
c ) i z H E S
Sa fituation & Tes révolutions. Suppl. III. 3,67. b.
•HERKIEDEN, ( Géogr. ) ville de l’évêché dAichftedt,
Jans le cercle de Franconie. Origine 8c révolutions de cette
v ille. Suppl. HI, 367. b. 3g • ■ • . .
HERSE, dans les églifes, à l’entrée d un fauxbourg. V l l l .
* T l e r s É , ( Fortifie.) defeription & ufcges de ce tte machine.
Herfeiarrafme. V Ul. l S ' . t . / ^ w ç e d c .m c f mot.
HERSEde gouvernail, (Marine) V l l l . 105. b.
. H e r s e , {O p tra ) moyen de porter la lum.ere fur la partie
de la décoration qui doit être fnr-tout édatree. V III. 185. b.
H e r s e , (M é ÿ jjm efpecede chaffis. VIII. 185.4.
* H e r se . \Agncult.) Description de cet instrument: ion
ufagc. Différentes fortes de herfes. VIII. 185. é.
Hcr f e s , repréfentées vol. I. des planch. Agriculture.
Herse , ( ¿ la / o n ) meuble d e l’écu. Suppl. l l l . 367. b.
H e rfe firraftne , meuble d’armoirie : ce qu’il repréfente.
SuppL ni. 3 68. a ,
Herse, { P ê c h e ) defeription & ufage de cet engin. VU I .
1 $6. a. i
HERSER , ( Agricult. ) utilité de cette pratique dans le
labourage, Ghoix du tems convenable pour herfer les terres.
VIII. *86. a.
HERSILIE, voyei Hgrta.
H E R STA L , ( Gcogr. ) château 8c village dans les Pays-Bas,
au pays de Liege. Evénemens qui rendent ce lieu remarquable
: différons maîtres qui ont poffédé cette baronnie. SuppL III.
368^ (t.
H E R T E , ( An tiq . ) divinités de quelques anciens peuples
de Germanie. Relation que nous donne T a c ite d e là maniéré
dont on en çélébroit la fête. I l c i l vraifemblable que par cette
divinité il faut entendre la terre. Amas de pierres circulaires
dans le comté'de Salisbury en Angleterre , que quelques-uns
croient avoir été un temple de la déeffe Herte. Obfervations
fur cette efpece de monument. VIII. 186 .b .
HERTIUS , {Jean-Nicolas) profeifeur en droit, 8c hiftorien.
V II. 660. b.
HERVAGIUS , imprimeur. V I I I . 627. a
HER V A U T , ( Mathieu-lforé d? ) archevêque de Tours.
■Suppl. IV . 469. a.
HERULES, ( Gcog. une. ) l’un des peuples barbares qui ren-
verferent l’empire romain. Atrocité de les moeurs. Obfervations
hiiloriques fur lesHérules. V IH . 187. a. Peuples d’A lle magne
qui en font defeendus. Ibid. b.
Hérules. Ravages qu’ils firent- du tems de Gallien dans
l’A fie mineure, la G re ce 8c lTllyrie. X I. 961. b. 962. a.
HESDIN ou H éd in , ( Géogr. ) v ille à n eu f lieues de S.
Omer. Le vieil Hefdin ralé en 1332. Le nouvel Hefdin bâti
deux ans après. Obfervations hiftoriques fur c e lieu. Ou vrat
es de l’abbé Prévôt d’Exiles , dont il eft la patrie. Foflîles
: charbon minéral trouvés dans les environs. Suppl. III.
368. a.
H E SM AN , calife. Suppl. IL. 130 . a
HESHUS1U S , ( Tÿemannus ) théologien. X V I I . 398. a , b.
HE SIOD E . Sa patrie. Suppl. I. 631. b. Son o u v rag e ,
intitulé : opéra 6» dies. 1. 1 6 9 . b. I l eft l’inventeur des épitha-
lames. V . 8 18 . b. Sa théogonie. V II. 907 . b. 908. a . C e qu’il dit
des jours heureux 8c malheureux. V I I I . 8 9 2 . a .
H E S IT A T IO N , ( Morale) incertitude dans les mouvemens
du corps , qui marque la même incertitude dans la pénfée.
Caufes de l’héfitation. Il n’y 'a rien qui marque mieux en nous
la coexifténce de deux fenfations que nos incertitudes. V I I I .
187.. b.
HESLINGIUS, Azo th de. 1. 9 12. b.
HESPERIDES, ( H iß . 8c M y th . ) filles d’Hefperus, félon
les uns ; 8c d’A t la s , félon les autres. D iv e r s fentimens des
■tuteurs fur l’hiftoire des hefpèrides. V I I I . 188. a. C e qu’ il y
a. d’inconteftable fur les hefpèrides , c’eft qu’elles étoient
foeurs, qu’elles poffêdoient une forte de bien , dont elles
étoientredevables à leurs foins, 8c à la bonté du terroir qu’elles
cùltivoient ; que leur demeure étoit bien gardée, 8c qu’enfin
Hercule étant allé chez elles , il remporta dans la Gre ce de
ces fruits ou de ces troupeaux qui leur étoient d’un bon
revenu. Fables que les poètes ont conipofées fur cette hiftoire.
Defeription du magnifique jardin des hefpèrides , tirée
d’O vide. A r t des, enchantemens que Virgile -attribue à la
prêtréffe du temple des hefpèrides. lb id . b. Réflexions fur les
différences qu’on remarque dans les embelliffemens que les
poètes ont donnés à la fable des hefpèrides. Variations fur
le nombre de ces foe u r s , fu r lé pere 8c la mere dont elles
.dèfcendenL Les couleurs dont quelques-unspeignent le dragon
expirant, nous émeuvent 8c nous intéreflent. Defeription
de cette mort par Apollonius. Traces imaginaires que quelques
auteurs ,i>lus chrétiens que critiques, croient apperce-
voir dans ces fables, de certaines vérités que contiennent fes
liyr.es facrés. Ibid. 189. a. *
H e s p é r é e s , ißes des., {.Ge'ogr, a n c.) ifles de b mer A3a
HEU bnrique. C e que Pline nous apprend fur ces ifles. V I I I ’
189. b.
H E SPERU S , ( Afironom. ) b planete venus lorfqu’elle
paroit le foir. Ou vrage de M. BFanchini fur cette planete. V III
180. b. * • < •
H e s p e r u s , {M y t h . ) le to ile du foir. Les poètes en ont
fait un dieu. Paroles du poète Milton , adreflees au brillant
befperus. Hiftoire d’he fpe ru s, qui donna à l’Italie le nom
dHefpêrie. Pourquoi on le crut métamorphofé en étoile.
Etymologie du mot latin vefper. V I I I . 189. b. Voyez V e s p e k .
Hefrerus. Comment les anciens le repréfentoient. VIII. 891 b,
HESSE , l a , ( Gcogr. ) pays d’A llemagne. Divifion de la
maifon fouveraine de ce pays. Defeription de la Heffe. O uvrages
à confulter. V I I I . 189. b.
Hejffe, la. Moyens qu’em p lo y a , en 1 7 6 1 , M. le maréchal
de B ro g lie , pour conferver ce pays conquis. Suppl. II. 1 6 1 . b.
H E S Y CH A S T E S , { H ijl. c c c lA moines grecs contemplatifs.
Erreur de fpéculatkm qui les ht condamner en 1240. Origine
de leur nom. V I I I . 190. a
HE SICH IUS »grammairien grec. IX . 5 62. a
H É T É R O C L IT E . ( Gramm. ) Noms 8c adjeétifs appellés
hétéroclites. C e qu’on entend par hétéroclite 8c par anomal.
Etym. du m ot. V I I I . 190. a . Voyez Ir r é g u l ie r .
H É T É R O D R OM E . (Méchan.) L e vier hétérodrome. E tym.
du mot. L e v ie r homodrome. V I I I . 190. a.
H É T É R O G ÈN E . Etymologie de ce mot. Noms Hétérogènes
en grec , en fntaçois ,• en italien. V I I I . 190.1.
H é t ero g en e . ( Ph y fiq . ) Définition. V I I I . 190. b.
Hétérogènes , genre. V i l . 392. b. Noms hétérogènes, lbid .
Hétérogène , en terme de méchanique. Lumière hétérogène.
Nombres hétérogènes. Quantités hétérogènes. Quantités
lourdes hétérogènes. V I IL 190. b.
H é t é r o g è n e , ( Médec. ) qualité des humeurs du corps
humain. Ouvrages à confulter. V I I I . 190. b.
H É T É R O SC IEN S . {Géogr. ) Définition des hétérofeiens.,
félon les géographes grecs. Explication qu’en donne Ozanam.
V I I I . 19 1. a
Hétérofeiens, voyc^ fur cette dénomination, X I. 465. a
H E TM A N , ch e f des C o faq u e s , voye^ ce dernier mot.
H Ê TR E . {B o ta n .) Ca ra â e res de ce genre de plante. V IH .
19 1 . A
Hê t r e . ( Botan. ) Défcriprion de cet arbre. V IH . 19 1 . a
L e hêtre , par fa ftruâure 8c fon utilité , tient un des premiers
rangs parmi les arbres foreftiers. Lieux 8c terres qui lui
plaifent. Maniéré de recueillir b faine qui eft 1a femence du
hêtre. D u tems auquel on doit 1a femer. Comment on 1a con-
fe rve en hiver. Direftions fur la maniéré de 1a femer. lbid . b.
Conduite à ob ferver à l ’égard des jeunes plants. Ufage-
auquel on pourroit deftiner le hêtre dans les jardins. Son
ombre nuifible aux plantes. Ufage des feuilles. Utilités qu’on
peut tirer de fon bois. Confeils d’un auteur anglois, nommé
E l l i s , fur 1a maniéré 1a plus avantageufe de tirer parti du bois
de hêtre, lb id . 192. a. Ufage de b faine. D eu x variétés de l’ef-
pece de hêtre que nous connoiflons. lbid . b.
H être , {B o ta n . Jardin: ) noms de cette plante en différentes
langues. Suppl.XW. 368. a. Son caraâere générique. Efpeces
8c variétés. Defeription , culture , qualités 8c ulages de cec
arbre. lb id . b.
Hêtre. Qualité des terreins où 11 peut être femé. IL 300. a
H E TR U R IE ou Et r u r ie . {Géogr. anc. ) Diverfes domina*
rions fous lefquelles ce pays a pafTé, 8c en conféquence
defquelles il a reçu différens noms. Etat de l’H étrurie avant
b grande puiffance des Romains. Le nombre de fes ville« ’
augmenté fous les Céfars. Divers-pays que comprenoit l’an*
cienne Hétrurie , après que les Gaulois furent établis en
Italie. lb id . b. C e feroit fe tromper grofliérement que de traduire
toujours l’H étruriè par b Tofcane. C e furent les Hétrufques
qui inftruifirent les premiers Romains. D e s inferi-
prions qui nous reftent de l’ancienne Hétrurie. Pourquoi
les Hétrufques ne donnoient aux étrangers aucune con-
noiffance de leur langue 8c de fes caractères particuliers,
• lb id . 193. a
Hétrurie, divifée en douze peuples. IX . 7 1 3 . a X V I . 441. ¿,
Conquêtes de Rafenès dans ce pays. XIH. 813. b. 814. a •
Prêtres d’Hétrurie. X V I . 306. b. Lafcience des arufpices culris
v é e chez les Hétrufques.. 1. 746 . a
H É TRU SQ U E S . Médailles hétrufques. X . 233. b. Académie
hétrufque établie à Cortone. lb id . 8c V I . 85. b. 86. a .
. Philofophie des Hétrufques. X IV . 338. b. Les Hétrufques
; appellés Tyrrhenes. Erreur fur leur origine. X V L 787. a. Etat-
! des beaux-arts chez cette nation. Suppl. I. 393. b. Caraâeres
■ hétrufques, vo l. I I de splanch.Cara âere, pl. 8.‘.
H E U , ( M a r in e ) ( o n e de bâtiment. Sa, defeription ; fes proc
: portions les plus ordinaires. V I I I . 193. a f d
H E V E L IU S , aftronome. I. 790. b. Obfervations fur fes
, cartes céleftes. Suppl. II. 233. a , b. Ses tables aftronomiques,
' Suppl. IV . 893. b, 9 13. a 9 16 . b.
H E U E RM A N , ( / . George) anatomifte, Suppl. 1. 412. b.Sc.
^ phyûologifts. ffitppl. IV . i i i . a , . H EU R g
HEU . H EUR E , {A J lr s n .& H t jl.) étymologie du mot. V I I I . 193; a ’
Q u in z e degrés de l’équateur répondent à une heure. H eures
fimples 8c heures compofées. Les plus anciens peuples divi-
fo ien t le jour en douze heures : les aftronomes a e Cathay
confervent encore cette divifion. Noms particuliers qu’ils
donnent à chaque heure du jour : comment les Romains
régloient leurs heures avant b première guerre punique.
O n divife quelquefois les heures en égales 8c inégales :
heures équinoxiales, heures aftronomiques, heures babyloniennes
j européennes, judaïques » planétaires ou antiques.
lb id . ¿. Heures italiques. C e qu’on entend par heures inégales :
ouvrage à confulter. M o yen de trouver l’heure fur mer. lbid .
194. A
H eures. {A f ir o n . ) Lesaftronomes diftincuent trois fortes
d’heures aftronomiques ; fa v o ir , heures folaires moyennes,
heures folaires v ra ie s , .heures du premier mobile. L ’expüca-
rion de ces trois maniérés de compter le tems, fait l’objet de
ce t article ; fur quoi l’on peut vo ir auifi les articles Tems
v ra i , Tems moyen. Avantage que trouvent quelques aftro-
nomes à régler leurs pendules fur les heures du premier
mobile. T ro is genres de moyens que les aftronomes emploient
pour calculer l’heure. D e s moyens de trouver l’heure
en mer. Suppl. III. 369. b.
Heures. Origine «e b divifion du jour en vingt-quatre
heures. Suppl. IV . 763. b. Divifion des vingt-quatre heures
en huit gardes chez les Romains. V I I . 482. b. L e s Romains
ont été 430 ans fans connoître les heures. X V I I . 233. a.
Comment ils parvinreirt'à les çonnoître : diftribution de leurs
occupations dans les,différentes heures du jour. 233. a , b.
Origine de l’ufaee de certains lieu x, d’avertir de l’heure pendant
1a nuit. V I IL 299. b. Moyen qu’A lfred , roi d’A ngleterre,
av o it inventé pour diftinguer les heures (le 1a journée. X V I I .
388. b. Heures du prémier mobile. Suppl. I lL 940. a. Méthode
pour trouver l’heure par le moyen des étoiles, Suppl.
I I . 893. a par les hauteurs du foleil ou des étoiles. Suppl. III.
3 1 2 . à . 3 13. b. V o y e i H a u t eu r & CADRAN.
H eu re. ( Gnomon. ) Defeription 8c ufage d’ùn infiniment
. qui montre les heures du jour 8c l’élévation du foleil âu-
deflus de l’horizon,, pour telle latitude que ce foit. Suppl.
III. 36p. a Voy c{ planch. de Gnomonique, Suppl. pl. 7.
H eure , ( Géogr. ) moyen de trouver 1a différence d’heure
entre deux différens lieux de la terre , par L’ufage du globe.
IX . 303. b.
H eure , {M éd e c .) heures médicinales. X . 297. a.
H eures , ( Thèolog.) certaines prières que l’on fait dans
l ’églife en des tems réglés. Petites heures : differtation du P.
Mabillon fur ces heures. Premier« conftitution qui fe trouve
touchant l’Obligation des heures. Prières des quarante heures.
V I I I . 194. a
Heures. Eccléfiaftique de l’églife grecque qui veilloit à ce
q u e les heures fuffent chantées régulièrement. V . 772. b.
Heures d o la p r ie re , XUI. 362. a , b. heures de l’o ffice, XI.
4 13 . a , b. heures canoniales,, dites fe x te , X V . 13S .b . 8c
tierce. X V I . 319. a , bj ,
H eures , {M y th o l. ) ( c n s moral qu on peut tirer des noms
donnés aux heures. V IH . 194. a. Comment Homere décrit les
fondions des heures : leur nombre , félon la mythologie
grecque. Cu lte que les Athéniens leur rendoient. Comment
fe s modernes les repréfentent. Première fignification du mot
epai. lb id . b. tÿfè
Heures : facrifices en leur honneur. V I I I . 297. a ? b .
H E U R E U X , heureufement, ( Gram. M o ra l.) origine de ce
mot. Diftinfiion que les anciens mettoient entre les heures.
Différence entre le bonheur 8c le plaifir. V I IL 194. ¿. Réflexions
fur l’ancien ad age, on ne doit appeller perfonne heureux
avant fia mort. Obfervations fur ces queftions , s il y g une
condition plus heureufe qu’une autre ; fi l’hotnme en général
eft plus heureux que 1a femme ; fi de deux hommes 1 un elt
plus heureux que l’autre. D ’où dépend la différence de bon-
heur entre deux hommes également fains , également rtches
& d’une condition égale. D ’où dépend la dtfpofitton de notre
ame qui nous rend heureux. IbtJ. 195- “ ■ " penfées heu-
re u fe s , les traits heureux , ne font point en notre pouvoir.
I l en eft de même des imaginations heureufes, de 1 heureux
eénie. Pourquoi l’on ne dit jamais en.falts d arts , malkturiuii
g én ie , comme on dit heureux génie. L e génie n eft pas toujours
également heureux. En quel fens on dit invention heu-
reufe ou malheureufe. Obfervation fur la demande que faifoit
le cardinal Mazarin d’un général heureux. C e qu on entend
par un heureux fcélérat. Inutilité du livre de Séneque fur
la vie heureufe. Heureufes applicauons du mot heureufement.
^ H e u r e u x . Différence entre heureux & bienheureux. II.
4 4 e. a. Portrait de l’homme heureux , par la Fon“ “®- ” •
s s l h A nui le titre d’heureux fut donné par les anciens. V I .
, tours heureux. VIII. 89t. b. Perfonne ne doit
ê t r e appellé heureux avant fa mort. & V I I . 795- b- Sur la fillte
des èvénemens qui rendent heureux ou malheureux, voye^
E a t a l it é .
Tome 1,
HT A 913
ë r i r n S V i n ’ ^ 3 ' î n & 0 , t o ) m éd ec in s.X VH .rd i.é.
x i tU K iU lR : ufages. de ce mot en ferrurerie , en h ydraulique
, en a r t i l le r ie 8 c en fonderie de caraâeres. VIII.
196. A
Heurtoir de porte. X V II. 826. b.
H E U S D E N , (G é o g r .) ville de 1a Hollande , patrie de
Gysbert 8c Paul V o e t , pere 8c fils. Querelles du premier
avec Defmarets, Cocceius 8c Defcartes. VIII. 196. A O b fe r -
U i d ° T fUr PaUl V ° ët & Jean f ° n fils ? & fur leu ß ouvrages:
H EW SÖ N , ( Guillaume) anatomifte, Suppl. I. 414 b 8ô
phyfiologifte. Stwpl. IV . 364. ¿.
H E X A ED R E , ( Géom. ) étymologie de c e mot. Le quarrè
du côté d’un hexaèdre eft le tiers du quarré du diametre de b
fphere qui lui eft circonfcrite. VIII. 196. b.
H E X A G O N E , ( Géom. j étymologie de ce mot. Hexagone
régulier : comment on le décrit fur une ligne donnée.
Hexagone en terme de fortification. VIII. 196. b.
Hexagone : maniéré de le divifer en raifon donnée. VII.'
606. b.
H EX AM E TR E , ( L i t t .) nature de ce vers. V I I I . 196. ¿:
Les hexametres fe divifent en héroïques 8c en fatyriques. Poèmes
compofés de vers hexametres. On a effayé de faire des
vers hexametres en françois 8c en anglois, mais on n’a pu y
réuifir. Exemple, lbid . 1 97. a.
Hexametres daâyliques, IV . 61 o. b. 8c fpondaïques. X V . 480.
b. D e la céfure des hexametres. Suppl. II. 3o 1. a Principe de là
beauté de ces vers. Suppl. IV . 984. b.
HEX AM ILLO N , ( Hift. mod. ) muraille que l’empereur
Emanuel fit bâtir fur l’ifthme de Corinthe, pour mettre le
Poloponnefe à couvert des incurfions des barbares. Origine du
nom qui lui fut donné. Démolition de cette piuraille. Son réta-
bliffement par les Vénitiens. Son enriere démolition par les
Turcs. VIII. 197. a
H E X A PH O R E S , { L i n . ) i ° . efpece de liriere dont fe fer-
voient les Grecs 8c les Romains. Elle étoit à fix portières.
Autres lirieres ou chaifes à quatre 8c à deux portières. 20. Lit
funebre qui fervoit à porter au bûcher les morts d’un rang
diftingué. Defeription de ces hexaphores , d’après d’anciens
bas-reliefs. Ouvrages à confulter. Suppl, III. 370. a.
HEXAPLES , {H iß . eccl. ) bible en fix colonnes, qui contient
le texte 8c fix verrions différentes. Etymologie du mot-
Hiftoire de la compofirion de cet ou v rag e, par Origene. V I I I :
197. a. Fragmens qui nous en font reftés. C e t ouvrage abrégé
par Origene lui-même. Aftérifques 8c obélifqües qu’il y ajouta
pour indiquer aux chrétiens les objeâions des Juifs tirées de
récriture, lbid. b.
Hexaples. Obfervations fur cet ouvrage d’Origene. XI.
298. b. 646. a , b. 6 4 7 . a , b.
■ H E Y D E , ( Antoine d e) anatomifte. Suppl. 1. 401. b. Ouvrage
de ce médecin fur 1a iaignée. X IV . 304. b.
H H A T IB , (H i ß . mod. ) officier des mofquées.' Fondion de
cet officier. V I I I . 198. a.
H I .
H IA Ö Y , ( Géogr. ) v ille de la Chine. Obfervations fur
la montagne de Caftang qui eft auprès de cette ville. V I IL
198. a .
H IA T U S , (G ram m .) différence entre hia tu s8c bâillement.
Réflexions de M. Hardouin fur les réglés bizarres que les
Latins 8c les François fe font faites fur les hiatus dans la
verfification. V I I I . 198. a Remarques de l’auteur de cet
article , ajoutées à ces réflexions ; i° . il eft certain que 1a
loi générale qui condamne Xhiatus comme vicieux entre
deux mots , a un autre fondement que la prévention ; ; 2°.
fi les Latins 8c les François ont pratiqué rigoureufement l’éli-
fion d’une voyelle finale devant une voyelle initiale, quoiqu’ils
n’aient pas agi de même à l’égard de deux voyelles
confécutives au milieu d’un m o t , c ’eft qu’ils ont fmvi l’im-
preffion de la nature. Ibid. b. Réponfe à une objeétion tirée
de l’ufage des G re c s , dans les vers defquels on remarque
que le nombre des .voyelles non élidées eft peut-être plus
grand que celui des voyelles élidées ; 30. fi les Latins n’éli-
doient pas au milieu d’un m o t , il b u t obferver du moins
qu’ils fupprimoient une partie de la v o yelle en la fàifant
breve. C e principe-eft univerfel, 8c influe fur la Dénonciation
dans toutes les langues, lbid . 199. a. 4°. C eft encore à
l’intention d’éviter ou de diminuer le vice de \ hiatus , quil
faut rapporter l’origine des diphthongues. Pourquoi toute
diphthongue eft longue en quelque langue que ce foir. 3 .
Bons effets que produit quelquefois Y hiatus entre deux mots
qui fe fuivent. Ibid. b. 6°. Obfervation fur les contradiâions
apparentes du fyftême de prononciation dont il | agit ici. lbid .
2°H ia tUS , ( L itt. P o é f . ) il eft quelquefois dur 8c quelquefois
doux à l’oreille. Differens fentimens des anciens fur. fon
¡ ¡ ¡ g Suppl. i n . 370. a, Quels | ; ÿ » m