
<02. D I A
riiimans. m >■
beaux diamans que I i < m ^ appelle le grand
la flitguliere TOÙmbté d u ? ï ïS S n f lifla nature du diamant,
quences importantes qui en M à g, voiatilifer, fur la
fur le degré du feu < ® S k j g & g ja j 7, ,.e . Le concours
m a n ié r é dont f e f i u t f o n é v p ^ vol,tilifation. Effets du
de l'air, néceffaire pour p uvraCe de M. Darcet renier-
feu fur le ruta & le M f e m fel] de porcelalne fur la plumant
des «P*” ' " icieufts. La volatilité du diamant attri-
ï 3" Î k nrowiété phofphorique , unie à une manere tres-
a f f t L t homoaene. lbid. t. Les expériences préeédemes
nroue le diamant n’eft point une pierre vimfiable,
a f ™ïï,ïoM fa faùé requife pour entrer feul en M on a tjuel-
’ qu f ?u- ce foit, 8t que, quelque feu que 1 on imagine ,
rn f fa u r o it pMÙim par la V o n d’uni terre vitrihable
pure.undiamant. Conjeàure fur la formation de cettep.erre
^ um ^ r iôtvm g id eT a ve rn ie r fur les mines de diamans
, /-olconde XVI. 876. a. Diamant qu on voyoït dans le
1 •« !w 91 à Florence. VI. 877. a. Défaut dans.les diamans,
appellé glace. VII. 687. u.Diverfes obfervations fur ie diamant
& fur l’art de le tailler. XII. 5 9 5 .* .- • if- -• ?rogr«
a s a m dans cet art. VIII. 849. a D e fa maniéré de,
uavailler le diamant. IX. 18a. «, b. T a b l e du diamant. XV.
801 a Procédé par lequel on change le faplur en diamant.
XIV. 634. a. Comment on faifoit paffer autrefois les touafes
& les iaphirs fous le nom de diamans. XVI. 4>7- a- De la
eravure lbr le diamant. XIL 588. b. Expériences chynuques
laites fur le diamant. 594. *• Dbimans remarquables repré-
fentés vol. VIII des planch. Orfevre-jouailber, pl. 1 & 2.
D iam a n t , (PM r r «»m ® IV. 94-. a.
D iamant. ( Tireur ¿or.) IV. 941. a.
D iamant. (Vitrier.) IV .941. a.
DIAMANTAIRE. Àdreffe des diamantaires Indiens à ca-
cher les défauts de leurs diamans. IV.041. a.
Diamantaire, moulin de cet arnfte. X. 815. b. Lien de ter
qui unit le bras avec le coude de 1 arbre de la grande: roue.
V. 764. a. Tenailles. XVI. 1 2 4 .a, b. Bâton a égnfer. II.
14«. a. Outil appellé coquille. IV. IÇ3* a‘ H g g les Plan*
ches du diamantaire dans le vol. III des planches.
DIAMASTIGOSE, (Hift. anc.) coutume par laquelle les
jeunes Lacédémoniens fe déchiroient à coups de fouet de*
vant les autels. Etymologie de ce mot. IV. 941. a.
DIAMETRAL, nombre. (Arithm. ) XI. 204. a.
DIAMETRE, il divife la circonférence en deux parties
égales. Trouver le rapport du diametre à la circonférence.
Méthode d’Archimede. Ce rapport eft à-peu-près comme-7
à 22 félon Archimede, ou comme 113 2 355 félon Adrien
Menus. Le diametre d’un cercle étant donné, en trouver la
furface & Taire. Cette aire étant donnée, en trouver le diamètre
Diametre d’une feftion conique. Diametre tranfverfe
d’une hyperbole. IV. 941. b. Diametre conjugué. Diametre
d’une fphere. Diametre de gravité. Diametre de rotanon.
Diametre d’une courbe en général, voyeç C o urbe. Un peut
imaginer à une courbe un diametre curviligne, qui coupe
toutes les ordonnées en deux également, lbid. 942. a. _
- Diametre t trouver le rapport du diametre du cercle à fa
circonférence. II. 834. b. Diametre de gravité en mécham-
que. 824. b. Diametre conjugué dans les ieâions coniques.
IH. 883. *• -
D iametre , ( Aftron. ) des diamètres apparens. Ceux d une
•planete font en raifon inverfe de fes diltances réelles. Diamètres
apparens de chaque planete. IV. 942. a. Leurs dia-
nietrés réels. IV. 942 b.
D iametre des planetes y (Aftron.) diametre apparent.
Màhiere de déterminer celui du foleil, par l’obfetvadon de
Ton paffage au méridien, lorfqu’il eft dans l’équateiir & dans
les autres cas. SuppVW.71%. b. Les diamètres apparens d une
planete font en raifon inverfe de fa diftance. Méthode pour
trouver'le véritable diamètre desplanetes ou leur grand«»
réelle, par la connoiflance de leur diftance & de leur diametre
apparent. Table desjdiametres .apparens xles plane-
'tes, réduits à la diftance moyenne du foleil à la terre, ou
tels qu’ils parôîtroiènt ft les planètes.1 étbient toutes a la
même diftance que le foleil. Diamètres apparens des étoiles
jncliirés avec les plus grandes lunettes, lbid. 713. a.
Diametre. Moyen de connoître les demi-diametres des
planetes dans leurs rapports avec celui de la terre. IV. oi 1.
• b. Diamètres des planetes, voyez leurs articles ; 8c Suppl. IV.
■ 399. ¿. 400. ¿.Diametre du foleil. Suppl. IV. 804. b. Angle du
demi-diametre apparent du foleil. I. 463. a. Diamètres apparens
du foleil, de la lune , de l’anneau.de faturne. 544.
b. Le diametre vertical du foleil trouvé plus grand que l'horizontal.
V 1U. 103. b. Pourquoi les diamètres du folcil8c.de
D I A
la lune paroiffent plus grands Vers f hqrizon à la vue fimpjg.
que lorfqu’ils. font plus élevés. IV. 1032. b. XVII. 3 41.
566. b. 368. ¿. Variation dans le diametre apparent de la
lune. Suppl. III.813. a. Maniéré de le mefurer. lbid. Dia*
metre de la lune, diminué par l’inflexion des rayons folaires
dans les éclipfes de foleil. 601. a. Dilatation prétendue du
diametre des aftres par l’éclat de la lumière qui les environne.
Suppl. II. 721. b. Suppl. III. 66%. b. Infiniment pro*
pre à mefurer avec une extrême jufteffe les diamètres des
aftres. VIII. 102. b. Suppl. IV. 623. b.
DIANE, ( Art milit. ) devoirs des compagnies du corps de
garde, lorfqu’on bat la diane. IV. 942. b.
D ia n e , ( Myth.) hiftoirede cette déeffe. Un enfant mis
à mort à Athènes pour avoir ramaffé une feuille qui s’étoit
détachée de la couronne de la ftatue de Diane d’Athenes.
Temple de la Diane d’Ephefe ; il paroît que fa ftatue étoit
un fymbole de la nature. Ce temple brûlé par Eroftrate,
IV. 942. b. , ga
Diane. Ses traits caraôériftiques. Suppl. III. 157. b. Origine
du nom de cette déeffe. VI1L 445. b. Symbole de
Diane. XV. 730 b. Ses fumoms. Diane agrotere. I. 190. b.
Diane anaïtis. XVI. 67. a. Diane anaïtis, anoefis, anitis &
nanée. Suppl. L 382. b. Aphée. 482. a. Ardoïna. 343.
Aricine. I.630. b.Suvpl. I. 53 6. a. Diane bubafte. II. 434. a.
Diane furnommée Chia. 111. 12.6. a. Chitone, 338. a. Con.
dyleatis, 844. b. Coloéné. XIV. 632. a. Diane étrufque,
Suppl. II. 902. b. Cette déeffe nommée Hécate. VIII. 93.
a, b. Hegemoné,95. b. Hymnode,397.a. Diane Lyfizona.
XVII. 326. a. Lucifere. IX. 712. b. Diane orthienne. XI.
667. b. Diane furnommée Panagée. XI. 807. b. Pollene. XII.
286. b. Pergée. 334. b. 333. a. Perfique, 420. b. Diane far-
pedonienne. XIV. 66%. b. Diane de Scyo. VL 86. b. Diane
de Segefte. VII. 442. a. Cette déeffe furnommée Tauropolc.
XV. 943.«. & Triclaria. XVI. 634. b.Sestempies.XVL 70. a, b.
Fameux temple deDiane à Ephefe. V. 773. a , b, XVI. ji.a , b.
Lieu où elle reçut le premier culte. XVI. 263. b. Defcrip*
don de fon temple à Trezene, 684. b. Temple 8c ftatue
de Diane à Stymphale. XV. <38. ¿. Temple queXénophon
lui confacra. XVI. 64. b. Sa ftatue traniportée de Tauride
dans l’Attique par Ipldgénie. II. 406. b. Comment la Diane
d’Ephefe étoit repréfentée. XV. 730. b. Ses fîtes & facrifices.
Fêtes de Diane nommées Canéphories, II. 596. a. Elaphé-
bolies, V. 441. b. Éphéfies, 773. b. Tauropolies, XV. 943. a.
Proceflion 8c facrifices en fon honneur à Lacédémone. II.
317. b. IV. 941. a. IX. 157. a. £ 111. 406. a. Sacrifice tau-
rique en fon honneur. XV. 942 .a. Chaffeurs dans les Gaule»
qui facrifioient tous les ans à Diane. XVI.918. b.
D iane, arbre de ( Ckymie") I. 390. a. IX. 740. b.
DIANTHON, (Pharm.) nom d’un antidote. Manu»
de le compofer.1V. 943. a.
DIAPALME, ( Pharm.) pourquoi cet emplâtre eft ainfi
nommé. Sa compofirion. Sa propriété. On lui préfère 1 onguent
de la mere. Cérat de diapalme. IV. 943. a.
DIAPASON, (Mufiq.) intervalle de l’oftave félon les
anciens. Tables dont fe fervent les fafteurs d’inftramens de
mufiqiie. Etendue des ions convenable à une voix ou a un
inftrument. IV. 943. a.
D ia paso n. -( Fondeur de cloches') IV. 943.^.
D iapason 9 -(Orgue) defeription de cet inftrumentL*
longueur 8t la largeur du plus grand tuyau d’un jeu étant
données, manière de trouver celles de tous les autres qui doivent
être femblables. IV. 943. a. Syftême diatonique,ou
trouvent les intervalles diatoniques, les rapportsdes ions oc 1»
noms des ions. lbid. b. Les tuyaux confiants fur les m jw g
trouvées par la méthode qu’on indique ici, feront ^ _
¿les , 8c en raifon triplée inverfe des -termes des rapp, •
Ils rendront des fons qui feront dans les mêmes .raPP°^t^nt.
■les nombres qu’on aura employés. Nombres qui ,£®nt' e
le fyftême tempéré. Nombresqui font lu^partmon deJ
on douze femi-tons égaux, lbid. 944. ¿. Mapiere r0^,urSi:
-ufage de ces nombres.-ufage c Examen de la pratique «es
our trouver le vrai'diapafon-des jeux-
Manche de l’orgue. XI. 639. «. . m()tt
DIAPENTE, ( Mufeq. ) étymologie 8 c fens de ce m
IVD?APHANÉITÉ, (PM<1.) en quoi elle c o n « ''
les Cartéfiens. CommcnrNewion l’espnque. i v . 94 rStf-
O p a é i t î , C o u l e u r , T r a n s p . r in g e . - . de
DIAPHCENIX , (Pharm. Mol. nid.) «ea»«irejj*
dattes. Etymologie de ce mot. Defeription de cet ilett
Cas où l’on emploie ce purgatif. TV. Ç4V f- V
DIAPH0 RÉT1QU E , rtmeie. Voyez SUDOMFtQUE »
D DIAPHRAGMATIQUE, {Anet. )
T u ^ n t V côtes & du dtaphtagntc
D I A
V annortet quelque obftacle. On ne peut prouver que
f^Ûmhraeme foit Un mufde infpSateur & expirateur. Exem-
v nul f it voir l’ufage de cette cloifon dans la refpirattoii,
, .. Les mouvemens du coeut & du diaphragme
font indépendans l’un de l’autre. lbid. i.
D i a p h r a g m e , ( Anotom. PhyfioL,) c’eft aptes le coeur le
nriuclpal mufde du corps humain : U ne fe trouve cependant
Sue dans les quadrupèdes à fang-chaud. Defeription de
?ette patrie, de fes fibres, de fes arteres.de fes veines Se
de fes nerfs. Suppl. II. A /M- *• “ E4'
riences fur le nerf phréneuque. lbid. pib. a. Détails fur
l’adion du diaphragme, & fesJonfUons. lbid. b.
Diaphragme, fa defeription, VUI. 271. b. Partie dans laquelle
les queues des mufcles du diaphragme fe rencontrent. II.
828. a. Jeux de la nature fur cette partie. SuppL III.
<ei b. Obfervations phyfiologiques fur le diaphragme. SuppL
il. 8ço a. b. Fondions étendues de cet organe quon peut
regarder comme le vrai centre du fyftême nerveux 8c apo-
névrotique. V. 792. a. Importance de cette parnepar rapport
aux fondions vitales. XI. 363. b. 3,66. a. XV. 436. a.
Le diaphragme n’eft point le moteur de la machine animale.
Suppl.IL b. Sapreffionfur leftomac. 876. b. Son m-
fluence fur ToefQphage. Suppl IV. 119. b. 8c fur la refoi-
ration. 61^. a. Expérience fur le diaphragme. 42. a. Ses maladies
ne caufent point de délire, Suppl. II. 839. a. Mélancolie
qui fut l’effet ou la caufe d’un abcès dans cette partie.
lbid. De l’inflammation du diaphragme. XI. Pourquoi
cette inflammation c?uife la phrénéfie. XV. 738. a. Des
plaies du diaphragme. XIL 684. a. Elles ne font point mortelles.
Suppl. H. 839. b. Sur le diaphragme, voye^ Phre-
D ia pHRAGME , ( Marich.) rupture du diaphragme. Suppl.
III. 422. b. ■ ‘ I j , , .
D iaphragme , (Optiq.) anneau de métal ou de carton
placé dans une lunette pour intercepter les rayons trop éloignés
de Taxe. Etymologie du mot. Suppl. II. 717. b.
DIAPHOPESË, (Médec.) toute évacuation qui fe fait
par l'habitude du corps humain. Ce qu’on entend par remèdes
diaphoniques. Iv . 94^. b. #
DIAPHTORE, (Médec.) étymologie de ce mot. Sa lignification
dans Galien, dans Boerhaave, 8c dans Hippçcrate.
IV. 946. b.
DlAPNOIQUEv voyeç Sudorifique.
DIAPRÉ. (Sla/on) IV. 946. b.
D iapré , (BlaJ'on) fignification8c étymologie deçe mot.
^W{ ? IA P r5n ü M , (Pharm.) éleéluaire dont les pruneaux
font la bafe. Diaprun fimple, 8c diaprun purgatif. Compofi-
tion de l’un & de l’autre. Le fécond eft un purgauf affez
fort. ÏV. 946. b. . . . vt
DIARRHÉE, (Médec.) étymologie de ce mpt. Npms que
Hippocrate, Galien 8c Celfe ont donné à cette maladie. La
diarrhée dïftinguée de la dyffenterie, de la hentene, 8ç de
TaffeéUon coeliaque. Prefque toutes les humeurs peuvent être
portées par leurs vaiffeaux dans les inteftins : la matière de la
diarrhée peut donc être de différente nature, félon fes différentes
caufes. Ce qu’on entend parmi les médecins par le
mot de diarrhée fpécialement pris. Trois chofes à cpnfidér
rer dans les diarrhées ; les matières de Tévacuaupn, les parties
du corps qui les fourniffent, les caufes qui les raflent"
blent dans les inteftins. . , . . , . .
L Matières de l’évacuation. La mucofité qui fert à enduire
la membrane des narines 8c de toutes les premières voies.
IV 047 a. La falive 8c les différens fucs digeftifs de nature
lymphatique; la bile hépathique, lorfqu’elle eft bien délayée.
£a lèrofité du fang épanchée dans quelque cavité, 8ç qiu
étant repompée par les veines , peut être portée dans le
canal inteftinal. La bile cyftique ,lorfqu’elle vient a contra-
ôer trop d’âcreté. Des abns rompus dans les premières
voies, de petits ulcères qui y ont leur écoplement. La graille
rendue plus -fluide par la chaleur de la fièvre, &c. Les ma- ;
ticres morbifiques en général. _ .
JI. Diverfes parties du corps qui foumijffnf ces /ftqtifres. ,
Comment les mucofités peuvent être portées .dans Içs ipte-
ftins. Jb'uf. ¿. Communication du foie avec les boyayx, par
laquelle la bile peut y être portée en graphe, abondance.
Rameaux par lefquels les ¡humeurs peuvent reflPer dans le?
boyaux, quand leur co um n’eft pas libre dans la-veine-porte
ou dans les artères méfentériques. Comment les humeurs
peuvent¡êttê portées dans les inteftins, foit à caufe du relâchement
des vaiffeaux 8c autres colatoires des inteftins.
Exemples-tirés de l’ufage toep fréquent des purgatif, 8c de
ce qui arrive dans le choiera morbus. m | H | |
III. Caufes de cette maladie. La première a heu. torique
les humeurs fonfedéterminées à fe porter vers la cavité dçs
entrailles, en plus grande abondance que dans letatnaturel,
8c qu’elles ne font pas pompées par les pores des inteftins,
D I A
dont faction, n’eft-pas affez forte, pçur ïès àppliquer aux
vaiffeaux abforbans, de nianiere à les ÿ faire pénétrer. lbid.
948. a. La fécondé , locfque le mouvement pèriftaltique dej
inteftins eft tellement augmenté, que lés mâtieres (ont portées
avec trop de rapidité pour pouvoir être appliquées à
l’orifice des vaiffeaux abforbans, de maniéré à^y penétref.
La troifieme, ïorfqqe le paffage dans les vaifleaux abforbans
eft empêché , de maniéré que les. lianides contenus
dans les inteftins , n’y peuvent pénétrer, lbid. b. Ces trois
daffes générales des caufes de 14 diarrhée, renferment un .
très-grand nombre de différentes caufes qui s!y rapportent
Enumération de ces caufes particulières. La diarrhée admet
bien des différences par rapport à fes effets. En quels cas
elle pçut être falûtaire ou cfangçreufe. Maxime d’Hipuocrate
très propre à diriger fe médecin dans le prognoftic aê cette
maladie- Diarrhées morteiles, lbid. 949. a. De la diarrhéô
colliquative. De la diarrhée aqueufe. Durée, de cette maladie
au-delà de la.quelle elle devient nuifible. De la curation
de la diarrhée : Remedes à employer, lbid. b. Obiervations
particulières fur la curation de cette maladie. lbid. 930. b.
Diarrhée, ce qui la diftingue delà dyffenterie.' V. 177. b.
178. a. Diarrhée des femmes en couche, VI. 480. a. Diar-
I rhée laiteufe. Suppl. II. 700. b. Diarrhée des phthyfiques :
éleâuaire contre cet accident. XII. 333. ¿. Des crifes qui
s’opèrent par la diarrhée • caraftçre du pouls qui les précédé;.
XUI. 233. a. Fievre diarrhétique. VÎ. 726. b. Sorte de diarrhée
connue fous le nom de flux hépathique. VIII. 134. ¿*
b. Spécifique contre la diarrhée. XV. 444. b. Vertus merr
veilfeufes du codaga-pale contre la diarrhée, manière de
TempÎoÿer. fil. 570. a. L’éqûitatioy, iqjutaire dans les diarrhées
invétérées* f i ’ 848. a y by Scc. Voye\ F lu x DE
VENTRE.
DIARRHODON, (Pharm.) préparations officinales ou
entroit la rofe rouge. Trois coinpofitions officinales de ce
nom dans les anciens difpenfaires. Defeription de la poudre
diarrhodon Abbatis de la pharmacopée de Paris. IV. 930. b.
DIARTHROSE, (Anatom. ) efpece d’articulation des os.
Etymologie de ce mot. Elle eft oppofée à la fynarthrofe.
Elfe eft ou manifefte avec grand mouvement, qu obfcure, avec
petit mouvement. L’une 8c l’autre eft encore de trois fortes*
qu’on appelle e/\arthrofe, arthrodïe , 8c ginglyme. Voyez ces
mots. f v . 930, b. ' .
Diarthrojc, fynarthrodiale, aym nommée amphiarthroie.
D?1 sC0 RDIUM, ( Pharm. ) préparation officinale, dont
lé feordium eft un ingrédient. S04 auteur. Son fréquent ufage.
Defeription du diafcOrdiym, félon la pharmacopée de Paris.
Propriété de ce remede. Dofe ^u’on en peut prendre. IV.
9^DIASEBESTEN > ( Pharm.} ingrédiens de cet élc&uaire.
S^ £ ? PM N D O N è E ^ t ( Hijl. anc.) defeription de ce
cruel fupplice, que Ton croit être venu de JPerfe. IV. 931.0.
DLASTASIS, ( Chif. ) efpeçç de luxation. M* Cr°ft
le diaftafié des os de l^vant-bps impoffble ; cépendantil a
trouvé'une èfpécede diaftafisqui n’étoit pas'l’effet immédiat
d’une cbûte ou d’un effort. Diaûafis du pié. IV, 931. bf ‘
DIASTOLE, (Phyfioloéie) étymologie de ce mpt. Mou*
vement oppofé appellé fyftole:. De la dHatanon ou diajlole du
coeur. Sa caufe dans le fang qui eft porté par les veines dan»
les ventricules. Caufes quî peuvent s’oppofer à cette dilatation.
IV. 931. b. Il n’y a dans le coeur aucifoe force qui fevopie
le mouvement de diaftole. Au contraire, la réfiftance qu d
v apporte augmente à proportion des divers degrés dattion
contre fes parois intérieures. Phénomènes quon obfervp
dans les mouvemens du coeur d’un chien qp’on a
vivant. Ces mouvemens donnent lieu à la pullatiçn, Jgm
o< 2. ¿. 8c à l’a&on du pouls. Le coeur eft toujours dans un
état violent, tant que h vie dure; il Içft aPrè? la
" L m i t , (Écou. Phyfi-l) obiervations fur S f e
cle dè l’EucyclopÉdie. K Sur la vraie caufe rie la diaftole
du coeur.
S , ‘ tû foudi daus la’ nature des uUdcles, & la dilatatioh
eft nue fuite de ce relâchemeur, iorfqud fe trouve unp
liqueur à portée de remplir Je coeur , dont iaféfiftauee a
confidérablement .djmiqué. Suppl. II.e,7 I7‘A* . , ^ :
' Diaftole. mouvemens de ^ 9e .Wp1b
c - I r n agî a b III.' <04. ¿.Effet nàtürçl de ce mouv^-
h Lé doâeur Dfpke a expliqué admirablement le mouvement
de diafiole. DE 594- d- Séntimdnf de Lower, ac Cou--
' er ¿ d e quelques phyficiens fur la eaûije de ce mouvement,
u w e l u utqffe de l’atmofphereJRrpit'.étrc le véruab|e
anneopifie de tous, les mùfclés qui .fervent à I mfpirat.on
o rd iS e , & à la coutraftion du coeur, j f -
don regardée comme. Ja vraie caufe. de la diaftole de
mufete. XIV. 183. a. Veyn P u ls a tio n .