
334 C L O
CLOQUE» maladie qui attaque les feuilles de pêcher.
XVII. 763. ü
CLORRE, ( Jurifp.Y différentes réglés à obferver par
rapport au droit ou a 1 obligation dans lefquels chacun peut
être de clorre ion héritage. III. 347. b.
Clone un compte; clorre un inventaire ; clorre » en terme
de vannier. III. 547. ê* . . ,
CLOS, (Agricult.) comment un-propriétaire obtient le
droit de clôture dans les pays où les terres font affujetties
au parcours. Obfervaùon fur cette fervuudc. Avantage de
la clôture des prés. & de celle des champs. Suppkll 468. b.
Néceffité de celle des bois, fur-tout pendant ?u tls font jeunes.
Les montagnes que l’oit fait pâturer, & ou 1 on ne fente
point, devroieit auffi être fermées. Divers inconyéntens qtu
réfultent de ce que les terres font privées de clôtures lbid.
^^¡LOSf Codicille dos. III. 586. b. Teftament clos. XVl. 192. b.
CLOSETS, (Pêche) efpece de hauts parcs: defcription
de ces rets. Efpece de poiuon qu’on prend dans les dofetSs
¿¿OTAIRÉ I , roi de Soitfons. Suppl. IL 398. a-, b,
C lo taire I I , dixième roi de. France, (Hift. de Fr. ) fus
& fucceffeur de Chilperic. Evénemens remarquables arrivés
fous ce roi. Suppl. II. 469. a. Tableau de fon regne par
iVell y. lbid. b. ,
Clotaire II. Comment ce roi fut reconnu pour fils de
Chilperic. IX. 69. b. XIII. 579. b.
C lotaire III, treizième roi de France, fils & fucceffeur
de Clovis II. Il remet à Çhilderic I I , fon frere, le fceptre
d’Auftrafie, & fe contente de celui de Neuilrie 8c de Bourgogne.
Précis de fon regne. Suppl. II. 470. a. ^
CLOTURE, ( Jurifp. ) deux fignifications de ce mot dans
les monafteres de filles: l’une a rapport aux voeux, l’autre eft
pour exprimer les murs, portes ©c grilles, 6*c. qu’il n’eft pas
Îiermis aux religieufes de paffer, 8c dans l’intérieur defquels
es étrangers ne peuvent entrer. Exceptions à l’une 8c l’au*
tre défenfe. Les iupérieurs eccléfiaftiques en vifitant les monafferes
examinent fi la clôture y eft bien obfervée.UL 548.0«
C lôture , ( Agrïc, ) voyez C los.
CLOU, defcription. Les clous en fer fe forgent, les autres
fe fondent. Deux fortes de clous en fer, les ordinaires 8c
les clous d’épingles. III. 548. b.
Des clous ordinaires, Outils du cloutier, leur defcription.
Maniéré dont les outils du cloutier font difpofés. III. 548. b.
Quel eft le fer dont on fe fert poür les clous. Travail
des clous, tant de ceux qu’on appelle d’une feule venue , 3ue des clous à patte, à crochet, à crampons, à gond, à tête
e champignon. QI. 549. a. Lorfque les clous font achevés,
l ’on a une caiffe nommée l’affortiffoire g où l’on range les
clous : difpofition de cette caiffe : maniéré dont on y range
les clous. Efoeces principales de clous, 8c leurs ufages .lbid. b.
Clou, différentes fortes de clous indiqués à l’article Tête.
XVI. 203. b. Clous de ferruriers. XVII. 81 y. b. La plus petite
efpece de clou. O. 443. b. Clous à fouliers. 494. b. Voye{
les planches de cloutier,vol. 01.
. C lo u , ( Arts me'ch.) avant d’acheter de groffes parties
de clous, il convient de les effayer: car on en fait de métal
ff caffant, que fur cent clous qu’on emploie, il s’en caffera
peut-être plus d’un quart. Compofition de la matière dont
ils doivent être faits. Précaution à prendre pour que les clous
foient fans fouflure. Suppl. IL 470. a. Qualité que doivent
avoir ceux de fer. Epreuve qu'on en doit faire avant que
de les acheter, lbid. b.
Clou t ce que les lapidaires appellent clou dans leur métier.
Sens de ce mot chez les marbriers 8c fculpteurs, chez
les bas-liftiers. 10. 550. a.
Des clous d’épingles. Defcription de l’attelier 8c des outils
de ce cloutier. III. 55o.a. Voyez les planches vol. 01. Ce
qu’on entend par clous d’épingle. Opération de l’ouvrier qui
les fait. lbid. b. Diverfes acceptions du mot clou. lbid. 551.4.
C lo u , (Hift. anc.) ufage qu’en fàifoient les premiers
Romains 8c lesEtruriens pour leurs annales. Clou myftérieux
que le premier magiftrat attachoit le jour des ides de feptem-
bre. 111. 551. a. Divers emplois du clou myftérieux dans les
tems de calamités, 8c pour corriger l’efprit des femmes
Romaines. Premier magiftrat créé pour la fonétion de placer
le clou, lbid, b.
C lou, (Mêdec.) maladie de l’oeil. Defcription de cette
*£ / • e mcurable- III- 351. b.
Clou »différence entre ce que les chirurgiens appellent
cious, furoncles, antrax 8c charbon. X VO 791. 4. Foyer
chacun de ces articles.
Clou de rue, (Marech.) obfervations fur la maniéré de
naiter cette maladie. V. 626. 4, b. Suppl. 10. 404. b. Cure
du clou de rue finrale celle du clou de rue grave & complique.
V .017* «• Ferrure contre les clousderac,&courre
V y ’ ^ Saint-) SupplX\, 6,7 t. Galerie de Saint-Cloud.
C 0 A
CLOUÉ, ( Blafon) Suppl. 0 . 471. b. Voyeç vol. II ¿çj
planches Blafon t pl. 5.
CLOVIS le grand y cinquième roi de France, ( Hifl. ¿t
France) hiftoire de fon regne. Suppl. \I. 471. b. Anecdote
fur ce prince au fujet de l’arme ancienne appellée francifque.
VII. 284. ¿..Vrai nom de ce roi. Suppl. II. 302. 4;
C lô v iS A , douzième roi de France, fils 8c fucceffeur de
Dagobert I. Suppl. 0 .472. b. Voyeç SiGEBERT D. Article fur
ce roi. Suppl. IV. 789. b. Conduite de Pepih 8c d’Ega, fous
fon regne. 284. b.
C lo v is I II, feizieme roi de France, fiis 8c fucceffeur de
Thierri 0 . Durée de fon regne. Suppl. II. 472. b.
C lous de la pajjion, (Blafon) Xll. 153.4.
C lous de vernis, (Mêdec.) maladie cbnnue à la Chine;
Suppl. 1. 851.4«
CLOUTIER, deux fortes; les cloutiers d’épingles, 8cles
clou tiers. Obfervations fur la communauté de ceux-ci , 8c
fur quelques-uns de leurs ftatuts. III. 532. a.
CLOÜRA, oifeau mal connu, qui fe trouve à la Chine,
&c. Comment on l’emploie à la pêche. III. 552. b.
. CLÜNY, f Hifti ecclêfi ) fondation de l’abbaye de Cluny.
Perfonnages illuftres qui en font fortis. Elle fut unie fous là
protection immédiate du S. Siege. Conteftation qui en réfulta:
Cette abbaye ternie en commende par un abbé nommé par
le ¡roi. Ancienneté de cette congrégation. La maifon chef-
d’ordre étoit autrefois d’tine étendue immenfe. Malheurs
qu’elle a foufferts. III. 552. b.
C luny , ( Géogr. Hifl. eccléf.) ville du Mâconois. Abbaye
fondée dans ce lieu. Son églife. Papes que cette abbaye a
donnés à l’églife. Suppl. II. 472. b. Evénemens qui la rendent
remarquable. Nombreux monafteres qui ont été fous fa dépendance
« Ses premiers abbés« Commerce de fa ville. lbid;
.473- a- . ■ H
Cluny, réunion de plufieurs monafteres fous l’abbé de
Cluny, au dixième fiecle. X. 639. a. Obfervations fur la
maifon de Cluny, 8c fes privilèges. lbid. b. De l’ordre de
Cluny. XL 599. a. Définiteurs élus dans cet ordre. IV. 745.4;
Obfervations fur quelques perfonnes de cette maifon. Suppl;
U. 544.4, .. .
CLUYD,. vallée de. XVI. 823. ¿. .
CLYSSUS, ( Chymie ) lignification générale de ce moti
On l’applique plus particuliéreinent au produit volatil des
détonations du nitre ave.c différentes fubftances ; ainii l’on
dit clyffus d’antimoine, de foufre , de tartre , &c; Maniéré
de les préparer. Explication de leur nature aux mots Détonation
, Nitre; Le dyffus d’antimoine employé autrefois
comme médicament, a perdu aujourd’hui la célébrité. .On
a aufti nomfné clyffus j les vapeurs qui fe détachent des
menftrues agiffans avec effervelcence. Àbforptioù de l’air
par l’aétion de ces clyffus dans certaines effervefcences.
Pierre végétale , appellée aufli clyffus. III. 553. a. On
peut regarder comme un clyflus de cette efpece , le potus
medicatiu de Boerhaave. Clyffus fynonyme à quinteffence.
lbid. b.
Clyffus fimple d’antimoine , & clyffus compofé. VIL
66. b. Appareil pour attrapper les clyffus de poudre à canon,'
d’antimoine , de charbon , &c. Voyeç vol. III. des planch.-
article Chymie y pl. 11. ' , . . .
CLYSTERE, lavement, rmede. Le mot lavement mis au
rang des mots déshonnêtes. Remede eft équivoque, mais par-,
là même honnête. Comment les Chinois appellent les lave-
mens. III. 353. b. . ^ ^
Clyftere. Catholicoa pour les clyfteres. II. 778. b. Voye^
Lavement.
C M
CMIELNISKI Bogdan, (-MJI. dcsCofa.) hetman ou
chef des Cofaques. L naquit dans l’obfcunté, & fon élévation
fut la récompenfe de fes fervices. Prmcipaux tra.B de
1, vie de cet homme célébré qn. fit la guette à la Pologne
fous le tegne d'Uladiflas VII & de CTafimit V , & qid
mit cette ripullique i deux doigts de fa perte Suppl. U-
, 7, _ a. Débauches & exces auxquels il fe livroit
dans les imervalles que lui lalffoient fes expéditions. Ibii. ».
C N
CNEPH , ( Myth. ) l’être fuprême dans le ty^imc
Egyptiens. Origine des chofes félon ce fyflême. Comment
on repréfentoitee dieu. Suppl. II. 475. b.
CNIDE, voye^ G nide.
C O
C O , particule prépofitive % nç“^' ^ L é 0for*ce dire-
COÀCTIF. U s M H P P
ffive , au lieu que celles «e
554. 4.
C O B
Coaàif-. Jurifdiétion coaétive. DC. 74. k Pouvoir coaflif.
x rOADJUTEUR , ( Uif. tal. ) l'adjoint d’un officier
Ancienneté1, des çoadjutoreriès. Elles font une
éfigner le fucceffeur. En quels cas le roi de
un coadjuteur aux prélats. Coadjutèurs élus
tape. n i. 5 54.4. Des coadjutèurs des évêques,
b ne de ceux des archevêques-toadjuteurs donnés aux curés
janorans. Efpece de coadjutèurs abolie en France. Ouvrages
aconfulter. lbid.b. ■ ..
Coadjuteitr. Obfervatipns fur quelques faits rapportés dans
cet article de l’Encyclopédie. Suppl. II. 476.4.
Coadjuteur donné à l’évêque. IV. 144. b.
COAGIS, voyei Facteur. VI. 359. b. . ,
COAGULATION, (Phyfiq. & Chymie) coagulations improprement
dites. Efpeces de coagulations auxquelles. cette
dénomination a été confacrée. III: 554. b. Recherches for les
caufes des coagulations, dont l’auteur de cet article a dilhngue
trois efipeces. lbid. 555. a. ■
Coagulation. Gâufe de la coagulation de divers liquides.,!.
^49.4. 853. b. Les acides coagulent les liqueurs animales. I.
co. a. 100. a. La chaleur coagule les corps muqueux. III.
266. b. Degré de froid capable de coaguler le fan». VU. 327.
b. Détails fur la coagulation du lait. IX. 200. a. Précipite de
Van-Helmont, qui donne lés apparences d’tine coagulatiom
X. 4Í2. 4. , . .
COAGULER, cailler. Différence entre ces mots. II. 533 .a:
COAGÜLÜM , ( Chir. ) la partie rouge du fang. Le fang
divifé en deux parties dans une palette ; favoir , la partie
fouge & la lymphatique. Pourquoi, le coagulum eft d’un
rouge plus v if à la furface , & plus foncé au fond. Caufes
îles coënès qui paroifferit quelquefois fur le fang qu on a tiré.
Le coagulum lavé dans de l’eau tiede, fe fépare en deux
- parties, 6*c. ÜI. 555.4. • t .
Coagplum. Suppl. IV. 721. a. Caufes des différentes couleurs
quife trouvent quelquefois fur iafupërficie du coagulum. III.
5^COAITA , CQuadrup. ) nom que les hàbitans du Brefil
donnent à une forte de finge reprefenté vol. IV. des planch.
-Hijl. nat. pl. 22. Différentes défignations de cet animal. Sa
defcription 8c fes moeurs. Suppl. II. 476.' a. Ses facultés.
Sa nourriture. Qualités de fa chair. Maniere de le daffer.
lbid. b. , , . , /
COÁSÉ , ( Quadrup. ) nom fotis lequèl M. de.Buffon a
décrit 8c fait graver un animal envoyé à M. l’abbé Aubry,
fous le nom de pékan , enfant du diable, ou enat fauyage
de Virginie. Ses autres noms. Defcription du coafe dont parle
M. de Btiffôn , 8c du quasje de Surinam , gravé par Seba.
Suppl. ü. 476. b. On voit par ces deferiptions que ces animaux
font très-différens, 8c qu on ne doit pas les confondre. lbid.
•477. a. , *
C O A T I , (Hill.nat. )cé nom donné à plufieurs efpeces dé
quadrupèdes du Brefil. Defcription du coati-mondi, donnée
par M. Perrault. Deux autres animaux apportés au même na-
turalifte , fous le nom de côati-mondi, mais fort différens du
premier, m. 555. b. Quatrième animal donné à M. Perrault,
fous le nom de coati. lbid. 5 54. a., ,
COBALT , cobolt ou kobold, (Minéral.) caraffere de ce
demi-métal. Raifons de M. Brondt, chymitte fuédois, pour
placer, cette fubftance au rang des demi-métaux. Métaux avec
lefquels il s’unit, 8c ceux avec lefquels il ne s’unit point.
Diverfes éfpëces de mines dont on tire le cobalt. La miné
de cobalt cendrée, la mine dé cobalt fpéculaire ; la mine de
ícobál't vitreufe, III. 556. a. la mine de cobalt cryftallifée ,
les fleurs de cobalt, la mine de cobalt terreufe. Diverfes
autres mines où l’on rencontre fréquemment du cobalt. Les
ouvriers des mines d’Allemagne ont fouvent confondu les
mines .de cobalt avec celles d’arfenic. Comment oñ dégage
i ’arfenic des mines de cobalt. Détails de cette opération.
Maniere de faire le faffre , fmalte ou azur. lbid. b. ¿.’exportation
du cobalt crud défendue en Saxe. L’argent ne fe trouve
«qu’accidentellement dans la mine du cóbalt. Maniere ¿’éprouver
fi une mine fournira du beau bleii. Diverfes contrées ou
l’on trouve des mines de cobalt. Danger de leur exploitation.
Gnome foutéh-ein auquel les mineurs allemands donnent le
hom de cobalt, lbid. 5 57. a.
Cobalt arfenicàl. Suppl. I. 580. a. ¡Comment èn peut tirer
du cobalt l’arfeniç blanc & jaune. I. 713.4« Suppl. I. 583. a.
tJhidn 8c reffemblance du bifmuth au cobalt. II. 263. a.
Union du régule du cobalt avec le fer. VI. 406. b. Réduction
du cobalt. 917. b. Nouvelles expériences fur le cobalt. Réful-
tats de ces expériences. XIV. 490. b. — 491. b. Matière qiii fe
dèpofe au fond des creufets , où l’on a fait vitrifier le cobalt
avec la fritte de verre. XV. 449. b. Travail du cobalt ÿ décrit
v°b VL des planch. artic. Métallurgie, Cobalt.
• COBELLA , ( Ophiolog. ) nom que les Hollandais donnent
à un petit ferpent de l’Amérique. Ses différens noms,
t ,(cTr‘Ptlon. Obfervation fur la maniere de la daffer.
Suppl. 11« 477, a.
C O G 333
COBLENTZ. Écho remarquable près de ccttfi ville. V'.
263'. b..
COBLIN , (Ichthy.) poiffon des ifl’es Moluquès, Sa description.
Lieux où on le pèche. Sa claflification« Suppl. IL avj.b.
COBRA-CAP ELLA, ( Ophiolog. ) ferpent .aum peu connu
qu’il eft fouvent cité dans les dictionnaires. Origine du nom
portugais qui lui eft ici donné. Son .caraâere générique.
Première efoece , heretimandel. Lieu où elle fe trouve. Sa
defcription 8c fes moeurs. Suppl. II. 477. b. 2e efpece » cabelcr.
Defcription 8c moeurs de cette forte de feroent.j'.efpece ,
diadema. Sa defcription. 4e eipece , confpiciilum. Defcription
8c moeurs. lbid. 478. 4. 5 e efoece , cobra de câpello. Delcrip-
tion. 6e efpece , naja. Defcription 8c moeurs. 7e efpecei.
Defcription 8c moeurs. 8e Defcription 8c moeurs. lbid. b. 9®
efpece. Defcription 8c moeurs. Remarques fur ces neuf efpe-,
ces. Leur claflification. lbid. 479.4. , ,
C O C A , (Boian.) arbrifleau du Pérou, dont les fruits
fecs fervent de petite monnoie , 8c les feuilles font les délices
des Péruviens. Defcription de c.ette plante 8c de fon
fruit. Elle n’eft connue par aucune defcription de botanifte.
Ce que les voyageurs ont dit du produit de fon commerce.
III. 557. b. . . .
COCAGNE, ( Botan. ) nom des pains formés de la guede
ou vouede , dont on tire la couleur bleue appellée pajlel.
Pays de cocagne. Suppl. II. 479. a,
COCGEIENS, feéiateiirs de Jean Cox, né à Breme en
1603. Ce qu’il crmroit.de la venue de l’antechrift 8c de la,
fécondé venue de J. C. III: 5 57. b.
COCCHI, ( Antoine ) notice des tablettes de Florence par
ce dofteur. XV. 807. b.
COCCULUS , ( Botan. ) efpece de cocculüs nommé
cit-amerdu. Suppl. ü . 444. 4, b.
COCCUS, voye{ K ermès du nord.
CÔCCYGIEN, (Ânatom.) mufcle coccygienantérieur -9
mufcle poftérïeûr. III. 5 58.4.
COCCYX. Defcription de cet . os; Sa iituation: Cartilages
qui lient les différentes parties du coccyx. Difpofition du
coccyx dans les femmes. Paire de mufdes propres au coccyx*
Obfervation d’un coccyx long de 13 à. 14 pouces. Prétendus
hommes à queues, dont quelques voyageurs ont parlé, III.
558. 4. qui ne font que de gros finges nommés cercopithecu
Mauvaiie pratique de quelques fages-femmes de pouffer le
coccyx en arriéré dans l’accouchement. Véritable caufe qui
met obftacle au paffage de l’enfant par l’engagement de là
tête. Maniéré de réduire le coccyx luxé. M. Petit remarque
que le dérangement du coccyx n’eft point, à proprement
parler, une luxation. Caufe de la luxation du coccyx en-
dedans. lbid. b. . • .
Coccyx. Fauffes vertebres qui compofent cet os. XVII.'
171. b. Coccygienne, artere. Suppl. III. 485. b.
COCHE. Coches d’eau , coches de terre. III. 558. b. Premier
e inftitution de ces coches. Inipe&eur des coches; fupprimé
par Henri IV. Police de ces voitures; lbid. 559. a.
C oche , ( Artmèchan.) voyc[. Ho che. ,
COCHÉES , ( Phqrm. ) maniéré de préparer les pilules
cochées majeures de Rhans , & les pilules cochées mineures.
Les unes & les autres font des hydragogues très-violens. IH.
559. a. , . ., j v . . . . . . . . . . . .
COCHEMAlR ; ( Mêdec. ) efpece d’oppreflioii accompagnée
de frayeur , qu’on éprouve durant le fommeil. Etym.
du mot. Autres noms donnes à cette maladie. Suppl. II. 479. a.
Ses fymptômes. Ses caufes. Cochemar pléthorique. Comment
on le prévient. lbid. b. Cochemar ftomachiqué. Ses caufes
& fon traitement. Exemples de cochemars caufés par un
hydrocéphale , & par une hydropifie de poitrine; Cochemar
verminéux qui attaque les enfans. lbid. 480. a. Cochemar
teitiahaire. Exemple fingulier de cette efpece. Le cochemar
eft ordinairé aux hypocondriaques ,8c aux mélancoliques.
Maiiiere de le traiter dans ce cas. Exemples de cochemars
qui ne préfentent pas de trilles fantômes à î’efprit. Prognoftics
fur le cochemar. Infpeélion anatomique des perfonnes mortes
de cette maladie. lbid. b. Avis fur la manière de la traiter.
lbid. 481.4.......... , .. .i-
COCHENE ; (Bôtan.) ou forbier des oifeleurs , forbier
îàuvage. Ses différentes défignations. Garaéleres qui le diftin-
guent du cormier. Lieux où il croit. Ses ufages« Claflification
de ces plantes. Suppl. II; 481. a.
COCHENILLE. Celle qu’ôn nous apporte d’Amérique:
Couleur de celle qui eft la plus recherchée. Il n’eft plus
douteux qu’elle ne foit un infeRe defféché. III. 559. 4.
Plantes fur lefquelles on la recueille. Comment les Indiens
du Mexique fe procurent des récoltes de cochenille. Diverfes
récoltes qti oii eh fait chaque année. lbid. b. Pourquoi
& comment les Indiens font périr les cochenilles, dés qu’ils
les ôiit recueillies. Les différentes façons de les faire mourir
influent fur leur couleur. Deux fortes de cochenilles ; l’une
cultivée & l’autre fauvage. Provinces où l’on en recueille le
plus. Il en entre chaque année en Europe environ 88ooqo liv;
III. 5 66:4;
eccléfiaflique.
maniéré de d
France donne
par bulles du p