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que. Comment fe détermine cette dermere ¿¡fiance. Tabula
latitud'inana dp. Kepler. IV. 579. a.
CURT1US, (Marcus) dévouement de ce romain. IV.
oai. a. Examen de la vérité du prodige dont il fut fuivi. 11.
' ^Curtius û, ( Charles Warner ) anatomifte. Suppl. 1. 4M-
CURTI1 tacus. XIV. 350. b. . .
CURVILIGNE| ( Géom. ) fleures de ce nom. Angle curvi-
liene. Maniéré de le mefurer. IV. 579-?; - ...
Curviligne, figure, mierc de dmfcr une figure curviligne
enraifon donnée. VlL606. a. .
CURULE ( Hifi• anc- ) curule. Magiftrats curu-
les. Comment’ on portoit au fénat ceux-qui avoient exercé
les maeiftratures curules. Chaife des triomphateurs. Ce,que
flenifioit la chaife curule fur les.médailles. Statues curules.
1 ¿ S / c h a ife curule. XV. 729. 4. Voyez C h aise. Jeux
'curules. VIII. 537. Magiftrature curule. IX. 857. a. Statue
curule. XV. 497. b. 50a. a. ,
CURUPA, ( Botan. ) plante de 1 Amérique. Ce qu en dit
Àl. de la Condamine. IV. 579. a.
CURURU-APE, (Botan. ) ufage médicinal des feuilles de
cet arbre du BréfiL IV. 579. b. H •
<• CURUTU-PALA, (Botan.) arbriffeau du Malabar. Ses
propriétés médicinales. lV. 579. b.
■. CUSCO. Qualité du climat de cette ville du Pérou. XV II.
727. a. Temple de Cufco. XVÎ. 84. b. Chemin de Cufco à
Quito. III. 076. b. ■
CUSCUTE , ( Botan. ) plante parafite. Ses caractères.
Comment elle fc nourrit des autres plantes. Divers noms
qu’on lui a donnés. IY. 570. b. Diverfes plantes fur lefquel-
îes on la trouve. Singularités de la eufeute. Dèfcription de
cette plante 8c de chacune de fes parties, lbid. 580. a. Son
caraûere générique. Il n’y a qu’une efpece de eufeute connue.
Tous les pays chauds, froids , tempérés, produifent
la eufeute. La plante que nous connoiffons fous ce nom, eft
la même que les anciens connoiffoient. On ne remarque a
la çufeute aucun organe propre à s’attacher aux plantes,
parce que ces organes ne fe développeroient jamais fans la
^encontre d’une autre plante. Comment ils fe développent,
lbid. b. 8c comment elle contracte une adhérence avec les
autres plantes. Suçoir de la eufeute. Ses mamelons. Leur dif-
pofitiom Caufe de leur fortie 8c de leur formation. Remarque
fur l’ufage des mamelons. La eufeute a befoin , pour vivre g
d’une plante étrangère. lbid. 581.4.
Cujcute. Raifin barbu, formé par l’entrelacement de la eufeute.
XIII. 769. a, b.
Cu scu te , ( Mat. méd. ) deux fortes de eufeutes de boutiques.
La eufeute indigène eft de nulle valeur. On fait peu de
cas aujourd’hui de ces plantes. Compositions officinales où
elles entrent. IV. 581. b.
CUSPINIEN, ( Jean ) ouvrages de cet auteur. XIV. 780.4.
CUSSY , colonne de, ( Ant;quit. ) Supp. II. 507. b. &c.
CUSTODES, (Htfi. anc.) officiers romains de ce nom. IV.
581 ..b.
. Custode , ( Jurifpr. ) dans certaines églifes eft la même
çhofe que curé. L’ufage de ce terme eft fort ancien. Grand
euftode dans le chapitre de Lyon. Cuftodes de Sainte-Croix.
IV. 581. b.
Custode , (Bourrelier) IV. 581. b.
CUTANÉ y\Anatom.) nerf cutané interne. Dèfcription de
çe nerf. Nerf cutané externe. IV. 581 .b.
CUTANÉE, ( glande| définition. Ces glandes diftinguées
en miliaires 8c en fébacéés. Ruifch ne les adopte point. Boer-
jiaave admet un troifieme genre de glandes cutanées , qu’il
appelle cryptes. Il y a peut-être encore d’autres fortes de glandes
cutanées , qui forment ce mucus qu’on apperçoit dans tops
les endroits où la peau fe détache. lbid. 5 82. a.
C u ta n é e , (maladie) diverfes eau fes des maladies de la
pean. Le tifTu de la peau, fa nature 8c fes ufages l’expofent
à plufieurs maladies. Divers noms 8c caraâeres de ces maladies.
Câufes médiates 8c éloignées de la formation de cette
férofité âcre qui produit les maladies cutanées. But des
indications curatives. Remedes qui y conviennent. IV. 582. a.
Pourquoi les anciens étoient fort verfés dans l’art de traiter ces
maladies. Suite fur les remedes. lbid. b. Comme les caufes de
la maladie de la peau varient extrêmement, il eft évident que
la cure doit varier de même. lbid. 583. a.
Cutanées , maladies, XII. 217. a , b, 8cc. Ces maladies fou-
mifes au mouvement de la lùne. VIII. 737. a. Des topiques
dans ces maladies. XVI. 419. De leur traitement, lbid. b. Pommade
pour uiérir les dartres, les rubis, 8c autres difformités
de la peau. U. 502.b. Voyez aulîi Exanthème. Eruption, Peau.
.Vers cutanés. XVII. 44. a.
CUTHÉENS. Divinité de ces peuples, nommée Nergel.
-Le^ ° ,iïïo „^ r r / i doi“ è aux Samaritains.XI. 102. b.
£^£SLUPAU, ( Botan. ) cfpece de bananier. Suppl. 1.782. a.
- CUTICULE, ou eptderme, (Anatom.) dèfcription de cette
iur-peau.. Ecailles cuti cuivres. Nombre prodigieux de vaif-
C Y C
féaux excrétoires qui fe trouve dans une feule écaille. L’épi-
. derme bouche le paffage à une grande partie, des humeurs
féreufes qui s’évacueroient autrement par les glandes de la
peau. IV. 583. a. En quoi confifte, à ce que l’on croit cette
indifpofitipn^qpe l’on appelle vulgairement un rhume. Caufes
des démnngeaifons 8c des petites puftules 8c autres impuretés
de la peau. Origine oc formation dé la cuticule. Son
ufage à l’égard des nerfs. Les chats Scies chiens ne fuent jamais*
. on en conclut que leur cuticule n’a point de pores, lbid. b.
C u t ic u le , ( Anatom.) fa dèfcription Si fes ufages. SuppL
n. 666. b. Voyez ÉPIDÉMIE , 8c Suppl. 612. b.
C u t ic u le , [jardin.) première peau de la graine. IV.583.ft.
CUVE , | Tonnel.) ufage des cuves.IV. 583. b.
C u ve d’airain , ( Antiq.facr. ) uftcnfile confacré chez les
Juifs au fervice divin. Son ufage. Autre vafe de bronze beaucoup
plus grand , que Salomon fit faire pour conferver l’eau
deftinée à l’ufagc des prêtres, 8c qui fut appellé mer d’airain.
Sa dèfcription. Suppl. H. 667. a.
C u ve , en terme de blanchifferie de cire. Dèfcription 8c
ufage. IV. 583. b.
Cuve-matiere, (Brafierie)en quoi elle différé des autres
cuves. Son ufage. Cuve-mouloire. Cuve-guilloire. IV. 584.4.
Cu ve , chez les cartonniers. Cuve du moulin à papier à
cylindres. Cuve en terme de raffineur de fucre. Cuves des
teinturiers. Explication de différens termes qui fe rapportent 4
ces vaiffeaux. IV. 584. a.
CUVERTS, efpece de ferfs qu’on appelloit de ce nom. IV.
566. b.
CUVETTE , ufage de ce terme en bâtiment , fortification
, jardinage, verrerie. Cuvette dans les ardoifieres. IV.
584. b.
. CUZUM, ( Ge’ogr. ) voye^ A x u m .
C Y
C Y , ( Comm. ) terme de teneurs de livres. De quelle ma- ‘
niere ils s’en fervent. Les gens de finance s’en fervent auffi./
IV. 584. b. -
CYANÉES , (Myth:) rochers à l’entrée du Pont-Euxin.
Ce que firent les Argonautes à ce paffage. IV. 584. b. Voyc[
Symplegades. - •
CYATHE, (Hifi. une.) étymologie de ce mot. Cétoit
un $etit gobelet, o*c. dont la mefure étoit la douzième partie
'du feptier. Méfure de vin que buvoit Augufte dans un
repas. On donnoit aux parties du feptier les mêmes noms
qu’aux parties de l’as. Obfervations fur l’ufage incommode
du cyathe : invention des taffes inégales pour remédier à
ces inconvéniens. Les Grecs auffi bien que les Romains ont
fait ufage du cyathe 8c des taffes inégales : paffage d’Athenéé
fur ce Uijet. Comment on buvoit chez les Romains à fa
maîtreffe ou à fon ami. Paffage d’Horace fur ce fujet. Autres
ufages que les anciens faifoient du cyathe. IV. 583. a. Capacité
du cyathe félon Galien, 8c félon nos médecins d’aujourd’hui.
lbid. b.
Cyathe y ufage que les Romains faifoient.de ce gobelet.
XV. 934. 4.
CYBELE, [Myth.) ce que la fable nous raconte tou;
chant cette déeffe. Elle fut envoyée de Peffinunte à ¡Rome
fous la forme d’une pierre brute , 8c introduite par Scipion
Nafica. Prêtres de cette déeffe appellés , gaiii, curetes , coryr
bantes. Cérémonies qu’ils pratiquoient. Sacrifices au’oii fâifoit à
Cybele. Divers attributs fymboliques de cette déeffe. IV. 585.b.
Cybele, fon amour pour Atys. SuppL I. 694- m Ses Jm-
noms. Elle fut nommée Berecynthe, II. o.oy. b. la mere
Idéenne. VIII. 474. a. La mere des dieux, ce mot:
8c la mere Placienne. XII. 677. a. On l’a auffi confondue
avec Vefia 8c la terre. Voyez ces articles. Cybele Chinoife.
XQI. 585. a. Cybele fyrienne. XV. 792. b. Statues b tenu
pies de Cybele. 'Sa ftatue ne fut d’abord qu’une fimple pierre.
V ni. 421. a. 926. a. A quelle occafion fa ftatue fut apportée
à Rome. X. 301. a. Cette ftatue fut tirée de Peffinunte. ML
452. a. XVI. 70. a. Comment on repréfente.cette déeffe.
XV. 730. a , b. Ses temples. XVI. 70, a. Celui qu’elle eut
fur le mont Sipyle. XV. 223. Autre temple de cette déefle
en Syrie. XV. 772. b. Ses prêtres. Des corybantbes. IV.
288. b. Des curetes. 575. b. .576. a. Daétyles, prêtres de
Cybele. IV. 61 p. 4 , b. Galles. VII. 448. b. Les prêtres de
Cybele nommés ménagyrthes. X. 330. a. Mutilations quds
fe faifoient. III. 459. b. Suppl. I. 694. a. Son rj^
fêtes. Dendrophories pratiquées dans les facrifices. IV -824.
b. Fêtes en l’honneur de la mere Idéenne. VIII. 49^
hilarie^en l’honneur de la mere des dieux. 207. b. Autres
dites lavâtion. IX. 310. a. Effigie d’un lion qu0*J P0? 0»
dans les facrifices de Cybele. 559- % f* 16/ y c
Rome. X. .381.4. Chant en fon honneur. Suppl.
II. 4 0 7 .4 .
CYCEON, ( Diète) efpece de potion des
anciens. Com-
pofition de deux différens cycéons. Hyppocratt
! en parle Joii*
vent. IV. 585. b. Autre qu on donnoit
quelquefois a
fens ce mot. Cynjius. des Latuij,. lbid. 586. a.
C Y C C Y L
rvriNNIS danfe des Grecs. Son inventeur. Caraétere
de cette daiife. IV. 586/4. H H
• C Y C L A D E , habillement de femme , ou 1 étoffe meme
dont il étoit fait. Cyclades, ifles de l'Archipel. IV. 586. a.
- Cvclades. Hiftoire de l’ifle dé Paros & des autres Cyclades.
XII- 78. n , b. Les autres principales font Andros, Delos,
Mycone, Naxe, Scyros, Tine, Serpho , &c . Voye^ leurs
articles particuliers.
1 CYCLAMEN ou pain de pourceau , ( Botan. ) pourquoi
cette plante reçoit ce dernier nom. -Sa dèfcription. Deux
èfpeces de cyclamen , l’un printannier, l’autre automnal.
Ort en détalle des cayeux en les coupant de /la mere,- 8c
orfrecouvre ces plaies de térébenthine, bc. IV. 586. a.
CYCLE. ( Chronol. ) Origine des cycles. IV. 586. 4. Ils
Comprennent plufieurs révolutions du même aftre, après lef-
quelles l’aftre fe retrouve au même point du ciel d’ou il étoit
parti. Cycle de la lune qui eft de 19 ans, appellé auffi
période Méthonienne , ou nombre d’or. Ufage de ce
nombre d’or j pourquoi il fut appellé de ce nom. Explication
de la maniéré dont les nombres de ce cycle répon-
doient aux jours dû calendrier ou auroient dû y répondre.
lbid. b. Comment on auroit pu déterminer avec .plus
de précifion les jours de la nouvelle lime. Jours caves 8c
Jours pleins, les uns de vingt-neuf jours, les autres de
30, qu’il a fallu faire alterner pour répondre' à la durée
d’une révolution lunaire, en obiervant d’ajouter encore un
jour entier au bout 'de 32 lunaifons, pour tenir compte
des fraitions. Si le nombre du cycle lunaire eft donné , on
aura par le moyen du calendrier eccléfiaftique les jours
des nouvelles lunes pendant l’année. Erreur qui fe trou-
voir dans l’ancienne maniéré de compter le cycle lunaire ,
qui conduit à une différence , d’un jour au bout de 300 ans.
Différence entre le cycle lunaire 8c la période ou faros
Chaldaïque. lbid. 587. a. Ufage du cycle de 19 ans dans
l’ancien calendrier pour fairé trouver les fêtes mobiles. Son
ùfage dans le nouveau calendrier fe borne à faire trouver
les épaétes. Différence entre les Orientaux 8c les Occidentaux
dans la maniéré dont ils commencèrent à compter leur
cycle. Moyen employé pour faire évanouir cette différence.
Erreur qui s’eft introduite par laps de temps dans le compte
des nouvelles lunes. Nouvelles, lunes eccléfiaftiques en Angleterre.
Maniéré de trouver le cycle lunaire pour une
année quelconque, lbid. b. Les imperfe&ions du cycle lunaire
obligèrent Grégoire XIII dé lui .fubftituer les 'epaftes.
lbid. 588. a.
' C y c le , ( Hifi. du calend. ) Cycles que les premiers peuples
ont fuivis pour corriger les imperteftions de leur calendrier.
XVI. 773. 4. Cycle luni-folaire de Jules-Céfar : def-
cription d’un monument où fe trouve l’explication de ce
cycle. XVII. 667. b. Cycle de douze ans chez les Catayens
8c les Turcs. VII. 655. a. Cycle caniculaire. III. 388. a.
Cycle lunaire. Mois intercalaires ou furajoutés pour former
le cycle lunaire. V. 557. a. Le cycle nommé cnneadccatéride t
692. 4. met/ionique. -X. 462. b. XII. 361. 4 , b. Cycle des
ëpaétes , V. 741/ b. 8c nombre d’or. XL 204.b. .
Cycle des indièlions. Incertitude fur le commencement 8c
l’ufage de ce cycle. Moyen de trouver ce cycle pour une année
propofée. IV. 588.4. Indiction.
Cycle jolaire. Pourquoi il eft appellé folaire. Changement
que produifit- dans ce cycle la réformation du calendrier
fous Grégoire XIII. Moyen de trouver ce cycle pour une
année propofée. Explication néceffaire pour bieji entendre
Ja diftribudon des lettres dominicales dans le cycle .folaire.
IV. 588. 4. Table qui fait voir quelle eft la lettre dominicale
qui répond à chacune, des années du cycle folaire
dans le calendrier julien. Changemens que fit à cette table
le pape Grégoire en réformant le calendrier, lbid. b. Table
du cycle folaire depuis l’année grégorienne 1700, jufqu’à
l’année 1800. Moyen de faire une table générale pour tous
les cycles folaires. Obfervations fur la table perpétuelle des
lettres dominicales qu’on trouve dans la chronologie de
Wolf. lbid. 589. a. Le mot cycle eft non-feulement appliqué
à tous les nombres en général qui compofent la période,
mais à chaque nombre en particulier. lbid. b. Voye[ Dominic
a le , Le ttre.
Cycle pafchal : quelle eft la période de ce nom. IV. 589. b.
Ce cycle a été appellé annus magnus, cyclus magnus, période
viftorienne. Ènfuite on l’a appellé période Dyonifien'ne.
Différence entre le cycle lunaire & celui de 19 ans remar-
qqée dans l’ouvrage intitulé : art de vérifier les dates. Ce
qu’on entend par Ta période julienne. lbid. 590. a.
pafchal de S. Hyppolite. XVII. 768. a, b.
C y c le épique, (Mythol. ) XVI. 275. a.
. CYCLIQUE, pointe. XII. 812. b.
CYCLOÏDAL. ( Géom. ) Efpace cydoîdal. Cet efpace eft
triple du cercle générateur : 1-éfpace renfermé entre le demi-
çercle 8c la dcmi-cycloide eft égal au cercle générateur : dé-
inonftrationsÂV. 590.4.
CYCLOIDE, ( Géom.) dèfcription de cette courbe. Ses
diverfes propriétés. IV. ,;90. „. Cydoïdc allongée. Cycioide
accourcie. Ue 1 inventeur de 1a cycioide. Depuis fon inven-
non, tous les mathématiciens fe font exercés à en chercher
les diverfes propriétés. Quelles font les plus remarquables.
La cycioide eft la ligne la plus courte que parcouiroit uft
corps tombant obliquement à l’horizon, lbid. b. Découvertes
de divers grands mathématiciens pour la quadrature de la
cycloïde. Tant qu’un corps pefant qui ofcille autour d’un
centre fe mouvra dans une cycioide, les tems defesofcil-
lations feront égaux entr’eux ; découverte de M. HuyghènS.
Comment >M. de Fontenelle effaie de faire concevoir cette
propriété de la cycloïde. C’eft cette propriété qui a fait
imaginer l’horloge à pendule. Ouvrage de M. Huyghens frt
ce lujet. Ouvrage à confulter pour s’inftruire fur l’hiftoire
de la cycloïde. Divers géomètres qui ont eu part aux découvertes
des propriétés de cette .courbe. Jbid. 591. a. Application
de la cycloïde au pendule des horloges. Invention de
M. Huyghens. L’expérience 8c la théorie ont démontré lé
contraire de ce que c'et auteur fe promettoit de fon invention.
Tous les favans de l’Europe refterent attachés à cetje
invention plus de trente années , malgré les irrégularités des
pendules à cycloïde. Comment M. Sully leur dcffilla les
yeux. En quels cas cette courbe peut encore convenir aux
pendules des horloges. Méthode preferité par M. Huyghens
pour former cetre courbe. lbid. b.
Cycloïde. Théorie d’où M. de Maupertuis a déduit les
dimenfions de la cycloïde. V. 787. b. Quadrature de cette
courbe. XIII. 641 < a. Ses propriétés. Elle eft la courbe de la
plus vite defeente : démonftration de cette propofition : par
qui cette propriété a été découverte. H. 392. a. Tauto-
chronifme de la cycloïde. XV. 946. a. Application faite de
la cycloïde -aux pendules. VIII. 304. a , b. XII. 293. b.
Invention du pendule cycloïde par M. Hooke. XVII. 613. B.
CYCLOPÉÉ, (Hifi. anc.) danfe pantomime des anciens.
IV. 592. 4.
CYCLOPES , ce que raconte la fable fur ces peuples. IV.
592.4.
Cyclopesy fabricateurs de la foudre. VII. 215.4. Corps dè
cyclopes qu’on a prétendu avoir trouvés dans certaines cavernes.
537. b. Dèfcription du travail des cyclopes par
Dryden. VIII. 569. b.
Cyclopes. (Jeux de la nat. Anat. ) Agneau cyclope. Suppl,
III. 552. 4. Hommes cyclopes. 553. a.
CiDIAS de Cytnos, peintre grec. XII. 258. b.
CYDNUS , riviere de Cilicie, fàmeufe par la maladie
d’Alexandre caufée par le bain qu’il prit dans cette riviere &
enfuite par la mort de l’empereur Frédéric I en 1189. IV.
592.4.
Cydn us , ( Géogr. ) fleuve de,Cilicie. Danger que courut
Alexandre en voulant s’y baigner: Suppl. H. 667. a. Frédéric
Barberouffe fit la même épreuve de les eaux 8c en mourut.
lbid. bi
Cydnus, il eft fait mention de la maladie d’Alexandre dont
on vient de parler. VII. 328. b. Suppl. 1.267. a.
CYGNE, ( Ornith.) dèfcription de cetoifeau. IV. 592. a.
Durée de fa vie, fa nourriture, fa ponte. Cygnes fauvages.
Ufage du duvet du cygne, lbid. b.
Cygne , ftruâure admirable de fa trachée artere. XVI.
505. 4. Du chant de cet oifeau. XVII. 432. a.
C y gn e , (Mat.médec.) propriétés 8c ufage de fa graiffe.
Ufage de la peau du cygne. IV. 592. b.
C y gn e , ( Afiron. ) conftelladon.IV/592.b.
Cygne, comment on connoît cette conftellation dans le ciel.
Suppl. H. 567. 4. Changeantes du cygne. Suppl. IL 318. b.
319.4.896.4. b. Suppl. IV. 916.4.
C y gn e , (Blafon) oifeau qui fe trouve en quelque écu.
Cygne becqué, membre. Signification de ce fymbole. Suppl.
II. 667. b.
C ygn e , ( l’ordre du ) fon origine. Collier de Yordre.Supp'l.
H. 667. b. Voyei vol. II des pl. Blafon, pi: 261
C y g n e , (Mythol.) oifeau confacré à Apollon, &c. IV.
592. b. " ,
CYLINDRE, comment on peut le fuppofer engendré!
Maniéré de mefurer la furfàce entiere d’un cylindre , 8c là
folidité. IV. 592. b. Un cône eft le tiers d’un cylindre dè
même bafe 8c de même hauteur. Rapport du cylindre à
la fphere. Tous les cylindres, cônes , &c. font entr’eux
en raifon compofée de leurs hauteurs : &c. Divers autres
rapports des cylindres entr’eux 8c de leurs parties entr’elles.
Trouver un cercle égal à la furface convexe d’un cylindre
droit. Le diametre d’une fphere 8c la hauteur d’un cylini
dre qui lui doit être égal étant donnés., trouver le diamètre
du cylindre. Trouver le développement d’un cylindre!
Quand le cylindre eft obliaue , la détermination de fa fur-
face courbe dépend de la rectification de l’ellipfe. lbid. 593.4.
Cylindre. Axe du cylindre. 1. 904. b. Trouver le centre de
gravité dans le prifme 8c le cylindre. II. 825. b. Rapport
du cône au cylindre. III. 845. b. Une fphere eft les deuji
tiers du cylindre circonfçrit, obfervations fur la manière