
424 COU COU Saxons XVI. 8(7.4. Coupe appellie aBaaiwaMcionBthartWu. XVIiI, l w tfsm & m *■ ‘ -5e r?far PfÉS B B H M i !
à leurs convives des coupes dor & a argent. II. 3 • • I
tribution des coupes devant chaque convive. IV. iôs. *• I
CoTvv,(AJliol ) conftellarion.1V. 34«- ‘ -S u r fo" orlSine’
T Î C T - « p « | Ü ufltée en cerarrangement
de diverfes parties I
quicompofent un poëme lyrique-Un tel poeme parou for.
peu de chofe à la pretniere infpeaion : cependant peu d au- 1
■ H en L genre. Le poete dans ces compofimms
ne rient que le fécond rang après le muftcien dans 1 opinion I
commune : Boileau a beaucoup contribué a nourrir dans les 1
efprits une feuffe prévention contre de tels ouvrages. Cepen- j
d i t il eu eft peu dans la poéfie qui doivent avoir la préfé- I
rence for le lyrique. Talent que foppofe dans le poete la
bonne coupe théâtrale d’un poëme de cette efpece. Voyt{ I
C o u p e r .1V . 347-1*. , . „ . . . ]
Couve, terme de fculpture & d’architeSure. IV. 347. a.
Voyez O r t h o g r a p h ie & P r o f i l , lbid. b. I
C o u p e , ( Gravure en bois ) en quoi coniule cette opéra- 1
Coupe Jes'picrres ou fldréotomse. En quoi confifte cette fcience. I
Ce mot ne lignifie pas l’ouvrage de l’arrifan qui taille la pierre ,
mais la fcience du mathématicien qui le condmt. Auteurs qui
en ont écrit. IV. 347. b. -
Coupe des pierres, double coupe. V. 79. b. Fauffe-coupe.
VI. 4(3. b. Joints dans la coupe. VIII. 869. a. Ouvriers chargés
de l’appareil des pierres. I. 543. b.— Voye[ VOUTE, voyei
aulfi les planches d’architeflure, vol. 1.
Coupe des bois. Article fur cet fu|et. VII. 129. i . De la coupe
des bois de charpente XIII. 28. a. Réglé qu d foudroit fmvre fur
la coupe des taillis. II. 298. b. Réglés établies fur la coupe des
hois. SuppL II. 29. b.
C o u p e des cheveux. (Pcrruq.) IV. 347-f- . . .
C o u p e d'habits. (Taill.) Voyei les planches du tailleur .IV.
34Coupe des peaux. (Fourreur.) IV. vol des planches.
COUPÉ, (Mufique.) note coupée. IV. 348. a.
Coupé, f Belles-lett. ) Style coupé. Suppl. III. ,307. b -
Coupé, dans la danfe , pas coupé, comment on doit 1 exeenter.
IV. 24°* a- _ .
C o u p é s , ( Demi-) pas de danfe. Ces pas ont quatre attitudes
qu’on explique ici. IV. 34? - 1 , . .
Coupés du mouvement, ( Danfe.) manière dé faire ces pas ,
les plus gracieux & les plus gais qu>n ait inventés. IV. 348. b.
Coupé. (Blafon.) IV. 348. b. A .
C o u p é , (Blafon.) l’une des partitions de lécu. Animaux
COiS t^ K rm c dtrfcrime. IV. vol. des planches, article
Efcrime, page 8. b. g. a. _ .. ,
Coupe-cercle, infiniment de mathématique. Outd du menm-
IVC3OUPELLE. ( Docim. Chim. ) Defcriprion de ce vaiflêau.
Son ufage. IV. 348. b. Matières qu’on doit choifirjiour foire
des coupelles. Comment on doit la préparer. Infoufliou fur
la maniéré de faire ces vaiiTeaur. Ibid. ^49. a. Effai qu il fout
foire du fpath dont on veut fe fervir , avant de 1 employer
F0Cmp.«rpC r ekffinage de l’argent. X “ i 779-'<- Différence
entre la coupeUe & le feorificatoire. XIV. 80 5 .a. Cendre
Couper, en bâtiment. Couper une pierre. Couper le plâtre;
Couper le bois. IV. 351 .a.
Couper du trait dans la coupe dès pierres. IV, 351.a,
C o u p e r le cable, (Marine ) Pourquoi on.le fait. Ce qu’od
pratique quelquefois pour éviter de le couper. Procès-verbal
que mit un maître de navire , lorfqu’il eft obligé de couper le
cable. IV. 3 51. a.
Couper un mât. Dans quel tems 8c comment on le fait. Précautions
qu’on emploie pour la formation des coupelles. U. S i c . b.
Fondant qu’on emploie pour l’opérauon de la coupelle. VU.
71. a. Comment on peut par la coupelle retirer largeur de
quelques-unes de fes mines. V . 9931 1 darS.'nt (Ç 1
relie fur la coupelle au fourneau d effai. JL 384. a. Grain de
plomb fin qui fe trouve avec le culot dans le coupellement de
l’argent : moyen de l’en défalquer dans la pefée du bouton de
fin. VII. 831. i. Pourquoi il arrive quelquefois que le plomb-
ne fe lépare pas parfaitement de l’argent à la coupelle. II. 283.
aFairefumer uEe coupelle. VI. .3 1- a. Coupelles repréfen-
tées. M. vol. des pl. article Cfiymie, pl. 13..
COUPE-PAILLE, ( Marich. ) machine à couper la parife
pour la nourriture fiu cheval. Sa defcriprion &fon ufage. IV.
31COUPltRun 'opéra. Quinault a coupé les fiens par la grande
déclamation. On connoiifoit à peine la danfe de fontems. toc
ne fut qu’au ballet du triomphe de l’amour qn on mtroduilit
en France des danfeufes dans les repréfentations en mufique.
IV. 350. a. Raifon pour laquelle Quinault n’a pas coupé les
opéras pour la danfe. Pourquoi des opéras faits à limitation
de ceux de ce poëte ne feroient-ils plus accueillis aujourdTiui.
Pièces de la Mothe coupées de la nouvelle maniéré. Ce que
doit obferver aujourd’hui un poëte lyrique par rapport à la
durée & à J a coupe de fes pièces, lbid, b. Voye[ Coupe.
C o u p e r . ( Mufiq. ) Couper une note. Signe qui indique
qu’une note doit être coupée. Suppl. U. 64\. b%
dont on ufe. IV. 351.a. Voye^ Dém a té .
Couper la lame. IV. 351.a.
Couper l’or. ( Batteur aor) IV. 351.a.
Couper, ufages de ce mot en divers arts 8c .métiers. IV.
351. b. . p.
Couper t fe , (Manege) Chevaux qui fe coupent. D’où vient
ce défaut. Couper le rond, la volte. IV. 351 .b.
Couper y en terme de jeux. Couper les cartes, les dés;
couper la balle dans le jeu de paume. IV. 35 a. a.
COUPEROSE, lieux d’où on la tire. XVI. 1 1 .a. Voyc^
V i t r i o l .
COUPLE, {Marine.) côtés ou membres du navire. IV.
3 52. b. Voye{ GàBARI.
Couples ou fermurcs. Regles de conftrudion par rapport à
cette partie du vaiflêau. IV. 352. b. 3
Couple. Clés qu’on met dans les mailles des couples. Suppl
H. 459. b. Premier couple de l’avant. 513. a.
C o u p le . ( Vénerie ) Coupler les chiens. IV. 3 52 .b.
C o u p le . {Blafon) Ufage des mots couple 6* couplé. IV.
353. a. m
C o u p l e , (Blafon.) meuble d’armoirie. Chiens couplés.
Fruits couplés. Suppl. II. 64t. b.
! COUPLET , en belles lettres 8c mufique. Le même terme
employé chez les arquebufiers, chez les ferruriers. IV.
I ^ ^ \ouplet, différence entre l’air 8c le couplet. XIL 826.a. I Des chanfons à plufieurs couplets fur un même air. Suppl
I II. 32O. b.
I K) Couplets de preffe d’imprimerie. IV. 353. a.
Couplet, réflexions de l’auteur fur le tirage des char-
1 renes 8c des traîneaux. VU. 123. b. „ .
I COUPOIR, ( Ecrïv. 6* Librair.) couteau d’ivoire ou de
I buis.'IV. 353. a. . .
j C o u p o i r , { Fonderie en caraElere) quels font ces înltru- I 1 mens. Coupoir de bois. Sa defcriprion , fon ufage. IV. 353. I a. Coupoirs de fer, avantage qu’ils ont fur ceux de bois.
1I Par qui 8c à quelle occafion le coupoir de fer fut inventé. L’ufage de cette machine long-tems abandonné depuis la mort I de l’inventeur. Comment cet ufâge s’eft renouvellé. IV.
I ^ \oupoir à la monnoie. Defcriprion de cet infiniment. IV. b» .. COUPOLE, voye[ Dôme 8c V o û t e , ouverture au haut I d’une coupole pour eclairerun efeaiier. XL 722. a.
COUPON d'aflion ( Comm. ) portion de la dividende,’ I ou répartition d’une aûion. En quel tems 8c quelle occafion II ce terme s’eft introduit en .France dans les finances. Cet ufage des coupons établi enfuite dans le commerce des I aélions de la compagnie des Indes.. Ce que font ces cou-
' pons. Pourquoi ils ont été inventés. Pourquoi ils font appel-
lés coupons. Une police d’aâions pour trois années eit marquée
de fept fceaux. Tous les trois ans les billets fe renouvellent.
Modele de ces billets. IV. 354- Les billets des
nouvelles loteries royales ont aufli leurs coupons. 1V.3J4- *•
Coupons de la loterie royale de l’année 1744- 4M-*.*
C o u p o n , ( Comm.) toile d’ome qui fe £it à.la chme,
d’une plante appellée co, 8cc. Travail du chanvre qui fert
à la fabrique au coupon. TV. 254. b.
Coupons y toile en. XVI. 38t. a.
C o u p o n s , ( Manuf. d’étoff.) IV. 354- *• . T
Coupon, dix-huirieme partie d’un iram de bois flotté. Lon
gueur & largeur du train, Crc. IV. 3(4. b. ^oye^ _ .. ni.
COUPURk, ( a i r . ) une coupure (égere fe guérit: deUr
même. Une coupure confidérable prend le nom de bleflum
ou de plaie. En q u o i confifte en général 1 art dé guérir les
plaies. Différence entre coupure & incifion. 1V- 3Î4-»-
Coupure, ufage de l’herbe de mille-feuille contre les cou
pures. X. 515. b. .
C o u p u r e s , (Fortifient.) dans les ouvrage? attaques, iv .
3'cO Ù » , (Archiull.) les cours principales
plus profondes que larges. Cour principale,
baffes-cours. IV. 355. a. „
Cour y avant-cour. I. 861. *- Baffe-cour. un Vouverain.
C o u r , ( Hift. mod. 6* anc.) heu quh .Qn Le *t y
La cour eft le centre de la ef „erfiuitis de la fortune.
eft rafiné par un ufageconttnuel çfes • p deUcateffe dont les
Divers eíetsde:ce.te ,Per“ '“ "^ ¿ 'id é e que l’auteur del’ef-
courtifans acqmerentla connoiff a j/oyt? C o u r t i s a n .
prit des lout ¿11. a. Mot de la Bruye;?
ÿour. Flatteries de. cour. Yi. 044 fut
cou cou
f,u r l,a vi.e. d.e llaa «comur.. XII. 64«. »■ pA“g'? 1,',47 P.riPoncIé™ t
delà ‘ o y f ir i ? l a g ^ g ^ aUtrcfo is le t it r e d e c o u r à
° Z«es te tribunaux. On ne le donne plus qu’aux corn-
„ m e s fortes C w r fi8n. fie Amplement
P a8ü)5 - i Omaé de cour. Ravoir la cour. IV. 3 •¡•¡.a. Ren-
i é f o c o u r ? fo hommes. Ibid.b Voy^C o r p s de c o u r .
Cour du roi à Aigues-mortes. IV. 33s. b.
Cour royale de Bezicrs. IV. 355. b.
Cour de Berry. IV. 333. b.
' Cour du duc de Bourgogne. IV. 333. b.
Cour du bailli de Grenade. IV. 3 s (. b
Cour de chrétienté, cour dêgltfe. IV. 353. K
COUtS"*™ 1^'*-'. ^èurs objets & leurs jurifdi&ons.
Dans l’origine ,1a cour des aides de Pans étott u".“luep ^téa-
P le u r s au o^ Ii ^en a Mo«:
neUter "Temse& caufe de fon établiffement. Lieu de fes ftm-
L s IV .,( ( .On y a u ni en .629la chambredescomptes La
troifieme eft celle de Bordeaux. Cour des Aides en la vtUe de
Perigueux, établie en 1550,&fupprimée ™ ■ i 77 0 ' i é
aide! à Bordeaux établie «n .6 3 7 ^ = «
e n t l° v e r g n = 0 T em s 0& b e u l e fo n p rem ie r é ta b liifem en ,.
e n A u v e r g n . • ce|ie de M o n ta u b a n , é ta b h e d a-
£ d ri C . L ^ & t fo n reffo rt . H u i t a u t re s co u r s
V i i e s f o i t a u x p a r lem e n s , fo i t a u x ch am b re s com p te s ,
& qui ont le même reffort que celui des parlemens de le «
provinces. Autres cours des aides qui ont été établies 8c fup-a
Vt™our dcj?'aïdM de Paris. Les anciennes ordonnances font
marcher fes jugemens de pair avec ceux du parlement. La
jurifdiétion de cette cour n’eft point un démembrement de
celle des autres cours fouveraines. - .
. i° Origine de la cour des aides. Ce que figntfie ^ .
d’aides. IV. 3 s 6.4. D’où les rois de France tirotent leur, dépenfe
dans les commencemens de la monarchie. Charles VU eft
le premier qui ait impofé les aides de fa feule autorité. Aides
qu’on appeJoit légitimes. Ces différentes itnpofiuons furent
nommées aijis, fibSdes, tailles, gabelles Commiffatres
nommés chaque fois qu’on les établiffoit. Divers exemples
tirés des régnés de S. Louis.de PhUippe de Valois, du roi
ïe a n IV 1(7. a. QueUes étoient les provmces comprîtes
fous le nom de la Languedoil, &. fous le nom de la Languedoc.
Ordonnance du roi Jean donnée en 13 ( j , que 1 on doit
regarder comme l’époque la plus.véntable de l in&tunon de
lalour des aides, lbid. b. Origine du nom d élu donné aux
officiers établis pour avoir en première mftance laconnoil-
fonce de tout ce qui concerne les aides. Généraux des aides
ou députés généraux. Suppreffion de l’aide de 1355 à la place
de laquelle les états généraux impoferent une capimtion. Aid»
accordée par les bonnes villes en-T3(6 durant la capnvtté
du roi Jean. Subfides accordés au mois de février buvant,
par les états de la Languedoil. Les mêmes états affemblés
à Compiegne, accordèrent au dauphin eu 13(8 une: aide
BOUT le foit des guerres, la délivrance du roi, & la défenfe
5u royaume, lbid. 358. u. En .139, les états accordèrent
l’entretien de 1200 glaives. Les états de la Languedoc s al-
fembloient aufli dans les mêmes circonftances, matsféparé-
ment. Aides qu’ils accordèrent. Aide établie par le roi Jean
en 1260 dans toute la Languedoil pour payer fa rançon, hlle
rievoit finir en 1366, mais elle fut prolongée fort au delà
de ce terme. Cette aide étoït de celles-qu on appeUoit légi-
rimes. Impofirion femblable établie en Languedoc .lbid. b .li
paroit que les généraux des rides àParis commencèrent des-
lors à être ordinaires: Avant que laide établie pour la délivrance
du roi fut finiè,il y ¡eut encore.d’autres aides éta-
bUes pour la guerre. Ces rides pour la guerre fubfifterent
îufqu’au décès de Charles V en 1380. Impofmons augmentées
par Charles VI. Abolition qu’il fe vit forcé de faire
enfuite de tous rides 8c fubfides pourrie fait des guerres, en
novembre 1380. En. 1382, le même roi rétablit tous les
impôts qui avoient eu cours fous fon prédéceffeur. Comme
ces rides ont toujours fubftfté depuis",la fonôion des élus
& des. généraux-confeillers s’eft perpétuée. Ibid. 369. a. Le
roi fe réferva aufli d,e nommer à ces offices. Sous quelle
qualité ils ont été défignés. Il y eut très-long-tems parmi
eux ries perfonnes les plus diftinguées ; 8c les rois leur
ont donné les marques de la plus grande confidération. Ces
généraux-confeillers , outre l’adminiftration de la juftice,
avoient encore la direétion de la finance, qu’ils ont confer-
vêe pendant long-tems, 6*c. Variations dans le nombre de
ces officiers. Ibid. b. Etabliflement de généraux ou confeil-
lers extraordinaires. Officiers. inftitués lorfque la cour fut
transférée à Poitiers en 1425. Rétabliffement de cette cour
dans Paris en 1436. Fête célébrée le 12 janvier en mémoire
de cette tranflation. Suppreffion ,8c.rétabliffement.de la juftice
dés rides par Louis' ¡XL Comment il fixa les officiers de
Tome
cette compagnie. Ibid. 360. a. Création d’une fécondé cham»
bre en la cour des aides par Henri 11, qui donna" à tous les
officiers leu-titre de généraux-confeillers. Tranflation faite'par
Henri III de la cour des aides à Tours. Rètablifferoen*: de
cette cour dans fa jurifdiôion par Henri IV. Etabliffenieric
d’une troifieme chambre 8c de douze nouveaux confe llers
par Louis XIII. La cour des rides a toujours eu le m-e3 de
cour Ouelques-uns de fes officiers ont été élevés â la fuptème
dignité de f» nùgiftrature. Exemples. Du lieu dans lequel ,1s
tendent anciennement leurs fiances. Ibtd. b. Louis XI en
1477, accorda à cette cour les lieux appellés chambres de
la reine. Bâtimens de la cour des rides. .. .
Officiers de cette cour. Ceux dont elle eft aujourd hui com.
P°Du pntier préfident. Cette fonction demeura affeftée aux
eccléfiaftiques. Il n’y avoit dans l’origine qu un prèiident ,
8c cetté place fut occupée par les perfonnes les plus qualifiées.
Quel eft le premier préfident dont on a connoil-
fance. Vice-préfident qui lui étoit adjoint. Cette fuccefüon
de préfidens eccléfiaftiques interrompue en 1401 8c 1402.
Dernier eccléfiaftique qui a poffédé cette dignité en 1510«
Création d’un fécond préfident’ par François I en 1522.
Titres accordés par Henri II au premier prèfidem. lbid. b.
S u it e chronologique des anciens préfidens, vice-préfidens
8c premiers préfidens de la cour des rides, avec la date de
leur réception. Ibid. 262. a. . . .r , .
Préfidens. U n’y avoit originairement qu un ieul prètiaent
qui étoit eccléfiaftique. Création d’un office de préfident
laïc en 1470, pour préfider dans les affaires criminelles.
Suppreffion de cet office. Création d’un fécond office de pré-
fident en 1322. Henri U créa deux antres préMnn!■
une nouvelle chambre. Ibid. 363. a. Louis XIII établit la
troifieme chambre 8c deux offices de préfidens pour cette
chambre. Augmentation du nombre des préfidens par Louis
XIV. Ils font aujourd’hui au nombre de dix.
Confe'tUers d’honneuryènbYis pour la première fois en 1700.
Ce que portent leurs provifions. Comment fgpfflf leur
réception. Quoiqu’il n’y eût point de tels confeülers en
i6<q y M. Pingré en eut les prérogatives.
Confeillers. Ils frirent fans diftinétion entr eux. Il y en eut
enfuite d’établis les uns pour la finance, les autres pour la
juftice. Depuis 1417, « ÿ eut Pluj de g,énéraUXffif“ J l
lers 8c des confeillers. Créations de quelques offices de
eénéraux-confeillers fur la finance. Diftintlion faite du préfident
des généraux-confeillers 8c de confeülers par François
I Henri I I réunit tous les confeülers fous le titre de généraux
confeillers. Créations de nouveaux offices par le même.
Ibid. b. Diverfes créations faites par les rois fuivans. Nombre
aâuel de ces confeillers. I _ ,
Avocats généraux. U n’y en avoit anciennement qu un.
Inftiturion de cet office. Défenfes faites par Louis XII de
plaider pour les parties. Avocats du roi ^extraordinaires.
Second office d’avocat créé par François I. Troifieme office
créé en 1691. Fondions des avocats généraux.
Procureur 'général Ancienneté de cet office. On ne lut
attribua d’abord que le titre de procureur du r o i. Comment
s’établit enfuite le titre de procureur général. Ibid. 364-0.
Subflituts du procureur général de la c°ur àes
création par Henri III. Les quatre oflîces dc fobftimts du
procureur général ne forent levés qu en 1606. Création &
¡uppreffion d’un cinquième. Subftituts qui avoient autrefois
là utre d’adjoints du procureur général. Fonflions ordmaires
des quatre fubftituts. . , ..
Greffiers en chef. Dès l’origine de la cour des aides, il y
a eu un greffier étabfi. Henri III fuppnma tous les offices
des ereffes dans toutes les jurifdi&ions de fon royaume.
Ibid. b. Divers changemens arrivés dans le nombre des offices
de greffiers en chef. Leurs privilèges 8c fondions. Inven.
taires des Tegiftres de la cour des aides. , ,
Secrétaires du roi prés la sourdes atdes.Jk foreur étabhs
Charles VI en 1387, leur nombre & leurs finitions.
P0” ne^rouve aucdne mention de ces officiers depuis 1400
fifau’en ié i ( , & il ne for pourvu à ces offices quen 1673.
Suppreffion & rétabliffement de ces offices en 1702, sug-
S s en .716. Leurs privilèges & prérogsnves.
G%ers i l U courides aidés, crianon de greffiers & de
commis en .673 « M B »
Greffier des appellanons. Ses fondions.
gS ' s civils 8c criminels. Leurmft.muonen1673.Uu«
fohâions en chacune des trois chambres.
Greffier des préfentarioiu.
Griffer garde-focs & des dèpflts.
Payeur des gages de la cour des aides.
Receveur des amendes Ibid. b. t
Æecevffur des épices 8cvacations.Conirâ/eurdes iXthXS.HuijJiers.
Compétence de la cour des aides, privilèges, police
Ibid. 266. a. Attributions faites à cette cour par dinèrens emts
8c déclarations. Ibid. b. Cette cour a le droit de faire q«
| réglemens pour 1a maputenuon de la julhee, Oc. Bln vérifie.