
4® A ï R . HfSfHNI g Exemple (fe la.ronuleJu^f-r ^ col:ps vokt'Os.
Vo°‘ ll en S u les co r^ sV ' font en repos. Ses effets
S o g e n e s qn! s> mêlent. M J s B t a g g g g g
K Î l S T S S ^ o l la k o l s g j g g f t e K m v* ment. Comment fe forment g é jié „ t dans
gemens que la féchereffe : . rapport à ces chanl’atlimoiphere.
de Saint-Iago. Influences
mgemens P en diWcft!G u n j . 3te n<; ra:r Æ 0nt fur £ les expériences feis mmmm
des phy A m aveHins <1= l É d™s 1 | ¿P“ &
hum d f Fermentations excitées par certaines fubftances dont
Pair ef-' imprégné. Dans quel tems’ on peut le mieux enlever
des mehS faites par le fuc des fubftances végeiaks.
IUi b. Subftance vitale & ftngiiliere répandue dans 11 ..t■ ,
félon Boÿle. Sels qui paroiffent & saccrctffe.tt dans c.i
tains corps qui n’en produiraient point du tou t,ou b,e|!-
cottp moins, s’ils n’étoientpas expofés à latr. Effet de
introduit dans les médicamens antimoniaux. Altéranon de
diverfes fubftances en certains pays, étant expolée -i la r
En s’infinuant dans le corps avec toutes fes qualités, 1 air
peut vicier la maffe du fang & des autres humeurs. Il peut
relâcher & obftruer tout le fyfteme nerveux, gâter les
parties nobles, félonies qualités dont il eft thargé ¡ S I ?•
Roue centrifuge, & ventilateur deihnes a renouveUer latr
d’une chambre. Ibid. b. „ r
Air. De la nature de l'air. Les anciens ont cru que 1 eau le
changéoit en air | & l’air en eau. g j g 82. a. Expérience
qui femble d’abord appuyer cette opinion. Ibid. Acides, repandas
dans l’air. XI. 32a. b. Air chymique, III. 414. g Propriétés
de l'air. i°. Sa fluidité. Accélération quon lui attribue
en paffant d’un lieu plus large dans un plus étroit. Vil.
248. 4. Sa rèfiftance. XIV. 176. b. 20. Sa pefanteur ou
fa gravité. Poids de l’air. III. 656. b. Effets qui en réfultent.
I. 820. a. Différences dans le poids de l’air. Ibid. Effets
qu’elles produifent dans notre corps. Pourquoi nous ne Tentons
point la preflion de l’air. Ibid. b. Différence entre l’air
qui eft au fommet des montagnes & celui que nous refpi-
rons. 821. | Les raréfaôions de l’air à différentes hauteurs
ne fuivent point la proportion des poids dont 1 air eft chargé.
$22. a. Diverfes méthodes pour trouver fa hauteur. 821.
$82. Phénomènes de la pefanteur de l’air. Suppl.IV. 614. a.
Compreflion de i’air par fon propre poids & par le fecours
de l’art. III. 776. a. Comment Newton l’explique. Ibid. Obfervations
qui montrent que l’air contient dans fes pores
un grand nombre de molécules pefantes, de l’eau, de l’huile,
des fels volatils. X. 192. a. Preflion de l’air fur la furface
de la terre. XIIL 3 24. a. La preflion de l’air fait monter l’eau
dans les pompes. Suppl. IV. 319. b. Effets de fa preflion
contre un efpace où il eft extrêmement raréfié. 614. a. Méthode
pour trouver le poids d’un pied ou d’un pouce cube
d’air. XII. 830. a. 30. Son élaflicité. De l’élafticité de l’air.
Suppl. IV. 613. a. V. 446. b. C’eft elle qui eft lacaufe immédiate
de la fuipenfiori du mercure dans le baromètre. Ibid.
De tous les corps connus, il n’y en a point qui fe dilate autant
que l’air. IV. 1003. b. Maniéré de condenfer l’air par
art. IQ. 833. b. Çet air condenfé produit des effets directement
oppofès à ceux de l’air raréfié. 836. a. Recherches
des philofophes fur la denfité de Pair. IV. 833. b. Table
des denfités de l’air félon les hauteurs du baromètre &
du thermomètre. Suppl. IV. 901. a. Air qui n’eft point ex-
panfible. VI. 278. b. Infiniment deftiné a mefùrer la densité
de l’air. X. 49. b. Caufe des vents dans fes différentes
condenfations & dilatations. XVII. 20. a. Pourquoi l’air en
fe refroidiffant abandonne une partie des vapeurs qu'il re-
tenoit fufpendues. VII. 676. a. Conjecture fur la concref-
cibilité de l’air. IX., 370. a. De l’expanfbilité de ce fluide.
IV. 274. b , &c. 283. b. VII. 676. a. 40. Divers ufages
de l’air. Effet de l’air pour modérer la force des gouttes
d’eau de pluie dans leur chute. XII. 443. b. 793.
b. L’air favorite la putréfaCtion. XIII. 387. b. Son influence
dans les fermentations. XVII. 284. a. L’air confidéré
comme menftrue & diffolvant. VI. 123. b , Sic. Comme
vrai diffolvant de l’eau. 127. a , b , &c. Moyen de favoir
■combien un air eft plus chargé d’eau qu’un autre. 283. b.
Influence de l’air fur la*fertiîté de la terre. Suppl. III. 29.
* b. L’air néceflaire à la germination. XVI. 954. a. 938. a.
Deux efpeces d’air, contenus dans les végétaux. 938. a.
Expériences qui montrent combien l’air pénétré dans les
plantes. Ibid. L’air néceflaire à leur accroiffement. L 437. a.
Il eft auffi néceflaire a l’entretien du feu. VI. 602. b. Vlll"
548. b. Et à la combnftion dans les opérations chymiques!
Suppl.II. <5x3, ¿.Ses effets fur la flamme. VI. 837. b. Effets
¡ ¡ p l i M
A . lVir flans les tremblement de terre. XVI. É j a g f o *
vemens extraordinaires dans^air ,^ u on Ufl .
P r o f™ * . « m , à ¡ooüoUoi
P o .V à W f
rimnPourquoHechàÎbon ne fe confumepas dansles vailfeaujc
clo s , à quelque feu qu’on les expofe. lbtd.^233. a.
Air fixe celui què l’on croit entrer, comme partie continuante
, dans la compofition des corps les plus foltdes. Expériences
qui confiaient l’exiftence de cet air. La chaux , félon
quelques phyficiens, n’eft que la pierre calcaire privée d air
fixe. Ibid. 233. a. La putréfaChon neft que 1 effet de fa diflï-
pation La faveur & l’aCtion médicamenteufe des eaux minérales
eft due à l’air fixe. Obfervations fur la nature de cet air.
' bUAir fixe. Suppl. L733. b. VI. 278. b. Obfervations fur une
des propriétés de l’air fixe. Suppl. II. 273. a. Cet air fait une
partie principale du gluten qui fert à lier les élémens terreux
des fibres animales. Ibid. III. 33. b. La force de 1 air fixe développé
, confidérée comme une des caufes fecondaires du
mouvement du fang. Ibid. IV. 729. b.
A ir . ( Phyflolog. Médec. ) De l’air & d e fes propriétés relativement
au corps humain. Suppl. I. 733. a , b. Ibid. IV. 613.
b. Qualité falutaire que les arbres lui donnent. Ibid. I. 320. b.
Quantité dont il pefe.fur le corps humain. 1. 820. a. Suppl. IV.
614 .a. D e la preflion qu’il exerce fur nous. Ibid. a , b. Preflion
de l’air fur les organes de la veipiration. XIV. 183. b. Suppl. IV .
614. b. Caufe de mort par privation d’air. XV. 633. b. Suppl.
IV. 614 .b. Bons effets de l’air des montagnes ppur la refpi-
ration. Ibid. IV. 614. b. Par la refpiration, il perd fon aptitude
à être refpiré de nouveau. Ibid. 6 13. a. Utilité de l’air que la
refpiration fait entrer dans le corps. Ibid. 622. a. Air en folu-
tion dans le fang. Ibid. 6:4. a. Son utilité. Ibid. 620.6.621.4, b.
Mort fubite que peut cauferle dégagement dé l’air qui circule
dans les humeurs. Ibid. 842.6. De l’air confidéré par rapport a
la fanté, comme une des fix chofes non naturelles. XI. 218.6.
— 220. 6. Combien l’état de l’air influe fur la fanté & fur
quelques malades. VIII. 738. a. Comment on pourroit s’affu-
rer de l’état de l’air dans les maladies épidémiques. XI. 322. b.
Néceflité de la bonne confiitution de l’air & de fon renouvellement.
XVII. 27. 6. Machines deftinées à le rejnouveller
& à le purifier. XVI. 767. 6.768. a. XVII. 27. 6. Salubrité d’un
air pur 8c tempéré. VIII. 386. Influence de l’air dans certaines
maladies, & par rapport à l’effet de certains remedes.
XV. 47,4 , 6. Conduite à tenir par rapport à l’air que refpi-
rent les malades. XIV. 1 ¡1 6. XIII. 737. 6. Comment l’air peut
devenir la matière d’un bain médicinal. Suppl. I. 737. a. Effet
de l’air dans le voifinage des mines, des volcans, des marais.
48.4-.
A ir , ( Divin. ) divination par le moyen de l’air. I. 133. b.
A ir , ( Géogr. ) montagne d’Arabie proche de Médine.
Suppl. I. 23 3. b.
A ir . (Marine ) Extrait d’un mémoire de M. le vicomte de
Morogues, fur les moyens de conferver la fanté aux équipages
des vaiffeaux. Suppl. I. 233. 6. L’air de la mer femble devoir
être le plus naturel & le plus fain qu’on pitiffe refpirer. Si
donc les équipages font fujets à plufieurs maladies, c’eft que
les vaiffeaux ont, pour ainfi dire, leur athmofpherc particulière
, & qu’ils portent dans eux le principe de la corruption
de l’air que les équipages font obligés de refpirer. Sur les
moyens de renouveller l’air de l’entrepont & des cales, voye^
les articles M a n c h e 6* V e n t i l a t e u r , Diff. raif. des Sciences,
8cc. & Supplément. Ibid. 23 6. a.
A ir d e v en t . Divifion de la bouffole en trente-deux
parties qu’on nqrame airs de vent. Suppl. I. 236. a. Maniéré
d’exprimer avec exactitude l’air de vent où l’on a couru.
Ordre qu’on a fuivi dans la nomination des trente-deux airs
de vent. Maniéré d’écrire & de prondneer ces noms par
abréviation. Ibid. b. Voye^fig. y. de la planche I. ArchiteRure
navale. Suppl.
A ir , ou A ire . Explication de quelques expreflions en
ufagedans la navigation. Acquérir de l’air ou de l’aire. Vaif-
‘ feau qui a beaucoup d’air. Donner de l’air au bâtiment, &c.
Suppl. I. 236. b.
A ir . Divers fens de ce mot dans le ftyle de l’É criture
fainte. I. 236.6.
A i r , ! Myth.). I. 236. b.
A i r , maniérés, ( Synon. ) différences entre ces mots. I.
236- b.
A i r , I Phyfionom.) air noble. VIII. 329. a. Air ignoble.
340.6. !
A ir , ( Beaux-arts) voyc{ A spect.
A I R A K E 41 A i r , (Peinture). I. 237.4.
A ir . Divers autres fens de ce mot. 1. 237.4.
A i r , (Mujîq.') étymologie de ce mot. Les Grecs avoient
plufieurs fortes a’aifs qu’ils appelloient nomes. Diverfes eipe-
ces d’airs dans la mufique moderne. L 237/4.
A i r , ( JLitt. Poéfie lyriq.) l’air eft une période muficale , qui
a fon motif, fon deffein, fon enfemble, fon unité, fa fym-
métrie, & fouvent auffi fon retour fur .elle-même. L’air eft
a la mufique ce que la période eft à l’éloquence. La mufique
vocale a trois procédés différens: le récitatif fimple, le récitatif
obtigé& 1 air. Art de les placer à propos. Suppl. I..237. a.
Différens caraûeres de l’air, appropries aux- différentes affections
de l’anie, qu’ils expriment. Ibid. b. De la forme que le
poète doit donner à la période deftinée à former un air. Ce
qu’on entend par motif ou deffein. Quel eft le ftyle le plus
convenable à ce genre de compofition muficale. Les airs de
Métaftafe préférés à ceux de Zeno. Les Odes de Malherbe &
de Rouffcau, peu propres à exercer le muficien. Ibid. 238.4.
Il eft impoifible de faire un air fur les vers de Quinault. Mauvais
goût des Italiens dans la compofition de leurs airs. L’art
d’arondir & de fymmétrifer la période muficale, peu connu,
jufqu’ic i, des François. Il feroit à fouhaiter que quelqu’un
rendît les chefs-d’oeuvres de Quinault fufceptibles de cet ornement.
Projet d’adapter une mufique nouvelle aux poèmes de
Théfée, de Roland & d’Armide. Obfervations qui montrent
que l’égalité du vers n’eft pas effentielle à la fymmétrie du
chant. Ibid. b. Entre les membres fymmétriquement oppofés
d’une période, c’eft une chofe précieufe que l’égalité du
metre, & l’identité des nombres. Exemple tiré de Métaftafe.
Avec une oreille jufte & long-tems exercée aux formules du
chant, un poète François peut donner ce genre de perfection
à fon ouvrage. Avantage que les Italiens ont fur nous à cet
égard. La mufique, pour émouvoir profondément l’oreille 8c
l’ame, a befoin de graduer, de redoubler, de graver fes
impreffions : voilà pourquoi le retour du motif a tant de
charmes & de pouvoir. Ibid. 239. 4. Circonftances qui permettent
de placer l’air au milieu de la feene la plus vive &
la plus rapidement dialoguée. Ce qui nuit le plus réellement
à la chaleur de l’aétion, ce font ces longs préludes & ces
longs épifodes de fymphome qu’on nomme ritournelles. Ibid. b.
A ir , différens airs de flûte des anciens. VI. 893. 6. &c. Air
chinois, vol. VII. des planches, Mufique , planche III. Air
P f fc n , planch. IV. Air des fauvages de l’Amérique. Ibid.
De l’air & du récitatif dans l’opéra. XII. 823. 4. 826. 4 ,6 .
Style du poète dansdes airs. 827. b. L’aria des Italiens eft autant
deftinée à l’expreffion du gefte qu’à celle du chant. 833. 6.
Canevas, paroles que les muficiens mettent fous un air. H.
397. 4. Airs caraftérifés. XVII. 734. b. Variations dont on
orne un air. XVI. 843. b. Sortes d’airs appellés doubles. V . 78.
a tp a tw w ’ x39- 6. Sur Xarticle A i r , voye\ auffi M o t i f .
A 1K A L N , (Chymie) cuivre jaune, compofé de cuivre fondu
oc de calamine. Maniéré de le faire. Compofition de l’airain,
appellée bronze, dont on fait les cloches. Airain de Corinthe
précieux chez les anciens: on le diftingue en trois fortes. Origine
de ce cuivre. Qualité diftinétive du cuivre jaune. 1. 237.6.
, y î RAIN’ celuj de Dodone. III. 234.4. Ufages facrés que
les Lrrecs firent de l’airain dans les tems les plus reculés. XVI.
■¡■¡.a. A,nunde Corinthe.IV. 547. „ , i . X. i 43.i.Surl'airain,
voyer CUIVRE. ’
AIRE, (Géometr.) efpàce qu’une figuré renferme.I. 237.6.
Irouver l’aire d’une figure géométrique. Méthode pour
melurer un terrein terminé par des lignes. En aftronomie,
les aires elliptiques font proportionnelles aux tems ; ce qui eft
un effet de la gravitation des planetes vers le foleil. Ibid. 238.4.
v n lre* v.°yeK. Su r f a c e . Démonftration de cette loi dans
laiü-onomie, que les aires font proportionnelles aux tems.
11. 823. b Trouver laire d’un cercle. II. 834. 4. Le diametre
d un cercle étant donné, en trouver'l’aire. III. 462. 6. Cette
aire étant donnée, en trouver le diametre. IV. 941. 6. Trou-
ver laire d’un polygone, XII.94I. b. d’un quarré, XIII. 639.
6. d un feéteur, XÎV. 877.4. d’un fegment, 889.6.
I i f l l ! (Archlt’} divers uft8es de ce mot en architeaure.
A ire , (Econ. ruftique) comment on fait l’aire d’une eranee.
celle des bergeries, celle des toîts à porc. I. 238. b. 8 8 ’
A ïre , 1 endroit qu’habitent les grands oifeaux de proie. Dé-
fenfe faite par Louis XIV, de prendre aucune aire d’oifeaux.
1. 230. 6.
A i r e des aigles. 1. 193.6.
A i r e , (Vannier). 1 .238.6.
A ir e , (Géogr.) villes de ce nom. I. 238.6.
A ir e en Artois , (Ge'ogr.) fontaine percée à cent trente-
fept pieds de profondeur fur la grande place de cette ville '
lnlcnption placée fur cette fontaine. Vers & infeription placés
lur une autre fontaine établie dans le fort S. François voifin
de cette ville. Supol. 1. 239.6.
A i r e , ( Géogr.) ville de France en Gafcogne. Son état pré-
a’ ^kfervarionshiftoriquesfur ce lieu. Suppl. I. 240. 4.
A i r e l l e , ou Myrtille, (Botan.) autres noms de ce genre
Tome I.
de plante. Ses caraâeres génériques. Defoription de quatre
efpeces d airelle. Diverfes obfervations fur leurs qualités,
ufages, lieux ou elles croiffent, &c. Suppl. I. 240. a.
Airelle, voyez M y r t il l e . X. 920.6. .
AIRI, (Géogr.) lieu de cc nom prèsd’Àuxerre. Sunpl I b.
A ffiOM É fR ÎE , ÇPhyJîij.) Élémens de l é S ’ i
Wolf. I. 239. 4.
AIRS, (Manège) allures & exercices qu’on apprend au
cheval de manege. Quelques-uns les divifent en bas 8c relevés.
1 . 239. 4.
r t bas, ou près de terre. Airs relevés, vol. V i l des
planches, Manege, pl. VII & IX.
_ AIS, f Menuif. Charp. ) maniéré de couvrir les entrevouts.
On plafonne prefque toutes les chambres habitées par les
maîtres, ce qui occafionne la ruine des planchers. I. 239.4.
Ais de bois de batteau.I. 230. b . .........
dans plufieurs arts. I. 239. 6. .
AISAI-LE-DUC,. ( Géogr. ) n’eft pas une viue comme il
elt dit dans 1 Encyclopédie, mais un petit bourg. Ruines
quon y voit d’un ancien château. Suppl. I. 241.4.
AISSELLE, (Anat.) danger des abcès dans l’es aiffellçs.
I. 240.4; Comment on peut corriger la puanteur de la tranf-
piration des aiffelles dans certaines perfonnes. Ibid. 6.
Aiffelle, parties fituées fous l ’aiffelle. I. 906.6.
A isselle, (Jardin. Botan.') aiffelle des plantes. 1. 240.6.
AISSELIER, (Charp. ) defcriptiôn de la piece de bois ainfi
nommée. Bras d’une roue, nommés aijfeliers. 1. 240. 6.
A IT aile, (terme de palais) ordonnance qui fe met au bas
de quelques requêtes. I. 240.6.
AJU$, (Marine) poeud dont onfe fert pour lier enfemble
deux cordages qui doivent faire force & fe roidir. Suppl.
I. 241.4. Voyez ûg. 4 , pl. d’Architeilure navale, dans le Suppl.
AIUS-LOCUTIUS, ( Myth. ) dieu de la parole. Origine
de fon culte à Rome. Moyen d’accordçr le refpeéi qu’on doit
à la croyance d’un peuple & au culte national, avec la liberté
de penfer. S’il y a dans cet article quelque chofe qui ne pa-
roiffe pas exa&, ou qui bleffe quelques perfonnes, l’autëur
renvoie à Xarticle C a s u i s t e , où fapenfée eft expliquée d’une
maniéré qui doit fatisfaire tout le monde. I. 241.4.
• AJUTAGE, ou AjOUTOlR, (Fontainier) ajutagesfimples
& compofés. Ajoutoirs à l’épargne. I. 241.6. Quels ajutages
font les meilleurs. Table des dépenfes d’eau pendant une
minute, par différens ajutages ronds, l’eau du réfervoir étant à
douze pieds de hauteur. Ibid. 242. a. Voy. D épense des Ea u x .
Ajutage. Réglé fur le diametre du principal ajutage d’un
jet d’eau, lorfqu’il fe diftribue en grand nombre d’autres plus
petits, & fur le diametre du conduit. VIII. 321.6. Rapports des
dépenfes d’eau, félon le diametre des ajutages, & la hauteur
des réfçrvoirs. IV. 839.6. Faifceau de plufieurs ajutages fur la
même platine. VII. 642.6.
A IX , ( Géogr. ) petite ville de France dans le golfe de
Gafcogne. Fort que fes Angloisy détruifirent en 1737. Suppl.
I. 241.4.
A i x , ville capitale de la Provence. Son fondateur. Ses révolutions.
Sa defcriptiôn. Suppl. I. 241. 4. Son archevêché. Son
commerce. Ibid. b.
Aix en Provence. Fondation de cette ville. XIV. 373. 4.
Aix ancienne. Suppl. IV. 11. 4. Hiftoire de fon Parlement.
XII. 36. 4. Doyen de ce Parlement. V. 97. 4. Chancellerie
d’Aix. III. 108. 6. Fête qui fe célébré à Aix la veille de la
S. Jean. II. 406. 4. Projet d’un canal pour le commerce de
cette ville. Suppl. H. 187. a, b.
A ix , (Géogr.) ville de Savoie. Ses bains. Reftes qu’on y
voit d’un arc de triomphe. Suppl. I. 241. 6.
AIX-LA-CHAPELLE, | Géogr.) ville d’Allemagne dans
le cercle de Weftphalie. Son rang furie banc du Rhin. O11 lui
donne quelquefois la dénomination de ville impériale par
excellence. Elle eft dépofitaire de l’épée , du baudrier & du
livre d’évangiles qui fervent au couronnement des Empereurs.
Affeétion que Charlemagne eut toujours pour cette ville. Religions
qu’on y profeffe. Régence de la ville. Droits qu’y exercent
l’eleéleur Palatin & l’évêcjüe de Liege. Territoire d’Aix-
la-Chapelle. Cérémonie dans laquelle on montre les joyaux
de l’Empire.' Population de cette ville. Suppl. I. 241. 6. Son
commerce 8c fes bains. Conciles qui s'y font affemblés. Calamités
qu’elle a effuyées. Ses mois romains 8c fa contribution
à la chambre impériale. Ibid. 242.4..
Aix-la-Chapelle, obièrvations fur fes eaux minérales. X.
339.6. 340.4. XVI. 268. 4. m,
AIZOON, ( Botan. ) defcriptiôn de cette plante. Lieux
où elle croît. Ses propriétés. I. 242. 6.
A K
. AKALZIKE o u A k e l s k a , (Géogr.) ville delà Turquie
Auatique. Ses fortifications. Songouvernement. Suppl. 1.242. a.
AKE BAR, empereur du Mogol. X. 613. a.
AKERKUF, ( Géogr. ) montagne de la Turquie Afiatique,
Ruines qu’on y voit. Suppl. I. 242. a.