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de le démontrer par la méthode des indivisibles. VIII. 683.
a. Dé ve loppem ent d e la théo r ie de la réfiftance des fo lid e s
par d iverfes e xp érien ce s faites fu r u n cy lin d r e . XVI. 174- *yb.
C y lin d re , ( Pharmac. ) forme que l’on donne aux emplâtres.
IV. 393. a.
C y lin d r e , ( Blanchiff. de cire) IV. 593 .a.
Cylindre, compas à. III. 758. * , b. Voye{ vol. V des planches,
ameleMÉCHANlQUE.plandi.3.
C y lin d r e , échappement àt (Horlog.) V. 136. b. XIV.
140. n. Des frottemens dans ces echappemens. VII. 347. b.
Cylindre du moulin à papier. IV. 393 .b. Voyez PAPETERIE.
CYLINDRER, machine à, ( Manufail. en Joie) vol. XI.
des planch. Soierie, pl. I34&M 5- .
CYLINDRIQUE, miroir. X. 369. b. Pouce cylindrique.
XIII. 187. b. „ . . ‘
CYLINDROIDE, l°. folide qui approche de la figure
d’un cylindre, Oc. Etymologie du mot. z°. Solide formé par
la révolution d’une hyperbole autour de fon fécond axe.
Propriété du cylindroïde démontrée par M. Parent. IV. 593.
b. Voyez CONOIDE.
CYLlENIENS, monts. X. 682. a,b.
CYMAISE, ce qu’on entend par ce mot en architeâure.
CYMBALE, ( Lutherie) étymologie de ce mot. Infiniment
que les anciens appelloient de ce nom. Divers noms
qu’ils lui ont donnés. Diverfes fignifications qu’a eues parmi
eux le mot de cymbale. IV. 593. A. Defcription oc maniéré dont
on fe fervoitde cetinllrument. A qui l’on en a attribué l’invention.
Qui étoient ceux qui en jouoient. Les cymbales des
Juifs nous font inconnues. Defcription de la cymbale moderne.
Ibid. 394. a.
Cymbale des Hébreux. Suppl. IV.* 982. b.
Cymbale, jeu d’orgue. Elle eft compofée des oâaves de
defius des jeux dont les cornets font compofés , Oc. La
cymbale n’a proprement qu’une oâave , qui fe répété
autant de fois que le clavier en contient. Exemple qui en
fait voir la difpofition. IV. 393. b. Voye[ Jeux d’o rgu e .
CYNIQUE y feâe d'anciens philofophes. Origine du cy-
nifme & du ftoïcifme. Lieu prés d’Athènes appellé cyno-
farge : temple qui y fut bâti. Gymnafe établi aux environs
pour les étrangers & les enfans illégitimes. IV. 394. b. Divers
ufages de ce Heu, dans lequel aulli Antifthene , fondateur
IS<
de la feâe cynique, s’établit & donna fes premieres leçons.
Pourquoi fes difciples continuèrent d’être appellés cyniques.
Bizarrerie de leurs moeurs. Ils ne tardèrent pas de le répandre
dans toutes les provinces de la Grece. 11 n’y avoir que
la publicité qui pût pallier la licence apparente de leur phi-
loiophie. U lace qu'Antijlhene fit des préceptes du rhéteur
Gormas & de la doârine de Socrate. Appareil dans lequel il
>aroiffoit en public. Parole pleine de lens que lui adrefia
iocratc. Comment il pratiqua fa philofbphie. Son commerce
trop difficile ne lui permit pas de conlerver des difciples.
Ce qu’il exigeoit de ceux qui vouloient entrer dans fon
école. Ibid. 393. a. Pourquoi les cyniques étoient outrés dans
leurs préceptes. C’efi à tort que leurs détraâeurs les ont
accufes de vanité. Ils avoient éloigné les beaux arts, l’étude
des fcicnces & toute l’élégance des Athéniens pour ne fe
dévouer qu’à la vertu feule j & ce fut cet excès de mépris
des arts 8c de la décence qui fit tomber leur feâe en diferé-
dit. L’expofé qu’on trouve ici des principales maximes de la
morale d’Antifthene, peut faire voir l’injuftice de ce diferé-
dit univerfel. Ibid. b. Paroles de ce philofophe qui peuvent
fervir à faire connoltre fon caraâere, & qui montrent que
fa vertu étoit chagrine : quelle en étoit la caufe. ibid. 396. a.
Hiftoire & caraâere de Diogene , difciple d’Antifthene. Ibid. b.
Diogene ne forma aucun, fyftéme de morale , & s’en tint à
un petit nombre de principes fondamentaux. Expofé de ces
préceptes. Ibid. 397. a. Quelques-uns de fes bons mots.
Ibid. b. Jugement que Montaigne a porté de ce philofophe.
Cyniques qui ont eu quelque réputation après Diogene.
Xeniade, ônéficrite, Phocion, Stilpon de Megare, Monime
de Syracufe, Cratès de Thebes : comment il le vengea d’un
foufiet. Quelques traits de fa vie. Ibid. 398. a. Calomnie dont
on l’a chargé. Métrocle, Théombrote & Cléomene, Démé-
trius d’Alexandrie, Timarque de la même ville. Echecle
d’Ephefe, Menedeme le frénétique, Ctéfibius de Chalcis,
Ménippe, compatriote de Diogene : fon genre de vie : il fe
pendit de défelpoir d’avoir été volé : ainfi finit le cynifme
ancien. Renaiffance du cynifine quelques années avant J. C.
Cette philofophie dégradée par les nouveaux difciples. Enumération
de quelques-uns d’entr'eux. Ibid. b. Nous ne favons
que peu de chofe de Mufonius,de Démétrius, d’G&nomaüs,
«le Demonax, de Crefcence, de Pérégrin, deSallufte, le
Ibid1Cr 9 ** CyiU^ues’ Vexions fur la philofophie cynique.
Cynique, ia feâeides philofophes cyniques établie premie-
P K j i 5. .'1, M a n iu V ces pMofophcs.
t e & J l í . -'..i ,honnêtes rejenée par l es cymqudeess. IV. 884h.oÍ.n Xnê.t e7s6 1& bmalCynique
, fpafme, ( Médecine ) hiftoire de deux familles
C Y P
dans la province <TOxford, atteintes de cette forte de fpafme.
IV. 39a a. Caufe de cette maladie , félon Freind. Ibid b
Voyez D is to r s ion .
CŸNIRAS, (Hifl. anc. ) malédiâion qu’il prononça contre
fâ bru & fon petit-fils. Suppl. 1. 366. a.
CYNOCEPHALE , ( Zoolog. ) cfpcce de finges. IV *
599* b-
Cynocéphales , voyez fur cette forte de finges. XV. 208.
Cyn oc ép h a le , ( Mythol. ) animal fabuleux révéré des
Egyptiens. IV. 399. b. Prétendus hommes â tête de chieu.
Ibid. 600. a.
CYNOGLOSSE, ( Botan. ) propriétés médicinales de cette
racine. Pilules de cynogloffe. Syrop du fuc de cette plante.
Ses propriétés. Compofition des pilules,, félon la pharmacopée
de Paris. Quelle en eft la dofe. IV. 600. a. Voyeç Langu
e de chien.
CYNOPHONTIS , voye^ plus bas Cynophantïs, après
Cynofarge.
CYNOREXIE, voyei Faim canine.
CYNORRHODON , voye^ É g lan t ie r . Conferve de
cynorrhodon. IV. 43. a. V. 419. a.
CYNOSARGE, ( Mythol. ) nom d’Hercule , Oc. IV.
600. a.
Cynofarge. Obfervations fur cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. II. èéy.b.
Cynofarge, lieu près d’Athenes. IV. 394. b. Etabliflement
formé dans ce lieu. XI. 937. a.
CYNOSURE, ( AJlron.) la petite ourfe. Etymologie de
: mot. Etoiles s ------is— — n’-u •- m
moîtt ffeepptteennttrnioonn.. I
CYPERUS,g
ce qui compofent cette conftellation. Ètym. du
.IV. 600. b.
S , genre de plante, auquel plufieurs botaniftes
ont rapporté l’elpece connue fous le nom de papyrus. XI. 879.
a y b. Article fur cette plante, au mot Souchet.
CYPHI, ( Mat. méd.) parfum fortifiant. Trochifques appelles
de ce nom* par Mithridate , qui les fit entrer dans la
compofition du Mithridate. Leur compofition. Ufage qu’on
en fait aujourd’hui. IV. 600. b.
CYPHONISME, ( Htjl.anc. ) ancien tourment auquel les
premiers martyrs ont été fouvent expofés. En quoi il con-
fiftoit. Etym. du mot. Ce que quelques-uns ont écrit fur le
uSiptàr t dont le mot cyphomfme eft dérivé. Fragment d’une
ancienne loi qui fe trouve dans Suidas , où il eft parlé de ce
fupplice. IV. 600. b.
CYPRE , voye^ Chypre. Délices de cette ifle. XI. 846,
a. Cypre fe vantoit d’être la patrie d’Homere. XV. 243. a.
CYPRÈS , ( Botan. ) caraâere de ce genre de plante.
Lieux où il croit. Deux efpeces de cyprès, appellées l’une
cyprès femelle, l’autre cyprès mâle ; qualifications impropres
, Oc. Ces deux efpeces ne fe. reproduifent pas conftam-
ment les mêmes. On prétend qu’en femant la graine dé
l’une ou de l’autre, il en vient des deux fortes. IV. 601. a.
Defcription de ces deux efpeces. Ufages qu’on peut faire
dans les jardins du cyprès pyramidal. Faufile opinion qu'on '
en a conçue. Terrein qui convient à ces arbres. De la maniéré
de les multiplier & de les cultiver. Attentions qu’il
faut avoir en les tranfplantant & en les taillant. Ibid. b. Ac-
croiflement de ces arbres. On ne peut les multiplier pour
le profit dans nos contrées, parce que les grands froids les
font périr. De leur feuilles & de leur verdure. A quel âgé
ils donnent du fruit. Tems de leur maturité. En quel tems
on doit tirer la graine des pommes pour la femer. Qualités
du bois de cyprès. Ibid. 602. On aflurc que des portes de
l’ancienne égiife de S. Pierre de Rome, faites de ce bois,
ont duré onze cens ans. C’eft fans fondement qu’on a écrit
que les fourmis s’attachoient à cet arbre. On afilure qu’il purifie
l’air. Trois autres efpeces de cyprès.
Le cyprès de Portugal. Obfervations fiir cet arbre. Le
cyprès de Virginie. Sa defcription , tirée dé Catesby. Ibid. b.
Qualité & ufage de fon bois. Cet arbre eft aquatique, recherché
des oifeaux, fur-tout du perroquet, qui y fait fon nid. De
la maniéré de le multiplier. Vigueur de cet arbre. Efiais de
l’auteur pour conferver les jeunes plants.
Le cyprès d’Amérique, ou le cedre blanc. Lieux 011 il fe
trouve. Sa defcription. Ibid. 603. a. Sa cultive. Ibid. b.
Cyprès. Caraâere générique de cet arbre. Suppl. IL 667• b.
Enumération de fes efpeces. Ibid. 668. a. Pourquoi les arbres
toujours verds, font depuis long-temsen difcrédlt en’France.
Qualités & mérite de ces arbres qui doivent engager à les
cultiver. Defcription , culture, qualités-fkufagesdes différentes
efpeces de cyprès. Contrées & climats dont ces arbres
font originaires. Ibid. b.
Cyprès. Celui qu’on appelle petit cyprès. VIL 31 x. A
CY Cyprès PRÈS , (Mat.méd.)méd.) propriétés médicinales des
fruits
du „u cyprès. Maladies dans lesquelles on les emploie. Maniéré Maniéré
de . t les - * adminiftrer «* . '.M en remede.« * % Noms T . que Ia leur ..m donnent les
IAC
pharmacologiftes. Compofitions pharmaccuuqqgs, ou ce fruit
entre.IV. 603. b. . . . , ,
Cyprès , ( Mythol. ) fymbole de la triftefle. IV.
C Y R
■ Cyprès , on le mettoit autour du bûcher dans les funérailles.
CYPiUÂN, ( Abraham) anatomifte. Suppl. 1. 404. a.
CYPRIEN, (Saint) éditions de fes oeuvres. Ses erreurs.
Obfervations fur fon ftyle. XII. 3|®%Sa, doârine fur le
baptême dés hérétiques. XIII. 839. b Ufage (Ju il fiufoitdu
fort. XV. 380. b. Il perfeâionna la tachygraphie de Séneque.
^CYPRUS, ( Botan. ) le cyprus des anciens eft l’alcana des
modernes. Suppl. I.237. b. _ o
CYPSELIDES. Du coffre des cypfélides. V. 891. b.
CYPSELUS, ( Hift.anc. ) citoyen de Corinthe, fe ménagea
, avec tant de dextérité , l’affeâion du peuple , qu’il fut
revêtu du pouvoir fuprême, fans employer la rufe & la violence.
Il la fit enfuite pafler à fon fils Périandre. Diverfes
révolutions qu’éprouva le gouvernement de Corinthe. Suppl.
H. 672. b. H M . ..
CYRBES ou Axones , (Hifl. anc.) noms donnés aux loix
de Solon. Lieux où l’on en gardoit l’originaL Maniéré dont
elles étoient écrites. IV. 603. b. h M H H
CYRENAIQUE, feitc, ( Hiil. de la Philofophie ) diverfes
feâes oppofées, qui naquirent de l’école de Socrate. Ongme
& fondation de la feâe cyrénaïque. Caraâere de la philofophie
d’Ariftipe fon fondateur. Soupçons qu on répandit fur
fes moeurs. Son commerce avec la courtifanne Lais. Son féjour
à la cour de Denys. IV. 604. n. Ariitipeaccufé d’avoir manqué
à Socrate, à Diogene , à Platon. Sageffe de fa conduite auprès
de Denys. Il cultiva particulièrement la morale, & faifoit
cas des mathématiques. Il eftima finguliérement la dialeâi-
que. Ses principes philofophiques. Ibid. b. Suite de ion hiftoire.
Ses difciples. Hégefias, furnommé le Pifithanate. En quoi
fa doârine différoit de celle d’Ariftipe. Anniceris : fa doârine.
Théodore l’athée , principaux événemens de fa vie.
Ibid. 603. a. Principes qu’on lui attribue. Evemere le cyrénaïque.
Bion le berifthenite : diverfes feâes auxquelles il a
participé. Son caraâere. Calomnies dont il fut 1 objet. La
feâe cyrénaïque ne dura pas long-tems. Quelle en eft la
raifon. Ibid. b. , „ . . . . . . .
C y r é n a ï q u e , ( Géogr.anc.) contrée d Afrique, qui fut
auffi nommée Pentapole à caufe de fes cinq principales villes.
Rocher merveilleux dans cette contrée , félon Pomponius
Mêla. Suppl. II. 672. b. Obfervation fur la fécondité & les
produâions de ce pays, félon le rapport «THérodote. Ibid.
C y r é n a ï q u e , Pentapole, ( Géogr. ) XII. 313.«* Partie de
la Lybie. Suppl. III. 816. b.
CYRENE, (Géogr.) ville d’Afrique, capitale de la Cyrénaïque.
Son origine. Ses révolutions. Noms arabes de cette
ville. Juifs & chrétiens de Cyrene. Nombre des villes & villages
qui étoient dans fes environs. Philofophes dont elle fut la
patrie. Réponfe de Platon aux Cyrénéens qui lui avoient
envoyé demander des loix. Suppl. H. 673.
Cyrene. ville de Lybie; Suppl.VLl.Si6.b. Veftiges de lan-
cienne Cyrene. VIII. 477. b. Monnoies de cette ville dans le
cabinet du roi. X. 233. b. Ses habitans facrifioient au dieu
chaffe-mouche. 1.97.«». Suppl. I. 866. a. •;
CYRIADE, (Hift. de lempir. Rom.) premier des trente
Erans qui envahirent l’empire fous le regne de Valérien & de
allien. Principaux événemens de fa vie. Suppl. U. 673. a.
CYRICENÉS, ( Hifl. anc. ) falles de feftin chez les anciens
Grecs. D’où elles tirèrent leur nom. IV. 606. a.
Cyricenes, fautes à corriger dans cet article de lEncyclo-
C Z I 457
CYRL
de leurs ouvrai
deux patriarches de ce nom : examen
pédie. Suppl. II. 673. b.
""■’"'LLE, (Sa '
ouvrages. Xii. 342. u.
CYROPÉD1E, quels font les Indiens dont il eft parlé dans
cet ouvrage. VIII. 661. a. . , ..
CYRUS le grandt (Hifl. anc.) Obfervations fur fon hiftoire.
VIII. 222. a. Le nom de meflie donné à ce roi. X. 402.
a. Comment il vainquit les Saces. I. 397. a. XIV. 472. à. Sa
viâoire de Thymbrée. XVI. 309. *. Traitement qu il fit à
Créfus. XIV. 634.b. Poftes qu’il établit dans fon empire. IV.
391. b. XIU. 170. b. Son goût pour la chaffe. XVI. 9*7* **•
Ç y ru s , (Hiß. anc.) fils de Darius. Hiftoire de la vie de
idc prince, & de fa révolte contre fon frere Artaxdrxès. Suppli
II. 673. b.
C y ru s. Sa révolte contre fon frere. Suppl. L «00 a
CYSIQUE , fociété des Phileteres à Cyf1que.xil. 304. H
Prytanes & prytanée de cette ville. Xlll. 336. a. 337. ^
Fêtes qu’on y célébroit en l’honneur de Neptune. Xv. 9414
a. 944. b.
CYST-HEPATIQUE, conduit, ( Anatom. ) auteurs qui en
ont parlé les premiers. D n’a pas encore été découvert dans
l’homme. IV. 6o6.<r. J'ôyrçHÉPATiCYSTiQUE.
CYSTIQUE, ( Anatom. ) arteres & veines cyftiques. Re-;
medes cyftiques. Canal cyftique. IV. 606. a.
Cyjlique , conduit, III. 844. a. Suppl. I. 893. b. Suppl. III.
78. b. 80. a. Bile cyftique, voyeç B ile O Fie l.
CYTALES , laconiques , I. 297. a. III. 334. a.W. 666. b.
XIV. 847. b.
CYTHARE, à fept cordes des anciens. VIII. 138. a , b:
Cythares appellées phorminge, Suppl. IV. 343. a. pythique 8c
dadylique. 33 6. b.
CYTHERÉE, faute à corriger dans cet article de l’Ency4
ipédie. Suppl. II. 674. a.
CYTISE, ( Botan. ) caraâere
de ce genre de plante. IV.1
606.
Cytise-Genet , ( Botan. ) variétés de fes efpeces. On
n’en voit aucun dans les pays du Nord. Les uns cependant
réfiftent aux plus grands froids ; les autres ont befoin do
l’orangerie en hiver , Oc. Variétés dans la couleur des fleurs;
Peu d utilité de ces arbrifTeaux.
Le plus beau & le plus utile eft le faux ébenier ou cytife
des Alpes. Diverfes obfervations fur cet arbre. Variétés dans
les cyrifes des Alpes. IV. 606. b. Le cytife des jardins défignê
fous la phrafe de cytife à feuilles luTes arrondies , dont le
pédicule eft très-court. Diverfes obfervations-fur cette plante;
Le cytife verd foncé. Sa defcription & fa culture. Le cytife
Velu. Le cytife rampant. Ce font là les efpeces de cytife les
plus robultes 8c les plus intéreflantes. Autres efpeces. Le
cytife des Canaries. Le cytife épineux. Ibid. 607. a. Le cytife
de Montpellier. Le cytife à feuilles blanchâtres & à gonfles
longues. Cytife velu à fleurs jaunes pourprées ; cytife verd ;
cytife de Portugal ; cytife à feuilles argentées ; cytife du
Levant, à grandes feuilles blanchâtres en-defibus. Cytife d’Afrique
, d’Amérique, à fruit blanc. Cytife-indigo ; cytife à
feuilles ovales ; cytife de Sibérie. Ibid. b.
Cytife. Noms de cette plante en différentes langues. Son
caraâere générique. Énumération de feize efpeces renfermées
dans ce genre. Leur defcription, culture, qualités & ufages;
Lieux où elles croiffent. Suppl. II. 674. a.
Cytife. Différentes efpeces. Celle qu’on nomme labumum:
XL 149. a. Genet-cytife. VIL 577. b. Cytifes du Japon,
dits jedogawa-tfutfufi, VHL 307. b. 8ctO‘ ken ou fatfuki. AVI,
386. b.
Cytise , ( Mat. méd.) propriété qu’on attribue à fes feuille^’
IV. 608. a.
CYZICENES, (Hifl. anc. ) voye^ Cyricenes,
C Z
CZAR , (Hifl.mod.) on prononce dans le pays War. 011
Mtar. Etym. du mot cçar. Premier prince qui a pris ce titre;
Nom que ces princes portoient auparavant. Comment le titre
d’empereur leur fût accordé par la cour de Vienne. IV,
608. a. .
C[ar. Obfervations fur ce titre. XTV. 443. b. Etymologie
de ce mot. Premier prince qui prit le titre de tçar 8c de
powelitel. Ce titre changé par Pierre I , en celui d’empereur.
XVI. 729. a y b. L’empereur de Conftantinople lui conféra
le titre de grand-maître de fa maifon , on dapifert comme
une marque de faveur. IV. 631. a. Mariages des anciens
czars. XTV. 444. b. Ce prince eft le feul cabaretier de fes
états. Revenus que lui procurent les cabarets. II. 473. b.
Dime qu’il leve fur fes fujets. IV. 1090. a , b. Gardes-du-
corps du czar. Suppl. III. 186. b. Ses armes , planch. 13 du
blalon, vol. II.
CZIRNITZ, ( Géogr. ) lac de ce nom, voye^ Cirknitz^