
2 9 8 e h I C H E
Papülon qui en provient. Nids que les femelles arrangent”
Tcms où les oeufs éclofent. Comment les petites
cheni lies s’arrangent pour manger la feuille où elles fe trouvent
en naiffant. lbid.b. Nids 8c toiles qu’elles fe forment. Tems
où elles s’y retirent ; celui où elles en fortènr. Au ëôininen-|_
eement de juillet elles forment des coques pour fe transformer
en chryfalides. Chenilles oui vivent dans leau, &
qui sV formeht eh chryfalides. Clien. les ou, vivent dans
les -tiges, les branches , les racines, les fruits des arbres.
Chenlle qui vit dans le blé. lUd. 294- « ^averfion que
quelques perfonnes ont pour ces mlefles nefi que 1 effet
de la prévention. Quel eil le feul nique a courir en les touchant
Ufage du,perfil contre la deraangeaifon que quel-
ques-unes caufent. Les nids dans lefquels elles font entrer de
leur poil, font encore plus à craindre. Les chenilles rafes
ne peuvent faire aucun mal à.ceux qui les touchent, pas
même à ceux qui les avaleroient. Faujfes chenilles , infeéles
qui leur reflbmblent à certains égards , & dont il vient des
mouches au lieu de papillons. £n quoi elles différent des
chenilles.-Ibid. b.
C h e n ille . ( InfeSol. ) On a lieu de fonpçonner que plu-
fieurs efpeces de chenilles peut-être même toutes celles
dont les papillons font, phalenes, peuvent provenir d’oeufs
non fécondés ou pondus làns accouplement.— Obfervations
fur lefquelles cette conjeâure eft fondée. Suppl. II. 387. A- Si
les expériences entreprifes d’apr.ès ces obfervations n’ont pas
toujours eu le même fuccès, c’eftque peut-être une même
fécondation fert pour deux ou trois générations, Scn’a plus
d’efficacité; au-delà de ce ternie : peut-être auffi les effais infructueux
ont-ils été faits fur des papillons diurnes. Ibid. 388.
a. Au refte , quelqu’un qui n’a pas voulu croire qu’un papillon
puifle produire des oeufs féconds fans accouplement,
a convenu du moins qu’il y en a d’hermaphrodites pour les
couleurs. C’eft un point qui invite à des recherches ultérieures.
Ib id, b.
Chenilles, nombre des jambes de celles qui fe convertif-
fent en papillons. XI. 87a. b. Rampement des chenilles. XIII.
787. a. Stygmates & refpiration de ces infeéles. XV. 518. b.
vers que les chenilles nourriffent quelquefois dans leurs
entrailles. XVII. 41. a. Chenille de pin. XII. 634. b. Obfervations
fur la petite chenille épineule qui eft en fociété fur
l’ortie. 796. b. Chenilles que M. Tillet a trouvées fur le
grain ergotté, V. 907. a. Des. chenilles qui fe logent dans
des fruits. UI. 357. a. Chenilles arpenteufes. Suppl. 1. 568. a.
Chenille qui s’attache à une efpece de banannier. 780. a.
Chenilles des papillons ou lépidoptères. Suppl. III. 729. a.
Une bonne obfervation du changement du ver à foie peut
donner une idée générale des changemens de toutes les chenilles.
XVII. 40. a. Expériences qui prouvent qu’on peut
faire du papier avec la foie de la chenille commune. XI.
847. a. Ufage de la houille pour'tuer les chenilles qui s’attachent
aux légumes. VIIL,324. b. Arrofemens qui détrui-
fent ces infeétes. Suppl. I. 578:. 4, ¿.
C henille, ( Çonchyliol.j le vrai nom de ce coquillage
repréfenté vol. VI des pl. d’hift. nat.pl. 6ç. eft Popel. Suppl.
II. 388. b. Voyc{ ce mot.
C henille, (Botan.) Caraéteres de ce genre de plantes.
III. 294. b.
C henille, {Ruban.)petit ouvrage en foie, &c.III. 294. b.
Maniéré de faire de la chenille. D’où dépendent là groffeur
& fa beauté. Le mêchaniûne félon lequel elle fe travaille,
eft le même que celui dont on couvre les groffes cordes
d’inftrumcns avec le fil d’argent ou de laiton. Pourquoi cet
ouvrage s’appelle chenille. Ibid. 295. a.
C henille , § Pajfement. ) maniéré de fabriquer la chenille.
XII. 131. a.
CHENISQUE, efpece d’ornement que les anciens prati-
quoiént à la poupe de leurs vaifTeaux. Dérivation de ce mot.
L’étymoïogie de ce mot place le chenifque à la proue. III.
a9S- a- '
CHEOPS ou Chemnis ( Hijl. des Egypt.) premier roi de
la vingt-unieme dynaftic. Son caraftere odieux. Pyramide
qu’il fu conftruire. Suppl,. II. 388. b.
CHEPTEL, ( Jurifp. ) bail à cheptel. Ce contrat reçoit
différens noms , félon. les différentes provinces où il eft
ufité. Etymologie de ce mot. Origine de ce contrat. Coutumes
où il eft ufité. Sa nature. Comment ces fortes de baux doivent
être paffés. On en diftingue deux fortes , le fimple & celui de
métairie. Ce qu’on appelle bail, à moitié, en fait decheptel.
III. 293. b. Cheptel affranchi dont parle la coutume deNiver-
nois, ce qu’on appelle en Berri & ailleurs bêtes de fer. Obfervations
fur les effets des différentes efpeces de cheptels &
tle baux. Ce qui arrive fi le cheptelier difpofe des beftiaux
en fraude du bailleur. Ce qu’on entend par le croît & le
profit. Dans le cheptel (impie, le croit & le profit fe parta-
• gent entre le bailleur 8c le preneur , &c. Ce qu’on appelle
droit de moifon. Dans le cheptel à moitié ou affranchi, la
.perte des beftiaux eft fupportée de; moitié entre le bailleur
& le preneur, &(. Dans le fimple, la perte tombe fur le
bailleur, 6c- Ce que porte Y article jss de la coutume dé
BourbonnOis. Ibid. 296. a. Ouvrages à conlulter. Ibid. b.
Cheptel, exiguë du bétail donné en cheptel. VI. 2™ ||
CHEQ, ou Cherif, prince ou grand-prêtre de la Mecque*.
Préfens qu’il reçoit. Il eft obligé de défrayer pendant dix-
fept jours toute la caravane qui fe rend chaque année à la
Mecque. III. 296. b. >
CHERASCO, ville d’Italie. XIII. 698. b.
CHERBURY, ( Herbert) fa patrie : fes ouvrages. VII. 448. ¿ 1
CHER-CENS, ( Jurifpr. ) dans la coutume d’Orléans, fe
dit d’un cens plus fort que le cens ordinaire, &c. Rentes
feigneuriales qui reviennent au même que le cher-cens
d’Orléans & le cher-prix de Blois & de Dunois. IÜ. 297. a.
CHERCHE, on donne ce nom, i°. aux différentes courbes
félon lefquelles on pratique le renflement léger qu’on
donne aux colonnes; 20. au trait d’un arc furbaiffé ou rampant
, &c. 30. au développement de plufieurs circonférences
fait félon quelque ligne verticale, &c. 40. au profil d’un contour
courbe découpe fur une planche, &c. III. 297. a.
CHERCHÉE, \Alg. 6 Gèom.) ce qu’on appelle quantité
cherchée. On diftingue dans un problème les quantités
connues & les cherchées. En quoi confifte l’art des équations.
III. 297. a.
CHERCHE-FICHE, ( Serrur. ) defeription 8c ufage. III,
297. b.
CHERCHEURS, hérétiques : ce qu’ils penfent des diver-
fes églifes chrétiennes. Ils font danç le chriifianifme ce que
les feeptiques font eil philofophie. Il s’en trouvé en Angleterre
& en Hollande, rlus l’incrédulité fera grande, plus le
nombre de chercheurs fera petit. III. 297. b.
CHERIF, ou Sherif , titre fort en ufage chez les Maho-
métans. Ce qu’il fignifie en Arabe. Il fe donne au fouverain
de la Mecque. Princes d’Afrique auxquels on le donne : de
qui ces princes fe difent defeendus. III. 297. b.
CHEnlLLE, obfervations fur ce poëte grec & fur fes
ouvrages. VIII. 468. a.
CHÈRMEZ, (Géogr.) lieu fitué dans l’éleétion d’Angou-
lême. Suppl. IV. 783. a. Son ancien nom. Ibid.
CHERN1PS, ( Mythol. ) obfervation fur cet article de
l’Encyclopédie. Suppl. II. 388. b.
CHERONDE, article de l’Encyclopédie, life^ C heronée.'
CHERONÉE, viétoire de Philippe à Cheronée. VII. 914.
b. Suppl. IV. 325. a.
CHERSONÉSE, voyez Presqv’isle & Q uersonese.
Cherfonefe cimbriqùe. III. 452. b. Cherfonefe taurique ,
aujourd’hui Crimée. IV. 470. a. Ses habitans. Supp'l. IV.
228. b. Cherfonefe d’or des anciens; c’eftl’ifle de Sumatra
félon Maffæi. XV. 658. 4.
CHERSYDRE, ( Hijl. nat. ) defeription trés-incomplette
que les anciens nous ont donnée de cet animal. Les anciens
n’ont point reconnu la néceffité de décrire avec exaétitude
les objets de la nature qu’ils avoient continuellement fous
leurs yeux.-III. 298.4.
CHERTÉ, des denrées : en quels cas elle eft avantageufe
à l’état. VIL 830. b. &c.
CHERU, ( Botan. ) arbre du Malabar. Ses différens noms.1
Sa defeription. Suppl. II. 388. b. Sa culture, fes qualités &
ufages. Ibid. 389.4. Seconde efpece. Bibo, en quoi il différé
du cheru. Claffification de ces efpeces. Ibid. b.
CHÉRUBIN, ange du fécond ordre de la première hiérarchie.
Etymologie du mot. Divers fentimens fur la véritable
origine du mot hébreu. III. 298. 4. Comment les peintres
repréfentent les chérubins. Ce que dit Jofephe de la figure
des chérubins qui couvroient l'arche. Celle des chérubins
que vit Ezechiel. S. Jean , dans l’apqcalypfe, les nomme
des animaux. But des écrivains facrés en employant ces fym-
boles. Il falloit au peuple hébreu des images fortes pour lut
-peindre des objets incorporels, &c. Ce qu’entendent quel-
.ques-uns par le chérubin placé à l’entrée du paradis ter-
reftre. Ibid. b.
C hérubin, ordre militaire de Suede; autres noms qu’on
lui donne. Son inftitution. Il ne fubfifte plus depuis que
Charles IX introduifit dans fes états la confefiion d’Augsbourg.
Ouvrage à confulter. III. 298.-b.
CHERVI, (Botan.) caraéteres de ce genre de plantes.’
Qualité très-faine de fa racine fervie à titre d’aliment. Maladies
pour lefquelles elle eft recommandée Ses propriétés. On
en a retiré un beau fucre blanc. Ouvrages à confulter. III.
299.4. ; ’
Chervi, defeription de la feule efpece de ce genre de
-plante, connue de Toumefort. XV. 228. b. Sucre qu onen
tire. 617. b. ■ . . .
CHESAL, Ch'fau ; ChifioUe', ( MfP- ) Γ
mot. Ces termes fignifioient une habitation en général. Application
particulière qu’on en fàifoit. Lorfque les feigneurs
affranclilrent leurs & f s , ils « réftrverent les mêmes droits
qu’ils avoient fur leurs renemeus qui retmrent rou,ours «
nom de chlfiaux. Oii il en eft parlé. III. 299. «. Il paroir qua
les sbéfeaux étoient originairement d une yaleur egaiei.
C H E W" SuÆ r cîï li DtENA ( SGintÏturSare)i fasme“ux,* ch"iru’rg"ien ‘an grlois: ’
CHr Tail n « éris I. 87a. a , b. XV. 27. n. Ses ouvrages
. annîmniques. Suppl. I. 405. b. & phyfioldgiqucs. SUppl. fa.-
3!CHESIADE ; obfervation fur cet article de l’Encyclopédie.
S“fH K N Ù v ' , canal de plomb..'.. pour receveur les eaux,
f e C h r fn e a u x àbaveues, chefneaux à bords. Chefiieaux en
KrCmsNEAvT(îwct,S) mé9decin : fes ouvrages. VU, pag: 1.
^rH^SNEGHIR-BACHI, un des douze principaux officiers
¿e laiourdu grand-feignenr. Sa dignité. Dérivauon de ce
" ’ cHEVaIjÊ v"( Jurifpr. ) fignifioir autrefois le chef-cens
Autre droit déftgné par ce mot. Ou il en eft parlé. III. b“l = c d e BSE1
f i Ê S M o d e l f ^ S a ^ | | on
Deut rapporter tous les autres chevaux pour juger de leurs
nerfeéiions & de leurs défauts, lbid.b. Chevaux arabes. Ce
font de tous ceux que nous connoiflons les plus conformes
à ce modèle. Chevaux barbes , plus communs que les arabes.
leur defeription. Ceux du royaume de Maroc ^ e n t pour
les meilleurs. Cheyaux turcs : leur defeription. Cheval dEf-
paene. Ils tiennent le fécond rang après les barbes. M K
îription. Ibid. 301. a. Ils ont rarement les jambes blanches
«chinez blanc. Les Efpagnols ont en averfion cetimches .
ils eftiment les zalns. Marque qu on leur fitt à U ciuffe. Ceux
de la haute-Andaloufte paffent pour, les meilleurs,.Les chevaux
d’Efpagne ont plus de foupleffe que les barbés : on les
préféré à tous les autres pour la^guerre , la pompe & le
maneee. Chevaux anglais : ils font allez reffemblims aux arabes
& aux barbes : en quoi il en différent : leurs qualités. Chevaux
d'Italie : leurs caraReres : pour quel ufage on en fait cas.
Chevaux danois : on les préféré à tous pour 1 attelage. Leurs
zaraéleres. Ils font bons pour l’appare.l & la guerre. Chevaux
■d’Allemagne: leurs défauts. Les tranftlvams, les hongrois font
bons coureurs. Les hongrois, cravates 8c polonots font fujets
à-être bézuts. Chevaux de Hollande : bons pour le caj-roffe.
D ’où viennent les meilleurs. Défauts des flamands dans la
conformation. Chevaux de France : les meilleurs chevaux de
.felle viennent du, Limoufin : leurs caraéleres : chevaux normands.
Ibid. b. D’où viennent les bons chevaux de carroiie,
& les bons de tirage. Défauts des chevaux de France.
Des haras. Importance de prendre foin des haras. Manière
d’établir un haras, & d’y foigner les chevaux. Des étalons 6*
des jumenspoulinières. Age où l’on peut permettre aux Çhevaux
d’engendrer. Tcms de la chaleur des jumens : qualités de
l’étalon qu’on doit leur donner , félon le caractère & 1 ulage
des chevaux qu’on defire. Ibid. 202. a. Qualités des jumens
qu’on doit donner à l’étalon. Obfervations à fuivre p°or
parvenir à avoir de beaux chevaux. Sur quoi peut être fondé
rufage de croifer les races , même dans l’elpece humaine.
Eloge de ce qu’ont é.crit MM. de Buffon 8c Daubenton fur
l’hiftoire naturelle du cheval, qu’on fera bien de confulter. Il
ne faut point expofer le poulain à naître dans les grands froids
ni dans les grandes chaleurs. Ufage du cheval, entier pour
choifir parmi les femelles celle qu’il faut donner à 1 étalon.
Soins & attentions lorfqu’on donne la jument al étalon. Ibid. b.
Manière d’employer l’étalon pendant le tems que dure la
monte. Ce quelles Grecs appelloient hippomane. A quels fignes
on reconnoît la chaleur de la jument. Autres obfervations à
•fuivre pour le bon effet de l’accouplement. Accouchement :
■hippomane du poulain. Maniéré de tirer du haras tout le
produit poflible. Diverfes obfervations fur la fécondité des
jumens & ries chevaux. Ibid. 303, a. Des poulains. Leur
éducation. A tout âge & dans tous les tems les chevaux font
farcis d’une telle quantité de vers qu’ils femblent faire partie
rie leur conftitution : il en eft de même des ânes. Opération
d’hongrer les poulains. En quels, pays on ne la pratique point.
Effet' de cette Opération fur le caraâere du cheval. Drefjer
un cheval. A. quel âge ou le dreffe. Ibid. b. Maniéré de dreffer
les çheyaux de felle & ceux de carroffe. Monter un cheval.
Leçon Air la maniéré de commander 8c .de', diriger. Les
anciens furent très-bien fe faire entendre fans, la bride &
l’éperon. Ils n’ont connu que tard l’équitation. Manières
riont ils montoiênt à cheval. De l’ufage de ferrer les che-
vauic parmi les anciens. Différentes manières dont ils les
équipoient. Ibid. 304. a. Combien les chevaux de courfe
étoient eftimès. Comment iis les marquoient. Utilité de la
bridç, Maniéré de monter a cheval & d’en defeendre. Uti-
Wédes'’’e..x..e..r.cer fur un cheval de bois. Moyen pour inftruirc
C H Ë *99
uh régiment, de cavalerie à monter, à cheval. Levons, fur là
maniéré .de fe tenir à chevai, Ibid. b. Sur celle de le: faire
partir & d’en diriger les principaux mouvemens.. Des âllpres
du cheval. Du pas : quel il doit être pour qu’ilô t de lalégé-
reté> de la.feririeté , de l’égalité..Ibid. 305.4. Quelle eft l’allure
ordinaire;,-ries quadrupèdes. Mouvement du cheyai. dans
le "pas! Mouvement du, trot.. Mouvement du galop. Ibid. bi
11 feroit à propos d’exercer les.¡chevaux à galoper-indifféremment
des deux piés de derrière. Gomment doiyent être
le pas, le trot & le galop, pour être bons. Des allures non.
naturelles. De f’amble. Allure fatigante pour le cheval & douce
pour ,1e cavalier. Queis font les .chevaux qui la,prennent;
Mouvemens de l’entre-pas & de l’aubin : quelles en font les
caufes. Obfervations fur la connqijfancc des çhevaux. Signes
qu’on tire du mouvement des oreilles, de la forme des yeux,•
d’une bouche feche. Ibid. 306. §f Obfervations fuf . d’autres
parties du cheval. Des dents du cheval. Moyen de juger de
l’âge. Depuis dix jufqu’à treize à quatorze ans il n’y a plus
d’indice. Chevaux beguts. Ibid. b. Durée de la vie des,chevaux.
Tems de leurs mue. .Cinq henniffemens du cheval. Du
dormir ; de la maniéré de boire; de la maladie appellée,
morve ; fa caufe. Principales marchandifes que le cheval four- '
nit après fa mort. Du cheval, félon la mythologie. Chevaux
fymboliques. Chevaux facrés des Germains. Il y a peu d’anir
maux qu’on ait autant étudiés que le cheval. Il n’y en a point, •
après l’homme, à qui l’on reconnoiffe autant de maladies.
Ibid. 307.. 4. Ouvrages à confulter. lbïd. 'bi _
C h e v a l . I. Defeription de cet animal. De fa conformation :
confidération de fes parties extérieures. Suppl. III. 395. bi
8cc. La tête. XVI. 203. b. 20.4. 4, b. Le front. VII. 339.4-.
Variation dans la couleur des yeux. XI. 389. a. 390. 4. Qualités
qii’ils doivent avoir. 398. a. Nez, parties qui endépeiw
dent. X. 73 6. a. Bouche. II. 349. b. Dents. IV. 840. b. Barres.
II. 92. 4. Goiier. VII. 747. a , b. Mâchoire, voyez ce mot.
Garrot. 519. 4, ¿. Différentes tailles des chevaux. XV. 857.
4. Encolure. V . 630. a , b. Criniere. IV. 471.4. Crins. 470. b.
Croupe! 5 15 .4 , b. Flancs. VI. 842. b. Côtes. Suppl. II. 623. b.
Reins. XIV. 48.. a. Boulet. II. 264. b. Jarrets. VUI. 462. 4,
Hanches. 36. b. Jambes. 442. b. Pié. V. 626. b. XII. 565. 4."
Quartiers du pié. XIII. 692. b. Cara&eres d’un beau pié. VI.
450. 4. Talons. XV. 869. a. Poil. XIL 860 b. Suppl. III. 395*
¿.400.4. Queue. XIII. 707. 4. Anatomie du cheval. Suppl.Hl.
; 377. b. &c. . _ ; - ; .
II. Diverfes obfervations d'hijloire naturelle. Eloge du cheval.
V. 883. b. Suppl. III. 374. 4 , b. 375. 4. Comparaifon de la
force du cheval à celle de l’homme. VII. 122.4. 123.4, ¿;
Prix confidérable de quelques chevaux de l’antiquité. Suppl.
III. 375. b. Attachement de quelques perfonnes pour leurs
chevaux. Ibid. Ebrouement, efpece d’éternument du cheval.
V. 216; 4 , b. Pourquoi le cheval vomit & refpire par les
nafeaux. X. 736. ¿.Du henniffement de cet animal. XVIL,
434. 4. De l’haleine du cheval. VIII. 27. ¿t Ecume fur la
Aiperficie du corps du cheval en fueur. V. 379.4. Sa maniéré
de paître. IV. 838. a. Du fommeil des chevaux. VI. 4 1 4;
Moyen d’acquérir la connoxffançe du naturel d’un cheval;
VIH. 799. b. Réflexions fur la difficulté de comprendre les
diverfes pallions du cheval par les fignes extérieurs qu’il en
donne. VIII. 13 a. a. Examen des défauts & des qualités de
chaque partie du cheval. Suppl. III. 397. a , b. &c. Marques
qui font connoître fon âge. I. 171. 4 , b. SuppL III. 380. b.
Inftruftions très-détaillées fur les moyens de le découvrir;
VI. 445. 4 , b. &c. Parties qui' blanchiffent' les premières^
quand l’animal vieillit. Suppl. III. 400. a. Artifice des marchands
de chevaux pour le cacher. III. 452. b. Efpece de
friponnerie des maquignons, appellée contremarque. VI. 445;
4 , b. Suppl. II. 576. 4. ' . ’
III. Diverfes qualités des chevaux. IV. 268. b. Caractères
des chevaux de différens climats. Suppl. III. 292. a. Qualités
particulières que doiyent avoir les chevaux,'relativement aux
différens ufages auxquels on les emploie. VI. 810. b. 811.4.
Cheval de chaffe. III. 229. a. Equipage du cheval de felle,
vol. IX des planch. article fcllier, pl. 3. Rareté des bons, &
beaux chevaux. V. 753. b. Chevaux béguts. H..J9 *• VL
447. ¿.Balzans.II. 50. b. Travats & traffravats. XVI. <67. b.
<69. b. Cheval bouleté, II. 364.L q^a beaucoup de boyau<
II 388. b. Etroit de boyau, Ibid. bien ou mal coeffé. III.
589. b. Crochu, ou jarretté, IV. 500. ¿. marqué en tête.
VL 66. b. Chevaux appellés belle-face : étoile ou pelotte au
miÛcu du front : cheval qui boit dans le blanc, dans le lait.
357. b. Cheval droit, V. 147. ¿. écouteux, retenu, quife
retient : différence entre ces exprefiions. V. 352. b. Chevai
qui a du feu : en quoi il différé de celui qui a de l’ardeur. -
VI. *635. b. Cheval qui a des maraues de fdb. 636. b. Cheval
qui a un beau mouvement 4 X. 841. b. Cheval fage. XIV.
495. b. Différence entre un cheval de felle & tin cheval de
carroffe.'Süppl. UI. 396. a , ¿. &c. .• a -. jv w
IV. Défauts des chevaux. Des vices & défauts des chevaux,,
8c des moyens d’y remédier. Suppl. III. 416. b. 417. 4, b.
Chevawc qui battent à la main, qui battent la poudre, qui