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33 Amadan , vffle dePerfe, bâtie dans le Beu de l’ancienne
EC& f f i V ; T ^ g r . ) ville d’Afie, dans le Curdillan.-Produétion
de fes environs. Suppl. I- 331*a- - *
AMADOU, maniéré de taire 1 amadou.L 313-
• envers fon frere. Sa fuite. ^UP £ ' , V légitime d’Alaric II.
AMALARIC , (H,fi. dcsGoths) ms
PrèAMdAeiAZONTf C $ ‘d' sG °às- H ',l l-
d e ^ ï ^ r i c roi ditaBe. Hifloii'e de fon regne. Suppl. $
33AMALECITES , ( Hif. une.) ltilloire de ce peuple. Sttppl.
“ 'À & L F I , ( Giopr. ) ville ancienne du royaume de Naples.
^ M A L G A M A tT o n T i C h y L j |omment fe pratique
orfevres & les doreürs. C’eft par cet amalgame que fe 6it la
dorure. Comment on ertleve la noirceur de 1 amalgame. Comment
fe füt-ce qu’on appelle chmxi or. Ibid. ) 1 + a
mmm tF™. “ "ê®-
rènoeentre^l’amalgame & l’affiage. 1.183. ï . Amalgame de
l’étain avec 1« merclre. I. 604. i .V l 8. , Du ¡ ¡ g g avec
le cuivre IV. <46* bt avec le fer. VI. 49?- b- a^ec Ie
XVII 717. Le bifmuth rend quelques métaux plus propres
à s’amaleamer avec le mercure. U . 263.
AMALGAME , celui du mercure avec le plomb. Ce qui
provient de la lotion de cet amalgame. Méthode d ennoblir
Fes métaux. Qualités qu’acquierent les métaux amalgames.
Comment on peut les rétablir dans leur premier état. 1.314-
a L’amalgame eft un moyen dont on fe fert dans plufieurs pays
pour tirer l’or & l’argent de leurs mines, fini. b.
AMAL1 , ( Botun.) genre de plante. Lieux ou cette plante
croît. Sa defeription. Ses qualités & ufages. Suppl. I. 333. a.
AMALTHEE, (Myth) chevre qui noumt Jupiter. 111.312.«.
AMAN, ( Hijl. des Juifs') favori d’Affuérus. Son élévation.
Sa catailrophe fié fa mort. Suppl. I. 333. A ,
A m an fête que célèbrent les Juifs en mémoire de ce qu Us
furent préfervès par Efther du maffacre qu’Aman vouloir
faire de leur nation. XII. 53 5. u. , T
A m an , ou Sam a , ( Gcogr. ) ville de la Judee. Suppl. I.
333. b. . ,
AMAND de Ziriczée. XVII. 719. a,
A mand , Saint, ( Géogr.) Suppl. IV. 694. a. , bt _
Amand , {Marc-Antoine Gérard, fieur de Saint ) obfer-
vations fur la vie & fur les ouvrages de ce poëte. XIV.
io (, a y bu » . *
AMANDE, ufage des amandes douces en médecine. Ana-
lyfe des douces & des ameres. I. 314* gf Propriétés de celles-
ci. Les unes & les autres conviennent en tout tems. Lait
d’amandes. D’où vient la différence du goût des ameres & des
douces. Comment fe fait l’huile d’amandes douces. Maniéré
de confire les amandes. Amandes à la praline grife. Pralines
rouges. Amandes glacées. I. 315. a. Amandes fouillées.
Ibid. b. ,
Amande, fruit qui fert de monnoie aux Indes occidentales.
^MANDÊ, boiffon agréable , rafraîchiffante, &c. Maniéré
de la fùire. I. r 15. b.
AMANDIER, (Jardin.) caraéteres de ce genre d’arbre.
Sa defeription. 1. 315. b. . . Im
Amandier, ( Botan'. ) fes autres noms. Caractères génériques
de cet arbre. Suppl. I. 333. b. Defeription & culture
de quatre efpeces d’amandiers. Variétés. Ibid. 334. a.
Amandier, culture des amandiers en pépinière. XII. 322. a.
Germination de l’amandier. XVI. 953. b. Amande de lifle de
Java , nommée catappas. II. 769. a.
AMANT, amoureux, (Synon.) différences entie ces mots.
L 3 1 5. A I g ,
Amant, finguliere affli&ion d’un amant. IV. 48. b. Plainte
des amans contre les portes fermées. XIII. 135. b. L’éternu-
ment étoit anciennement un préfage entre les amans. V I. 50. a.
Amans infidèles. VIII. 701. b.
AMANUS, ( Myth. ) dieu des anciens Perfes. Culte que les
mages lui rendoient. I. 316. a.
A manus , dieu des anciens perfes ; le foleil ou le feu qui
en étoit une image. Culte .que les mages lui rendoient chaque
matin. Suppl. 1. 3 34. A
AMARA, montagne d’Ethiopie : bibliothèque fur cette
montagne. II. 233. a.
AMARACUM, (Botan.exot.) Voye^Sampsuchum.
AMARANTHE , (Bot. 6* Jardin.) defeription de cette
A M A
Liante. Sa culture. Maniéré de la tranfplanter. Comment on
en conferve la graine. 1.31(5. a. dite pafle- BÊl \tr. SÜÄ 4. H® i q a M g nommée Ulu.ru udcka nanjtn.
6"^ iA R A N T E ', i r Ordre d e f ) ordre de chevalerie en
S n e S o r i g i n e . Marque de l’ordre. Son exnnéhon. Suppl.
1 Um A R E , (Gramm, latin.)différence entre nmart ScdlligM
X AMARRE , (Murine ) lien ', cordage qui ferré affiijcmr &
à tenir en place. Différence entre l’amarre & 1 aiguillette.
Amarres d’un vaiffeau,d’une chaloupe ou d un canot. Amarre
qu’on jette à un canot lorfqrfen pleine mer, ou dans un
courant, il vient à bord dun vaiffeau. Suppl. 1. 33.5*. ; . »
AMARRER, amarrer un vaiffeau. C eft le capitaine qui eft
chargé de Ken amarrer fon vaiffeau, qui en répond. Suppl.
f aÄ a SEU S , ( Romulus) XVI. 866. e. , ,
AMASIAS, (Hijloïrt Jointe) roi de Juda. Evenement de
{0nÀMAÎlSUPP( HifdÊgypte) roi d’Egypte. Tableau de fon
Loix (jn’B établi; - É | Pl” '
béiliffemens qu’il fit au temple de Minerve a bais. A V I . 77. •
AMASSER, ( Hydraulique) pour amaffer des eaux, il taut
examiner fi la fource eft découverte , fi ÿ e neft point apparente
, fi elle eft enfoncée dans les terres. Conduite à obferver
félon chacundecescas.L. 317.4. 3 . , -, ,,,
AMATEUR, ( Belles-Lettr. ) ce ferait une clafle d hommes
précieufe aux arts & aux lettres que celle qui, par un
goût naturel, plus ou moins éclairé , mais fincere ©t julte,
jouirait de leurs produirions , s’intérefferoit à leur gloire j
& , félon fes divers moyens, encouragerait leurs travaux.
Mais la foule des amateurs eft compofée d’une efpece d’hommes,
qui, n’ayant par eux-mêmes, ni qualités, nitalensqui
les diftinguent, & voulant être diftingués , s’attachent aux
arts & aux lettres comme le gui au chêne , ou le lierre à
l’ormeau. Suppl. I. 336. a. C’eft encore pis , lorfqu’ils s’attachent
à un homme de génie, pour fe donner une exiftence
& un reflet de confidération: ils fe confHtuent fes valets les
plus baffement dévoués ; ils fe permettent pour lu i, a fon
infu & à fa honte, des maneges dont il n’a pas befoin, 8£
dont il rougirait, & le déshonorent s’il eft poflible, en affectant
de le fervir. A l’égard des lettres, l’amateur s’appelle
plus communément connoiffeur ÿ & malheur au fiêcle ou cette
forte de gens abonde. Croyant rivalifer avec le talent même ,
ils en font jaloux en fecret. Ce fentiment d’envie, cette haine
des vivans , leur fait fans ceffe exalter les morts. Ainfi les
prétendus amis des lettres ne font rien moins, le plus fouvent,
que les amis de ceux qui les cultivent. Caraftere du véritable
ami des talens. Ibid. b. )
AMATIR ; Opération dans la monnoie. I .3 17 . <*.& en orfèvrerie.
Ibid. b.
AMAUSENSISPÀGUSy (Géogr. du moyen âge) contrée
d’Amous dans la Sequanie. Étymologie du mot Amous. Lieu de
cette contrée, nommé Amagetobria, où fe donna un combat
fimefte aux Eduens. Étendue de ce canton. Obfervations fut
les principaux lieux qui lui appartenoient. Suppl. I. 337. a.
AMAUTAS, ( Hiß. mod. ) Philofophes du Pérou, fous le
regne des Incas. Sciences qu’ils enfeignoient à leurs difciples»
Tragédies & comédies qu’ils compofoient. L 317. a. Prix
accordés aux meilleurs aéleurs. On dit cependant que dix tems
de la conquête des'efoagnols, ils n’avoient pas encore l’ufage
de l’écriture. Ibid. 318 .a.
AM A YUM , empereur du Mogol. X. 613. a.
AMAZONE, ( Hiß. arte. ) femme courageufe & hardie.'
Ancienne nation des amazones. Les auteurs ne font pas
d’accord fur l’exiftence de cette nation. Differtation de M .
Petit fur les amazones , dans laquelle il prouve qu’il y a eu
réellement une telle nation. Comment elles font repréfentées
dans les médailles. Républiques modernes d’amazones. I,
318. a.
A mazones , le hazard fournit aux amazones l’occafion de
fe fervir des chevaux, & elles cultivèrent fart de l’équita-
tion. Cavalerie qu’elles menèrent devant Athènes. V . 886. a.
Bouclier qui leur étoit particulier. XII. 289. A Peuples qui leur
fourniffoient des maris. VII. 1022. a.
A mazones , (riviere des) (Géogr.) rivière de l’Amérique
méridionale. Divers noms qu elle a eus. Origine de ce der-
nier. Cours de ce fleuve. Cartes qu’on en a publiées. Voyage
de M. de laCondamine fur fes bords. Ce qu’il penfe des amazones
d’Amérique. L 318. L
Amazones, defeription de fon cours. X. 67. a- Jonétion de
l’Orénoque à ce fleuve. XL 624. b. Flot impétueux de la mer
à fon embouchure. XIII. 126. a, a. Habitans des environs de ce
fleuve. VIII. 347. b. XVI. 198. b. 205. b.
Amazones, (Pierre des) VIII. 43a. b. XII. 576. b. XVL
417. a.
A M B
AMBACHT, (Géogr. ) terme de topographie, qui fé prend
aujourd’hui pour une étendue de jurifdiétion, pour un territoire
dont le poffeffeur a droit de haute & de baffe jufticei
On ne fe fert de ce terme, qu’à l’égard de quelques villes de
Flandre. Signification qu’il avoit anciennement. Son origine*
Suppl. I. 3 37. b.
AMBAIBA, ( Botan. ) defeription de cet arbre du BrefiL,
I. 318. b. Ufage qu’en font les habitans. Propriétés chimériques
qu on lui attribue. Ibid. 319 .a.
AMBAITINGA , (Botan.) caraâeres de cet arbre & de
ion fruit. Liqueur qu’on tire de l’ambaitinga. J. 310. a.
AMBALAM, (Botan.) arbre des Indes. Defeription de
cet arbre & de fon fruit. Ses propriétés & ufages. I. 319. a.
A m b a l am , grand arbre du Malabar. Ses autres noms* Sa
defeription. Suppl. 1. 337. b. Ses qualités & ufages. Ibid. 338. a.
Seconde efpece cat-ambalam. Sa defeription. Ibid. b.
AMBARE, ( Botan. ) arbre des Indes. Sa defeription. Propriété
& ufage de fon fruit. I. 319. a.
AMBARRES, ( Géogr. ) peuples gaulois. Contrées qu’ils
occupoient. Suppl. I. 338. b.
AMBARVALES , ( Hifi. anc. ) fêtes chez les romains.
Carmen Ambarvale. Prêtres qui préfidoient à ces fêtes. Tems
où elles fe célébraient. Voyej SuovETAURiLiESi
A m b a r v a l e s . Voye^ A m bu r b ium . Prêtres qui fervoient
aux facrifices des Ambarvales. I. 745. b. Hoiries ambarvales.
VIII. 318. b.
AMBASSADE , ( Hifi. mod. ) ancien ufage des rois de
France d’envoyer plufieurs ambaffadeurs enfemblc. L’hiftoire
nous parle auiu d’ambaffadrices. I. 319. b.
A m b a s s a d e , (Secrétaired’ ) XIV. 863.4*
AMBASSADEUR ; (Hifi. mod.) recherches fur l’étymo-
logie du mot ambaJJ'adeur. Différence entre legatus 8c ambajfa- ,
deur. I. 319. b.
Ambajfadeur ordinaire, ces ambaffadeurs étoient inconnus il
y a 200 ans.
Ambajfadeur extraordinaire. En quoi ceux-ci différent des
premiers. Athènes’ & Sparte s’honoraient beaucoup des ambaffadeurs
qu’on leur envoyoit. Comment ils expoioient leur
commiifion à Athènes & à Rome. Chez nous ils s’adreffent
uniquement au roi. Exemples qui montrent que la perfonne
des ambaffadeurs étoit regardée comme facrée. Cérémonies
auxquelles les ambaffadeurs ne doivent point alfifter. Préféance
du nonce du pape en France. 1. 3 20. a. L’ambaffadeur de France
a par-tout le pas fur celui d’Efpagne. Ibid. b.
Ambajfadeur , différence entre ambaffadeur , député &
envoyé. IV. 867. b. Les ambaffadeurs que les ennemis envoyaient
auprès des romains , ne pouvoient entrer dans la
ville de Rome. XVI. 66. b. Lieu où ils attendoient la réponfe
du fénat. jo . a. Lieu où les ambaffadeurs étrangers étoient
reçus à Rome. 78. b. II. 199. a. Les ambaffadeurs chargés de
traiter de la paix, portoient un caducée. II. 527.a. Dépenfe
pour l’entretien que les romains faifoient aux ambaffadeurs à
Rome. IX. 3 22. a.
o Pour1l uoi nos ambaffadeurs prennent le titre de comtes. III.
800. b. Titre d’excellence .denné^a^x ambaffadeurs. VI. 217.
a. Ambaffadeur extraordinaire* V l. 3 37. a. Ambaffadeur d’obé-
dience.XI. 297. b. Audienc^dés ambaffadeurs.I. 866. ¿.Secrétaire
d ambaffadeur. XIV. 863. a. Hôtel d’un ambafiadeur j
privilèges qui y font attachés. VIII. 319. b. Franchifes du
uartier des ambaffadeurs à Rome. VII. 284. a. Introducteur
es ambaffadeurs. VIII. 846. b. Voye^ M in istre du roi
dans les cours étrangères. X. 5 56. a.
AMBEL, arbre des Indes. Ufages qu’on en tire. Ses' effets
en médecine. I. 320. b.
Ar*BEL,(Botan.) efpece de nénuphar. Ses autres noms*
Lieux où croît cette plante. Sa defeription. Suppl. I. 338. b.
Ses qualités & ufages. Seconde efpecenommée areca-ambel. Sa
defeription 8c fes ufages. Ibid. 339. a.
Ambel y caraéiere qui le diftingue du citambel. Suppl. II.
444- a.
AMBERG, (Géogr.) montagne de Suede. Sa hauteur.
fommet. Suppl. I. 239. b.
AMBETTI, (Botan. ) herbe annuelle qui croît au Malabar*
Sa delcnption. Suppl. I. 339. b. Ses qualités & ufages. Ibid.
AMBI, infiniment de cliirurgie. Sa defeription. Maniéré
de s en fervir. Avantages 8c défavantages de cette machine.
I. 320. b.
AMBIA-MONARD, ( Mat. médic. ) efpece de bitume. Ses
propriétés & fes ufages. 1 .321. a.
"Monardy (articlede l'Encyclopédie) lifez Ambia.
AMBIAN , article de VEncyclopédie , ( Géogr. ) il paraît
démontré que la ville & le royaume de ce nom font imaginaires.
Suppl. I. 340. a.
AMBIDEXTRE : il y a beaucoup moins de femmes ambidextres
que d’hommes.Ufage métaphorique de ce mot. 1.321.**.
Ambidextre, réflexions fur l’inégalité que la coutume a mife
entre la main droite & la gauche. VI. 250. a. IX.’ 875. a , b.
VjP^6°rate dit qu’une femme ne devient point ambidextre.
AMBIGUITÉ. Voye1 É q u iv o q u e . Sôphifmés qui vien»
nent de 1 abus de 1 ambiguité. XV. 364. b.
AMBITION, ( Morale ) diverfes fortes d’ambitieux. D ’où
vient chez les hommes la différence des pallions qu’on défigne
du meme nom. I. 321* b.
Ambition, elle eft le principe de la plupart des mouvemens
humains. VIII. 276. a. Volupté de l'ambition. XVli. 460. a*
Excès de l’ambition joints aux égaremens du fanatifme. VI*
396. a , b.
AMBIVARETES, ( Géogr. ) peuples gaulois. Obfervations
lüûoriques fur ces peuples, Suppl. 1. 3 40* ai
AMBLE , ( Manège )jze pas eft un train rompu. On ne le
cohnoit point dans les maneges. Différentes maniérés de dreffer
un cheval à l’amble. 1. 321. b. La maniéré de mettre un cheval
à l’amble, piar le moyen du tramail, paraît la plus naturelle
& la plus sure ; mais il y a certaines fautes à éviter, où
tombent fouvent ceux qui s’en tiennent à cette métho de
Ibid. 322; a.
Amble, defeription de cette allure : elle eft fatigante pour
le cheval, 8c douce pour le cavalier. Quels font les chevaux
qui la prennent. III* 306. Suppl. III. 396. b. VII. vol. des
planch. Articld M a n e g e 5 pl. 6.
AMBLETEUSE , ( Géogn) ville de Picardie. Obfervation
fur fa rade. Suppl. 1. 340. a.
ÀMBOHISTMENES, article de VEncyclopédie, ( Géogr. )
erreur à corriger. Ce font de hautes montagnes de l’ifle de
Madagafcar. Suppl. I. 340. b.
AMBOINE i, ifle des Moluques qui produit le girofle,
o* ^“71‘ a‘ P^u‘* I f l y tombe annuellement. Suppl. IV*.
418. a , b. Tambourin à l’ufage des femmes. 563. a. Autre
inftrument des habitons. 930. b. ^
AMBOISE, ( Edit d ') V. 391. **. XI. 736. b.
AMBOKELY, ( Botan. ) herbe parante du Malabar. Ses
autres noms. Sa defeription. Suppl. I. 340. b. Ses qualités
& ufages. Elle n’eft point une efpece de vanille, comme l ’a
penféXinnæus. Ibid. 341. a.
AMBRACIE, ( Géogr. 6* Hifi. anc. ) ville d’Epire. Hiftoire
des Ambraciotes. Suppl. I. 341. a.
A m b r a c ie , monumens que les Romains tranfporterent
de cette ville à Rome. XII. 272. **.
AMBRE-GRIS, (Hifi. nat. ) parfum qui vient de la mer
& qui fe trouve fur les côtes en morceaux de confiftance
folide. Defeription & qualités. Divers fentimens des natu-
raliftes fur l’origine & la nature de cette fubftance. L 323*
a. M. Formei ne trouve point de fentiment plus raifonna-
ble , que celui, que l’ambre-gris eft un compofé de cire
& de miel que les abeilles font dans les fentes de grands
rochers au bord de la mer des Indes. M. Geoffroi ne doute
pas que ce ne foit une efpece de bitume qui fort de la terre
fous les eaux de la mer. Le fentiment des Orientaux & de
plufieurs auteurs revient à celui de M. Geoffroi* Groffeur
& forme des morceaux d’ambre-gris qu’on trouve au bord
de la mer. Ibid. b. Ifles & côtes où l’on en ramafie en plus
grande abondance. On en . diftingue de trois qualités, donc
la meilleure fe reconnoît par le iuc gras 8c de bonne odeur
qui en fo r t, quand on le perce avec une aiguille que l’on
a fait chauffer. Ibid. 324. a.
Ambre-gris, groffes boules d’ambre-gris qu’on trouve dans
certains poiffons appelles cachalotsi II. 503* b. Lieu où la
mer jettoit l’ambre, félon les anciens. Suppl. I. 823. a.
A mbre-g r is , (Médecine) fon analyfe. Ses vertus. Î. 324. a.
AMBRE-JAUNE, ( Hifi. nat. ) fes qualités. Incertitude
des naturaliftes fur fon origine. M. Formei croit qu’il
découle de certains arbres du genre des fapins. Cet ambre
ne fe trouve que dans la mer Baltique. On voit fouvent
au milieu de ces morceaux, des fétus, des feuilles ou des
infeétes. I. 334. b. Explication de cette fingularité. L’ambre
doit être mis au nombre des réfines plutôt que des gommes.
D’autres auteurs ont cru qu’il étoit un bitume. Ibidi
325. a. M. Geoffroi en diftingue de deux fortes , l’une eft
jettée fur les bords de certaines mers, l’autre eft tirée du
fein de la terre. Celle-ci fe trouve en Pruffe & en Poméranie
; les principales mines font fur les côtes de Sud\yic*
On trouve de l’ambre jaune en Provence, en Italie, en Sicile,
en Pologne, enSiléfie, en Suede, en Danemarck , &c*
Où fe trouve la plus belle qualité. On en diftingue de trois
fortes. Ufage qu’on fait de l ’ambre jauùe. Ibid. 326. a.
Ambre-jaune. Voyez l’article fuccin deftiné à fervir de fup-
plément à l’article ambre-jaune. Vernis d’ambre-jaune. De la
nature de l’ambre, & des moyens de le diffoudre* XVIL
78. a,b . Pomme d’ambre. XIII. 4. b.
Ambre liquide , Baume. II. 164. b, Voyeç L iq u id am b a r .
AMBROISE, ( Saint J effets fiûrituels qu’il attribue au
lavement des pieds. IX. 112. b. Obfervations fur fes ouvrages*
XII. 343* b. - 6
A mbr oise le Camaldulci Obfervations fur ce fàvant &
fur fes ouvrages. XIII. 147* a.
A m br o ise , Saint, ( Géogr. ) Suppl. IV. 694* b.
AMBRONS, anciens Suiffes. VIII. 109. a. XI. 466. bt
AMBROSIE, (Myth.) nourriture des dieux. Etymologie