
2 4 2 C A S
parties, &c. Sa defcription. II. 740. b. Comment on la dreffe
pour travailler. Ibid. 741.
C ase ,ou Caffe, ( Orfév. ) defcription & ufage de cet inl-
trument. H. 741. a. 8
C a s e , ou Tridrac.Demi-cafe. Cafe du diable. H. 741. <*•
CASENEUVE, ( Pierre de) XVI. 452.*/.
CASENOVE, (Géogr. ) château en Guienne ou naquit
Charlotte-Rofe Caumont de la Force. Ses ouvrages. Suppl.
c IsERIE , ou C a r a v a n s e r a . Celle de Rama. IL
74CASERTE (Géogr.)petite ville épifcopale à cinq lieues
au nord de Naples. Magnifique château que le roi dEfpagne
a feit bâtir près de ce lieu. Origine du nom & de la ville de
Caferte. Ancien aqueduc des Romains, qui paffoit a-peu-
près dans le même canton pour aller à Capoue. Infcription
du nouvel aqueduc. Suppl. II. 257 .b. Démis fur cet ouvrage.
Réflexions fur la iepulture de plufieurs corps morts trouvés
à plus de quatre-vingt-dix pieds de profondeur, lorfqu’on
creufa pour fonder les piles du grand arc de l’aqueduc. Moufette
fortie de l’ouverture des aqueducs dans la montagne
de Santa-crocc. Efpace d’environ vingt pieds dans la montagne
de Garzano, où la pierre étoit encore dans un état
de mollefie qui indiquoit fa formation. Ibid. 258.a.
CASIA, ( Butan.) noms de cette plante en différentes
langues. Son caraftere générique. Defcription du cafia à fruit
rouge. Suppl. II. 258. a. Lieux où il croit naturellement. Maniéré
de le cultiver. Ibid. b.
CASILLEUX, ( Vitrier) défaut dans le verre. Caufe de
ce défeut. II. 741. b.
CASIMIR I. {Hiß. de Pologne ) Principaux événemens
de la vie & du regne de ce roi de Pologne. Suppl. II.
23$. b.
Casimir I I , furnommé le juße. Tableau de fon regne.
Suppl. II. 259.a.
C asimir III, furnommé le grand. Tableau' de fon regne.
Suppl. II. 259. b.
Casimir IV. Tableau de fon regne. Suppl. TI. 261.it.
Cafimir I , roi de Pologne : fon éle&ion. XII. 926. a.
Obfervations fur les régnés de Cafimir I , Cafimir 11, Cafimir
III. Ibid. 933. a. Cafimir IV. Suppl. IL 2. b. 620. b. 8c
Cafimir V. XII. 933. b. Suppl. ü . 474. b. 475. a , b.
CASIUS, remarques fur le mont Cafius en Egypte. XV.
206. b. Lac près de ce mont. 225. a.
CASLEU, neuvième mois de l’année feinte des Hébreux,
le troifieme fuivant l’ordre civil ; il répond à novembre.
Jeûne dufeptieme jour de caileu. Deuil & affliiVion du 15e.
Fête folemnelle du 25 , nommée encènies. Evénement mémorable
du trentième du même mois. H. 741. b.
CASMANN , obfervations fur les ouvrages philofophico-
théologiques de cet auteur. X. 742. a.
CASMINAR, caffummuniar, ou ryfagon , ( Botan. ) defcription
de cette racine des Indes orientales. Ses propriétés.
Celles de fa teinture. II. 741. b.
CASOAR, ( Omith.) oifeau des Indes. II. 741. b. Premiers
cafoars qui ont paru en Europe. Defcription de celui qui
fut envoyé à la ménagerie de Verfeilles. Ibid. 742. a.
Cafoar. Voyez vol. VI. des pl. Hifioire naturelle, pl. 30.
CASPIENNE, {mer) elle n’a point de communication vi-
fible avec les autres mers. La navigation y eft dangereufe.
Étendue de cette mer. Salure de fes eaux. II. 742. b.
Cafpienne, mer , obfervations fur cette mer. X. 365. b. Faufle
idée que les anciens en avoient. VIII. 419. a. Pourquoi elle
n’a point de marée fenfible. VL 906. a. XL 96. a. Evaporation
de fes eaux. VII. 88. b.
CASPIENS, ( Géogr. anc.) anciens peuples de Scythie.
Coutume barbare de ces peuples envers leurs parens. II.
742. b.
CASQUE, ( Art milit. ) étymologie du mot. Defcription
' du cafque. Ceux qui le portoient autrefois en France. Cafques
gravés fur les médailles anciennes. Le calque confidéré
comme appartenant au blafon. Ü. 743. a.
Cafque. Calques des Romains. I. 686. b. 687. a. X. 507. b.
Ornemens qu on mettoit aux cafques. XI. 657. <t, é. Crête
ou panache. Suppl. II. 651. b. Viftere du cafque. XVII. 343.
a. Treillis des cafques. XVI. 578. a. Cafques qui fe voient
fur les médailles. Ibid. 201. b. De l’ufage du cafque au lieu
des chapeaux. VIII. to. a. Cet ufage & celui des cuiraffes
n® fut introduit que peu-à-peu. parmi les François. I. 687.
b. Ornement de cafque d’un gentilhomme qui s’itoit trouvé
deux fois au tournoi folemnel. llï. 453. b. Efpece de cafque
appellé faladt. XIV. 532. a. Cafque tarré. Suppl. IV. 930. b.
Cafques repréfentés dans le volume L des planches, article
Armurier.Cafques d’armoiries , voyez la planch. 14. du blafon,
volume II.
C asque. ( Mythel.) Cafque de Pluton,qui rendoitinvi-
fible celui qui le portoit. II. 743. a.
C asqu e, ( Conchyl.) coquillage univaivc, efpccc de pourpre
tubcrculéê. Suppl. IL 262. a.
CAS C asque , (Blafon ) meuble d’armoirie qui défigne l'homme
de guerre. Suppl. II. 262. a.
Cafque, ornement fur l’écu. Cafques du roi, des princes,
ducs, marquis, 6*c. Etymologie du mot cafque. Suppl, IL
262. a.
CASSAIGNE, ( Jacques ) abbé : obfervations fur ce prédicateur.
XI. 149. a,
CASSANDRJÉ, (Myth. ) fille de Priam. Hifioire de cette
princeffe, félon la fable. Suppl. II. 262. b.
CASSANO, ( Géogr. ) ville du Milanez. Détails fur la
bataille qui fe donna près de ce lieu en 1705 , entre les
François commandés par M. de Vendôme, & les Alliés conduits
par le prince Eugene. Suppl. IL 262. b.
CASSARD , capitaine des vaifleaux du roi. Suppl. IV. 7. b.
CASSATION, {terme de Palais ) étymologie de ce mot.
Dans quels cas on peut fe pourvoir au confeil d’état & privé
en cafiation, contre un jugement d’une cour fouveraine.
Comment on le feit fignifier à fa partie. Tems où la requête
en cafiation doit être lignifiée. La voie de la cafiation ne
fufpend point l’exécution du premier jugement. Le demandeur
doit configner une amende de 450liv.II. 743. b.
CASSAVE, manihot : defcription des fleurs de ce genre
de plante. Manihot Indorum. Sa racine efi un poifon mortel,
& on parvient à en feire un pain très-efiimé. Comment on
fépare de la racine la partie nuifible. Prefle dont on fe fer'c
pour cet ufage. II. 743. b. Maniéré plus fimple. dont procèdent
les Sauvages. Comment on fait la ferme de manihoc.
Différence entre la caflave & cette ferine. Le fuc exprimé
comme poifon, n’eft cependant pas rejetté comme inutile.
Amidon qu’on en fait. On en fait aufli des gâteaux qui ref-
femblent beaucoup à nos échaudés. Ibid. 744. a.
Caffave, voyt{ Ma n io c. Plante d’où l’on tire le manioc ,
voyez Y u c a .
CÀSSE, ( Bot. Mat. médic. ) caraôeres de ce genre de
plante. Cafle folutive, II. 744. a. l’orientale & l’occidentale.
On préféré la première. Arbre qui la produit. Son nom ,
fa description, félon le P. Plumier. Tems où il fleurit. Bâtons
de cette cafle confits. Propriétés de la moelle mondée. Comment
on lui ôte la mauvaife qualité de donner des vapeurs.
Ibid. b. Comment fe feit l’extrait de cafle. Préparation ap-
pellée diacajfia cum mannâ. Extrait de cafle avec la feuille de
féné. Ufage à l’extérieur de la pulpe de cafle. ïbid. 745. a.
Cafle, produ&ion du canellier, Suppl. H. 430. ¿.En quoi
la cafle différé de l’abfus. Suppl. I. 74. a.
Caffe ,{Bot.) voye{ voL V. des planch. Hifioire naturelle,'
planch. 102.
Caffe du B refil. Arbre qui la porte; fon nom, fa deferip-
tion. II. 745. a. Voye^ T a p y r a -co a yn an a .
CaJfe en bois , caffia lïgncta officia. Ses rapports avec la ca-
nellc. IL 745. a. Arbre qui la porte. Ses ulages.Ibid.b.
Caffe giroflée, caffia caryophillata officin. Ses rapporté avec
la canelle. Defcription de l’arbre appellé caringa qui la produit.
Pays où il croît. Propriétés de cette écorce. II. 745. b.
C asse , ( Metallurg. ) uiverfes lignifications de ce mot. ü .
743; b.
C asse des rubaniers, elpece de peigne. Maniéré dont on
le feir. Son ufage. II. 745.
C asses bengales, forte de mouflelines, ou de toiles de
coton blanches. Leur largeur & longueur. II. 745. b.
CASSEAU, ( Imprimerie ) diminutif d’une caife. Efpece de
tiroir dont les cafletins font égaux, &c. Leur nombre. Ufage
du caffeau. II. 746. a.
C asseau, {Art de la dentelle) defcription de cet inftru-
ment. IL 746. a. ^ .
CASSEGRAIN. Télefcope propofé par M. Cafifegrain.
XVI. 4 s . * > b .
CASSEL. ( Hiß. mod. ) De là* bataille de Caflel en 1677.
Suppl. II. 804. b. Ibid. IV. 379. b.
CASSELBOHM,(/ . Frédéric)anatomifte. Suppl. I. 408. a.
CASSEMENT, ( Jardin. ) différence entre cafler & couper
le rameau. Obfervations fur cette opération & fon ufage.
XVII.761. <z.
CASSE-NOISETTE, ( Omith.)torchepot, grimpreau, &c.
Defcription de cet oifeau. II. 746. a. Comment il difpofe
fon nid. Sa nourriture. Manière dont il cafle les noifettes.
Ibid. b. Voyez GRIMPEREAU.
CASSE-NOIX, ( Omith. ) & PiOCHET, ainfi appellé parce
| qu’il mange des noix. Defcription de cet oifeau. il. 74^- b.
CASSER, infirmer, annulier. { Synon. ) VIII. 707. a.
C asser, rompre, brifer. {Synon. ) XTV. 354. b.
CASSERIUS, {Jules) anatomifte. Suppl. 1. 3 95* _
CASSERIUS. (mufcle de) Obfervations fur l’anatomifte qui
adonné fon nom à ce mufde, & fur.fes ouvrages. II. 747. a*.
Cafferius , mufcle de, ouvrages de Jules Cauenus, anatomifte.
Obfervations fur le prétendu mufcle qm porte fon
nom. Suppl. IL 26a. b. _ „ , . Tr
CASS1A , loi. I. 182. *. IX. 654- b. Voie caffiennc. XVIL
4I£a'sSIDE , ( Infeilol. ) ce nom donné par Idnnjeus 8c
CAS CAS 243
rUndrov à on genre d’infeite, appartenant déjà à une plante.
nenie qu’on doit reftituer à cet iufefle fon ancien
«m de TcuuHs. Caraâeres-de deux efpeces de ce genre
repréfentées vol. Vf. des pl. Hifioirt naturtlU pl. 77 , 78.
CWfification du callida ou feutahs. Suppl. II. 263. a.
CASSIDE, (Botan.) efpece de caffide appellé tertianatre.
XVI 186. a9 b.
CÀSSIEN, ( Jean ) hifioire & doftrine de ce fameux
folitaire.XIV.-945. b‘
CASSIEN , ( Saint ) évêque. Suppl\ IV. 190. b.
CASSIER, efpece de groièlier. Obfervations fur le nom
de caffier. II. 747-a- Defcription de cette plante. Contrées où
elle fe trouve. Elle a peu d’efficace en médecine ; quelle eft
fa principale vertu. Préparations qu’on en fait. Réputation
qu’on lui a donnée par la vertu qu’on lui a attribuée de
guérir l’hydropifie. D’autres en ont fait une panacée universelle.
On l’a vantée comme un fpécifique contre la rage, &c.
mais on n’a pas tardé à revenir de ces erreurs. Ibid. 748. a.
CASSIM-GHEURI, fête de S. Démétrius, ainfi appellée
chez les Turcs. Ce jour eft redouté par les matelots. II. 747. a.
CASSIN »partie du métier à étoffes de foie. Sa defcription.
Caffin volant. H. 747. a.
CASSIN, ( haufjede) VIII. 66. b.
CASSINE,.thé de la mer du fud. Cas quen font les
indiens. Ils accourent en un certain tems de l’année pour le
recueillir & en boire pendant deux ou trois jours en infu-
fion. II.'* 747. a. Effefs de ce remede. Récolte qu’ils emportent.
Ufage qu’on en feit à Lima, & contre les exhalaifons
des mines du Pérou. Comment on le prépare & on le boit.
Lieu où s’en fait le commerce. On en diftingue deux efpeces.
Quantité qu’on en tire annuellement. Ibid. b.
C assine , ( Botan. ) noms de cette plante en différentes
langues. Son caraâere générique. Defcriptign de deux efpeces
de ce genre. Maniere de les cultiver. Lieux où elles fe trouvent.
Suppl. Hi 263. a.
CASSINI, ( Jean-Dominique) fa patrie , fes travaux, & fes
découvertes en Aftronomie. 1.792. b. XI. 131. a. XII. 359. A
Son fentiment fur les cometes. Suppl. IIL 176. a. Ses obfervations
fur la lumiere zodiacale. IX. 722. b. &c. Méridien
qu’il traça dans l’églife de feinte Pétrone à Bologne. X. 384. b.
Suppl. I1Ì. 239. a.
C assini , ( Jacques ) fils du précédent. Son travail pour
la détermination de la grandeur d’un degré du méridien. IV.
762. b. Son ouvrage fur la grandeur & la figure de la terre.
Vl. 753. b. Ses élémens d’aftronomie. Suppl. 1. 664- a.
C assini de Thuiy, la méridienne de Paris vérifiée par cet
aftronome. Suppl. 1.66 e. a. Tables des MM. Caffini, relatives
à i’aftronomie oc à la géographie, voye^ T ables.
CASSINOIDE, ( Géom. ) obfervations fur cette courbe.
V. 518. b. HI. 884.
CASSIODORE, ( Hifi. du Bas-Empire ou des Golhs ) lieu
d’où la femille de ce nom étoit origmaire. — Le premier Caf-
fiodore qui figure dans l’hiftoire fe diftingua par fes talens
militaires, & lur-tout par le carnage des Vandales qui avoient
feit une irruption dans l’Abruzze & dans la Sicile. — Son fils
fut également propre à la guerre & aux affaires, & rendit
d’importans fervices à l’Empire, fous Valentinien III. Le fils
de celui-ci fut Magnus-Aurélius Cafliodore, qui gouverna
l'empire des Goth£ fous Théodoric, & qui marcha encore
avec plus de gloire dans le fentier que lui avoient tracé fes
Îeres. L’auteur de cet .article préfente les principaux traits de
1 vie de cet homme illuftre, & finit par l’éloge d’Héliodore,
Ïréfet du prétoire, qui appartenoit à la même femille. Suppl.
[. 263. a.
CASSIODORE, (Magnus-Aurélius) obfervations fur cet
homme de lettres. XV. 483. b. 484. a; Bibliothèque qu’il fonda.
H. 232. a.
CASSIOPÈE, ( Afiron. ) conftellation. Nouvelle étoile
apparue dans cette conftellation, en 1572. Divers écrits auxr
quels elle donna lieu. Nombre des étoiles de caffiopée. II.
747* b. ^
Caffiopée, comment on peut connoître cette conftellation.
Suppl. II. 567. a. Sur les nouvelles étoiles qui ont paru dans
caffiopée VI. 62. b. Suppl. II. 89 5. b.
CASSIQUE rouge t { Ornith.') voyeç vol. VI des planches,
Hifioire naturelle, pl. 34. Defcription de cet oifeau. Sa claffi-
ncation. Suppl. II. 265. a.
CASSIS, ( Mat. médic. ) efpece de grofelier. Ses vertus en
médecine. Suppl. II. 269. a, b.
CASSIUS-VISCELLINUS, ( Spurius ) loi qu’il propofa :
« mort. IX. 650. a. Sa maifon rafée. XIII. 814. a.
CASSIUS-LONGINUS, ( Caïus ) obfervations hiftoriques
lUr. cf fameux Romain qui confpira contre Çéfar. XII. 70.
dern xi][C ^rUtUS ^ ^'a^ us* 676. b. Mort de ce
c a s s o le ¥ I e , ( Archit.) efpece de vafes ifolés de peu
auteur, 6>c. A quels ufages on les emploie. II. 748. a.
des d SSP LETrE>.( Parfumeur) réchaud fur lequel on brûle
paitums ; petite boîte portative où on les renferme : compofition
des parfums eux-mêmes. Obfervatiori à faire en com-*
pofant ces parfums. II. 748. b.
CASSONADE, efpece de fucre. D’où lui vient ce nom*
II. 748. b.
Caffonade ,-il en. eft parié. XV. 614. a.
CASSORORARI, ( IchthyA petit poiflbn de mer. Mers
où il-fe pêche. On dit qu’il a deux prunelles à chaque mil.
H. 748. b.
CASTAGNETTES, inftrumens de pereuffion en ufage
chez les Maures, lesEfpagnols & les Bohémiens. Maniéré
de s’en fervir. A quel - ufage on les emploie. Comment on
note la tablature des caftagnettes. II. 748. b.
Caftagnettes des anciens nommées crotales. IV. 515. a. Voye{
vol. V des planches , article Lutherie.
C astagnettes, ( Hifi. ) dont fe fervent les Siamois,
Suppl. II. 649. b. dont fe fervoient les anciens. Ibid. 650. b.
CASTAGNEUX , ( Omith. ) oifeau aquatique qui marche
très-difficilement fur la terre. Sa defcription. Son vol. Maniéré
de le prendre. De quoi il fe nourrit dans la mer &
dans les rivieres. Comment il feit fon nid. Qualité de fa
chair. H. 749. a.
GASTALIE, ( Myth. ) fontaine qui coule au pied du Mont'
Taurus dans la Phocide. Ce que la feble noir» apprend fur
cette fontaine. Comment on peut expliquer le merveilleux
que les poètes nous en racontent. II. 749. a. Sur cette fontaine
, voyeç Parnasse.
Caftalie. Faute à corriger dans cet article de l’Encyclopédie.'
Suppl. II. 265. a.
GASTALÔGNE, ou cafielogne, ou Catalogne, ( Manuf. )
couverture de lit. Obfervation fur l’étymologie du nom qu’on
lui donne. Suppl. II. 265. a.
CASTANG , montagne de la Chine. VII. 198. a»
CASTE ou tribu chez les Indiens. Attachement des Indiens
des côtes de Coromandel & de Malabare à la cafte où ils
font nés. IX. 922 a. voye[ T ribu .
CASTEL, ( Géogr.) comté d’Allemagne, dans le cercle
de Franconie, fes bornes. Evêque dont il releve. Différentes
caufes qui ont contribué à l’affoiblir. Droits & privilèges
de fes comtes. Suppl. II. 265. a. Château de Caftel. Produit
du pays. Ibid. b.
C astel , ( Louis Bertrand) l’un des auteurs du Journal
de Trévoux. Suppl. III. 659. b.
C a stel, (Pierre) phynologifte. Suppl.IV. 361.b.
C astel , ( Charles Irenée ) abbé de faint Pierre : analyfe
de fon mémoire fur le mariage des prêtres. II. 805. b. Efpece
de travail qu’il voudrait permettre le dimanche. IV. 1007. b.
CASTELLANS , ( Hifi. mod. ) fénateurs Polonois. Leur
nombre. Leurs charges. Prééminence du caftellan de Cracovie.
II. 749. b. On divifeles caftellans en grands & en petits. Fonctions
& nombre des uns & des autres. Ibid. 750. a.
Caftellan : prérogatives de cette dignité polonoife. XII.
928. a.
CASTELLI, ( Valerio ) peintre de batailles. XII. 266. al
CASTELLO-ROSSO , ( Géogr. ) ifle de la Méditerranée
fur les côtes méridionales de l’Afie mineure. Son château*
Son port, &c. Suppl. H. 265. b.
CASTELLUM, ( Géogr.) énumération de fept villes
connues fous ce nom dans l’hiftoire ancienne. Suppl. IL
265. b.
CASTELNO-PEREGRINO, ( Géogr.) ville de la Paleftinè*
Son château & fon port. Suppl. H. 26 5. b.
CASTELVETRO , ( Louis de) fa patrie, fes ouvrages.
X. 600. b.
CASTEN-VOGTEY ou Avocatity ( Jurifpr. ) droit que
quelques feigneurs de l’empire peuvent exercer fur les mo-
nafteres ou chapitres fitués dans leur voifinage. Ce joug fecoué
par plufieurs couvens. Ancienneté de fon inftitution. Droit
naturel que le prince & l’état ont fui-les moines en tout pays.
II. 750. a.
CASTIGLIONE, ( Géogr. ) petite ville d’Italie, appartenant
à l’empereur. Son ancien château. Obfervations fur
Louis de Gonzague, né dans- ce château, & fur fon frere
cadet, François de Gonzague. Statue remarquable qu’on voit
fur la place de Caftiglione. Suppl. IL 265. b.
. C astiglione , ( BcnediÜi) peintre dans le genre paftoral.
. XII. 278. b. & graveur. VII. 867. a.
CASTILLAN, ( Comm. ) monnoie & poids d’Efpagne.
Suppl. ü. 266. a.
.CASTILLE. royaume de, (Hifi.d’Efpagne) De tous fes
royaumes Européens fournis à la couronne d’Ëfpagne, celui-
ci eft le plus confidérable. Caftille vieille & Caftille nouvelle.
Bornes de ce royaume. Origine de fon nom. Hiftoire
abrégée dq$ révolutions de ce pays. Suppl. IL 266. a.
C astille , (code de) III. 571.it.
i Caftille, jeu militaire françois : exemples de ces fortes de
jeux. XVII. 761. a.
CASTINE, ( Hif.nat.) pierre blanchâtre du genre des
calcaires. On en met dans les fourneaux où l’on fait
fondre la mine de fer. Quelle en eft la propriété. 11.750. b.