
7 4 G R Ò
_ ( Chvm. Plutrin. M.it. mèdic. ) exaftïcn
I *J ¿c f'ruit. Gelée qu’on obtient du fuc
| | f^ f c i ll c . Le firop de groicillc eft une préparation im-
to ib U s Îi du moins on à fer t de fuc récent. On peut cm- C VJ de d o a g ro fc iU c à f;,turcr les alkalls « r rc .,« .k au
S i : » É g rofeilk : VII. 9 ,4. f <*> & É M M
l l i & i r l elles conviennent. Tc.np-ramens qu. do.vcnt
s S S d é t o u de grofcillc. Obfcrvations qu, montrent
que l'iifng.: trop continué îles grofcillcs peut être dangereu .
c l & E I L L E R - É P m U X , ( S o tm . ) defeription de cet
arbriffeau. Dbmt«fpeccs.de ce genre de plantes, I une fau vage
& l'attire c u l t iv é e . Caraflcrcs de la plante Ses noms boum-
«nés, Defeription de tontes les parties du grofeilrer-Manc-
épineux, de fa fleur & de l ’on fruit. V I I . 954-.f- Lieux ou il
croit. Ufagc que l’on fait des fruit* du grofeillcr-épincux,
foit fativage, foit cultivé. Leurs qualités. Il s’en confomme
une grande quantité en Hollande 6c en Angleterre, vtdrt®
t\: ce fruit pour tempérer l’acrimonie muriatique 6c alkaluw
de la nourriture angloife. Ce fruit dans (a maturité méprit«
en France. On en ufe peu en médecine. Comment les An-
glois font du vin des fruits mûrs du grofeillcr-cjuncux. Neuf
cfpeccs de grofeillcr-épincux cultivées en Angleterre. D el-
cription de celui d’Amérique. Ibid. 955. a. t e s botamftes
qui ont nommé le grofeiller-épineux uva cnfp a fimp.ici
acino, l'ont fort bien defigné. Ibid. b\
GaosmLER-ÉPiNEUX, ( Jardin. ) comment on le place
dans un jardin. Obfcrvations fur la culture. Manière de le
planter. Culture que lui donnent les jardiniers anglois. V IL
GrojeilUr, noms de cette plante en différentes langues.
Caraétcre générique du grofeiller-epineux. Enumération de
les efpcces au nombre de cinq. Suppl. III 267* é. Leur defeription
, culture , qualités 8c ufages. Ibid. 268. a.
G k o s e i lle r ou grofciller à grappes , ( B o t an. ) fes noms
anglois 8c latin. Caraaeres de cet arbriffeau. O n en compte
.plufleurs efpeccs. Defeription de la plus commune, nbes
vulgaris acidus , ruber. VII. 05«. b. Lieux où croît cet arbriffeau.
Tejns de fa fleur 8c de Ion fruit. Ibid. 956. a. £
G r o s e j l le r , ribes, ( Agric. Jardin.) il réuflit mieux de
bouture que de plant. Manière de le multiplier. Obferva-
tions fur fa culture. Lieux où il convient de le planter.
Différentes maniérés dont on fait difpofer les grofeillers
en Hollande. Manière de les mettre en buiffonavec profit.
Maniéré de les planter en alignement par rangées. C e u x •
qu’on plante contre des murs font plus précoces qu’en
plein-vent. Diftancc en cfpaliers. Bonne maniéré de tailler
les grofeillers. V II. 956. a. Comment on peut leur faire donner
des fruits jufqu’aU tems des gelées. Soins qu’on doit prendre
pour les préferver des fourmis. Ibid. b.
Grofeiller fans épine , à f r u i t en grappe. Son caraétcre générique.
Enumération de les efpeccs au nombre de cinq, 8c
des variétés de l’une d’cntr’cllcs. Lieux d’où elles font originaires.
Leur defeription, culture, qualités 8c ufages.Suppl.
m 268 .b.
Grofciller. Elpccc de grofeillc nommée cajjter. II. 747. b.
G ROS SE , U u r ifp r .) expédition d’un aétc public. Pourquoi
cette expédition c il appelléc grojfe. Dans un ordre ,
■il faut rapporter la première groffe de l’obligation dont on
demande le paiement. Si la première eft p e rd u e , on en
peut faire lever une féconde. Dans quelques pays on ne
connoît point de forme particulière pour les .grofles des contrats
8c icntences. V I I . 9 ,6 . é. _____
Grojfe, en fait de contrat. IV . 123. ¿.Différence entre 1 expédition
8c la groffe. V I . 290. a.
G r o s s e , CComm.') compte de douze douzaines. Marchan-
difés que les marchands groffers manufaéhirlers 8c ouvriers
vendent h la groffe. V II. 9<6. b.
G r o s s e - a v a n t u r e , ( Jurifpr. ) prêt d’une fomme d’ar-
;ent ii gros intérêt. V II. 936. b. Ces contrats font admis en
? rance. Pourquoi ils ne font pas regardés comme ufuraires.
Des formalités de ces contrats. D iv crfcs règles fur leur
objet dans le commerce maritime. Loix à confulter. Ibid.
W È «• '
G r o s s e - t ê t e , ( Robert) l’un des plus grands théologiens
8c philofophcsdu treizième flecle. X V . 636. b.
GROSSESSE. ( Eco nom. anim. M édec.) Il fuffit pour caraété-
tifer la groffeffe, que ce qui eft engendré prenne accroiflc-
ment ou foit prétuiné pouvoir le prendre. L’état où les
germes reftent enfermes, fc nourriffcnt 8c croiffent dans
le fein des femelles de tous les animaux vivipare s, a beaucoup
de rapport avec l’incubation des ovipares. 11 ne s’agit
de traiter dans cet article que des généralités de la groffeffe
8c de ce qui y eft relatif ; fa voir , des figues qui l’annoncen
t, de fa durée, des caufcs qui en déterminent les différons
termes naturels 8c contre-nature ; 8c enfuite du régime
qu’il convient d’obfcrvcr pendant la groffeffe , des maladies
qui dépendent de cet état, 8c de la cure dont elles font
fufceptiblcs. VII. 9Ç7. b.
f
G R O
G rossesse , '( Phyjlolog. ) du rérreciffemcnt par lequel
on prétend que 1 utérus retient la liqueur fécondante. Cette
conftri&ion eft démontrée par fes e f fe ts , dans Fhydropifie
de Y utérus , 8c lorfque l’air môme a été retenu dans la matrice.
Mais e llep cu t être Amplement l’ouvrage d’unfpafme
ou de la mucofité plus abondante qui . . - - ^ ^ q ï u oocccciuipueerrooiitt Îlec ccpall
de 1 utérus. I l y a plus; bien loin d acquérir de la fermeté
cet orifice fc relâche continuellement dans la femme qui
vient de concevoir. Suppl. III. 269. b, Obfcrvations que
l’auteur a faites de jour en jour pendant quatre mois des
changcmcns de l’orifice de la matrice depuis le moment de
la conception. Etat du col de l'utérus 8c du corps entier de
ce vifc crc au tems de l’accouchement. Caufcs des incommodités
de la groffeffe avancée. Des premiers dérangemens
de fanté qui luivent la conception. Ibid. 270. a. Exemples
de la poflibilité des fûpcrfétations. Ibid. b.
Dne.'.s frg.—n e.s. dJe. l1a. g—ro- j'frne jrfre . Qu el'quc s auteurs ont indiqn6
deux Agnes pour reconnoitre ft unc femme a concu. Le
nremier <*ft III, ft if. (T* mnnf nil! I»*!..» — ■— •
ippocrate , Galien 8c quelques autres
donnent de ces fymptômes. Obfcrvations qui montrent
que ces Agnes font tout au moins très-équivoques. V II.
958. a. M. de Buffon cite un fait qui prouve que l'orifice
de la matrice ne fe ferme pas immédiatement après la conception
, ou que s’il fe fe rm e , la liqueur féminale du mâle
n i laiffe pas île pouvoir entrer dans la matrice , en pénétrant
à travers le tiflu de ce vifcerc. C e fait prouve aù ff que
la conception de deux ou plufleurs jumeaux ne fe fait pas
toujours en même tems. Divers autres fymptômes équivoques
de g ro ffeffe, auxquels on prétend communément la
rcconnoîrrc dans les premiers >mois. Signe qui doit fcul être
regardé comme certain. Ibid. b. Caufc la plus vraifemblab!
c des incommodités qu’éprouvent la plupart des femmes
dans les commèncemcns de leur groffeffe. Sur ces incommodités,
v o y c [É q u il ib r e , ( Econ.anim. ) E n v ie , M aj.a -
c i e , O p i l a t io n , M enstrues. Q u e l eft le terme de leur
v ie durant lequel les femmes font en état de concevoir. Il
arrive quelquefois que la conception devance le tems de
la première éruption des réglés. Il y a des femmes qui, fans
■ être fujettes à cet écoulement, ne laiffent pas d’être fécondes.
On fait auftl que la ccffation des règles ne met pas
toutes les femmes hors d’état de concevoir. Différentes du
rées de la grojfejfe. Ibid. 959. a. Obfcrvation qui paroît donner
moyen de réduire la durée de la groffeffe à un terme
fixe dans telle ou telle groffeffe particulière. On croit communément
que les enfans quinaiflenrà huit mois, ne peuven
t pas v iv r e ; & c . Cette opinion paroit n'être qu’un paradoxe
; peut-être mémo unc exatte obfervation démontre*
roit-cllc que ce n’eft qu’une erreur. Cependant cette opinion
que les enfans qui naiffent à huit mois périflent plutôt
que ceux de fe p t , eft fondée fur 1 autorité d Ariftotc.
En général,les limites de la groffeffe font renfermées dans
l’efpacc de trois mo is , depuis le fcpticmc jufqu’au dixième.
Différences obfervées dans les enfans même, relativement
à b durée des groffeffes. Ibid. b. Les foetus des animaux n’ont
qu’un terme pour naître. Il paroît que les, femelles des
plus gros animaux , qui ne produifent qu’un petit nombre
de fo e tu s , font conftaminent celles qui portent le plus
long-tcms. L’accouchement dans ces différens animaux eu
fans hémorrhagic. Caufcs des variétés dans les termes de là
groffeffe, de Fexclufion du foetus 6c des douleurs de 1 enfantement.
Caufc de la ccffation des réglés dans la groffefle.
Comment il arrive qu’il paroiffe du fang depuis ce terme
S’il en coule en grande quantité, l’avortement fuivra. Ibtd.
060. a. Effet de la première fupprcflîon des règles dan*
Fétat de groffeffe. Pourquoi les conceptions réuffiflent m ieu x,
immédiatement après les rég lés , (lue lorfqu elles fe ^ n tp e t j
avant l’arrivée de l’écoulement périodique. Les avortemem*
caufés par la féconde période font moins fréquens | g g
ceux qui font caufés par la première. Les faufles couches
font plus rares dans le milieu de la groffeffe qu a|fi commen-,
cernent & I la fin. Ib id .b . Si dans Te tems de la hi. t.cme
révolution périodique, l’enfant ne vcnoit au monde que
par un e f f c id c la foiblcffc de la matrice, qm n’auroit pu
réfifter au coup du fang , l’accouchement fcroit regardé
comme une fauffe cou che , & l’enfant ne v .v ro irp a s : mais
CCS cas font rares. Caufe des différentes durées de ^offe ffe.
D eu x caufcs de l’accouclicmcnt ; la
du fang menftrucl, & l’aRion propre du
qui montre que 1 e fa tu s humain fait plus d e ff ( -
tres pour forlir « prifon , & que la
ne fe prête pas Suffi naturellement au palfage du f > L
celle Ses animaux. ¡U d . 06«. S W M M B Ê .
G R O G R O 87s
Vnorltagnes, 'ou dans. des lieux trop expofés au vent du
nord. Effet, des odeurs 6c des vapeurs de charbon fur les
femmes enceintes. Des règles auxquelles il conviendroit
qu’elles s’affujettiffent dans la manière de fe nourrir. O b servations
fur les dégoûts 6c les fantaifies dans le manger,
auxquels eues elles îont.^font iujcitos.ujques. ivia,Ibid. yua.962. a.«. D e *•*la uvmuboiffon « um
des
IIàw.ih. ' oa . n'/.A n . in r i t s n lnm o n . rlnnt
femmes grolfes. D e l’exercice : c’cft principalement dans
les premiers tems de la grofl'effi:, que l'exercice pouvant
être facilement nu ifib le, eft prefqu’abfolnmcnt interdit.
JUJ. h. Q u elle doit être la naturc.de l’exercice auquel une
femme peut fc livrer durant fa grofleflc. A u x approches
de l’accouchement, le repos, eft plus neceflaire que dans
aucun autre tems. D i s différent to u s de fn nU dans le [quels
peut j e trouver la femme. Il en eft peu oh le fommeil paroilfe
lui convenir autant que pendant la grolfclfe. Mais le fom-
meil doit être proportionné a fes forces fie à 1 exercice
qu’elle fait. Les femmes enceintes doivent éviter tout ce
qui peut fouetter le fang &. faire reparoître l’évacuation
périodique, comme étant alors contre,-nature. Comment on
peut remédier aux inconvéniens qui réfultent de la fup-
preffion naturelle des mcnftrucs, & é ceux qui viennent
de la conftipation. Ibid. 963. a. D e tous les états de la
v i e , il n’en eft point dans lequel la fenfibilité d e là femme
foit plus marquée 8c plus nuifible que dans la grofleiTc.
Maux que peuvent caufcr nu foetus les paffions de la mcrc.
O n peut juger des mauvais effets des paffions dans les
femmes eroffos, par ceux qu’elles produifent pendant 1 é-
vacuation mcnftrcielle. Ibid. b. Précautions que chacun doit
prendre pour ne point exciter les paffions dans les femmes
enceintes. Attentions qu’elles-mêmes doivent avoir a cet
êeard. Obfcrvations fur le mal qu’elles peuvent cauler a
leur enfant par l’ufage des corps dans leur habillement, de
même que de tout ce qu’elle» emploient pour empechcr c
ventre de groffir en avant 8c de leur gâter la taille. Maux
qui peuvent en réfulter pour elles-mêmes. Ibid. 964. a.
Ou v rag e à confulter fur ce fuiet. Ibtd. b.
Groffeffe. Etat de la matrice dans la groffeffe. I. 81. b.X jVII.
G. r irM* /~ L “ •I "t iwt “o / .l *.1 ? vI. Wil/i“m“ .k? ■ J . >flo hes d,e eroumc lnl<c . tIil
M b. Suppl. HI. 864. I 8d7 - l>. D e s /¡¡¡nés de r f f c l
cÀ difficile qu’une femme doute de fa groffeffe. Suppl. III.
r o i b. D e la ccffation des réglés dans cet état. 898. a. 900.
iP o u r q u o i les apparences de groffeffe ne fent pas toujours
en proportion de la grandeur du /«««• ! - 8‘ - “
lore ement des mammelles dans cet état. V . 876. b. Suppl.
f 187. b. Suppl. i v . 840. a. Durant la groffeffe, la dou-
k u r la S 8c la dureté des mammelles doivent aug-
mi*nier le foir X. 4. n. Caufes qui augmentent la forma-
,To,l du lait l u s la groffeffe. Suppl. IV . 840. a i . Parties
vers lefquellcs il fe porte alors en plus grande abondance.
Su o ul II 699- a. Le lait dans une femme n eft point une
b u p p t .l t 99 Différence entre l’enflure de la
f f i e Æ k de l’hydropilie. V U I L ’hydropife
de la matrice eft le cas le plus difficile a diftmguer de la
croffeffe. Ibid. P h é n o n p e s fvmpathiques qui ^ Sm p a g n ra t
f» E état X V . 7 1 . 1 D u terme de la groffeffe. Suppl.
I. l i t™ , iw . à , b. 5 es groffeffes de once mois. Suppl. IV .
5 Î ? in o s s ts s s rtenes de , ( Médec. lig u le ) il n’eft aucun f.gnc
G rossesse > . Ycxiftcnce d a feetus dans la matncc.
Invariable qui à . g annonce a u x femmes Finftant
E fpcc c de treffiulle q Signes fubl'équens qui
1 1 conception ^ ^ J v e n t M eVpece 'dc
concrétions 8c les épan cur jfes indique ¡cl Art avec
trice d avec la groffeffe, 1 ^ ç paffer pour enceintes,
leque l certames fcmX V r o S qu’on avoit toujours regar-
ont imité les fignes de gro q ^ ^ ^ &
stü* «WSÊ M o y en de “ n“ X n de l’orilice de la matrice,
du nombril. D ç la çcomiricu . * ÿ i ÿ , Com-
Elle peur dépendre de jjl ifi a ê p en /d e la grofrnent
on peut s affurcr l , le retterr 1 ,es va.
feffe. Incertitudes que “ “ "A u tre maniéré d’exariétés
de conformarions de accouchellr , mais
men qu cmployoït M. r i » certains cas. La connoif-
■qui peut auftl être ¿quivoqi profleflcs antérieures
?ance des
H ® OE Ü parvenues au troificme ou quatrîemc
mois éprouvoient des pertes habituelles & très-con-
fidérablcs. Ibid. b. Obfervations faites de la matrice d’une
fille d’environ vingt ans qu’on difoit morte d’ulie fuppref-
fion de ré g lé s , 8c dans laquelle on trouva un foetus très-
bien formé. C e f t par la variété do conformation, qu’il faut
expliquer pourquoi l’on a peine à découvrir des lignes fen-
fibles de groftefte dans certaines femmes vers le quatrième ou
cinquième m o is, 6c même au-dclb. Comment on peutdiftin-
guer l’cnflurc du ventre qui vient de la fupprcflîon des règ les,
celle qui vient de la tympanite, 6c des lquirrhcs de F utérus.
Ibid. 273. a. Enumération de divers figues équivoques de
groftefte. Maladies avec lefquellcs la grofîclfe peut être
compliquée , 6 i qui contribuent encore à Ta rendre douteufe.
Facilité à décider celle d’itne femme qui nourrit. Ibid. b.
GROSSESSE , ( maladies dépendantes de la ) la plupart des
léftons de fondions que les femmes éprouvent dans les
commencomens de la g ro fleflc, ne doivent être artribuées
qu’à la fuppreflion du flux menftruel. Les indifpofitions qui
lurviennent dans des tems plus avancés, procèdent du v o lume
6c de la mafle du foetus 6c de fes dépendances. Maladies
de la grofleflc commençante. On réuflit ordinairement
à y remédier par la faignéc. V II. 964. a. Précautions avec
lesquelles on doit recourir à ce moyen. Autres reflources
qu’on doit employer avant d’en venir à la faignée^ Obfervations
fur l’ufage des purgatifs 8c des vomitifs. Attention
à faire fu r l’ufagc des narcotiques. Ibid. 065. a. On ne doit
s’obftiner à combattre aucun des fymptômes des maladies
dépendantes de la g rofleflc, qu’en tant que les forces ne fuffi-
fent pas pour les foutenir. Douleurs de reins qui peuvent
être occafionnécs par des calculs contenus dans les voies
urinaires ; de Fufage des bains dans ce cas. Maladies qui
furviennent aux femmes enceintes dans le milieu 8c vefs la
fin de la grofleflc. Leur caufe. Ibid. b. Pourquoi les femme«
grofles font fujettes à faire des chutes. On ne peur apporter
aux maladies dont on vient de parler d’autres remedei que
des palliatifs. Des moyens de prévenir les chûtes. Attentions
qu’on doit avoir dans la maniere de traiter les maladies
qui furviennent durant la groflefle, mais qui n’en dépendent
pas eflentiellcmcnt. Ibid. 96 6 . a. Ouvrages auxquels
on doit recourir fur les maladies des femmes grofles.Ibid.b.
G rossesse. ( Maladies de la ) Des effets de la groflefle
par rapport à la fanté. X . 118. b. Ehvics déréglées pendant
la groffeffe. V . 735. à , b. & c . Dépravation d appétit. IX .
029. a. XII. 546. a , b. D e la chlorofe dont les femmes font
atteintes dans les trois premiers mois. Suppl. IV . 221. b.
Effets de l’imagination fur les femmes enceintes. VIII. 5 6 t.
Ù. Pouvoir de cette imagination fur le foetus. 563. a , b.
Taches brunes , quelquefois rougeâtres , qui affeftent le
vi face 8c le front des femmes grofles. V . 770. a. Gaule de
la plupart des indifpofitions que donnent les commence-
mens Je h groffeffe. 876. b. V II. 569. ^ D o u le u r s qu. arrivent
au fepncme mois. V . 6 6 e . a. D e lép.lepfio dans une
femme enceinte. 796. * Difpolitions qui annoncent I atonie
ddee llaa mmaattrriiccee,. auppi. i. u/y. H - - ---
dans lé commencement de la groffeffc.719. n. Termes ffiftep-
tibles d’avortement. V I. 444- *• Divers aeedens de groffeffe
qui peuvent lé caufcr. 4 f i . | Circonftances qui'rendent la
i ü f e falutaire. V . 877. e. Des liémorrhoides des femmes
griffes 8 de leur traitement. VIII. 119. “ ■ C o n k il à une
femme enceinte fujct.c | la ch .te de la matrice. X a o t . b
Comprcffion de la veffie dans les femmes enceintes. X V II.
non b. D e fréquentes groffeffes peuvent eaufer une herme
de veffie. 108. a. Combien la conduite d une mere penciartt fa
groffeffe peut influer fur k tempérament de fon enfant. V .
iç o . b. Caufe des aliénations d’efprit quon a vu arriver fur
l a GROSslÉRffCfS n re / fm d ) I Amfterdam il
de différence entre un marchand greffier 8c un détailleur,
excepté dan l le commerce des vins Sc de. eaux-de-vie ^ 7
t'cntnioliis'kcotur’ ' que* I difeéur, d’une galanterie rafinle.
i ' g r o s s i r , ( Optique ) nom n’avons point encore de théo-
de dioptnuuc ou de catoptriquc , u 6
- a ? S r d!
pcél 8c modéré. Le pomt imporunt c» ue p