
9 2 8 H O P
4. droits honorifiques de»
d'une églife ; VU. 7 Î . 4. du patron d une églife. XII. i» 4-
— Voyez D r o i t s » .
un Hanadien I. t8 t . 4. Précis de (es voyages dans 1 Amé-
qn^fcptcmrional & des Velanons ,u ’ l « * « • ; P *
diiilitéq u ’elles méritent. Suppl. I- 35«- « » & 357.« . »•
3 ' h o n t e u s e s , par«1« (A a a tom .) VIIT. 293. «. Veyeg_
G é n é r a t i o n b G é n i t a l e s , (p a r tie s )
H o n t e u s e s ," (A n c r e s ) les anatomiftes en d.ftmguent
t ro is , la lionreufe interne , la honteufe commune ou
moyenne , & la honteufe externe. Dcfcnption de ces vaifi
**Hm u u fts paru re s . Suppl. III. 48«. «• s “PPl- IV - 2|?r *•
V e in e honteufe. Suppl. III. 487. a. Suppl. I V . 280. b. i S i . a .
H O O F T , hiftoricn hollandois. Suppl. l u . 430. a.
H O O G S T R A T E , ( Glegr. ) petite ville des Pays-Ras ,
patrie du dominicain Jacques Hoogftra ten, inquifitcur g é néral
en Allemagne au commencement du feizieme ltecle.
Observations & anecdotes fur ce dominicain. V I I I . 293. b.
H O O K . ( Robert ) fa balance hydroftatique. 11. 27. a. U oc-
triuc deee pW o p h e fu r la lé g é r c té .IX . f e . fcObfcrvat.ons
fur fa v ie 8c les ouvrages. X V I I . 6 13. a , b. — 61 3. a. Suppl. I.
35& O O R N o u H em ', (G e e g r .) v ille desProviuces-Unies.
Commerce 8c pâturages de cette ville. En quel tems elle fut
commencée. Obfervations fur Hadrien Jumus né a H o o rn , oc
fur fes ouvrages. VIII. 293. b. „ „ , , XT
H o o r n , ( j e a n Van ) phyfiologifte. Suppl. W .,3 34 . a.
H O O R N B E C K , ( Jean ) théologien. V I I I . 49. b.
H O P IT A L . (Gramm. Moral. P o lit .) C e qu étoient autrefois
les hôpitaux. Soins que l’on prit des hôpitaux dans les
premiers teins de l’églife. VIII. 293. g Vues générales fur
la maniéré de rendre ces établiffemens dignes de leur fin.
I l faut travailler k diminuer le nombre des pauvres. Diltinc-
tion à faire entr’eux. Les vrais pauvres doivent être dans
les hôpitaux le mieux qu’il eft poflible. O u doivent être
établis les hôpitaux des pauvres fains & ceux des pauvres
malades. D e Varchiteûure des hôpitaux. Réfervoir général
des aumônes, d’où devroient partir. les diftiibutions particulières.
Ibid. a94. a. Etat exaft qu’il faudroit publier des revenus
de tous les hôpitaux 8c de leurs dépenfes. Ouvrage à
confultcr fur l’adminiftration des hôpitaux. Ibid. b. V o y c { aulh
H ô t e l D ie u b C h a r i t é . ..
Hôpital. Efpece d’hôpitaux chez les anciens ou Io n e e -
voit des enfans. I. 270. a . Réflexions fut* 1 étabhflcment es
hôpitaux. V . xij. b. N o te . V I I . 73- % T o n Cpnftantm
fit à l’état en élevant des hôpitaux ou tout le monde fut
reçu. X. 331. b. Les hôpitaux établis pour remédier a la
mendicité produifent un effet contraire. XIII. 102. a. Du
gouvernement des hôpitaux. Commendataires à qui I on
avoit accordé les revenus des hôpitaux. 111. 205. a. l -
flexions fur la maniéré dont les hôpitaux font gouvernes.
V II. 73. b. Des infirmiers qui fervent dans les hôpitaux.
V I I I . 707. n , b , 8cc. Mauvais traitement que reçoivent les
malades dans les hôpitaux du royaume. X. 332. a. Confeils
pour améliorer ces établiffemens. Ibid. Moyen de purifier 1 air
des hôpitaux. X V I . 767. b. 768. | X V I I . 27. ¿. Différentes
cfpeces d’hôpitaux ; hôpitaux de S. .Lazare fondés pour es
lépreux. V . 503. I IX . 395. b. 040. a. Hôpitaux pour les
enfans trouvés. V . 653. a. Hôpital de 1 hôtel*Dieu. VIII.
319. b. Hôpital de S. Jacques. 43*’. a. Hôpital à Londres
pour les incurables. 660. b. Fondations de quelques hôpitaux
à Londres. IX. 683. ¿/Hôpitaux de Paris . voyrç l’article
Pa r is , Hôpitaux dans 'Conftantinople. X V I . 758. a.
Hôpitaux pour les chiens.chez les mahométans. III. 331. a.
HÔPITAL, fievre d " , ( M id e c .) V I . 733.¿. .
Hôpital militaire. Officiers établis en France pour ces hôpitaux.
Hôpital ambulant. VIII. 294.^. .
Hôpital d'armée 011 hôpital militaire. L e bon ordre qui doit
régner dans ces hôpitaux, mérite une fi grande attention,
que c’eft delà que dépend la perte ou le falut d’une bonne
partie des foldats. Suppl. III. 4 4 7 -1 Nouveau plan d’admi-
niftration propofé pour ces hôpitaux, 8c le foin des malades
qui y font traités. Ibid. 448. a, b. Fondions des employés
au feryiee ilefdits hôpitaux. /¿W. 449» 4* D e remplacement des
hôpitaux. Des fournitures. Ibid. 430. b. Chauffage. D e la quantité
6c cjpeces des alimens. Evacuation defdits hôpitaux. Ibid.
43 1. a. Des billets d’entrée 8c de fortic. Ibid. b. Façôn de fixer
le prix des journées des hôpitaux des quartiers d’h iver. Ibid.
43 a. a. Avantages qui réfulteroient de l’exécution de ce plan.
Hôpitaux des troupes allemandes. Ibid. b.
Hôpital ambulant. Nouveau plan propofé pour l’adminiftra-
<tion ue ces hôpitaux. Suppl. 111.432. b.
H ô p i t a l , ( Marine) vaiffeau deftiné pour mettre les malades.
Difoofitionsde l'ordonnance delà marine relatives à ces
'.hôpitaux. V ll l. 294. b.
H OR
H Ô P I T A L , ( Guillaume-Fraùçois-Antoirih\ marquis de ? ) fon
mémoire furies forces centrales. II. 822. a , b. Son ouvrage
fur les ferions coniques, III . 878. a , b. fur le calcul différentiel,
IV . 983. b. fur la méthode de conftruire les lieux
géométriques. IX. 499. a.
HO PL ITE, ( L ith o l.) efpecc de pierre ainfi défignée par les
anciens naturaliftes. V lll. 294. b.
H o p l i t e s , ( H ifl. anc. ) ceux qui dans les combats facrés
couroient armés. R a cin e s du mot. Tableau de Parrhafius qui
repréfentoit deux hoplites. V III. 293. a.
HOPL1TODROMES, ( Hifl. a n c .) athlètes qui couroient
armés dans les jeux olympiques. Dcícription de la ftatue d’un
hoplitodromes. Diverfes obfervations fur cette forte d’athletes.
Vni.293.4x.
HOPPER , ( Joachim ) jurifconfulte. X V . 246. a.
HOQUET. ( Midec. ) Defcription des mouvemens qui
ont lieu dans cette affeétion convulfive. Des caufes du hoquet.
V III. 293. a. Cet effort peut être fymDtômatiaue ou critique.
Obfervations qui montrent que c’eft le diaphragme qui
eft principalement mis en jeu dans cette léfion de fondions.
Pourquoi les enfans l’éprouvent fréquemment. Remedes qui
conviennent en ce cas. Ouvrages à confulter fur les caufes
de cet accident. Ibid. b. Efpcce de hoquets les plus funeftes.
Des différentes manieres de traiter le hoquet félon les eau-
- fes dont il dépend. Ibid. xq6 . a.
Hoquet. Grande vertu de l’éther vitriolique contre les hoquets
violens. V I. 33. a. Ligature employée avec fuccés con*,
tre le hoquet. X V II. 200. a , ¿. •
HORACE. ( rIifl. rom. ) Combat des Horaces 6c des Cu*
riaccs, Suppl. 111.454* r . .
Horace. Celui des trois Horaces qui tua fa foeur : expiation
de fon meurtre. V I. 303.a. Sa condamnation à paffer fous 1*
joug. V III. 888. ¿. . If J .
Horace , poète latin. Son portrait: éloge de fes ouvrages.
X V II. 38. a , b. Maifon de campagne qu’il avoit fur ie mont
Lucrétilc. IX . 714. a. Celle quil avoit à Tibur. X V I. 317.
b. Sa maifon de campagne appcllée gÿica. X V li. 5* 4 *
¿. Charge de greffier qu’il exerçoit.' X IV . 813. a .¿ .M a niere
libre dont il paffoit fa journée. X V II. 2.56. a. Plats de
fon fouper. IX . 173. b. Comment il détourna Auguite du
deffein de relever ¿ancienne Troie. V III. 3 Ç4 * b- | et®e 1 1
recommandation qu’il écrivit à Tibere en faveur de Septi-
mius. IX . 413. ¿.Defcription qu’il fait du pays de Tárente.
X V . 908. a. Obfervations fur ce poète 8c fur fes odes.,
x i . 346. b. 347.8*. x n . 846. * , t s«*; H f e 3 du
premier, X ÍII. 43 9 - *• S “PPL 1V* 9 * É l!ode « P f ®
du môme livre, Suppl. IV . 9 »* « » *• û\r l ode ronz,e™e d?
môme livre , Ibid. a. fur l’ode dixième du livre fécond, Ibid.
fur quelques odes du livre troifieme, fur la V àuppt. îv .
89. J , 1 fur la 3«, la 4e & 1» 5e- É M ¡ É M % | fe
Autres obfervations fur la 4' du f e
Traduction de l’ode 4 du 4e livre. Suppl. IV . 92. a. Quelques
unes des odes d’Horace ne fauroient être chantées.
Suppl. III. 820. b. Art avec lequel ce poete a fçu tranl-
former en ode une penfée , une image , un fentimcnt.
Suppl. IV . 98. a , b. Sur fon art p o é tiq u e .» , »47/ b?
Livre d'Horacc appcllé des ¿pedes. V . 823. fc Obfervations
fur fes fatyres. X IV . 701. | 702. fc 705. a. Suppl. IV 744.
a. Pourquoi il les appelloit du nom de difcours : différence
entre la poéfie de fes odes & celle de .fcs fatyres. IV ,
1034. a. Remarques ftir fon poëme féculaire. X II. 1 7 ’ «*
X IV . 881. fc Urbanité répandue dans fes ouvrages. XVU..
488. a , fc Parallèle d’Horace & de Boileau. Suppl. 1. 4 <7 - »•
HORAIRE. ( Aflron .) Mouvement horaire diurne de la
terre : grandeur de l’arc décrit par ce mouvement, cercles
horaires aftronomlqnes. Cercles horaires bahgom
que» & italiques. Lignes horaires en gnomomque. y tu .
19(Hemirc. Cercles horaires. Angle h o r a i r e . Mouvement
horaire. Parallaxe horaire ou d’afcenfion droite. Suppl. UL
434. b.
Horaire, angle. Suppl. .832.».
H O R A T IA , fc1i.lX.662.fcXn.755.«.
HORATIUS COCLÈS , ( Hift. rem. ) de la même famil e
que les vainqueurs des Curiaccs. Origine de fon furnora de
tA d is . Son intrépidité fignalée dans la guerre contre Porfenna,
^fKiROA nom donné à quelques rois de Danemarcif.
Suppl. II. a 18. « .îiç .fc _ . _ „ ,
' HORDE. ( Géogr, ) Paffage d’Horace fur les hordes des
anciens Scythes. Etymologie du mot 4or*. Defcription
d’une horde & de la manière dont elle campe. V lll.
Horde. Chef de hordes chez les Tañares monguls. X V .
^3 HORDICALES ou Herdlcidies, ( Anú<¡. rom. ) «te qu’oq
célébroit à Rome en l’honneur de la terre. Se cnñ c c s rni on
pratiquoit. Origine de cette fête. Etymologie du mot. p
* 9 7 -«• ; HOREB.
H O R H O R 9 2 9
HO R EB . ( Géogr. ) Pourquoi l’écriture confond fouvent
Horeb 8éSinai. Monafterc au pied d e l’H orcb. VIII. 297. a-.
Voy ez SiNAÏ.
H O R ISO N , ( Aflron. 6* Giogr. ) origine de ce mot. Ho-
rifon rationnel. Honfon vifucl. Celui-c i fc mo n rationn el,u u ih u ii vuuui.ic udiivviufce eenn oorriieennttaail
& ,e n occidental. L ’horifon oriental & l’occidental changent
félon la diftancc de l’aftre au zénith. V I I I . 29y.b.
H o n fo n en terme de géographie. Pourquoi on l'appelle
horifon fenftble. L’horifon rationnel 8c l’horilon fenfiule fe
confondent par rapport aux étoiles. VIII. 29 7 . b. Mais par
rapport aux planctes plus proches de la te r re , il faut les
diftinguer. Horifon phyfique. Moyen de déterminer jufqu’oii
la vue d’un homme peut s’é tendre, en fnppofant la terre
fanç inégalités. Ibid. 298. a. Voyez N i v e a u .
H o r ijo n , ce cercle appcllé fin i leur. V I . 818. b. Horifon
rationnel. XIII. 827. b. Horifon apparent ou fcnfiblc. I. 344.
a . Différentes étendues de l’horifon fcnfiblc félon l’éleva-
tion de l’oe il au-deffus de la terre. Abniffement de rhori-
fon fenfiblè. I. 7. b. Points de l’horifon ou du compas. XII.
872. a. Pourquoi les aftrcs paroiffent plus foiblement quand
ils font près de l’horifon. IV . 1032. b. Pourquoilc fiolcil 8c
la lune paroiffent plus grands vers l’horifon que lorfqu’ils
font plus élevés. IV . 1032. ¿ .X V I I . 341. b. 366. b. 368.
¿ .T ab le qui indique l'étendue de l’horifon terreftre pour différentes
hauteurs de l’oeil. Suppl. IV . 884. b.
H O R ISO N T A L . ( Aflron. ) Cadran horifontal. Ligne I10-
rifontale en perfpcâive.Plan horifontal. Plan horifontal en per-
fpcélive. V l l l . 298. a.
H o r ifon ta u x , points. XII. 872. b.
■ H O R L O G E , { .A r t médian. ) définition. VIII. 298. b.
H o r l o g e à eau ou clepfydre. ( Littéral. ) Deux horloges à
eau , l’ancienne 8c la nouvelle inventée par Ctéfibius.
Ufagc que les anciens faifoient de la première. Proverbe?
auxquels cet ufage avoit donné lieu. Fontaine qui fe trou-
v o it dans le barreau d’Athènes, pour mefurer le tems deftiné
aux procès. Parole de Platon fur cet ufage. Il paffa du barreau
d’A thencs à celui de Rome fans altération. Exprcflions
figurées en latin , dérivées de cette coutume. V l l l . 298. b.
Sens de cette parole de Quintilien, in atlionc aqua déficit.
C e qu’on entendoit par clepfydras elepfydris addere, & par
aquarn fuflincre. Vénalité de ceux qui mettoient l’eau dans
l ’horloge. Injuftices fur la mefurc du tems dans les procès.
Rufcs inventées pour accélérer ou retarder l’écoulement
de l’eau. Autres ufages que les anciens faifoient des horloges
> à eau. Ibid. 299. a.
HORLOGE à rouages , à rejforts , a contrepoids, a Jonne-
r ie , {H ifl. de l'h or log.) ce que, dit M . l’abbé Sallicr fur l i a
vention de ces machines. Sur le s horloges à fa b le , voye^
S a b l e . VIII. 299. * . Premières horloges à rouages chez les
Romains. Horloges de Caffiodorc. Horloge enyoyée a Pépirt-
le -B re f par le pape Paul I. Préfent que le calife Aaron Ral-
child fit d’une horloge à Charlemagne. Origine de la coutume
qui fe pratique en divers endroits d avertir de 1 heure pendant
la nuit. Imitation des p -entières horloges en Italie par
noient lieu d’horloge. X V I I . 388. ¿. — Equation de l'horloge.
Pacificus, archidiacre de V é ro n e , dans k neuvième fiecle.
Horloge de Walingford qui parut à Londres dans le qua-
torzieme fiecle. C e lle de Jacques de Dond.s quon vit à
Padoue peu de tems après. Tranfcnption d un paffage du
fteur de M czicres, dans fon fonge du vieux pèlerin , ou fe
trouve la defcription de cette machine. /W. ¿. Surnom donné
à l’auteur de cette horloge. Etat aétucl des defeendans de
ce méchanicien. Emulation cxcitec dans toute 1
cafion de l’horloge de Dondis. Horloge de Cour ray ,1 une
des plus eftimées de ce tems-là. Horloge du palais àTaris.
La ville de Meremberg fe diftingua par la varié é de mé-
chanique qu’e lle mit dans fes horloges. Horloge de M. Far-
X . W 300. I Emulation fomenue en Italie pour les
ouvrages de ce genre. Horloges remarquables cn F ra n c e fu r
la fin du quinzième fiecle & dans le fcizieme. Celle de la
cathédrale de Lunden en Suède. Des horloges en petit ex -
cutées fur la fin du quinzième ltecle. Iota. 0. , , _
H o r l o g e , ( Ma chine) il s’agit ici de celles quon place
dansées clochers, dans g 1 1
qu’on leur donnoit au
quelle ces machines ont acquis un grand degré j
^ 1 1 300. 4. Conditions oAntidles S toute f e t e M f
crlot on des eroffes horloges , ou hor oges de cloche».
M Le ro y p e r e , ayant inventé les horloges honfomales
nui font inconteflablement préférables aijx autres on en
Jonne .ici la conliruflion. llnd. 3°>- Différences entre
ce,.« forte d’horloges B g ®
V . 833. a. 836. a. 8681 b. Nouvelles horloges pouf
les longitudes. Suppl. III. 7 7 k . b. Voy c{P e n d u l è .
H o r l o g e s marines ou montres marines, ( Aflro n .) extrême
précifion de celles que MM. Harriffon en Angleterre , Ber-
thoud & L e ro y en France , ont conftruitcs. Leur deferip-
tion & les procès-verbaux d’expériences de ces montres font
prêts à paroitrc. Voyag es dans lefquels on a fait ufage des mon*,
très françoifes. Suppl. III. 434. ¿»
H o r l o g e , poudrier , ampoulcltc , fable. {M a r in e ) D c f-
cription de éette machine de verre qui fm à mefuref
l’eipace d’une demi-heure par l’écoulement du fable qu’elle
contient. C ’eft dc-là que les matelots appellent une demi-
heure Une horloge, b c . Horloges d’une demi-minute, 6c. V III.
302. a l V ; 7. . K 7 .
HO RLO GER. { A r t s ) Obfervations fur .le ebrps & la
communauté des horlogers de Paris. VIII. 302. a. Précis des
ftatuts ou lo ixd c cette communauté. Sur les maîtres , droits
de maitrife , apprentiffages, droits des veuves de maures ,
b c . Elcélion clés gardes vifiteurs, ftatuts de 1344. Ib id .-b .
Convocation d’affemblécs 8c reddition de comptes. Vifitcs des
gardes-vifiteurs chez les maîtres. Ibid. 303. a.
Horloger. Réflexions fur cette claffe d’artiftes horlogers,
qui nés avec des difpofitions particulières, s'appliquent k
découvrir de nouveaux principes, ou à approfondir ceux
qui ont été déjà trouvés : riioyen d’exciter leur émulation. V .
838. b. Horloger finiffeur. V l. 818. a. Voye^ l’article H o r l
o g e r i e .
HO RLO GERIE. Il ne paroît pas que les anciens aient
eu aucune connoiffance de cet art. Premiers moyens qu’on
a mis en ufage pour mefurer le tems. VIII. 3° 3* a‘ Epoque
de l’invention des horloges k roues 8c h contrepoids.
‘Invention de la fonncric. Progrès de l’art jufquau tems
où l’on conftruifit de petites horloges portatives. Nouvelle
perfeftion que l’horlogerie acquit par les découvertes de
Huyghens en 1647. Ibid. b. Application qu’il fit de la c y cloidc
au pendule. Quoique le fuccès nait pas répondu à
la théorie , c’eft à elle que nous devons la perfection de nos
horloges. Pendule circulaire appcllé pirouette , auffi inventé
par M. Huyghetjs. Ces inventions contcftées à leur auteur»
Comment il répondit k ceux qui lui en difputoient la gloire.
Ibid. 304. a. Inconvéniens attachés à l’ufage de la cycloidc.
Avantage qu’on en a retiré : elle nous a appris à n e,J1'*
ployer que de petits arcs dans le mouvement du pendule.
Premières pendules faites à Lond res, à petits arcs 8c | lentilles
pefantes. Ibid. b. Comparaifon des pendules imaginées
par Huyghens à celles qui fe font aujourd’hui. Cette per-
, feftion que l’horlogerie a acquife n’a rien changé au principe.
L ’art de l’horlogerie eft devenu aujourdhui une
ic i en ce où la main-d’oe u v r e n ’e ft plus qu e l ’acce ffo irc. N o u v
e l l e s d iv ifions du tems appliquées au x pendules. Diffé ren s
méchanifmes in ventés par les a r tifte s , dans la Vue de mu ltiplier
les ufages d es pendules. U fa g c des pendules à équa-
. riiJuA» c Tf.cnliK belles machines que horlogerie ait
I!$ tems«S§#S H"rÉ
cnniion. 6 S j . « , ». ^ pinuchcs. C lep fy d « ,
ppllaanncchheess d—e c—et a-re . v ° ‘- Bou„ ic's ¿ 'A lfred , qui lu. te-
/l’hnrlnpe. 111» S 22
tipner les uidges «e» — r i
tion. Ibid. 303. a. Les plus belles machines que 1 horlogerie ait
produites, font les fphcrcs mouvantes 8c les plamfplicres.
Defcription de la fphere mouvante. Archimcde en avoit
compofé une. Quelle eft la plus parfaite dont on ait çon-
noifiance. C e qu’on entend par plamfphere. Ouvrages à
'confulter, pour s’inftruirc des diverfes inventions faites en
horlogerie. Connoiffances qu’il faut réunir pour pofféder
cette fcicnce. Ibid. b. Directions fur la manière de former
un artifte horloger, qui entende 1« Principes de fon art ,
8c qni puiffe y acquérir quelque célébrité. Ibid. 306. a , b.
Deux fortes d’horlogers, favoir l’horloger Amplement ouvrier
, 8c l’horloger artifte. Comme chaque partie des «non-
très 8c des pendules eft exécutée par des ouvriers différens,
qui font toute leur vie la m im e ch o fe, fauteur entre tbns
le détail de ces différentes fortes d ouvriers. Toute lhor
loecrie divifée en trois branches, favoir celle des ouvriers
mu font les greffes horloges, celle des ouvriers qui font les
pendules celle des ouvriers qui font les montres. Détails
Fur ies uns 8c les autres. IHd. b. Fouillons de l’horloger
artifte L ’horlogerie n’a point encore acquis toute la per-
feflion dont elle eft fufccpiiblc. Cet art étant la fcience
du mouvement, tout ce qui concerne une machme ^uelcon- lfte| f| g ® |ll !ilpr à
¡’horlogerie. Talent naturel que doit pofféder l’amfte. Moyens
d’e S l’émulation des artiftes | d’avancer les progiés
de l’mt S’il eft néceffaire de partir d’après des principes
de méchanique pour compofer des pièces d horlogerie , .1
eft il propos de les vérifier par des expériences. Obferva
“ „s L les manières dont fe font ces expènences./W. 39| -
§ Divers artiftes qui fe font diftingués en France. Eloge
a retirée de cet étahliffement. M | I