
20 A ch e ron , ( A/y/ÄA. ) étyCmologHie de ce mot. V. 6 71. b.
Livres achèronriques. IX. 604. a. v
• ACHERUSE, (Géogr\ Hiß. anc. Myth. ) lac d Egypte près
de Memphis. Cérémonie qui fe pradqüöit près de ce lac.
I. 06. a. „
ACHETER, ( Cornm. ) différentes maniérés d acheter.
I. f a à.' -
ACHETEUR, {Jurifp.) paéle commiffoire entre vendeur
& acheteur. XI. 739. 4. Aaion intentée pari’achéteur d’une
chofe défeftueufe, pour faire caffer la vente. XIIL 875. a.
•Prélént que l’acheteur fait dans certains cas à la femme en
fille du vendeur. V. 80-. A Vin X- marche que 1 acheteur
•paie au vendeur. XVII. 300. A , «I H l
■ ACHEVEMENT, {Belles-Lettr. ) ceft dans le poeme
dramatique la conclufion qui fuit l’événement par laquelle
l’intrigue eft dénouée. L’art confifte à faire qu’après le
dénouement., il n’y ait plus aucun doute, ni furies iyitcs.de
•l’aélion, ni fur le fort des perfonnages. Mais foùvent il n’en
eil pas ainfi; &lacataftropnepeut n être pas afféz tranchante
•pournelaiffer rien, à attendre. Suppl. 1. 144.4. L’achevèment
dans la tragédie doit être terrible ou touchant. Il doit être
plaifant dans la comédie , & d’une extrême vivacité. De
Tachevement dans le poème épique. Ibid. b.
■ ACHIAB, ( Hiß. des Juifs. ) neveu du grand Hérode.
Services qu’il lui rendit. Suppl. I. 144. b.
ACHILLE, (Mÿthol.) fils de Thétis & de Pélée. Epreuve
sue cette déeiTe faifoit fubir à fes enfàns. Hiiloire d’Achille.
Obfervation fur les noms de ce héros. Suppl. 1. 144. b. Il fut
‘après fa mort honoré comme un dieu. Tragédies françoifes
fur là mort d’Achille. Ibid. 14$. a.
A c h i lle , ( Myth. ) fa patrie. IX. 294. b. Son amour pour
Deïdamie dans l’île deSyros. XIV. 846. a. Sa conduite après
•qu’Agamemnon lui eut enlevé Brifeis. Suppl. ïï. 71. 4. Son
difeours à Priam après la mort d’Heélor. Suppl. IV. 084. a.
Caraélere que lui donne Homere. Suppl. ÜL 949. a. Chevaux
• d’Achille. Suppl. IL 393. ¿.Defcription de fon bouclier par
Homere. III. 658. ¿.XIII. 607, a. b. VIEL 311. 4. Son tombeau.
XV. 182. ¿.Ifle où 51 ¿toit révéré. 491. b. Tenïplëoù
il étoit défendu de le nommer. XVI. 124. b.
. A c h i l l e , tendon d’ {Anat. Chir.) fa defcription & fonufage.
XVI. 128. b. De la rupture de ce tendon & de fa cure. XIV.
■ 438. b. &c.
A c h i lle , ( Logiq. ) argument auquel on a donné ce nom.
X. 831. 4.
ACHILLÉE , île de ce nom. IX. 436. a.
ACHILLEIDE, ( Belles-Lettr.') ouvrage de Stace en l’honneur
d’Achille. Cet ouvrage doit- plutôt être confédéré
comme une hiiloire que comme un poème épique. I.
97*A
CHIMAAS, {Hiß. facr.) fils du grand-prêtre Sadoc,
&c. Suppl. I. 143. 4.
ACHIMBASSI, ( Hiß. mod. ) nom d’un officier du grand
Caire, préfet des médecins. Cet office- eil acquis par argent,
& exercé en faveur de ceux qui paient le mieux. Suppl. I.
145. 4. -
ÀCHIMELECH ou Abiathar, ( Hiß. facr. ) grand-prêtre
•du temple de Saül. Suppl. I. 145. 4.
A CfflS , .{Hiß. facr.') roi de Geth. Affaires entre lui &
David. Suppl. I. 145. 4.
ACHITÖB, {Hiß. facr.) deuxgrands-prèrres de ce nom.
Suppl. I. 14 ç.-4.
ACHITOPHEL, {Hiß. facr. ) confeiller de David, qui eut
la lâcheté de fe joindre à Abfalon, dans fa révolte. Sa fin
-malheureufe. Suppl. 1. 143. 4.
• ACROMBENÉ , ( Géogr. ) ville capitale du royaume
d’Axim, fur la côted’Or en Afrique. Defcription de ce lieu.
Suppl. 1. 146. 4.
ACHOR , {Mythol.) dieu chaffe-mouche. Pline dit que
dès que les Cyréniens lui avoient facrifié, les mouches
•mouroierit. Obfervarions fur cette relation de Pline. I.
<97. a.
ACHORE,( Médec.) troifieme degré de la teigne. Différence
.entre les croûtes de lait & la teigne. IV. 51 S.a.
m ACHOUROU, {Bot.) efoece de laurier d’Amérique ; on
l’appelle auffi bois d’Inde. Sa defcription & fon ufage I
•-9M - - : -
- ACHROMATIQUE, | Optique ) mot tiré du grec, qui
.lignifie, fans couleur. Limettes achromatiques. Premières
recherches de M.Euler , pour l’invention de ces lunettes.
Suppl. 1. 146. 4. Travaux & fuccès de M. Dollond. Ibib. b.
¡Auteurs qui ont écrit fur la théorie des lunettes àcliromadwSËSSg&
:.deux Iune“s exceUem“ p par Achromatiques , lunettes | g | g | raifon du nom donné
a ces lunettes. Obfervanons fur une de ces machines conf-
tnute en Angleterre très-fupérleute à toutes les auues &
pamenhétement fur fon obreaif. De la manière demefurï
le rapport de la diffufion des couleurs dans les différente,
jnatieres dont lobjeffifeft formé. Suppl, L M7, t “K>
A C I
Remarques fur les oculaires adaptés aux objeâifs achromatiques.
De la maniéré de conflruire d’excellentes lunettes
de poche à objeftif d’un feul verre, & oculaire lunr,l-
concave. Suppl. I. 149- Suite des obferatfons j p g g g
oculaires des lunettes achromatiques. Théone d pu reirnte ia
plus grande perfection de ces lunettes. Ibid. b.
Achromatiques, lunettes, inventées par M. Euler. Suppl. l.
27. b. verre nommé crown-glajf, en ufage pour cette forte
de lunettes. Suppl. II. 656. b. Autre dit fiint-glaff. Suppl. 11 .
33. 4. Article fur les lunettes achromatiques. 813. b. 815. a.
A CH R O N IQ U E , (Aflron.) Foyer. ACHRONYQUE.
ACIDALIUS , ( Valens ) lavant littérateur. XVII. 628. a.
A C ID E , ( Chymie. ) On divife ordinairement les acides en
manifefles & cachés. Marques auxquelles on reconnoit les
acides. L’acide fait l’effence de tout lel. Diftinélion des acicres
en minéraux, végétaux & animaux. Acides minéraux, le
vitriolique. I. 98. a. Le nitreux, l’acide du fel commun.
L’acide fait l’elfence faline des fels des végétaux. Acides
contenus dans le corps des animaux. Ibid. b. Acides fixes ou
volatils. Ufages des acides en médecine. Les acides coagulent
les liqueurs animales. Ils temperent l’effervefcence de la bile
& du fang. Dans certains cas ils font atténuans & apéritifs.
Les acides en liqueur font ce qu’il y a de plus propre à pénétrer
& à diffoudre. Différens degrés de vertu diflalutive dans
les acides minéraux, végétaux & animaux. Ibid. 99. a. Comment
on peut adoucir les acides. Lés acides dulcinés font des
liqueurs fort agréables. Ibid. b.
A c id e , il y a des matières qui font alkalines pour quelques
corps & acides pour d’autres. I. 273. a. Acides répandus
dans l’air. XI. 32.2. ¿.Article fur les fels acides. XIV. 904. a.
Inflammation des huiles par les acides. XIV. 149. b. Dulcification
dès efprits acides par Tefprit-dé-vin. XVII. 288. a. Les
efprits acides fe gelent très-difficilement. VII. 677. ¿. De
l’àcide animal. XV. 386. b. Difpofirion du fang à l’acide.
Suppl. IV. 72.4. 4. b. 723. 4. De l’acide végétal. L’acide
Regardé mal-à-propos comme le produit caraélériftique des
fubflances végétales. XVI. 870. a. b. De l’acide végétal. XIV.
9° 9:. b. Des acides.miriéraux. X. 534. 4. Acide mrabondant
dont fe chargent-les fels métalliques. XV. 683. b. Propriétés
contraires des acides végétaux & minéraux par rapport a la
Vertu émérique. 872. b. Les acides, minéraux agiflent puif-
famment fur l’huile. VIII. 337. 4. Diffolution du cuivre par
différens acides. IV. 345. ¿. 546. a.b. Acides qui diflolvent
l’argent. IX. 740. a. Diffolution du mercure par tous les
acides. X. 373. 4. Diffolution de l’arfenic. Suppl. I. 383. a.
Acide nitreux. XI. 138. 'b. Acide marin. X IV. 908. ¿. 918.
8cc. 992. b , &c. Acide fulphureux. XV. 400. a. 401. b. 402. a.
Acide de tartre. XV. 930. b. Acide vitriolique. XVII. 366. b.
Acide radical ou efprit de vénus. 38. a. Remedes acides vermifuges.
73. b. Eaux aciduleufes. Suppl. III. .471. b. Diffolu-
tion de la chaux par les acides. III. 2'66. b.
A cides , ( Médec. ) divers accidens qu’ils occafionnent
félon les parties qu’ils occupent. Moyens de les détruire.
T- 99- b-
A cides, {Médec.) rapports acides d e l’eilomac. I. 198'.b.
Caufes de l’acrimonie .acide. III. 389.4. Dans les enfàns. V .
u • fa Eerment acide imaginé par "quelques médecins
Chymulès. VI. 319.4, b. Bons effets des coquilles d’huître
dans les eflomacs gâtéjyjar des acides. VIII. 344. a. Sur les
acides.. Foyex A ig reurs.
Chymie ') comment on empêche que les
acidités ne prédominent dans les corps , &. ne viennent à
coaguler le lang. I. jbcL a.
A cidité des alimens. I. 263. b.
ACIER, ( Chymie. Mitall. ) étym. du mot. De tous les
métau^, l’acier eft celui qui eft le plus fufceptible de dureté.
Il n eft pas vrai, comme l’ont cru les anciens 1 que l’acier
ne foit que du fer plus pur, & plus cômpaâ. I. 100 I Def-
crmaon de deux fortes “d’acier ; l’acier naturel, & ¡’acier
facuce. Définition de l’acier. Défaut du fer tel que la nature
nousle prefente. A.greur & dureté du fer de fonte. En quoi
coniiffe l art de Êure l icier. Ibid. t. A quel point l'art doit
détruire les parues hétérogènes du fer pour former l’acier.
Manoeuvre employée pour cela. Diffin&on de deux fortes
de mines, dont les unes contiennent un foufre peu adhérent,
qui s échappe aifément dans les premières opérations du feu ;
“ ■ l 1* conuennent un foufre fixe, qu’on ne détmiï
g ' ¿ T e Ci 7 P P/BÇ L ac‘er eft un état moyen entre
& de M T a o 7 lç>1- a. Sentimentd’Ariftoté
f p M-. Llftf fur-rlbs procédés à fuivre pour convertir le
fer en acier. Autre fiiçon deprocéder, félon Agricola. Ibid. b.
Partages de Phne fur ce fujèt. Ouvrage de M. de Réaumur,
» . . ---------— ***,>»1.vuvidgc ue m.uc A\c<iui
ou il expofe la manière de convertir le fer forgé en ;
ibid 102.4. Autre méthode tirée de Geoffroy. Ibid. b.
i acier.
D e l acier naturel. Difficulté de diftinguer les mines de fer
de celles d acier. Ibid. b. Plus les mines tendent à être acier
moms elles peuvent fe mêler avec celles qui font deflinées
| P p fer- La première opération à faire fur une mine propre
a être convertie en acier 3 ç’cft de U fondre, Pratiques obfer-
ACO A C R 21 vêes pour cet effet dans les acienes de divers endroits. Ibid
103. a. Détail fur la mamere deprocéder à Dambach.à fem
beues de Strasbourg. Abondance & qualité de la mine ou-
verte, en .7 3 7 , dans les Vofgcs. Comment ontiroit & on
fondo« cette nnne. Opérations par lefquelles la fonte reçoit
la qualité d acier. Ibid. b. Pourquoi l’acier eft à bas prix, après
toutes les opérations que fon travail exige. Maniere de ñire
la c e r en Dalécarlie UuL 104. b. Diminution que fouffre le
ferrédint a i acier. A c en e de Quvarnbaka en Suede. Son
f & B M I05-M Ê t t qAeiités de l’acier qui s’y travaille,
if acier en barnl, celui pour f e épies . & l'acier
excellent, ou à-refforts. Quantité d’acier qu’on fiit cbaimé
femame. Maniere de transformer en' acier fe fer d’une mine
marécagenfe de laDalécarlie. Ibid. 106. a. Aciéries dans le Dan-
phmé, à Saltzbourg, dans la Stirie, la Carinthie & le Tirol
Ibid. b. Aciéries de France. Différentes couleurs que prend
fucceflivement 1 acier mis fur un petit feu de charbon Qualités
des aciers d’Angleterre & d’Allemagne. Épreuve par
laquelle on difflngue le bon acier du mauvais. lUd 107 a
Qualités & ufages des aciers d’Allemagne, de Pont dé
Hongrie, de celui qui fe fait aux environs de Lyon de ceint
de Nevers & de celui d’Angleterre.Motifs qui doivent enea«er
en France a de nouvelles tentatives pour faire de mtSl?„r
acier. Autres aciers dont il n’a point encore été fait mention
dans cet article Ib,d b. Expbcation de la propriété que lV i er
a de produire des etmcelles en le frappant contre un eaUlou
-Propriétés médicmales de l’acier. Ibid. 108.a. ¡ S p l Fer ’
A c ie r , origine du mot ciafybs, dont on le nommé en
4*- f - Les mines d’acier ne doivent être confidérées
que comme des mines de fe r , qui donnent de l’acier dès la
première fufion. VI. 494. b. Principe à obferver pourconvertir
1.1 r -o“ aCier' 49S-’/- C'eft en prenant une furabondance de
phlogifuque, que le fer devient acier. VI. 918. b. Le fer con
vern en acier dans un creufet, où le feu Hit la double fonélion
de principe & d infiniment. Ibid. Maniere de réduire le fer
en acier. VI. 915. a. 917. b. De la maniere de fidre& de tremper
1 acier. XVI. 585. b. — 587. b. Moyen d’avoir dans l’horlogerie
de 1 acier le plus dur & le moins fujet à grener Coin-
ment on le prépare pour le travailler. VII. 3*3.4?
ACILIA t loi, { Jurifp. rom. ) IX. 649.b.
FEtfftfioCnIS dj esf âpoËeteSs Bfur Aa ci.sd.e EI xapub,ncea&tio<n* edIeil cneyt'tnep fhabelSey. mFleetuhvee.
Acis en Sicue. Suppl. 1. 1 ço. a.
Acis, hiftoire d’Acis & de Galatée. V llt 428. b.
ACME, ( Médec. ) leplus hautpoint d’une maladie, 1. 108 a
dans la duree de laquelle on diftingue l’arche, l’anabafis, l’acmé
& le paracme. Ibid. b.
. .ACMÉ, ( Hifl. anc. ) fille d’iine grande diftinilion, de race
m m i m pIutrà Ia, ie,nme «l’Augufte, & demeura auprès
d .elle. Sa mort. Suppl. I. x 30. a.
ACMELLA, (¿Oí.) carafteres de cette plante de l’île de
Ceylan On lui attribue la vertu de guérir de lapierre. Maniere
de la préparer & d en ufer. Defcription de cette plante , félon
Breyn.Motifs de rechercher plus foigneufement tes propriétés
1. 108. b. Comment les qualités des fruits , des végétaux
IbidT i T r ’ peUVent varier felon les tems & Heux!
ACMÓN, patriarche des Cumbréens
ou Saques : on le fait anténeur de deux Aeclc. i Abr*h-m
Suppl. I. 150. a. Hiftoire de ce héroff^t'de (Bii ftere Doèas
Ibid. b.
A CO CA T S, ( Soierie ) defcription & ufage de cette partie
du métier. 1 .109.4.
ACOEMETES , ( Thèolog.) religieux d’orient, qui obfer-
voient jour & nuit une pfalmodie perpétuelle. Leur fondateur
1 . 109. 4. Sigifmond, roi de Bourgogne, établit les Accemetes
en occident, & ils s’y multiplièrent.!. 109. b.
^ A C O L C H I , ( Omïth. ) efpece de trôupial du Mexique
JJmerens noms fouslefquels les ornithologiftes en ont parlé’
Defcnption de cet oifeau. Suppl. 1. 1 50. b. ï l eft extrêmement
commun, abondant & incommode au Mexique, à la Louifianc
R 1a Virginie & à la Caroline. Diverfes obfervations fur cet
oifeau. Erreur de M. Briffon. IbiJ. x jj.a .
roéri nk’c n0ra. que, les mcxicains donnent à une efpece de
Î ï i atl0ns W oot oiieau. Suppl. 1. 1 e 1. a.
ACOLYTHE ( Thiol. Hiß.) fignifioit clieé les anciens une
nerfonne inébranlable dans les fentlmens. Étymologie du mot
Ce nom |t¡ donné aux jeunes clercs qui ipiroieut au S
nuniftere. Léghfe latine a eu des acolythes dès le troifieme
fiecle. Leurs ßpftioÜns. É,094.1 b4. «Ce nom f Éut doenmnpéc ernccuo,sre l Acolythes, leur chef. 1. 612. b.
ACÔMAC (Géogr.) pwyince de Virginie. Sa fituation.&
tes bornes. Villes quelle renferme. Suppl. I. i* z a
AGONGE, {Jacques) XVL 389. b.
virM » ( Botan' ) carafteres de cette plante. Maniere- (
uc la multiplier. Propriétés de l’aconit, dont on fe fert en |
médecine. Le napel eft un poifon, auprès duquel croît toujours I
aCOnr^ r i 6rt vde contre-Poiíon. I. HO. K I
■ Aconh, efpece d’aconil aPP-llé v r ,
Aronu, (Mut. midic.) irois c h C '"A - * ■'
niedecine: le napel, le tue-ioim R. i d acomr connues en
Suppl. 1. 151. a. Ufaee nùè h mèrlL- acon,tom lêlutifemm.
t a i « S i i * i a î S i * a
les pierres même.^. i r a L ‘“ T ”’5 de5pierre! %
lï i É W ^ S Ü i S | ^ ^ “ -de '’Amérique. Commerce de as
terres inlfùreufes de ces ifles XVîT 3 1 t/i
926Va. XVHmi e, TOlCanf p4rmî fes A ç o r» VIIL
des A ç o r e s , »
Dofcriptiou du f r Î 'a c Ô r lT l " ê L ? ^ «¡«e nom:
A c 0RUS,(il&r. mêdic. ) jonc odormit Analvfe de A •
Ses propriétés & ufages. Suppl. I . , i / W i f i g B B É i g «
le nom d’acorus Wlm rZ- 1 V » p connue fous
avoient décrite finis le nom de r 7 meme que les anciens
r , nom de calumus aromalicus.Efiicê d i filt: ¡ P I vervt“d" tfeilleiir.à C è l i l i l f S 4 A , 1<î;,e ’ dont les us dfeonntt qfuupeléqruieeuforeisé Ibid. ira a
H. çI o' a'
>A i UrieL) XIII. 1 31. A
■j.r . OUSùWTIQXJES , ou bxOTÉRîQUES ( Hlli anc \
I. , ( S é j i j . ) 'plrric théorique d e T nlufiqucé
A c o u s tîq u e ,{Math. mixt. 1) prHoprié t|é Bde fl’etlÉlinfÉ’ d™É#-
A C O Q r r ( Hifl. nat. ) animal quadrupède des Antilles
Defe'E n° n & g lo ir e naturelle de ¡ J anim&. I . , r r .T
Z du Languedoc. Origine de fon nom-
IcQ ^A PEN DEN TE , ( Giogr. ) ville d’Italie. Origine dè
^ V l^ -S a fim a r io n , &c.SupplX ira.a. 8 1
D é d Î ^ ( Ju" fp ) tiers-acquéreur. XVI. 323.
iclartuonquecelm qui paroit être l’acquéreur d’un
ACOUÉT^ ? ? ' s.acq“ T Ur-.V - 454-1
9 \ JurtJP- ) bien immeuble acquis par achat.
pprroporpesT. Lso^ixr fru'r“ 7leesl lalCcq^u^êDts.¡ 9I. ,1re1n2C.C 4S. entre Jes aC(luêcs & les
Q(,?ic^ ’ -diffêî'ence en5re les aC(Iuêts & les conquêts. HT.
^ Héritier des meubles & acquêts. VIU. 164. 4. Colîec-
teurs députés fur les finances des nouveaux acquêts, m . 631.4.
•L»iftérentes maniérés dont les acquêts immeubles deviennent
Propres réels. XEfl. 487. b. Les immeubles qui n’ont pas encore
, „ ^ QUÊTS ’ nom’“mx . ( f inance ) droit que paient au roi les
ArruTTP° / r acq>dfid™ & tendre d g f g l n i . a “
r é y o & f l g S f i l d'Ital- S“ “ - ’ S » principales
) maniérés d’acquérir par allu-
possession.' occupatioii. XI. 333. A. Voytt Prise de
A CQ U IT À caution , ( Finance ) I. 1 1 1. a. Acquit à caution,
ÿ fea/A. Acquit ou certificat de frànchifc. Acqiit de paie-
ment. Acquit de comptant. Ibid. b.
A c q u i t ,. ( Comm. ) manière de mettre l’acquit fur des
lettres de change. I. 112. ¿.
A cq u it . ( Billard) 1 . 112. h. ,
.. ACRAMAR, Aftmar,ArciJfa , Abacmas , ou Van , 1 Géogr. )
ville de là grande Arménie. Sa fituation. Diverfes obfervations
fur cette ville. Suppl. 1. 132. b.
1 f tW S I f Comm‘ ) .mei'llre de terre. Ses différences felort
les différens pays. Etymologie du mot acre d’Angleterre.
1 . 1 1 3.4. Voy.e[ A rpen t. -
A cre , | Arpentage 1 mefure d’Angleterre pour le terrein.
bon rapport avec l’arpent de Paris. Table des fuhdivifions de
| | | g KaPPort du pied d’Angleterre au pied dé Paris. Suppl. I.
A c r e , Saint-Jean d’Acre, Acca , Accaron, Acco, Ptolé*
matde, ( Géogr. ) ville de Paleftine, engloutie en 1762, par
u tremblement de terre. Ses révolutions. Suppl. 1. 132. b.
A c r e , ( Chymie ) il y a autant de différentes efgeces d’âcrey