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n „ (iv.ins nés dans cette v ille . Suppl. I t l. 2 ¿ 5 .4 .
■GïinSbt'. Origine de cette ville. SW Z.IV. i i . n . Son tcr-
fSMfe VII 818. e. Origine da ton parlement. IV . 5. a,
H i S c de ce confeil fonverain. XII 56. a D o y en du parlement.
V . 97- \ Courier île le v èq u e de Grenoble. IV .
,02. a. Vcberics de Grenoble. X V I . 873. a.
GRENOUILLE, ( H iß . n a t .) deux fortes de grenouilles,
favoir les grenouilles aquatiques & les rainettes. Defeription
de la grenouille. La grenouille eft amphibie, 6c n a pas befom
de prendre l’air fouvent. Cet animal a la v ie très-dure. v i l .
«42. b. Portion de fa chair qu’on mange. D eu x cris diffetens
des grenouilles. Cri particulier aux mâles lorfou au printemps
ils cherchent les femelles pour s’accoupler. Comment fe tait
cet accouplement. Sa durée prodigieufe. Defeription de ia
manière dont fe foit la ponte des ceùfs. Le nombre de ces
oeufs eft d’environ onze mille. D è s que la ponte eft fa ite ,
le mâle quitte la femelle. Defeription des oeufs. Suite des
progrès des oeufs jufqu’à la fortie du foetus, fous la forme
de têtard, lbid . 943. a. Sa première nourriture. Defeription
du têtard ; développement de la grenouille. La grenouille
n’eft propre à la génération qu’au bout de deux ou trois ans.
lbid . b. : ,
G r e n o u i l l e , (H iß - n a t .) il ne s agit dans cet article que
des métamorphofes de cet animal. Etat du frai de la grenouille
nouvellement rendu. Suppl. III. 267.4. Premier rudiment
de l’embryon. Développement des têtards. Grenouille
devenue parfaite. Changemens que fubit la grenouille d’Am-
boine. Métamorphofe par laquelle celles d’Amérique perdent
leurs pattes, prennent une queue, 8c deviennent poiffons.
/bid. b. Foye{ pl. I. hift. nat. Suppl.
Grenouilles. D e leur génération. Suppl. I. 123. a. D e leurs
«eufs & de leur fécondation. Suppl. l l l . 64. b. Leur foetus
appellé têtard. X V I . 198. a. Des métamorphofes que fubif-
ient différentes efpeces de grenouilles. Suppl. 1. 436. b. Obfervations
fur le coeur de ces animaux. Suppl. II. 493. a , b. D e
la matrice des grenouilles. Suppl. 11L 197. b. De leur tibia &
de leur cubitus, & des fondions de ces parties dans les fauts.
Suppl. IV . 941. b. 942. 4 , b. 943. 4. Proportions des différentes
parties dont laétion contribue aux fauts de l’animal.
9 4 3 .4 , b. Expériences fur la reproduction des os des grenouilles.
943. b. 944. 4. Chaleur des grenouilles. III. 38. a.
Comment la grenouille aveugle le brochet. IL 431. b. Efpece
de grenouille appellée rainette. X IV . 107. b. Grenouille mu-
giflante, v o l.V I des planch. Rcgne animal, pl. 26.
G ren ouille, (M a t . méd. D ic te ) les g y nouilles font très-
ïarement employées en médecine. Diverfes prétendues vertus
attribuées à la grenouille par Juncker. Bouillons de grenouilles
dans les maladies chroniques. Propriétés attribuées
à une eau retirée par la diftillarion du frai de grenouille. Les
grenouilles entrent dans l’emplâtre de Vigo. Ragoûts de
cuiffes de grenouilles. V II. 943. b.
G renouille, ( Blafon ) animal repréfenté dans quelques
écus. Etymologie de fon nom. Suppl. III. 266. a.
G renouille , (Imprim.) defeription de cet infiniment.
Voyez C r a pau d in e .
G kEN O U IL L E T T E , ( Chirurg. ) tumeur qui fe forme fous
la langue par l’amas de la faiive dans fes réfervoirs. T o u s ceux
qui en ont parlé avant la découverte des organes qui fervent
| la fecrétion de la fa liv e , n’ont pu avoir des idees précifes
fur la nature de cette tumeur. Sentimens de Paré, d’A qua-
pendente, de Dionis fur cette maladie. Munnik en a eu de
juftes idées, mais il n’a pas été fuivi par M. Heifter. Sentiment
de M. Col de Villars. D eu x efpeces de grenouillettes
félon M. de la F ay e. Cette maladie n’eft point rare. Caractères
de la liqueur qui fort de cette tumeur, quand elle n’eft
pas invétérée. Caufe de la grenouillette. V I I . 944. 4. D iverfes
obfervations fug la manière de la gu é rir, 8c fur les différentes
méthodes des praticiens dont il a été parlé. Les tumeurs
falivaires font les glandes même & leurs tuyaux excrétoires
dilatés par la matière de l’excrétion retenue. Ainfi le nom
de' tumeur enkiftée ne convient qu’improprement à la grenouillette.
Réflexions fur la maniéré d en faire l’opération.
lbid . b.
GRESHAM , collège. III. 634. a. 638. 4. Libéralités. du
chevalier Thomas Gresham en faveur de la v ille de Londres.
IX. 683. b.
GRESIL, voye{ G r ê le . V I I . 929. 4 , b.
GRESSET , (Jean -B ap tiße -L ou is) obfervations fur fon
poëme intitulé Vert-Vert. V I I I . 181. a.
GRETZER, jéfuite allemand. Suppl. I. 3 38.
G R E V E , place de ce nom dans Paris. X I. 930. a'.
GREVEN, (Comm.) monnoic de Mofcovic. Sa valeur.
Anecdote au fujet de cette monnoie. Suppl. III. 266. a.
G R E V IL , m h f t f é ÿ X V II. 390. h.
G r e v ie , (R o ic r t )X V lI . 5 9 1 . . . ■
i ÇR F .W , ( N e h m e ) anjtomiftc. Suppl. 1. 401. a. & phy-
fiôlogifte. Suppl. IV . 333. a.
G R EW IA , (B o ta n .) carjClcre générique de cette plante.
Scs deux efpeces connues : lieux <jù on les cultive. Ceux d’où
G R I
qjles font originaires. Leur defeription. Maniéré de les cultiver.
Suppl. III. 266. b.
G R ÎB A N E , (M a r in e ) efpece de barque; fa defeription;
Ufages auxquels On l’emploie. V IL 943. a.
G R IE F S , ( Jurifpr. ) trois acceptions de ce mot. Les griefs
font quelquefois intitulés, /¿or; le p ro c ès , parce que c’cft une
piece qui ne fait pas partie du procès par écrit ; à la différence
des griefs qui ont été fournis devant les premiers ju ges,
lefqucls font partie du procès, 6*c. V I I . 945. a.
G R IF F E , terme d’hiftoirc naturelle , de commerce de
jardinage, de d o reur, de bijoutier, de ferrurerie. V I I . 943. b.
Griffes des animaux, voye^ O n g l e .
G r if f e s , (B la jo n * griffes armées. Suppl. III, 806. b.
G R IF F E N H A G EN , (Géogr . ) v ille de la Poméranie pruf-
fiennc. Hiftoirc de cette ville. Elle eft la patrie d’A u drè
Mulier. Obfervation fur fes ouvrages. V I I . 943. b.
G R IF F IE R , ( J e a n ) peintre. Ses payfages. XII. 213. a*
G R IF FO N , (M y th . 6* L i t t . ) animal fabuleux. Quelques
auteurs femblent avoir cru qu’il exiftoit dans la nature. Mais
la plupart n’ont reconnu de griffons que dans la fable. V IL
943 b. L e griffon n’étôit dans fon origine qu’un, hyéroglyphe
des Egyptiens. Les Grecs en firent enfuite un animal, oc les
mythologiftes en tirèrent de belles moralités. A quels dieux
le griffon étoit confacré. V er s dans lefqucls Claudien nous
repréfente A pollon dans un char traîné par des griffons. D iv er s
peuples qui ont mis fur leurs médailles une figure de griffon;
Auteurs à çorïfülter. Comment on le rcprôfcnte dans le s
armoiries. V I I . 946. 4.
G r i f f o n , ( B lafon ) animal fabuleux. Signification de ce
fymboie. Suppl. III. ¿07. 4. *
G r if f o n , ( B la fo n ) animal fabuleux. Suppl. I . 3 76. b. Ses
membres 8c pattes. Suppl. III. 896. b.
GRiFON, fils naturel de Charles Martel. Suppl. IV . 288. b.
G R IG R I . (B o ta n .) V oy c [ G ro u gR O U .
G R IL L A G E , ( Me t a il f ) but 8c utilité de cette opération;
L a grande divcrfité qui fe trouve dans la combinaifon des
différentes mines, fait que les méthodes qu’on emploie pour
le grillage font très-variées. D 'o ù vient qu’on eft obligé
de griller quelques mines un grand nombre de fo is , tandis
que d’autres n’exigent qu’un petit nombre de grillages.
D eu x efpeces de grillages, celui de la mine 8c celui do
la matte. Dcfcriptipn des différentes méthodes du grillage.
. fi m p ie , qui fe foit à l’air libre , ou fous des angars, ou
fous des fourneaux voûtés. V I I . 946« m Auteurs à con-
fulter fur cette opération. Réglés générales à obferver pour
le grillage. D e s cas dans leiquels il faut réitérer le grillage
un grand nombre de fois. Lorfqu’on fait griller dès
mine s, on eft fouvent obligé d’y faire des additions qui ,
jointes à l’aftion du f e u , fervent à les développer 8c à détruire
les fubftances étrangères qui font unies au métal dans f*
mine. lb id . 947. a . _ §
Gr illag e , voyc^ TORRÉFACTION. Grillage de la mine. IL
342. b. Grillages des différentes efpeces de mines , y o y e ç
leurs articles , & le vo l. V I des planches. Article M é t a l j
l u r g i e . Ufoge du foufre dans le grillage des métaux. X V .
40 2 .4 , b. as . .
G r illa g e , terme de ferrurerie, de fabriquant de blonde, do
confifeur, 8c de docimafie. V IL 947. b.
G r illa g e , ouvrage du cloutier d’épingles , voL III. des
planches. .
G R IL L E , lignification commune de c e mot. Grilles de
couvent. VIT. 947. b.
G r ille , terme d’h ydraulique, d e commerce, de blafon i
de bas-au-métier , de d o reu r , de fonderie, de hongroyeur ,
de jardinage, d’imprimeur en taille-douce , de monnoie ,
de jeu de paume , de rubannier. V I I . 947. b.
Gr illes de fourneaux, voyez F o u r n e a u . G rille s , forte do
portes, grands ouvrages de ferrurerie, X V I I . 8 19. b , v o l.
IX d e s planches, ferrure rie, pl. 1 3 , 1 4 , 13 » *8 * I7-
G R IL LO N . (H i ß . n a t .) Il y a des grillons domeftioucs
8c des fauvages. Defeription de ces derniers. V I I . 948. 4.
Defeription des grillons domeftiques. Ibid. b.
Grillon. Différèntes efpeces de grillons. VIII. 78«. b. Grillons
repréfentés v o l. V I des planches, regne animal, planche
7 8 , taupe-grillon. IV . 399. b.
G R IM A C E , (P e in tu r e ) confeils aux artiftes , pour les
engager à rechercher la iimplicité dans les imitations de la
nature, 8c à ne pas faire grimacer les figures, en voulant leur
donner des grâces ou de rexpreflion. V i l . 948. b.
G r im a c e . ( P h y fio lo g.) Le s Orientaux plus portés que nous
aux grimaces : art grimacier fubftitué à ce défaut de la nature.
X V U . 799. b. _
G R IM A LD I . Connoiffances aftronomiques de Jean-rran-
çois Grimaldi. I. 79 1 . a. Ses expériences fur la pelantcur
& la chute des corps. IV . 875. b. XII. 444- ^
de Monaco appartenante h la maifon dé Grimaldi : délivrance
de cette ville par Honoré Grimaldi. A*
G R IM A U D , g olfe d e , (Géogr. ) en Provence , fon ancien
nom* Suppl. fV . 7 16 . * . G R IM O A LD E
G R O
G R IM O A L D E , mairedu palais du roi d’Auftrafic. Suppl.
II. 678. b. Suppl. IV . 284. b .y o y . b. 790. a.
G R IM P E R E A U , (O r n ith o C ) defeription de cet oifeau.
V IL 9 49.4. Voy c{ C asse-noiset te 6*Pio c h e t .
Grimpereau bleu de C a y en n e , vol. V I des planches , regne
animai, planch. 42. Efpece de grimpereau de Madagaf-
car. Suppl. l l f . 423. b.
G R iM SE L , (G é o g r .) montagne de Suifle entre le V a l-
lais 8c le canton de Berne. Mine abondante de cryftal que
l’on trouve fur cette montagne. Defeription poétique de
cette montagne par M. HalJcr. Sélénite appellée fleur de c r y ftal.
Piece de cryftal prodigieufe tirée de cette montagne.
V IL 949.4.
G R IM SE L B E R G , glacier de. V II. 692. b.
G R IN C EM EN T de d en ts , préfages que le médecin peut
en tirer. IV . 840. a.
G R IN D E L W A L D , glacier de. V I I . 6 91. b. 692. a. vol.
V I des p lanches, article G l a c i e r s , pl. i .
G R IN E S , cap d e , (G é o g r .) voyc{ G r is-NEZ 8c lifez
griv.es. ■
G R IN G O R E , (P ie r r e ) poète .S u p p l. IV . 703. b.
G R IO T T E , (U ifi.r om .) efpece de bouillie des anciens.VII,
949; è
G R IO T T IE R , ( Botan. ) defeription de cet arbre. Depuis
Lucuilus on le cu ltiv e en Europe. V II. 949. b. Voye[ C e r
i s i e r .
GRIS. ( Manege. Maréch. ) Gris fale. Gris brun. Gris fan-
guin , rouge ou vineux. Gris argenté. Gris pommelé. Gris
tifonné ou charbonné. V I I . 949. b. Gris tourdille. Gris
traité. G ris de fouris. Gris étourneaux, lbid . 930.4.
Gr is de fouris. X V . 4 17 .4 .
G r i s , p e t i t , ( P lu m a j f .) V II. 930.4.
G r is . ( Teintur. ) Gris de rat. XIII. 820. b. D e l’art de
teindre en gris. X V I . 23. b. Préparation de couleurs grifes
pour les toiles imitées des Indes. 379. 4.
G r i fe , encre. W . 432. b.
G R IS N E Z , ( Géogr. ) petite montagne du Boulonois. Elle
eft le point des côtes de France le plus proche des côtés d’A n gleterre.
Obfervations fur les bancs de pierre qui compofent
cette montagne. Conjeétures fur le nom d 'A lb ion donné à
l ’A ngleterre, 8c fur la formation du détroit qui la féparc de la
France. V I I . 930.4.
G R IS SA R D , oifeau, v o l. V I des planch. Regne animal,
planche 47.
G R IS E T T E S , (H i ß .n a t .& C/iaffe) defeription de ces oi-
feaux dé partage. Qualité de leur chair. Tems 8c lieux
où on les trouve. Maniéré d’en faire la charte. VII.
950. 4.
GRISETTES, (R u b a n .) XII. 133.A X V I . 424. b.
G R IP SW A L D , ( Géogr. ) ville de la Poméranie. Kuhnius
(J o a c h im ) naquit dans cette ville . Scs ouvrages. V II.
950. b. , .
G R ISON S , (G é o g r .) leur origine. Bornes de leur pays.
Ligues qui le compofent. Son étèndue. Origine du nom
de Grifons. Détails hiftoriques fur ces peuples. Leur religion.
Leur gouvernement temporel. Vallée uès*étroite renfermant
le comté .de B o rm io , celui de Chiavenne, 8c la
V a lte lin e , qui appartiennent aux Grifons. L ’Adda arrofe
cette vallée dàns ion étendue. V I I . 930. b. Poyer L ig u e .
G r ifo n s , pays des. Son ancien nom. Suppl. IV . 642. a , b.
G R IV E , | Om it h o l.) genre d’oifeau qui renferme quatre
efpeces fort différentes les unes des autres. V II. 930. b.
Defeription de la grive Amplement dite, ou petitemangeup de
gui. Alimens dont elle fe nourrit. Sa manière de conftruire fon
nid. Defeription de fes oeufs. Lieux ou elle, fe plaît, lbid.
^ G rive. D eu x efpeces de grives appcllées d rennes, V . 110.
4. 8clitornes. IX. 393.^. _
G r i v e , ( M . l a b U J c h ) f o itables .de géographe &
tl’ailronomic/ Suppl. IV . 879. b. 880. a , b. 88t. * , b. 882.
’ g R O D O N , ( Géogr. ) petite ville de Bretagne. Anecdote
intéroflante fur la prife de cette place > en 1594 , 1 1
le maréchal d’Aumonr. Suppl. 111- ad/, b.
G R O E N L A N D , ( l e ) on ignore les bornes de ce pays
dans fa patrie feptcntrionale. V I I . 95 g p l amn,a“
qui l’habitent. Différentes fortes de potffons qu on trouve
dans fes mers. Relation imprimée du Groenland par
rere. C e qu’il raconte fur la découverte de ce pays oc les
premiers Norvégiens qui l’habiterent. Dans la lime il n a
plus été poifiblc de retrouver l’ancien Groenland que ces
Norvégiens habitoient. Etendue des côtes les plus connues du
Groenland, lbid . b. '
Groenland,-rigueur de fon climat. Suppl. I, 344- | ¡ 8 S f e
v a tion sfu r les Kabitans de ce pays. V l I. 344- | | I .
344. b. Mammelles prodigieufes des Grocnlandoifes. X.
4. a. Baleines du Groenland. II.
la côte orientale de ce pays devenue inaccv p ,
mulation* des glaces. X . 366. 4. Couleur de ces glaces. V II.
Tome i.
G R O 873 602. b. Montagnes de glaces fur les côtes du Groenland.
' . 2 * $uppl. III. 23 2. 4. Plantes antifeorbutiques qui
croment dans ces contrées où le feorbut eft endémique. X I .
, ErabliiTemens qu’y formèrent avant le quinzième
iiecle les Irlandois & les Norvégiens. Suppl. I. 344. 1 Barques
des Groenlandois. 8x3. b.
G R O L E , ( Ornith. ) obfervation fur le bec de cet oifeau.
A i . 417 . 47.
G R Ö M A , ( A n milit. des R om .) efpece de perche, qui
fer voit chez les Romains à mefurer l’ctcndue d’un camp
pour la diftribution des tentes. A r t gromatique; en auoi il
confiftoit. V II. 9 31. b.
. G R OM BO C AN N O SE , ifle des Indes orientales : magiciens
d e öfette ifle. XI. 710 .b .
G R O N D E U R , (M o r a le ) portrait de cette e/pece d’hommes.
X V II. 799. b. j
G r o n d eu r , ( Ich th y .) poiffon : defeription de fa mâchoire.
IV . 435. a. .
G R O N IN G U E , (Seigneur iede) l’une des fept Provinces-
Unies. Ses bornes. Ses productions. Cette province diftribuée
en deux corps différens, qui conflituent la fouve.raincté de
la province. Son gouvernement comparé à celui de l’ancienne
Rome. V I I . 931. b.
Groningue , Jèigneurie de. V I . 469. b. S
G r o n in g u e , (G éo g r .) ville des Pays-Bas. Son ancienneté.
Obfervation fur le lieu où elle a été bâtie. Savans
que cette ville a produits : on en diflingue trois ; V effelu s,
(J e a n ) détails fur cet habile théologien ; Frommius, (A b ra h
am ) fes ouvrages : Schultens, (A lb e r t ) éloge de fes ouvrages
& de fon érudition. V II. 932. a.
Groningue. Obfervation fur ce qui eft dit de V effelus dans cet
article de l’Encyclopédie. Suppl. III. 267. b.
G R O N O V 1U S , ( Jean Frédéric & Jacques) ouvrages qu’ils
ont publiés. IX. 431. b. Ouvrages de Jean Frédéric. VIII.
34. 4.
G R O P P E R , ( J e a n ) controverfifte.XV. 267.4.
GROS. ( Gramm. ) obfervations fur la ftgnification de ce
mot. V I I . 972.4.
G r o s tournois, (H i ß . des monn.) ancienne monnoie de
France en argent. Il n’eft rien de li célébré que cette mon- •
noie depuis S. Louis jufqu’à Philippe de Valois. Divers
noms par lefquels on l’a défignée. Origine du gros tournois.
V II. 972. 4. S. Louis paffe pour l’auteur de cette monnoie
avec la bordune de fleurs-de-lys. Poids & valeur des gros
tournqis. Différence de l’argent de nos jours à celui du teins
de S. Louis. Obfervations fur les différentes variations des
gros tournois en poids & en valeur. Le nom de gros s’eft
appliqué à diverfes autres monnoies différentes des gros tournois.
Petits tournois d’argent. Auteur dans lequel ori trouve
les repréfentations des gros tournois. Différens furnoms que
cette monnoie a eus. lbid . b.
G r o s ou Groa t, (H iß . mod.) monnoie de compte en
Angleterre. Autres nations qui ont aufli leur gros. D u tems
des Saxons, il n’y avoit pas de plus forte monnoie en A n gleterre
que le fou. Edouard III fit le premier fabriquer
des gros: 8c Henri V I I I des fchelins. VII. 932. b.
G r o s , monnoie étrangère qui répond au gros d’Angleterre.
V I I . 933.4.
G r o s d 'H o lla n d e , livre de , ( Comm. M o n n .) IX. 621.4.
G r o s , ( Comm. ) droit d’aides établi en France : pourquoi
on l’appelle droit de gros. En quoi il cohfille. V II. 953*a"
G r o s . ( Marine ) Gros du vaiffeau. Gros tems. VII.
943. 4.
G r o s , (P ie r r e le ) fculpteur. X IV . 831.4.
Gros becAe J av a, oifeau, vo l. V I des planches, Regne animal,
plancne 33. Efpece de gros-bec du royaume d’Angola,
nommé a[ulam. Suppl. 1. 738. a , b. Voy e[ Bec ( Gros). |
G ro s d'haleine, (Manege & Maréch. ) cette incommodité
eft plus difgracieufe pour le cavalier que préjudiciable au
fervice de l’animal. Caufes de ce défaut. Il eft impoflible d y
remédier, à moins qu’il ne vienne d’un polype ou de l
vifeofité de l’humeur bronchiale : comment on peut le reconnoitre.
Remedes à employer. V I I . 933. a..
G r OS-DE-To ÜRS, 8c Gros-de-Naples. (M a n u f. e n J o ie )
Différence entre le gros-de-Tours , 8c le gros-de-Naples.
Différentes fortes de gros-de-Tours. En quoi ils different
du taffetas. Diverfes obfervations 8c détails fur le travail
du eros-de-Tours. Armure du gros-de-Tours broché à
l’ordinaire : démonftration par figure. V II. 933. b. Voyc{
°Gws-de-Tours. Etoffe appelléego«r£o«r4/ï, travailléeicn gros-
de-Tours. V I I . 733. b .Oros-de-Tours brochés, defeription
du travail de cette étoffe , vol. X I des pl. Soierie, feftion 3.
GROSCHEN ou G r o s , ( Comm.) monnoie ufitée dans
quelques parties de l’Allemagne. Sa valeur. Gros ou grol-
chen de Saxe. Grofchen impérial. Marien-Grofchen. Grof-
chen de Pologne. V I I . 934. a. * T
G ROSE ILLE i il y en a de blanches 8c de rouges. V I I .
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