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¿kÿ , D'atteiirsl» mort «»gs^Ssi f"°a *■ ¡p s n’e”,t
% f 10cn de
Son hypothefe fur ^ {& péripatéticisns leur
S» ts^^jaa&tgSgtierms"s ¿ aVsnt celui de l’homme. anciens philofophes entendoient
- Ame m m * C* ^ S r r D & r i n e 'des Stoïciensfor
par-là. VHL 57°- • ( ¿ ¿ f doôrine admife chez les Celtes.
B B B M M B H H H g nature & <M » g H ¡H tivc. I. 353- bpaonèe
de poüteffe & (le grâce. Style plein d’aménité. Suppl.V.
^ E N T H È S lieu
vaonts les eâmess au forer - J ’ vec U diitnbution
I if AMERl’ on nepeut définir les faveurs, qu’en les r ^ r ^ t
Æ “« naturelles qui les excitent. Propnetes des
H f l B ÉH H h ¡¡¡¡gpl®
. . . t , ,g V DoÔrines religieufes de quelques fauva^es
ÙAmériqueX. É J H 486.a. llsadorentun mauvais pnnai>e
Asie f f i è J â m {A k h ym .)l. 3 , 3- *• .
^ f ^ t S i l e ^ f - i n c | d’anificier, deboif-
7 ’ aMEDÉE V III, duc de Savoie, rejour g g f f i t S ^paille ;
hermitage qu’il aveitfondè^ XIV. 197. 4.
AMELAND, | Grôgû) petite ifle des Provinces-umes, i f ;
S* E l l 4C * ln . 5 plante du Malabar. Ses autres notre. Sa
a r „ „ „ S I ,42. a. Ses qualités & ufages. Deuxième
efpece^ GoVM■ § â différere noms. lieux où croit cette
P lAMELl A ^ G tù ^ ) viSTdTtali’e ^dure le duché de Spolette.
^AMÉLIORATION, {Jtuifp.) on en diffingue de trois
foires, dlndifpenfables, d’utiles, de volupmeiries.L 3,3.4.
AMELIORER, ce mot n’eft applique ici qu a 1 art du jardinage.
Moyens d’améliorer une terre. I. 3 54- “■
- AMFLIUS, phiiofophe écleffique. V . 276. 4.
AMELOT, de la Houjfaye , obfervanons fur ce lavant oc
fes ouvrages. XI. ^52, yrxr ,
AMELOTTE, ( Denis) fes ouvrages. XIV. 522. b.
.ÀMELFO ( Botan. ) arbre du Malabar. Ses autres noms.
Suppl. I. 342. b. Defeription, qualités & ufages de cette plante.
Remarque fur la maniéré de la daller* Ibid. 343- *• _ . .
AMEN les Hébreux avoient quatre fortes d amen. Ungine
que quelques auteurs donnent à ce mot. Racine de ce mot.
Paffaae du Deutèronome où il eft emploie. Sens de ce mot
dans le nouveau Teftament, lorfqu’il eft répété deux fois. Ce
mot très-fréquent dans S. Jean, ne fe trouve pas dans S. Luc.
*’ JlMENDE AJurifpr.) il v en a aueles loix n’ont pas déterminées,
& qui s’impofent iuivant les circonftances & la prudence
du juge. I-355- _ . ,
Amende -honorable, defeription de cette peine. Faire amende
honorable à quelqu’un. I. 31 y a- , YT
Amendes, relatives aux chaffes. Il en eft pariè art icle XL.
de l’ordonnance de Louis X IV , du mois d’aout 1669. L 335. a.
Art. XIV, titre des peines, amendes-, reftüutions , du mois d août
4669. Article XV. Idem.
Amende 3\d\ Atéiinafor les-amendes. IX. 053. a. Amendes
auxquelles les Romains condamnaient. XII. 230. a. Amende
nommée Weregjld, dans les loix-dLAlfred. X vU.587.tf. 397.
b. Loix de grands fix fol?., de pents fix fols, de iept fols fix
deniers. IX. 662. a. Coilefte des amendes. UI. 627. b. Confi-
gnation d’amende. IV. 46. a. Contrôle des amendes. 148. b.
AMENER, mener-, remener , ramener , emmener , remmener ;
(différentes fignifications de ces mots. X. 333. tf.
AMÉNITÉ , | Philof. moral. BclUs-Leftr.) douceur accomd’Amenque.
A. 40Ç. . 4 ' t Enchantemenspratiqués
V . ' l î l a . funérailles. V IL
^ t ^ . T L u r fête des morts. V L 572.4. La
lé e avec beaucoup defagelTe chez les anciens Américains. X.
264 a 4 Ufage que les Américains font de la mufique pour
rarimeî ï l courage de leurs malades. X. 906. 4 Morceau de
S T q u e Améri J n e . 902. e. VII. voL dre P ^ M e mufique
pi. 4. Caraôere du ftyle dre fauvagoe dAmenqut X 437-^-
buvraees dre anciens Américains fur certaines pierres fines.
XII. i f e 4. Efpece de bacchanale des fauvages d Amenque.
XV. ,5 8 .4. Arme de chalfe la plus ordinairedes Amcncains.
XIV. 6a<. a , b. Leurs enfeignes militaires. V. 712. b. Com-
meut quelques peuples d’Amérique s’excitent au combat.
Siwvl L 807.4. Américains feptenmonaux. V. 949. a. Américains
méridionaux, appeUés Moxes. X. 84, 4.844- 4. Auteurs
qui ont écrit l’hiftoire des Amèncauis. VUL662. 4.
AMER'.E, ( Antw. rom.) voie daméne. XVIL. 419. 4.
AMÉRIQUE, ( Gcogr.) defeription de cette parue du
monde. Ses productions précieufes. Marchandifre quon eu
re AMÉRlQUE. fHi/!. & Gcogr.) l’hiftoire du monde n’offre
point d’événement plus finguUer que la découverte de ce
condnenc Vouloir que les Phéniciens & les Carthagimre
aient voyagé en Amérique, c’eft une opinion ridicule 5c auiii
peu fondée que tout ce qu’on a dit des prétendus voyages des
Chinois , vers lesplages du Mexique. Suppl. I. 343- g l Y %
un peuple en Europe qui ait anciennement fréquenté quelques
côtes de l’Amérique feptentrionale, ce font les Irlandois & les
Norvégiens, qui, avant le quinzième fiede, firent des éta-
blifferaens au Groenland. Mais le danger de ces parages, & la
rigueur du climat, furent des obftacles invincibles aux découvertes
qu’ils auroient pu faire, en dirigeant leur route vers le
midi. Quand on voit au contraire Chnftophe Colomb , découvrir
en 1492 une route aiièe , & aller prefque en droite ligne
à Saint-Domingue, on feroic renté de croire qu’il favoit cette
route d’avance. Ibïd. 344. a. Parmi les peuplades répandues
dang ce nouveau monde, il n’eft pas poffible d’en nommer
plus de deux, qui euffent formé une eipece de fodété poliri-
que ; c’étoit les Mexicains & les Péruviens. Leur population a
dû être très-peu confidérable, puifqu’ils n’avoient ni rnftru-
mens, ni aucun animal propre au labourage. — Obfervarions
fur l’extérieur & la taille des Américains, des Patagons. Ibid. b.
Race d’hommes appeUés Blafards qu’on rencontre à la côte
Riche & à llfthme de Darien. Caule de l’altération de leur
couleur. Hommes monftrueux dans le nouveau monde, qui
ne font tels que par artifice. De la eaufë du mal vénérien,
dont tant d’Américains étoient atteints, aux Antilles, aux
Caraïbes, dansla Floride, le Pérou, &une partie du Mexique.
Ibid. 343. tf. Cemalapu être une affeftion morbifique du tempérament
de ces peuples, comme le feorbutdans les contrées
du Nord. Caufes qui rendoient le climat de l’Amérique mafe
fain dans certains endroits, & beaucoup plus froid qu’il n’au-
xoit dû l’être, eu égard à la latitude relpeâive des contrées.
Peu de progrès que les Américains avoient faits dans la Métallurgie
, & dans quelques autres arts de première néceflité.
Dépopulation de l ’Amérique. Ibid. b. Rien ne prouve mieux
le peu de communication qu’avoient entr’eux tous les
Américains, que ce nombre incroyable d’idiomes qu’y par-
loient les Sauvages de différentes tribus. Etat de dépopulation
& de défolation des terres Magellaniques. La population de
tout le nouveau monde eiHmée d’environ quarante millions au
temps de fa découverte. Ibid. 346. a. De la grandeur de ce
continent. Comment les Efpagnols ont contribué à la dépopur
lation de l’Amérique. La traite des negres employée par la
cour d’Efpagne pour remédier a ce mal. Etat de barbarie ou
I fe trouvoit l’Amérique au quinzième fiede» Ibid. b. Recherchç
A M E A M I 59
des Caufes qui ont pu contribuer à l’extrême différence qui fe
trouvoit alors entre les habitans de l’ancien continent & ceux
du nouveau. Obfervations fur l'atlantique des anciens. Ibid.
247. tf. Réfutation de l’hypothefe de ceux qui prétendent que
les hommes ne s’étoient introduits que depuis peu en Amérique
, en franchiffant la mer du Kamfchatka, ou le détroit
de Tchutzkoi. Obfervations fur les grands os fofliles qu’on a
déterrés en différens endroits du nouveau monde. lbid. b.
Monumens qui s’y trouvent de quelque grande inondation
qu’il a foufferte anciennement. Pourquoi les différentes tribus
de l’Amérique avoient eu peu de commerce 8c de liaifons
entr’elles. Caufes des fréquentes guerres qui s’élèvent entre
ces peuples. Les peuples véritablement pêcheurs n’exiftoient
que dans les pames les plus feptentrionales du nouveau monde.
Ibid. 348. a. Ufage pratiqué par les peuples chaffeurs de boucaner
la chair. L’ufage dès épiceries plus convenable dans
les climats chauds. Différentes comportions nutritives qu’on
a découvertes parmi les peuples chaffeurs du nouveau monde.
Ibid. b. Méthode de fe procurer du. feu parmi les anciens
Américains. Il y a des voyageurs qui ont cru que ces peuples
n’avoient pas fa moindre idée de l’ineefte , au moins dans la
ligne collatérale ; ce qui a fait penfer que les facultés phyfiques
oc morales ont dû s’altérer en eux. Ibid. 349. a. Obfervations
fur ce dernier fentiment. Ibid. b. Les moeurs de l’homme fau-
vage le rendent moins robufte qu’on ne feroit tenté de le
croire. Son penchant à la pareffe. Paillon des Américains pour
les liqueurs fortes. Comment ils en compofent eux-mêmes.
Caufe des ravages que la petite vérole a faits parmi eux. Ibid.
3 50. tf. Obfervations fur la longueur de leur vie. Les Américaines
accouchent avec une facilité étonnante. Comment
elles ferment le cordon ombilical de leurs enfans. Pourquoi
on a trouvé peu d’Américains eftropiés ou nés contrefaits.
Quand les Américaines mettent au monde des jumeaux, elles
. immolent celui qui leur paroît leplus foible. Ibid. b. Stupidité
des enfiins de ce pays qu’on a eflayé d’inftruire. Ce qu’il faudrait
faire pour s’affurer du degré de leur intelligence. Altération
qu’on a remarquée dans le tempérament des créoles.
Plus on étendra la culture dans l’intérieur du nouveau monde,
en faignant les marais, en abattant les bois, plus le climat y
changera- 8c s’adoucira. Ibid. 331. a. C ’eft à tort qu’on a cru
que l’abondance du gibier, du poifibn & des fhiits provenus
ians culture, avoient retárdeles progrès de la vie civile dans
prefque toute l’Amérique. Il paraît au. contraire que la poffef-
Jion d’un grain auffi facile à cultiver que l’eft le maïs, aurait
dû porter les Américains à renoncer à la vie ambulante. Cependant
quelques-uns de ceux qui la cultivoient, étoient encore
plongés dans l’authrapophagíe. Grand nombre de ces peuples
anthropophages. Ibid. b. S’il eft vrai que quelques fauvages des
provinces méridionales d’Amérique adoraient une citrouille.
Difette de mots dans la langue des anciens Péruviens & dans
celle des nations ambulantes. Religion barbare & cruelle des
Américains. Ibid. 352. a. Efpece de jongleurs, facrificateurs
ou médecins qu’ils ont parmi eux. Les millionnaires les perfé*
cutent avec acharnement. Il n’y aproprement que les Quakers
qui fe foient établis au nouveau monde fans y commettre de
grandes injuftices. Les crimes que les Efpagnols ont commis
en Amérique, grafliérement exagérés par Las Cafas. Cruautés
iiorribles qu ils exercerent contre les Péruviens, & les Mexicains.
Armées Efpagnoles qui marchèrent contre ces deux
nations. Ibid. b. Pays impratiquables couverts de ronces, de
brouffailles & de forêts, que trouvèrent en Amérique ceux
qui en firent la découverte. Vaftes déferts qui féparoient les
petites habitations des Sauvages. La dépopulation de l’Amérique
8c le peu de courage de fes habitans, font les véritables
caufes de la rapidité des conquêtes qu’on y a feites! Èt ce n eft
point, comme.011 l’a cru, l’avantage des armes à feu qui décida
la victoire en faveur des Efpagnols. Ibid. 333. a. Ridicule fén-
timent de quelques jurifconfultes, qui ont prétendu que les
peuples chaffeurs n’étoient pas véritablement poffeifeurs du
tetrein qu’ils occupoient, parce qu’ils ne le cultivoient pas.
• i'ev n0ns *a ku^e d’Alexandre V I , qui donnoit au
roi dEfpagne tout le continent & les ifles de l’Amérique: &•
p i p i , entin' ent de quelques théologiens qui foutinrent dans
Ae îeizieme fiecle , que les Américains n’étoient point des
nommes. Extrême férocité de ces peuples, fur laquelle ces
théologiens fondèrent leur opinion, lbid. b.
AMERIQUE, ( Géogr. ) recherches géographiques & criti-
ques fiir la pofition des lieux feptentrionaux de l’Amérique.
Regles a üuvre pour eftiniei: le degré de crédibilité que méri-
lent les relations des voyageurs. SupplA. 3,4.4. Pygniéesqui,
félon les rapports de quelques Sauvages, habitent les parties
les plus occidentales 8c feptentrionales de l’Amérique Ibid.
35 5 * f- Les Européens , qui ont fondé dans ces mêmes
contrées des établiflemens, appelles Efprits par ces Sauvages.
Peuples qui habitent les parties les plus occidentales du nord
de l’Amérique. Contrées qui fe trouvent dans l’intérieur de
»Amérique entre les quarante & cinquante degrés de latitude. "
Habitans des pays qui font plus à l’oueft. Obfervations qui
prouvent que l’Amérique s’étend plus loin à l’oueft que les
de^^Hmuan^n/î16 .marcîueiJt* Ibid. b. Nations que le baron
dfffl v nous fait connoître. Diftances qu’U donne des
drfférens beux cm il décrit. Ucd. 3,6. 4. Obfervarions critiques
fur la véracité de ce voyageur. Ibid. -ic? a a ,i-„
voyage, par M,-le Page du Prat, qui ¿ r t ’à'déterminer la
largeur de 1 Amérique leptentrionale. Ibid. 3 ,9.4,4 Dètermi
nation de cette largeur du côté de l’oueft. Obfervations qui
mettent hors de doute, la vérité de la relation de M. le Page.
Ibid. ■ 360. 4. Idées particulières fur ce grand nombre de
nations de l’Amérique feptentrioilaie, qui ne font que peu
ou point connues. Les voyageurs ont trouvé ces nations plus
douces , plus polies, plus ingénieufes, à mefure qu’ils fe font
avancés vers l’oueft. Ibid. 4. Réflexions qui prouvent que ces
nauore civibfées ne font pas des colonies étrangères Réfutation
du fentiment de M. de Guignes , qui a cru que les Péru-
vtens étoient d’origine Chinoife. Ibid. 36t. a. L’opinion de
cet auteur, qui attribue aux Mexicains une même origine ,
également retutée. Diftmffion entre les anciens habitanl
policés de 1 Amérique, & ceux que l’auteur regarde comme
«rangers d origine, ou mêlés avec des naturels du pays.
Hypothefe de 1 auteur fur une tranfmigration de Chinois en
Amérique. Ibid. b. Conjeflures fur l’exiftence de quelques
nations policées que l’auteur place vers l’oueft du Canada
Table figurée contenant la divifion générale du Canada. Ibid.
362. tf.
A T £“ !« Ï ':, flutüté des diflérenS climats de cette partie du
monde. XVII. 727.4. Froid exceflif du nord-oueft de l’Amérique.
VIL 31^ 4. Recherches fur ces mêmes régions, voyez
K t t S g g g l g Glaces qui fe trouvent dans fes mers du nord.
688. 4. L Amérique plus froide que l’ancien confinent Suppl.
IV. 250. 4. Recherches pour découvrir la communication de
la mer du nord à la mer du fud par le nord-oueft. X. 368.4.
Du palTage par le nord de l ’Amérique. Suppl. IV 2,0 4 4
L opinion de ceux qui la croient conriguë à l ’Afie, combattue
par un officier Suédois. Suppl I. 639. b. Largeur du détroit
qui la fépare de l Afie. Suppl. U. ,3 ,. Quelques-uns pré-.
tendent que 1 Amérique tenoit autrefois à l’Europe. XI , ,6 4
Des chames de montagnes d’Amérique. VIL 620.4 X 677 à
Fleuves d’Amérique. VI. 870. 4. Leurs direftiore. '860.4!
Defeription poétique de quelques-uns de ces fleuves renfermés
fous la zone torride. XV1L 728. 4. Mines d’or d’Améri-
que. XL 522. 4. Mines d’argent. 1. 639. 4. Sec. De mercure.
VU. 977-4-Comment le nord de l’Amérique a pu être peuplé
? , omi?,Cf '„ les 0 « pu pafler en Amérique
après le déluge. IV. 802. 4. Des tréfors cachés par les inciens
habitans de l Aménque lors de la conquête de ce-pays.
VIII. 3,8. 4 Colonies Européennes fondées en Amérique.
Diverfes obfervations fur ces colonies., III. 6,0. 4 4 Révolutions
fingulieres que le climat de ce pays produit fur les
Européens. ylH. ijo . tf. Fievre qui attaque les Européens
dare 1 Amérique Efpagnole. XV. 79 1.4. De la permiflion de
trafiquer dans les ports de 1 Amérique Eipagnole. X IV 10 a
Avantage que procurerait à l’Amérique la fuppreffion de*
1 efclavage des negres. XVI. 333. a. L’inoculation portée &
pratiquée en quelques endroits d’Amérique. VIIf. 7 c6 b
769: b. 770. a. L’inquifidon établie en Amérique. 773. b. Des
Sauvages d’Amérique. XIV. 729. a. Voye[ auffi A m ér ica in s .
Comment les dames reçoivent leurs vifites dans les ifles
Françoifes. VIII. 33. a.
P™10*?® de cette faveur. 1 .3 36. b.
AMES & Féaux9 expreliions par lefqueües nos rois diftin-
guoient dans leurs lettres-patentes, les magiftrats & officiers,
qU1A f v °y 'l ci-tleffus A me.
AMESTRIS , ( Hifi. de Perft ) femme de Xerxès , roi de
Perfe On voit dans fon hiftoireici rapportée, un exemple
dont 1 amour offenlé eft capable. Suppl. I. 262 b
AMETHYSTE, (Hift.nat.) pierre précieufe de couleur
violette. Etymologie du mot. Quelles font les plus belles
amethyftes. Objet de comparaifon qui exprime la couleur de
l’améthyfte. Améthyftes orientales & occidentales. Rapports
de cette pierre avec le cryftal. I. 337. a. Lieux où elle fe
trouve. Ses propriétés en médecine. Ibid. b.
Améthvfe , appel\ée pierre de Vénus. XVII. § | b.
AMEUBLIR, ( Agric. ) fe dit des foins que l ’on prend pour
empêcher la terre de devenir compaéle. Avantage d’une terre
bien divifée. Caufes naturelles qui contribuent à l’ameublir.
Suppl. I. 362. b.
AMEUBLISSEMENT, ( Jurifpr. ) diverfes maximes de
juriiprudence fur l ’ameucliffement d’une partie de la dot
ou d’un propre. I. 3 37. a.
Ameublijfement, voye^ M o biliser. Fruits ameublis. VIL
338. tf.
AMIA, ( Ichthy. ) efpece d’amia nommée Baby. Suppl L
74*. f J . rr
AMIANTE, ( Hift- nat. | matière minérale. Ses différentes
fortes. I. 358. tf. Propriétés de ce minéral. Différens noms
qu on lui a donnes. Meches d’amiante. Ibid. b. To ie d’amiante.
Mamere de la faire. Il ne faut pas confondre l’alun de plume
avec 1 amiante. Ses ufages en médecine. Ibid, 3 39.- a.