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un i«« t e te conflraffion des premiers iîouraeaux. D lv f f f«
inventions utiles qui tirent leur origine de celle des tour
„eaux. L’économie domeflique peut suffi de Ton d g A B l
fourni à la chymic. UÎd. b. Obfcrvations fur les poe es de
Kcflar. Conftruflion des cheminées de Langer qui_ ren
ferme M M l'a van ta g eÆ p o e le s & n en . « t a
neaux de fufton de figures elliptique &
fidie c ^ n » r f « S m “ n” ï a J u m e a u .
U J “ la manière dont le garni don être fan pour
l’auementation*de la chaleur. Nouvelle ration de faire les
fourneaux de fufion , elliptiques en ,81e & les fourneau*
de tôle elliptiques. M i . a. Avantages des fourneaux en tôle.
Obfcrvations fur les fourneaux de décoéhon en forme d entonnoir.
Suite des avantages des fourneaux elliptiques. Ibid.
i . Expériences que devroient faire les artillcs pour acquérir
de nouvelles lumières fur l’a&on du feu dans les fourneaux.
D e l’ufage des foufflets pour les fourneaux. Ufage
que Gauger a fait des figures elliptiques & paraboliques pour
?cs cheminées. Cheminées à la Are»« comparées Ice llcs de
Gauger. Ginirahtls ultimurcs. Fourmillement danil an qu on
apperçoit fur un poêle & même fur un fourneau. Caufe de
ce fourmillement. Ib ii. § Ê 7■ «• Inconvénient qui en ré-
fultc pour lé chymifte. Moyen d y remédier. Le feu des
fourneaux fera toujours beaucoup moins a â i f , lorfque le
tems fera ehaud & mou. Comment quelques-uns remê-
dient à cet inconvénient. Obfcrvations fur 1 accélération
qu’on attribue à l’air en partant d’un lieu plus large dans
un plus étroit, comme par exemple dans un fourneau. Ibid.
b. C ’eft uniquement à la raréfa&on de lair par le feu,
qu’il faut attribuer le jeu qu’il éprouve dans les fourneaux.
Principes fur lefquels eft fondé l’art de conftrmre des fourneaux!
Ibid. a. Indication par ordre chronologique de la plupart
des ouvrages en chymie que l’auteur a confultés, pour
compofer cet article fur les fourneaux. Ibid. 248.8. a.
Fourneau. Afpiraux des fourneaux. I. 7e \ . a > f - i g g '
drier II. 816. a , b. Mortier pour la eonitruétion des fourneaux.
X . 720. b. Maniéré d’ajufter les foufflets aux fourneaux.
X V I . 771. *. Compofition du garni pour les fourneaux
de tôle : maniéré d'en enduire les fourneaux. VII.
S16. b. Fourneau à manche : chcmife du fourneau : fa
conftruâion. 111. 283. 1 Partie de ce fourneau ou le feu
eft le plus violent. VII. 7 1 . b. Fourneau nommé m W
I. 7 a$. a. Fourneaux chymiqitcs représentés vol. VIII des
planches , article Potier de te r r e , planche 4• Fourneaux
l fondre les mines. Détails fur ceux des ufu.es, leur con-
flruélion & leur ufage. VII. 1 4 8 .* , * S
des planches, article Forges . Fourneau à fondre la mine
de plomb, appellé cuuolo. IV 568 b. Les fourneaux pour
le travail des mines font repréfentés, voL V I des p anch.
article Métallurgie. Fourneaux défiais : Idétads fur ce
fuier V . 087. a , b , & c . Moufle du fourneau d effiu. X.
780. i. 781.' a. Fourneaux de monnoyage, vol. V l l l des
planches. Monnoyage, planche a , 4.. f l S i Fournoau de
reffiiage dont on fe fert à la monnoie. XIV. iqa . b. Fourneaux
de fonderie : de la fonderie en bronze. II. 440. b.
vol. V l l l des planches , fculpteur des ftatues équeftres, pl.
i 2. D e la fonderie des canons , vol. V des planches.
Fonderie des canons. Pour la fonte des cloches, vol. V des
planches, fonte des cloches. Pour la fonte de la dragée,
vol. V des pl. fonte de la dragée. Fourneau du fondeur en
fable XIV . a6<. a. (Eil des fourneaux de fonderie. XL 397. a.
Fourneaux en ufage dans différons arts 8c métiers ; fourneaux
h briques, Æ j ï B riquetier .fourneaux du an e r ,I I . j 30. b.
du fondeur en caraûcre. 635.0. Fourneaux àcharbon. IIl. 186.
a b. Fourneau du peintre en émail, vol. IV des pl. émail-
leur planche 1 de la peinture en émail. Fourneau du tai-
feur dc cadrans d’émail. S u f f i . II. 794- b. Fourneaux en ufage
dans les manufaBures des glaces, voyez vol. IV des planches,
article fur cet art. Fourneaux d orfèvre , vol. V ll l
des planches, orfevre greffier .planche 1 5 , id- F ? 1! ' " “ “
i porcelaine de Saxe , Suppl. IV . » « . a Porcclal" “ ^c
Seve. t u . b. Du plombier , vol. VIII des planches . plombier
, planche 2. Des lamineurs de plomb, vol. V l l l des
planches, laminage du plomb, planche i , 4. Du leu p c
en or & en argent, vol. VIII des planches , article de
cet art, planche x. Du fculpteur en plomb , vol. V111 aes
planches. Article de cet a r t , planche 2. Pour la teinture des
Gobelins, vol. X des planches. .
Fourneaux de chambres, voyeç Poele. Fourneaux que les
anciens plaçoient dans leurs thermes. VIII. 408. a.
F ourneau d'une mine, ( Artmilit. ) III. 64. u. Manière de
l’armer. Suppl. 1. 5 6 1 . u.
Fourneau , (Aflron.) conftcllation méridionale. Afcenfion
droite & déclinaifon de fa principale étoile. Suppl. 111.109. b.
Fourneau , ( N icolas ) de Rouen. Suppl. IV .<584. a\
FOURNIER le jeune , ouvrage qu’il a publié fur.les caractères
d’imprimerie. II. 651. b. Services qu’il a rendus à l’im-
primcric. 658. a , b , &c. IV . 268. b.
FOURN IMEN T, (A r tm i li t . ) celui des foldats. En quoi
il différé du pulverin. Fourniment dans l’artillerie. VII.
Ibid. 248.8. a.
FOURNIR , ( Gramm. ) diverfes acceptions de ce mot:
VII. Ibid. 248.8. a.
Fo urn ir , ( Jurifpr. ) fignifie quelquefois donner, fignifier:
C e qu’on entend par fournir & faire valoir. Ufage & effet de
cette claufc .VIl. Ibid. 248. 8.a . On y ajoute quelquefois l’obligation
de payer foi-môme après un commandement fait
au débiteur. Dans les baux à rente / le preneur s’oblige qucl-
quefoisdé fournir & faire valoir la rente. L’obligation de fournir
& faire valoir n’a lieu que quand elle eft exprimée. Auteurs
à confuiter. Ibid. b.
Fo u rn ir fon a ir , ( Manege) il y a moins ’de mérite
du côté de l’animal qui' fournit parfaitement fon air ,
que du côté du cavalier. Défaut du cavalier qui fait qu’un
cheval fournit mal ou ne fournit point fon air. VII.
Ibid. b . "
FOURNISSEMENT, ( Jurifpr. ) définition. Fourniflcmcnt
de complainte, ou fentence de tourniflement. Auteurs à confuiter.
V il. Ibid. 248.8. b.
Fournissement, ( Comm. ) définition. Compte de fournif-
fement. VII. Ibid. b.
FOU RN ITUR E , (L u th .) jeu d’orgue. En quoi il confifte.
Suppl. III. 109. b. . . . „ ,
FO U R R A G E , (Ma rech.) herbages , en quoi confifte le
fourrage du cheval. On ne confidere ici le fourrage que relativement
à la fanté, aux forces & aux maladies des chevaux.
Funeftes effets d’une mauvaife nourriture. Les chevaux
n’y font expofés que dans l’état de domefticité. Les
différens genres de plantes qui entrent dans la compofitioa
du foin diftingués en trois différentes clartés. Premiere clarté,
celle des plantes falutaircs. V II. 284. 9. a. Seconde clarté ,
celle des plantes d’une quantité inférieure. Dentiere clafle,
celle des plantes pernicieufes : leurs divers effets , oc maladies
qu’elles caufent. Double ufage auquel la paille fert
pour les chevaux. Quels font ceux auxquels elle convient
en qualité d’aliment. Les Efpagnols & bien des nations orien-,
talcs ne donnent à leurs chevaux que de la paille. Ibid. b.
Quelle eft la meilleure paille pour la nourriture des che-;
vaux. Accidcns qui peuvent gâter & corrompre la paille/
D e quelle maniere les Hollandois, les Flamands, les Alle^
mands la préparent pour leurs chevaux. Obfervations qui
prouvent que la paille hachée n’eft pas propre a donner de
la force aux chevaux. Ibid. a. Cette nourriture n’eft propre’
qu’à ceux qui travaillent p eu , & qui font grands mangeurs.'
L’avoine eft la meilleure nourriture des chevaux. La noire
eft meilleure que la blanche. Graines qui fe trouvent fou-
vent mêlées avec l’avoine & qui dégoûtent le cheval. Soins
que le laboureur doit prendre contre ces graines étrangères^
Soins qu’exige l’avoine après avoir été coupée. Du fainfoint
tems ou l’on doit le faucher.' Un champ femé de fainfoin
dure trois ou quatre ans, fans le femer de nouveau. II ne
produit qu’une récolte par an. Ibid. b. On doit le mêler avec
d’autre fourrage pour la nourriture des chevaux. Propriétés
falutaircs de cette plante. De la luzerne. Elle eft une des
meilleures nourritures pour les chevaux. Pourquoi on Ja
croit échauffante. Comment on remédie à cette qualité.
La luzerne eft d’une culture très-avantaeeufe. Qualité mr
terrein qui lui convient. On n’en recueille la grame qu
feconde pouffe. Propriétés de la luzerne : maladies que
guérit. Du fon. Quels font les cas particuliers ou on 1 emploie.
Propriétés du fon. Mauvaife qu a lité de celui qui elt
vieux. Tous les genres de fourrages doivent acquérir üans
le grenier une certaine maturité , avant dètre donn 5
chevaux. Comment on doit fcconder cette élaboration. •
249. a. Mauvais effets de la fermentation de 1 avoine nouvelle,
dans le corps du cheval. Ibid. b. c..««/-
Fourrage. Des plantes qui font 1 aliment du bétail. Suppi.
II. 30. b. La paille du fainfoin peut fervir de fourrage au
gros bétail. X IV . 519. b. Herbe de Timothée trës -b o n e
pour la pâture des beftiaux. X V I . 335. a.
L rn i f le n t les vefces. XVII. 190. 4. Qualités du butterai!,
qui le rendent propre à faire un bon fourrage. Supj> • -9
b. Moyen d’augmenter la récolte des fourrages. | g a. r «y \
Fo u r r a g e . (A r tm ilit . ) Fourrager ou aller au
Fourragcurs. Moyens néceffaires de fe procurer -
pour que les armées puiffent fe mettre en camp g sraffem-
vers le x ç du mois de mai que les armées pe qu»on en-
bler.Comment troupes m e t. \4vn1u1en1 les iroupes vvowniut aauu ifouuurir.a-égt -^ 24o.
tend par fourrager au v e rd , & fourrager a « rfqu*ellc eft
b. Premier fourrage dont une armée fe le« (e^ iCeVe(.
arrivée dans un camp. Dans quelle difjp chaîne du
cortc donnée aux fourragcurs pour former
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.fourrage. Comment on réglé la. force de cette efçorte.'Çom-
jnent on juge de l’étendue du terrein que le fourrage doit
occuper. Quantité de nourriture journalière pour un .che-
.val,, dans le tems du verd. On va au fourrage tous les trois
ou quatre jours.. Dans le mois dé . juillet il n?eft plus befoin
d ’un poids fi pefant pour la nourriture d’un cheval. Ibid. i e o .
a . Combien u importe de faire fourrager avec ordre, &
d ’einpôcher la perte du fourrage qurréfulte du défordre dans
cette opération. DiftinéMou entre les grands & les petits four-
rages. Les fourrages peuvent, fe faire en avant ou en arrière
de 1 armée; les premiers font ceux qui exigent le plus de
precauuqns. Exécution des fourrages : précis des précautions
qu on doit employer pour faire avec sûreté ; premièrement
fourrages au verd. Ibid. b. i ° . Les fourrages au fcc : ccqx~
ci fe font ordinairement avec plus d’ordre & de police, que
ceux au verd. Ibid. z ç i . b. Des moyens à employer pour
que cette opération fe farte sûrement. Comment fe fait la
retraite. Confidérations qiti fervent de réglés ou de principes
pour la sûreté des fourrages; i°. on peut compter fur
1 ignorance de l’ennemi, qui ne fait ni le jour ni le lieu choift
pour fourrager ; Ibid. 252. a. 2°. on fait enforte de favolr le
jour que 1 ennemi doit aller lui-même au fourrage, pour en
profiter; 30. fonctions que doivent remplir dans cette cir-
confiance les cfpions que le général doit avoir dans le camp
de 1 ennemi; 40. ce que doivent faire ou le général ou le
commandant du fourrage, lorfqu’ils apprennent que l’ennemi
jnarchc pour troubler leurs opérations ; Ibid. b. un général
prudent ne s’expofe guere à troubler le fourrage qui fe fait
loin de fon camp; 6°. lorfque le général eft.plus fort en cavalerie
que fon ennemi, & qu’il ne craint point de s’engager
à combattre , il peut fc hafarder davantage dans les fourrages,
i*c. 7 . Précautions que doit prendre le général pour n’être point
entamé dans fa retraite, lorfqu’il a des raifons particulières I
pour ne jjoint engager uneaéhon. Ouvrages à confuiter fur
cette matière. Ibid. 253. a.
Fourrage. Avis au cavalier qui va au fourrage. II. 782 b.
L a feule cavalerie peut être chargée du foin de faire les
fourrages. V. 922.' b. Précautions à prendre lorfqu’on va
fourrager. Suppl. II. 152. b. Des munitions .de fourrage pçyr '
une campagne; X. 863. b. Quartiers de fourrage. XII;- ¿86.
b. Confidérations fur les fourrages néceffaires à une armée.
X V .je S i .b .
FOU R R É, terme ufité dans lé jardinage , à la monnoie , &
dans la bijouterie & Yorfevrerie. L’arrêt de la cour dcsmonnoics
qui avoit proferit les bijoux fourrés, a été révoqué par le
confcil..VII. 253. b.
FOURREAU. Différence entre un fourreau, une gaine &
un étui. VII. 253. b.
. Fourreau, terme employé chez les artificiers , les batteurs
d ’o r , les fourbiffeurs, les bourreliers, les ccinturiers: terme
d’économie ruftique. VII. 253. b.
Fourreaux d ’èpie. Détails fur la maniéré de les fabriquer.
,VII. 223. a.
F ourreau , | Maneg. Martch. ) efpece de gaine qui recouv
re le membre de l’animal. VII. 253. b. Maminelons qu’on
a vyis fur le bourrelet qui fe préfente à l’orifice du fourreau.
Raifons pour lefquelles on doit maintenir cette partie propre.
Enflures auxquelles elle eft fujette. Comment on y doit reméd
ie r . Ibid. 254. a.
FOURREE. ( terme de P êch e)' Bas parcs que les pêcheurs
forment fur les fables dans des terreins convenables. Comment
ils les conftruifent. Comment ils contreviennent aux
ordonnances dans cette pêche. VII. 254. a.
Fourrée tournée. Vol. VIII. des Planch. Pêche, pl. 6.
FOURRER. Divers fens de ce mot dans l'uiage ordinaire.
.VII. 254. a. C e qu’il fignifie en termes de marine, de corderie I
,& de monnoie. Ibid. b.
FOU R R EUR , Pelletier. (A r t méchanique) L’art du pelletier
eft plein de manoeuvres ignorées , qu’on fe prppofe de
décrire ici. Dans les grandes villes, les pelletiers ne partent
point eux-mêmes leurs peaux ; mais dans les villes de prov
in ce s, ils font obligés de faire eux-mêmes l’habillage. D é tails
fur la maniéré dont ils habillent. Inftrumens dont ils fe
fervent. Comment on parte enfuite les peaux. VII. 254. b.
Explication de la manière de les triballer. Lorfqu’elles font
triballées, on les déboufe , on les étend fur leur large : on
écharnc. ^ id . 255. a. On dégraifle les peaux dans un tonneau
avec du plâtre. Cette opération répétée. Maniéré de tirer au
fer. Ibid. b. Maniéré de traiter les peaux d’ours. Quelles
font les peaux qui ne fc peuvent fouler au tonneau. Ibid. 2ç6.
a. Compofition d’une pâte dont on fe fert pour fuppléerà cette
opération. Comment on l’applique à l’ufage des peaux. Opérations
qui fuivent. Maniéré de paffcr les peaux d’agneaux ,
dont on fe fert pour fourrer les manchons. Détails de
cette manoeuvre, qu’on appellepajfement au co/yfr. Explica-
*!pn de celle qu’on appelle rétaler.Lavage des peaux. Ibid. b.
gomment on prépare le confit. Comment on y parte les peaux.
C e qu’on entend par renfoncer le confit. Quels font les mois
de 1 année où le confit fc. pratique. Comment on s’affurc s’il i
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p i l S f i rirer
Ce gulon .eiitentl pur Uffire. “ J e * * ? * f e
fe,.pourvoir .pour teindre à froi/Uftenfîlp? ^ 7 ^ 11 faut
Ièid. bd Manière de préparer lei d foÆ l P 0n doî* av?‘.r-
l’opération de luftrer les peaux de refard * d e d ^ î r
de loutre , 6>c. Ibid. 2 & a.
liiftreàdonner. Et.tve i fécher le! p e a u x ^ S ' ^ S Î
à létuve. Ce quon entend par donner le fond »ni
uftrées. Ibid b:. Comment on doit difpofer lés peaux potiï
les garder. Autre compofition ou iurtre. Compofitioh pour
donner à la fouine la couleur de la niarre. Ibid. 2<o a Ce
! ? " , 11 » l ü iffil E r aux i renard prennent
parflutetnent le luftre. Préparation des peaux de cliien. Com-
polition dont on fait ufage pour tigrer les peaux , donner
à des lapins gris une façon de genetre. t ü i . b. Maniéré d'i-
•mirer le tigre & la panthère. Compofition pour moucheter
en gnfitre les peaux de renard , qui font très-rouffits Manière
d imiter les peaux , ou fourrures polonoifes, avec des
renards blancs. H
DUa ils f u , L, n u n im i , faire U coupe i i s peaux , pour
les employer en Onanchonx & autres ouvrages. De la coupe d’un
renard, Ibid. 160. a. Ufàges auxquels on deftine la gueule ,
la queue & les pattes. Commet* on fait des manchons de
renard. De la coupe d un chien. Ibtd. b. Comment on coupe
les ourfins pour manchons d'hommes. Coupe d’une grande
peau d ours , dont on peut tirer deux manchons d'hommes
lans être galonnés. l i ü . 261. a. Travail du manchon. Obfer-
varions particulières fur la coupe des peaux. Coupe d’ourfin
ou il y a de quoi faire deux manchons. Autre coupe qui peut
convenir au loup cervier, où il y aurait de quoi fournir deux
manchons. Ibid. b. Sur le commerce des peaux, voyer P e l l
e t e r i e . Noms que prennent les fourreurs à Paris. Défenfes
portées dans leurs liatuts. Détails fur cette communauté.
Ibid. 262. a.
t Fourreur; Aoprêt des peaux pour fourrure : maniéré de les
-paffer en huile. I. 5 56. b. Préparation qui fert à luftrer les
ioiirriires. IX. 751*. b. Voye£ les planch. du Fourreur dans le
vol. IV. des pl. & l’article P e a u , (Pelleterie).
FOURRIER. ( Hifl. mod. ) Fourrier de la cour. Soldats de
linlantene frariçoife , appcllés du nom de fourriers. VII
262. a. '
FOURRURE. Diverfes acceptions du mot fourrer dans
1 ufage ordinaire. VII. 262. b.
F ourrure. ( Pelleterie ) Principales peaux dont on fe
lert pour les fourrures. I. 556. b. Fourrures d’hermine. VIII
172. a.. Fourrure* petit-gris. XII. 465. *. Efpece de fourrure
, dite télarfklbielki. X V I . 34. a. Voyer Peau & P e lle terie.
0 * ? URR.URE- Deux fourrures eh armoiries; le vair
e t 1 hernunô. Signification de ces fymboles. On pourroic
ajouter le fable pour troifieme efpece de fourrure. Suppl. III.
109. b. r r
Fourrure. Fourrure , appellée vair & conlrt^vair, Suppl. II .
585. a. menu-vair. Suppl A i l 901. a. L e fable confidéré comme*
■fourrure. Suppl. IV . 69t. b. 692. a. Voyeç Em a u x .
Fourrure , terme de marine ; terme de blafon. VII.
262. b.
FOX , ( George ) chef de la fofte des quakers en Angleterre*
XIII. 648. b. Son hiûoire. 640. a.
F o x , (Sébaftien) de Morzillo. X V . i j6 .b .
FO Y E R , en géométrie. Les points appellés aujourd’hui de ce
nom, s'appelaient autrefois umbilici. Ce qu’on entend aujourd’hui
par foyer. V II. 262. b.
Foyer en optique. Définition. Voye^ l’article Ardent. VIT.
262. b. Formules générales pour connoîtrc le foyer des miroirs
, pour déterminer celui des verres, voye^ Lentille &
MiroirC on verg en t, Divergent, Concave, Convexe » 6rc. D ’où
vient'la différence qu’on obferve dans le foyer des grandes
lunettes, voye^ Lunette. Ce qu’on entend par foyer virtuel,
ou imaginaire, ou point de dffperfion. Ouvrages à confuiter.
Ibid. 263. a.
Jlo yer . Formule pour trouver le foyer d’une. lentHle. IX :
^3. a , b. X. 33^4. b. Moyen de remédier aux Variations obfervées
dans le 'foyer des grandes lunettes. 742. b. Réglé pour
trouver le foyer cl un mémique. 334' é. 33 5. a. Formule pour
trouver le foyer des verres convexes. Formules pour déterminer
les lieux des foy ers, foit réels, foit virtuels, d’un verre
de figure quelconque. XVII. 07. a .* - Voye^C a u s t i q u e .
Fo yer. ( Econom. anim. ) Les anciens philofophes défi-
gnoient par-là le fiege principal de la chaleur innée. Détails
qui expliquent cette théorie. Incertitude & diverfitéde fenci*
mens parmi les modernes, fur les caufes de la chaleur animai*-
VII. 263. a.
Fo yer , ( Médecine ) partie du corps où l’on conçoit que
font dépofées les humeurs des matières morbiBqnes, b c .
VII. 263. b.
F o yer , ( Marine) feux allumés de nujt au haut d* quçl-r
qilCS tours, voye{ Phare, VII, 263.