'objet de la chafté, Aém encore dans les planche*
de l'Encyclopédie, vol, 111, l’article Chasse , te particulièrement
le traité fur fa chaffe, au mot V Ererie. X v l, 01 ç. A —
933, A» Voiture de chafté, vol, ÍX de planch, SclIicr-Car-
roffier, pl, 17. - „ , «
Chasse , (Mufhj.) aitf de chafté, Suppl. II, 372,».
C h a s s e , LJltrifpr.) fuivant le droit naturel & le droit des
m£tis, la chafté étoit libre à tous les hommes ', mai* le droit
civil apporta des rcftriéfioo» k cette liberté. Défcnfo de Sqlon
de s'adonner k la chafté. Droit de* Romain* fur cet met.
111. 223, A En France, 1» loi falique corttcnoit plufieur*
réglemcns pour la chafté ', mais on ne trouve aucune loi dans
Weommeneemcns, qui reftraigtiit la liberté de cet exercice.
On ignore le tems oh cette liberté commença á être rcftrainte,
Soin* que le* roi* de France donnèrent dé* le* premier*
tems U la chaffe. Défenfc* fous la premíete te la féconde
race, ne eoticernamencore que les forêts, Concile de f ours en
8/3, qui défend aux cccléfiaftiquc* la chafté, le bal t í la
comédie, Réforvcs en faveur de* feigneurs vers la fin de la
fécondé race, & le commencement de la trotficme. Ce qu'on
appelloit gartnttt du tems de S. la>uis, Défcnfos portées dans
les anciennes coutume* de Beativoifis, Ibid. 220. ». Citation
dcspri vileges accordé» f»ar Charle* V , aux habitan* de Mailly-
le^Château, Jufqu'ulor* il »'étoit pas défendu, foit aux noble*,
foir aux roturier* , de cha (fer fur leurs propre* terre*. A
l’égard des roturiers, on voit que les habitan* de certaines
villes & province* obtinrent aufli la permiftion de la cbafté.
Exemple» tirés de la permiftion accordée aux habitans du
bailliage dcRivelen 1357» anxbabítansde la ville de /oigny,
de Saint-Antonin, de Montauban, de T onnay, en Nivernais,
ibid. A Outre ces psrmiflioris générale*, les rois de
France en oceordotent au/fi à certains particulier», Réglcntcn*
de Cbarle* V I. qui défendoient la chafté aux roturier*,
¡.'ordonnance Je* eaux te forêts en ¡óúy, contient un titre
des cbafté* qui forme préfentement la principale loi. Quel
eft aâuellement l'état du droit de challé en France. Ibid.
227. ». A qui appartient la connoiftance des conteftations au
fujet de la enaffe, Etabliflémcnt de* capitaineries royales fous
François I. De la chafté des loups ; foins des rois de France
pour encourager cette chafté, ibid. A Ouvrages k confulter
fur le droit de cliafté. Ibid, 228. »,
Chafft, Réflexions fur le droit de chafté. Vil. 638, b, Code
des chafté», lit, 371, A, Garde-chaflé. VII, 310. », En quoi
confifte en Angleterre le droit de chafté du propriétaire du
pur lieu, XIII, 383, », b.
Chafft amphiilUairaU, en iifage chez le* Romains. Divers
fpeélacle* en ce genre donnés au peuple romain en différens
tems, III, 228, //, Voyt^ Syi.ve.
Chaffe de mtfinitr ; recherche que font le* mefínters des
blés tt autre * grain* qu'on veut leur faire moudre. Ancienneté
du droit (l'empêèber les meuniers de chaftér ou quêter
Jes blés. Trois maximes fur cette matière dans notre droit
coutumier. IlI. 228, a. Arrêts favorables aux meunier* de
certains canton*. Ibid, A
Chasse, f Marine) donner & prendre chafté en parlant
des vaifléaiix, Manceuvre qui s'appelle fouttnir chaffe. Utilité
de cette maïuxuvre, III, 228, A
Chafft de proue, Chaffe, en termes d'artieifiers, 111, 228, A,
Chafft d'une balance. Chajf 't, outil de charron , outil de
batteuis d'or, III, 228, A,
. Chasse , jf Cou/el, ) deux fens de ce mot chez les coutelier*.
MI, 228, A
. Crasse j (Chirur.) manche de quelque* inftrumens de
Chirurgie, Suppl, U. 372, »,
fume L
CHA ¡j! Chasse , ( l,untnitr) monture d'une lunette dan* laquelle
les verres font enchkffés, Il y en a de cortîë, de métal ; U
y en a de urifées, lire. III, 220, »,
C hasse, ( Cheval de) le* clievaux anglois font en répu*
ration pour cet ufage, III, 229, »,
Chaffe, ternie très-ulifé en méchanique, T r^ ou trop peu
de chafté nuit k Yaüiou, Cx qu'on entend par la ciialfé,
la foie k feier du marbre, lu , 220, »,
C hasse , ( Jeu de paume) chaffe, en terme d'orfevte. III.
229, a.
Chaffe de parcs, terme de pèche, III, 229, ».
Chafft tjuarrle, marteau k deux têtes quatrées, Son ufage.
III, 229, », C/o/Er d bifeau,
Chaffe des ramneur* de fucre. Sa forme te (on ufage, 111.
229, A
Ch/tffe, partie du métier du tiftératid, Defcriptiou fk ufage,
III, 22Cj. b.
Chdffe, en verrerie. III, 229, A,
Chafft-avant, celui qui eft commis k la conduite de s grand*
ouvrages, & tient regiftre des heures de» ouvriers, ML
229, A
Chaffe fleurie, planche de bois en ufage dm les teinturiers*
Ml, 229, A,
Chasse ma«f;E, ( Comm.) forte de marchand de poifloa.
Effet des nouveaux impôts for le poiflon, ML 230,»,
«'poignée, outil de fourbi fleur 3 fa defoription. Ml,
239
Chaffe-pommeatt, outil de fourbiftéur ; fa defoription, 111*
230, »,
Chafft-polnie, outil k l'ufme d'un grand nombre d'ouvriers
en méifaux & en bois, Mamere de s en (ervir, Chaffe-pointe
k main i fon ufiige, III, 230, »,
Choffe-rivet, en terme de cbauderonnier, rit, MI, 230,»*
Chaffe. Elbe ce de châffe dans laquelle on portoit le» (laines
de* dieux, XVl, 24/$, », Cité fie oii on renfermoit les reliques
des faims. 1. 3^3, ». Châffe de S, Romain en Normandie, VI.
7/9, A,
CHASSÉ, ( Danft) maniéré de faire ce pas, en tout fén*,
te plufieur» de fuite, 111, 230, »,
i.HAssk, alleu r de l’opéra, IV, 683, », Son éloge. Suppl, ).
13 ri. »,
CHASSELAS, raifinsde ce nom, Xlll, 767, A, Leur qua~
c I(ASSÉNON, (Géogr.) bourg de t'Angoumois 1 fort
nom ancien : monumen* d'antiquité qu’on y trouve, Suppl,
IV, 783. » , 7
CHASSER A NDERIE, droit que les m cimiers paient eft
Poitou, 111, 210, A,
CHASSEURS, peuples, ( Poliiiij.) Suppl. I, 31, », Leur
population. /A/</, Ces peuples font de la plus haute flature.
Supol, IV, 829» A, Leur ufage de boucaner la chair. Suppl. I.
34e, A, Ufage qu'ds font de certaines compofitions nutritive*.
/A/</, Ridicule fenf/ment de quelque* jumeonfulres, qui ont
prétendu que ce» peuple* n'étoient pas véritablement pof-
fefteur* du terreinqu ils occupoienr* 131, A
CHASSIE, ou LimntOE, (Médecine) maladie de J'miL
lit, 230, A, Il ne faut pas la confondre avec l'ophthaïmie.
Humeur produite par les glandes fébacées de Meibomiu* f
qui bordent les paupières ; Torique cette humeur s'épaiffit te
devient gluante, elle produit la chaffe. Caufc de cet épaiflif-
fement, Définition de cette maladie. La chaffte eft ou fimplo
ou compliquée avec d'autre* maladie* de l'oeil, comme dans
i'ophthafmie, dan* la fiftule læhrytmle, dans l'ulcération des
glande* des yeux ou des paupières, qui nait des fluxion* qui
s'y font formées, Ibid. 231, », Quelquefois la chaflie eft méfié
de larme* âcres & falées, Quelquefois elle eft foche, Quel-
quefois le bord des paupière* eft enflé, rouge te douloureux.
il réfulre de-lâ que fouvent la cltaftie eft un effet de diverfeb
maladies du globe de l'oeil, t i en particulier un mal de*
glandes ciliaires de* paupières. Il faut donc la diftinguer do
l opbtbalmie te autres maladie* de l’oeil, Elle naît fouvent
dans l'enfance te continue toute la vie ; d ie n'eft que rnffa-
gere !orfqu’eile dépend d'une opbrbalmie, Pourquoi la chaftio
s'amafté la nuit plus abondamment que pendant le jour,
Caraéieres des d'méren* degrés de la maladie, Ibid. b. Le*
petit* ulcérés qui la caufent font très-difficiles k guérir. On
eft prcfque réduit aux fetils palliatifs, Quels font ceux qui
conviennent k la chaflie fimple, Ouvrages k confulter fur les
ulccresprurigineux,la galle fk, lagrateïle des paupières. Observation*
cum pUuUa mole fa efl, ibid. 232, »,
Cnafft, vraie caufé de ce mal, félon Celfe, XII, ririÿ. A*
Remèdes indiqués, V, ri 1 ri, ». IX, 362, b,
fur le feus de ce vers d Horace; Pmcipul fanusnifi
CHASSIPÔLERIE, droit fingulier ufité en Rrefté, Ety-
mohfpe du mot, 111, 232, »,
f/lfASb/S, ( Méchanizj, (a Ans ) définition générale, Il y a
peu d’arts te affez peu de machines confidérables oh il ne fe
rencontre des diafhs, 111, 232, »,
Châssis , en architecture, tu termes decirier, 111,232, A#
D D 4 4 ■