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S S S t t S m Ë Ï à Douai avec une « M M
' «C Fm- cxpétiicns par leCjuels on a cru remédier
■perte réelle. *P , Autres inconveniens proà
confidémion
au SfArv antage cdtee «c«s ppi.è ces: comm^e e lles ont^ un ^e mo i^ndre
plus ouvert, d’où il arrive qu’il y aum plus
S noffiions entre le but-en-blanc & la batterie , ou len- asee aîeria uPyoui«»t »*»“»Kr*** m--- *• m. >«1 .p•^ ns ji»e
l’ancien fyftême , on doit préférer , même la piece de
quatre longue aux pièces de ta & de 8 raccourcies, fiu-
vant le nouveau fyftême. La direffion des pièces courtes
eft moins iufte & moins sure ; défaut qui réfulte de leur
avmflrnflWiii. IUJ. 6J7. u. Difficulté d'affûter le coup de
boulet à 400 toifes de diftance, même avec nos pièces
longues , fur un petit objet ou une troupe qui marche, bu
quels cas on peut tirer à cette diftance & même au-delà.
Uid. b. Dèfavantage de placer le canon fur des hauteurs
trop élevées, d'ou les coups fortt plongeans & incemms.
Les batteries, pour avoir un effet décifit dans une affaire:,
doivent être fortes & fe protéger réciproquement. lb,i.
618. a. De la rapidité de la filcceffion des coups fuivant les
diflances auxquelles on dre. Obfervarions fur le canon urè
à cartouche, /êid. b. Pourquoi cette maniéré de charger
le canon a été préférée aux boulets. Raifons les plus fortes
qui ont été alléguées en faveur de la nouvelle artillerie ,
& auxquelles il n'eft pas aifé de répondre , à moms d attaquer
le fyftême aétuel de Taftique en totahté. Ibid. 619. a.
La qualité de bien porter la mitraille n’eft point particu-
liere aux pièces courtes ; on peut même dire que celles
oui feroient plus longues auroient la fupériorité a cet égard.
C ’eft d’ailleurs une maxime reconnue des anciens officiers,
que les boulets caufent plus de défordre que: la mitraille.
Il eft encore reconnu que les grappes de raifin & les boetes
de fer blanc remplies de pëtits mobiles, ne font pas dun
auffi bon ufage que les balles de munition renfermées dans
des facs d’une toile légère ; & que, quelle que foit l’efpece
de mitraille que l’on emploie., on ne doit le fervir des
pièces de canon, pour cet ufage, que lorfqu on eft fort
près de,l’ennemi. Ibid. b. Expofition de quelques faits, qui
montrent que les coups ■ de canon à cartouche, à balles
roulantes , font auffi meurtriers de près, qu’ils font peu
dangereux de loin. Ibid. 620. a. D’où l’on conclut qu’on
ne doit employer cette maniéré d’exécuter le canon qu’à
cent toifes pour la plus grande diftance, & entre foixanteou
quatre-vingts pour la diftance moyenne, & de très-près pour
les effets décififs; que dans tous les autres cas, les boulets
doivent être préférés aux cartouches. Ibid. b. Les partifans
de la nouvelle artillerie ont beaucoup fait valoir l’économie
qui réfultoit de ces nouveaux établiffemens, & ont prétendu
de plus, que les équipages d’artillerie , formés fur le
nouveau plan , dèeraderoient moins les chemins que ceux
d’autrefois. Réponfe à cette objection. Ibid. 621. a. Réca-.
Îitulation de tout ce qui a été dit dans cet article. Ibid. b.
dée des manoeuvres de la nouvelle artillerie. Service d’une
piece de bataille du calime de douze par huit hommes du
corps royal, & fept de l’infanterie. Polirions des canonniers
& fervans, à droite de la piece. Ibid. a , b. Pofition des canonniers
& fervans, à gauche de la piece. Ibid. 623. a. Manoeuvres
avec les chevaux pour les/pieces des trois calibres. Ibid.
b. —Voyez C an o n de C am pagn e.
ARTIMON , ( Marine ) mât du navire placé le plus près
de la poupe. Voile d’artimon. Difpofirion de la vergue d’artimon.
Utilité de la voile d’artimon pendant la tempête. I.
745. a.
A rtimon , ( Marine) bas mât le plus en arriéré du vaif-
feau. Defcription de ce mât. Ses dimenfions. Ordre que l’on
obferve dans le capelage du mât d’artimon. Suppl. I. 624. a.
Maniéré d’affujettir lé mât. Defcription de la vergue d’artimon.
Maniéré de la fùfpendre. Ibid. b. Ce qu’on entend
par artimon à coriïe. Voile' d’artimon. Deux efpeces de
voiles diftînguées .par les noms d’artimon à là françoife &
artimon à l’angloife. Ecoute d’artimon. Maniéré de carguer
l’artimon. Ibid. 625. a.
Artimon, pavillon qui fe place au mât d’artimon. IV. 3 24. a.
ARTISAN, corps des artifans. IV. 628. a. Caufes qui
les obligent à hauffer le prix de la main - d’oeuvre dans les
A S
vîtes opulentes. IX. 768. b. Encouragemens qu’ on leur doit.
U 717 a. Eloee des artifans. X. 463. '§ » fe
I rT IS T E les grands artiftes auffi rares chez leç anciens
eue parmi nous. SuppL U l 556. ri. Degré de nerfeibonqu ,1s
atteigniren^hez 1« Grecs! V W l’article de cette nation, s
Pourquoi ils tombèrent dans le mépris chez les* 5® ^ -
Suppl L s‘94. ri. Les talens des modernes préférés à ceux
defanciens. Uid. b. Ame aftive , fenfible & capable de s m-
téreffer que doivent avoir les arnftes. Suppl. 111- 6zü. a , s.
Qualités & talens qu’ils doivent avoir. Suppl. L 596. 0.
Talens que fuppofe dans l’arrifte l’art de faifir le caractère
de chaque chofe. Suppl. II. 230. b. Jugement & faeacit», que
la belle exécution fuppofe dans l’artifte. 910. b. Du talent
de l’expreffion, voyez ce mot. Qualités que fuppofe la force
d’expreffion. Suppl II. 920. a , b. Du coup doeil neceffatre
à Tartifte. 641. a. Effets du climat fur les artiftes. Suppl. m .
318. b. Etude qu’ils doivent faire de la nature. Suppl. IV.
19 a.b.Scc. Comment ils peuvent fe mettre en état d’exciter
l’admiration, Suppl. I. 171- De donner de l’agrément à
leurs ouvrages. 213. b. Confeils à ceux qui afpirent a la
perfection de leur art. 462. b. 463. a. Grand principe que
l’artifte doit foivre dans fes compofmons. s 96. b. Attention
qu’il doit avoir pour éviter les défauts choquans. Suppl. II.
406. b. Comment il acquerra la connoiffance des proportions
que doivent avoir les parties de fon ouvrage. 908. b , « c .
L’étude de l’antiquité néceffaire à plufieurs artiftes. Suppl.
III. $15. a. Sur les réglés & maximes que les artiftes doivent
obferver, voyez encore O u v r a g e de lA r t . Des
communautés entre ceux qui exercent le même art. III. 724.
a , b. Réflexions fur les artiftes qui s’appliquent aux découvertes
& approfondiffent les principes de l’art. V. 858. b.
De l’erithoufiafme qui anime les artiftes. 7 I9* Ef*ets du
génie dans un artifte. VII. 582. a , b. Comment on pour-
roit intéreffer chaque artifte à fe rendre utile au public. IX.
914. a. Emulation qui devroit régner entre.ceux qui exercent
les arts : moyens qu’on devroit employer pour en
obtenir des ouvrages propres à faire la gloire de la nation.
VII. 103. a. Suppl. I. 59$. a. Connoiffances phyfiques &
mathématiques que la plupart d’entr’eux devroient, pofféder.
I. 716. a. Comment on devroit relever ceux qui exercent
les arts. 717. a , b. Réflexions fur les fecrets des artiftes 9
& fur ceux qui fe montrent peu communicatifs. I. 717. a ,
b. Ü. 659. a. V. 647. b. Dans quel tems de fa vie un artifte
doit écrire fur fon art. V. 334. A
ARTOIS, ruiffeaux fouterreins en Artois. VII. 94. a.
Etats d’Artois. VI. 29. a. Confeil d’Artois. IV. 2. b.
ARTORIUS, médecin. X. 280. *.
ARTOTYR1TES, ( Hijl. eccl. ) fefte d’hérétiques du
deuxième fiecle. Leurs pratiques. I. 745. b.
ARVALES, (Hijl. anc.) prêtres romains qui affiftoient
aux facrifices des ambarvales. Pourquoi ils furent appellés
de ce nom. Collège des freres arvales. Marque de leur
dignité. I. 745. b. Fondatrice de cet ordre. Origine du facri-
fice qu’ils célébroient. Du nombre de douze , qui étoit celui
de ces prêtres, & du nom de freres qu’ils portoient. Ibid.
746. a.
Arvales, freres, employés pour purifier les arbres foudroyés.
XV. 348. a , b.
ARVAN, ( Conckyliol. ) efpece de coquillage , du genre
des vis. Auteurs qui en ont donné la figure. Diftérens
noms fous lefquels les naturaliftes l’ont défigné. Suppl. I.
625. a. Lieux où on le trouve. Defcription de la coquille
& de l’animal. Ibid. b.
ARVIEUX, ( Laurent) comment il s’eft illuftré. X. 138. a.
ARUM, (Botan. ) voye[ P li de V eau.
ARUNDEL, ( Géogrj ) députés de cette ville au parlement.
Titre de comte & de pair attaché à celui qui pofi
fede le' château d’Arundel. Obfervarions fur les marbres de
de ce nom.— Voye^ A ron d el. Suppl.1. 626. a.
ARUPA, (Botan. ) arbre commun fur les montagnes
d’Amboine, & de la petite ifle de Céram, l’une des Molu-
ques. Defcription, qualités & ufages de cette plante. SuppL
1. 626. a. Maniéré de la claffer. Autre efpece d’arupa. Ibid. b.
ARUSPICES, (Hift- une.) les' Romains faifoient venir
leurs arufpices d’Etrurie. Ils y envoyoient de jeunes gens
de leurs meilleures familles pour s’inftruire dans cet art.
Comment les arufpices examinoient les entrailles des victimes.
Ce qu’on obferva dans ces viétimes le jour que Céfar
fut affaffiné. Voyez Augures. 1. 746. a.
Arufpices, parole de Caton fur les arufpices. V . 727. b.
Origine de leut art. VIII. 60. b. Livres des arufpices. IX.
604. a. Voye{ Ha ruspic e , Harusp ic ine , & E xtispice.
ARYTOENOIDES , (Anat. ) cartilages de ce nom. Suppl
III. jo j . a. Mufcles arÿfoenoïdiens. 708. a 9 b.
A S
A S , étymologie de ce mot. Différentes divifions de l’as*
Différens poids de videurs qu’il a eus en divers tems de la
république#
ASC A S C 1 1 3
république. Figures marquées fur cette piece de monnoie.
Ibid. b. On fe fert auffi au mot as pour défigner une chofe
entiere ou un tout. Parties ou divifions de l’as. Ibid. 747. a.
As romain, auffi nommé libra & pondo. IV. 825. b. Divifions
du poids de l’as. XV. 139. a. Variations de l’as en
différens tems. XIII. 637. b. L’as fe prenoit pour la fomme
entiere d’un capital. XVII. 5 j 5. b.
A S A , (Hijl. des Juifs.) fils & fucceffeur d’Abia, roi de
Juda. Tableau de fon regne. Suppl I. 626. b.
ASAM3NTHE, ( Myth. ) efoece de fiege à l’ufage du
pr.être de Minerve Cranea. Defcription du temple. Obferva-
rions fur le prêtre. 1 .747. a.
ASARHAd D O N , (Hijl. d'AJfyrie) comment il parvint
au trône d’Âffyrie. Tableau de .fon regne. Suppl. I. 626. b.
ASBESTE, ( Oryàploe.) cette pierre eft d’un genre différent
de l’amyante. Suppl. I. 626. b. Sa defcription. Sur fon
origine I voyez A myante. Sept efpeces d’asbeftes. Ibid. 627. a.
Asbejle, efpece de lin incombuftible. IX. 549. a. Papier
■d’asbefte. XI. 860. a. jL’asbefte diftinguée de l’amyante. Suppl.
I. 377. a.
ÀSBIORN, ( Hijl. de Danemarck ) chef de rebelles fous
le regne de Canut IV. Hiftoire de la révolte qu’il conduifit.
Suppl. I. 627. a. Mort de Canut. Fin malheureufe d’Asbiorn.
Ibid. b.
ASCAGNE, jeux en fon honneur. XVI. 688. a , b.
ASCARIDES, petits vers qui fe trouvent dans l’homme
& dans quelques animaux. Leur forme, leur mouvement,
partie du corps qu’ils occupent. Sujets chez lefquels ils fe
trouvent plus communément. D’où ils fpnt produits. Comment
on les chaffe. I. 747. b.
ASCARUS ou A sCARUM , ( Mimique des anciens ) infiniment
de pereuffion. Obfervarions fur ce que différens auteurs
ont écrit de fon origine, de fa force, de fon uiàge. Suppltl.
627. b.
ASCENDANT, ( Ajlrologie ) c’eft de l’afcendant qu’on
rire l’horofcope. 1 .748. a.
A scend an t, (Ajlronomie) latitude afeendante, noeud
afeendant, lignes afeendans. 1 .748. a.
A sc en d an t , (Anatomie) aorte afeendante, veine-cave
afeendante : pourquoi plufieurs anciens anatomiftes l’ont
appellée veine-cave defeendante. I. 748. b.
A scendans , ( terme de Droit ) les premiers afeendans
font feuls héritiers naturels de leurs enfans , 8cc. La plus
grande partie des coutumes leur donnent les meubles &
acquêts. Dans certains cas même, elles leur adjugent les
propres. Autres réglés de fficceffion par rapport aux afeen-
dans , foit dans les pays de coutume, foit dans ceux de droit
jécrit. 1 .748. b.
Afcendant, devoir des enfans envers leurs afeendans qui
font dans l’indigence. V. 654. b. Légitime des afeendans.
IX. 366. b. Succeffion des afeendans. XV. 597. b. 398. a.
Exhérédation des afeendans. VI. 256. b. Degrés en ligne
direâe & en collatérale afeendante. IV. 765. b. Tiers en
afeendant. XVI. 323. b.
ASCENSION dcnla feve. Mouvement de la feve, fuivant
M. Haies. I. 749. a.
Afcenjion de la feve, Voyeç $EVE.
A scension , ( Ajlronomie ) afeenfion droite. Deux étoiles
qui ont la même afeenfion s’élèvent en même tems dans la
fphere droite. Il n’en eft pas de même dans la iphére oblique.
Arc de l'afcenfion droite. Méthode pour avoir l’afcenfion
droite du foleil. Afeenfion oblique. 1. 749. a. Différence
afcenfionnelle. Trouver l’afcenfion oblique du foleil. Arc
d’afeenfion oblique. Table de l’afcenfion droite de vingt
principales épiles pour les années 1742 & 1750.
A scension , ( Ajlron. ) faute à corriger dans cet article
de l’Encyclopédie. Suppl. I. 627. b.
Afcenjion droite. La détermination de l’afcenfion drôite du
foleil & de celle d’une étoile fixe, eft la bafe de toute l’af-
tronomie. On ne peut déterminer celle d’une étoile que par
celle du foleil, oc celle-ci que par le moyen de fa décli-
paifon, qui fe conclut de la hauteur méridienne. Comment,
au moyen de ces données, on connoît l’afcenfion droite
du foleil, & enfuite celle de l’étoile. Afeenfion droite de
Syrius & de la Lyre. Comment par l’afcenfion droite d’une
feule étoile on peut trouver aifément toutes les autres. Suppl.
1. 628. a. Afeenfion droite du milieu du ciel. Ibid. b.
Afcenjion. Cercles d’afeenfion droite & d’afeenfion oblique.
H. 836. a. Différence entre l’afcenfion droite & l’afcenfion
oblique. Différence d’afeenfion droite entre deux aftres.
Moyen de connoître celle d’une planete en la comparant à
•une étoile connue. Suppl. II. 720. b. Mouvement des étoiles
en afeenfion droite. Voyeç Précession. Mouvement de
l’afcenfion droite moyenne du pôle' boréal de T’équateur.
Suppl. IV. 890. a. Méthode pour trouver l’afcenfion droite
.des étoiles fixes. VI. 64. b. Suppl. IV. 249. b. Infiniment
pour obferver les afeenfions droites. XII. 113. a , b. n6 .
<*> b. Ufage du réticule pour cette obfervation. Suppl. IV.
3* ^’ ™24* u. Seéteur aftronomique defliné à prendre la
Tome I. "
différence dafeenfion droite de deux aftres éloignés. XIV.
877. a , b. Réfraûion d’afeenfion. XIII. 900. *. De l ’aberration
des étoiles en afeenfion droite. Voyez A be r r a t io n
Effet de la nutation fur l’afcenfion droite des aftres Voyez
N u ta t io n . Equation du mouvement annuel des étoiles en
afeenfion droite, caufée par la diminution de l’obliquité de
l’édiptique. Suppl. IV. 919. a. Tables de l’afcenfion droite
& de la déclinaifon pour les différens degrés de longitude
& de latitude céleftes. 924. a.
A scension , ( Géom. 6* Hydrojl. ) mouvement d’un corps
pouffé de bas en haut. 1. 62. a. Lobe de l’afcenfion des
corps fur un plan incliné, XII. 694. b. Afeenfion tauto-
chrone. XV. 943. b. De l’afoenfion de l’eau dans les pompes :
quelle en eft la caufe. I. 228. b. Suppl. IV. 319. b. Comment
les anciens l’expliquoient. VIII. 312. A Sentiment de
Galilée fur la caufe dp ce phénomène. Suppl. III. 173. b.
Afeenfion de l’eau dans les tubes capillaires. 6 . 627. b. Dans
les tubes qui communiquent enfemble, un même fluide s’y
élévera à la même hauteur. VI. 882. b. De l ’afcenfion des
folides dans un fluide fpécifiquement plus pefant. V. 365.
a. VI. 882. a. XV. 444. b. Loix (Je cette afeenfion. XIV.
176. b. Voye^ l’article Él é v a t io n . V. 303. « , b. & A sp ir
a t io n .
Afeenfion de Jefus-Chrift. Tertullien fait une énumération
des différentes erreurs que l’on a avancées fur l’afcenfion
du fauveur. Celles des Appellites, des Séleuciens, & des
Hermiens. Fête de l’afcenhon. I. 749. b.
A scension, ( Hijl. eccl.& Jurifpr. ) prières &proceffions
avant la fête de l’aicenfion. XIV. 319 .a , b. Parlement de
l’afcenfion.XIL 41. a.
A scension , ( Ijle de l' ) pourquoi l’on ne s’y eft pas établi.
Coutumes qu’obfervent les voyageurs qui y paffent. I.749. b.
Voyez VIII. 922. a. Terrein brûlé de cette ifle. XVII. 446. a.
. ASCENSIONNEL, ( Ajlron. ) différence afcenfionnelle,
celle qui, eft entre l’afcenfion oblique & l ’afcenfion droite
d’un aftre. Si on réduit en tems la différence afcenfionnelle,
on connoît de combien les jours de l’année auxquels elle
répond, différent du jour de l’équinoxe. Dans les fignes
feptentrionaux, les afeenfions droites des degrés de l’éclip-
tique font plus grandes que leurs afeenfions obliques, .&c.
Méthode pour trouver la différence afcenfionnelle, par la
latitude du lieu & de la déclinaifon du foleil. 1. 730. a.
ASCETES, fens littéral de ce mot. A qui ce nom convient.
On l’a donné dans l’prient aux moines & rehgieufes.
1. 730. a. Cependant on obfervoit autrefois des différences
entre les afeetes & les moines. Ibid. b.
Afcètes, moines de ce nom. X. 615. a. Voyez A n a ch o -
. rete , C énobite , H ermite.
ASCÉTIQUE Livres afcétiques. Vie afcérique. I. 730. b.
ASCHAM, (Roger) XVII. 673. *.
ASCHARIOuNS , difciples d Afchari, doéleur Muful-
man. Paffages de l’alcoran fur lefquels les Afchariens éta-
bliffent leur fyftême fur la liberté & le mérite des oeuvres,
oppofé à celui des Montazales. I. 730. b. En quoi confifte ce
fyuême. Matières for lefquelles les chrétiens devfoient fe
iupporter paifiblement lorfqu’ils font d’un fentiment différent.
Ibid. 731. a.
A SCIA , explication de ce mot qui fe voit for quelques
tombeaux. XV. 361. a.
ASCIENS, ( Ge’ogr. ) peuples qui en certains tems n’ont
point d’ombre. 1 731. a.
Afcierts, peuples appellés de ce nom en Géographie. XI.
464. b.
ASCIOR, Afor , A fur ou Hafur , (Mufique injlrumentale
des Hébreux) infiniment qui avoit - dix cordes. Sentiment
de D. Calmet & de Kirker fur cet infiniment. Ce dernier
préféré. Suppl. 1. 628. b.
ASCITE, { Médecine ) fymptomes de cette hydropifie.
Comment on peut la diftinguer de la groffeffe. Suppl I.
628. b. Différence entre l’hydropifie enkyilée du bas-ventre
& la vraie afeite. Hydatiaes qui accompagnent fouvent la
première. Hydropifie du péritoine. Qualité & quantité des
eaux qu’on tire des hydropiques. Ibid. 629. a. Caufes de
l’afcite. Prognoftics. Ibid. b. Défordres internes qui accompagnent
cette maladie ; l’hydropifie du péritoine, & l’hy-
dropifie enkyilée. Ibid. 630. a. Traitement de l’afcite. Ibid.
b. En quçls cas on peqt avoir recours à la paracentefe ou
ponftion. Précautions à prendre pour rendre l’opération firuc-
tueufe. Ibid. 6$i. a.
Afeite. Voyez Hydropisie. Hydropifie abdominale caufée
par un dépôt laiteux. Suppl. H. 702. b. Comment l’afcite fe
diftingue de la groffeffe. Suppl. III. 271. b.
A s c it e , (Maréch.) maladie du cheval. Suppl.m . 42 1.b.
A scites , hérétiques de la feéle des montaniftes. Pourquoi
on les appelloit de ce m o t , quifignifie outre ou fac. I. 731. b.
ASCLEPIADES , ( Hijl. de la médec. ancienne ) defcen-
dans d'Efçulape. Suppl. 1. 631. a. Ils forent appellés médecins
cliniques. Remedes qu’on employoit avant eux. Révolution
qu’ils cauferent dans la médecine. Pythagore regardé comme