
de la Mècque. Famille à qui cette -prérogative appartient. A
qui ce nom a été enfuitc donné. IV. 197. a.
CORALLINE y(Botan.) genre de plante qui fe trouve dans
les eaux. DiftinClion des corallinesqui appartiennent au regne
animal, & de celles qui appartiennent au végétal. IV. 197. a.
CORAS, (Jean de) Jurifconfulte. XVI. 413-a-
CORASMIN, ( Geogr. Hift. mod. ) peuples d’Afie, &c. qui
n’ont pu s’établir en aucun endroit, & qui ont diiparu de
deffus la fur face de la terre. Ibid. 197. b.
CORB, ( Ichthy.) poiffon des iiles Moluques. Sa defenp-
tion. Lieu ou on le pêche. Sa clarification. Suppl. II. 597 b.
CORBEAU, ( Omith.) defeription de cet oifeau. Ibid. 19y.b.
Comment il fe nourrir. Corbeaux blancs. Les corbeaux ne
craignent ni le chaud ni le froid. Lieux & tems ou ils nichent.
Leurs oeufs. Durée de leur vie. IV. 198. a.
Corbeau. Oifeau qui lui fait la guerre. IX. 726. a. Corbeau
aquatique. Suppl. I. 79. a. b. Corbeau nommé corneille mantelée.
SuppL il. 607. a. b.
C o r b e a u , (Mat. med. ) propriétés de fa cendre, de fa
fiente, de fes oeufs, de fon cerveau, de fon coeur. Toutes
ces vertus fondées fur de vaines traditions. IV. 198. a.
C o rb e a u . ( Mythol. ) IV. 198. b.
Corbeau. Lac des deux corbeaux dans les Gaules, auprès
duquel on décidoit les différends par le moyen des corbçaux.
IX. xçx. b.
C o rb e a u de mer, (Ichthyol.) IV. 198. b.
C o r b e a u , ( AJlron.) IV. 198. b.
Corbeau. Origine de cette conftellation. Suppl. III. 468. b.
moyen de la connoître. Suppl. II. 567. b.
CORBEAU, (Archit.) IV. 198.b.
C o r b e a u , (Art milit.) machine de guerre dont les Romains
fe fervoient. Defeription qu’en donne Polybe. Ufage qu’on en
faifoit. IV. i 98. b. La defeription que M. de Folard fait du corbeau
eil différente de celle de Polybe. Plufieurs efpeces de corbeaux
dont il parle. Defcriptions du corbeau dauphin, du corbeau
démoliueur, du loup, du corbeau à lacs courans. Ibid. X99. a.
Du corbeau à pinces, du corbeau à cage, ou tollenon, du
polyfparte ou corbeau d’Archimede. Éloge des recherches de
M. le chevalier de Folard fur toutes ces machines de guerre
des anciens. Ibid. b. Quels font les livres auxquels M. l’abbé
Pluche borne la bibliothèque d’un militaire en campagne. Ibid.
200. a.
CORBEAU démoliffeur, (Art. milit. Mach. ) en quoi confilloit
cette machine des anciens. Suppl. IL 597. b. Ce que Céfar en
dit dans fes commentaires. Ibid. 598. a.
C o r b e a u x , (Mach, milit. des anc.) defeription 8c ufage de
quelques machines de guerre, que les anciens nommoient
corbeau à griffe, corbeau à cage, corbeau double, corbeau à
tenaille. Fameux fiege de Bifancë, fous le regne de l’empereur
Sévere. Machines employées à ce fiege. Détails fur le
fiege de Platée dont parle Thucydide. Suppl. II. 598. a. Voyeç
pl. 2. de l’an milit. armes & machines de guerre.
Corbeau de DuiUius, defeription de cette machine, repré-
fentée pl. 13. art. milit. armes & mach, de guerr. Suppl. Son
ufage. Suppl. II 598. b.
Corbeau. M. Perrault croit que cette machine étoit femblable
à notre grue. VII. 971. b. Corbeau d’Archimede. Suppl. IV.
472. b. Corbeau à cage. 931 .a. b.
C o r b e a u , (Serrur. Charp.) IV. 200.a.
CORBEILLE, fignification propre de ce mot, fon ufage
en archite&ure, & dans la fortification. IV. 200. a.
Corbeille y voyezpanier.
C o r b e i ll e , ( Ichthy.) defeription de ce poiffon d’Am-
boinc. Maniéré de le clafler. Suppl. II. 598. b.
CORBEILLER, (Hiß- «ce/.) officier du chapitre de l’églife
d’Angers. Leur nombre. Leurs fonctions. Leur rang. IV. 200. a.
CORBIN, (Becde) vieille arme, inftrumens à bec de
corbin. IV. 200. a. Bec de corbin, uftenfile de fucrerie. Ibid. b.
CORBINAGE, (Jurifp.) droit fmgulier que s’attribuent
les curés d’un canton en Poitou. IV. 200. b.
CORBULO, chanoines réguliers de Monte-Corbulo. IV.
200. b.
CORCELET, ( Hiftoire des infeff. ) partie du corps des
infeâes. Différences qu’on y remarque félon la variété des
efpeces. Infeâes à deux corcelets. Voye[ Insecte. IV. 200. b.
Cdrcelet des lepidopteres ou papillons, Suppl. III. 728. b.
CORCHORUS, (Botan. ) plante d’Egypte. Sa defeription.
IV. aoo. b. C’eft un légume pour les Égyptiens. Ibid. 201. a.
CORCYRE, (Géogr.) peuples de cette ifle nommés Phindern,
voye{ ce mot. Voye[ aufu l’article Corfou, nom moderne1
de cette ifle. Jupiter Cafius honoré à Corcyre. X. 670. b.
CORDA, (Drap.)groffe ferge, &c. auffi nommée pinchina.
Ce que les réglemens au commerce preferivent fur la maniéré
de la fabriquer. IV. 201. a. .
CORD ACE , danfe des Grecs. IV.. 201 a.
CORDAGE, (Marine.) ¿tat de tous lej cordages nécef-
faircs pour la garniture 8c rechange d’un vaiffeau du premier
rang, avec les dimenfions de leur grofleur 8c de leur longueur.
Funins du mât d’artimon. Voile d’eftai d’artimon. Vergue de
fougue. Perroquet de fougue. IV. 201 n.Funins du grand
Voile deftai. Grand hunier. Ibid. b. Voile d’eftai G V
perroquet. Funins du mât de mifene. Petit hunier. Ibid 2oi
Voile d’eflai. Perroquet devant. Beaupré. Perroquet de
pré. Ancres Cables. Pour la chaloupe. Ibid. b. Sonnettes en
eitai du grand hunier. D e la mifene. Du petit hunier. Canhne
Voiles. Ibid. 203. a. Détail des cordages de rechange Du’
canon. Du Pilote. Ibid. b. Cables. Cordages de toutes fortes
pour toutes manoeuvres. Récapitulation de tous les articles
précédons, pour faire connoître le poids des cordages tant
en blanc que goudronnés. - Voye{ Manoeuvres. Ibid. 204. a
Cordages du vaiffeau, ( Corderie.) ne doivent pas tous
être commis à un degré femblable. Suppl. 1. 315. a. De l’allongement
des cordes. Suppl. I. 314. b. 315. a.
CORDE , ( Gèomci.) définition. IV. 204. a. Corde du
complément d’un arc. D’où viennent les noms de corde 8c de
fleche en géométrie. La fleche s’appelle maintenantfinus verfe.
Ce que nous entendons par finus droit. Diverfes propofitions
démontrées en géométrie, relativement à la corde d’un arc
de cercle. Maniéré de divifer un arc en deux parties égales.
Maniéré de décrire un cercle qui paffe par trois points donnés
quelconques , &c. Corollaires tirés de ce dernier problème.
Ibid. b. La corde d’un arc 8c le rayon étant donnés , trouver
la corde de la moitié de cet arc. Ibid. 205. a.
Corde, ou rayon étant donné, trouver par le moyen du
compas de réduélion , la corde de tout arc au-deffous de 60
degrés. IQ. 756. b.
Corde, ouvrage de cordier. Matières dont on fe fert pour
faire des cordes. Des cordes de chanvre: on en fait de quatre
à cinq fortes : le merlin 8c le bitord, les auflieres 8c torons,
les grelins, les archigrelins, cordes en queue de rat. IV. 205. a.
Corde, défaut des cordes faites du fécond brin tiré par les
peigneurs de chanvre. III. 156. b. Petite corde nommée cavenr
tenter. II. 78 5. a. Cordes fujettes à faire des coques. IV. 182. a.
Épiffer une corde. V. 815. b. De l’allongement des cordes d’un
vaiffeau. Suppl. I. 314. A 315. a. Corde d’emballeur. XIV.
903.4. Travail des cordes, voye^ CORDERIE.
Des cordes à boyau, ou faites de boyaux mis en filets,
tortillés 8c unis avec la prefle. Deux efpeces ; les unes grojjleres:
détail des opérations du boyaudier dans la fabrication de ces
cordes. IV. 205. a. Les autres dcflinèes à la lutherie. Celles qui
viennent dé Rome pailent pour les meilleures. Elles font diffri-
buées en paquets de divers numéros. My ilere que font de leur
art, les Italiens & ceux de ce pays qui travaillent en ce genre.
Détail de cette fabrication, autant qu’il a été pcffible de s’en
procurer la connoiffance. Ibid. b. Comment on doit choifir les
meilleures cordes d’inflrumens. Ibid. 207. a.
CORDE à boyau, corde à violon. ( Art du Boyaudier. ) La
fabrication de ces cordes efl une chofe prcfque réfervée à
l’Italie. Les ouvriers qui les fabriquent font un grand myilere
de leur art. Lieux de la France où l’on fait des cordes à boyau.
Communication faite à l’auteur, des manoeuvres de l’art, par
M. Angclo Angelucci. Suppl. II. 598. b. Age des agneaux
des boyaux dciquels on fe fert. Pourquoi on efl moins porté
à ce travail en France qu’en Italie. Defeription des diverfes
opérations qu’exige la fabrication de ces cordes. Ibid. 799. a.
Tems où l’on travaille le plus dans ce metiêr. Du prix des
cordes à boyau. Ibid. b.
Corde, groffes cordes de boyaux : opération du boyaudier
dans leur fabrication. II. 388. b.
Des cordes de nerf. Ce que les anciens entendoient par-la.
IV. 207. a. Matières qu’on employoit. Comment ces cordes
ont été travaillées. Outils de cette efpeee de corderie. Ce
qu’on doit pratiquer avant de fe fervir de ces cordes. Expérience
dans laquelle on a comparé la force d’une corde de
chanvre, d’une corde de crin, & d’une corde de nerf. Ibid. b.
Réfultats de cette expérience. On a fubflitué les cordes de
nerfs aux refforts des chaifcs 8c d’autres voitures^, 8c elles y
ont très-bien réufii. Comment on peut les garantir de l’humidité.
Moyen qu’on pourroit effayer pour ajouter a leur élaf-
ticité 8c à leur durée. Ibid. 208. a.
Des cordes de cheveux. Circonflances fôcheu fes dans lefquelles
les femmes des anciens ont donné leurs cheveux pour en faire
des cordes. Diverfes qucflions que les méchaniciens fe propo-
fent fur les cordes en général. IV. 208. 4.
CORDES. (Mèchan.) De la réfiftance des cordes. Caufes qui
rendent une corde plus difficile à courber. Dans quelle proportionnes
caufes augmentent la roideur de la corde. Maniéré
de calculer les puiffances propres à vaincre les réfiftances qui,
rélùltent de cette roideur. Combien cette roideur 8c le tr°tte-
ment augmentent la difficulté du mouvement ; & combien il
importe de calculer exaâement ces réfiftances dans les grands-
effets. Moyen d’employer les féaux: pour tirer 1 eau d un puits ,
de maniéré que M o n de l’horrime qui tirera le feau, ne fou.
préférer, emeur qu'il eft poffible, les grandes poulies aux
jamais oi font faites les cordes le plus en ufage dans
théorie, «5 H .... • Frottement qui naît delà maniéré
V ‘ ï S S f f i f è J M On ne doil poin. al.endre des
dont ell .»• gv outres cordages , toute la rcfiitance
S® « d; i à® de ié..r y m
d0“i ‘ mollement II faut éviter avec foin de tordre trop les
4 P’ rL L o S o n a quelque grand effort B IIà 1 faire avePc pluf8ieurs
mrnRlDBel( Wm ) m $ “n!im B c°ri“•Cetoe ■“•nfT
- f v î & è i e i t t ' S S ï s . COrn ,™l ie fcerient Ü un bout & rendue par une ptuf-
W SBÈÊBtm Wff«
I S S égale & contraire à la première. Réponfe
aumnt^eth^oiémM qu’on voudra fur les vibrations des cordes
ï v a t o . m Recnercltes fur la nature de la courbe que
formeune corde par fes vibrations .tirées des ouvrages ctés
d - S s Errcurlans laquelle M.Taylor eft tombe. Qud-
SÉdBnalnqs fur cette màtiere, contenues dans les mémoires
le problème des cordes vibrantes. Trouver le mouvement
d'une corde dont ilépatlTenr n’eft pas umfprme. Fauffe fclu-
tion de ce problème, qui d'abord parott faMfailante, mats
dont l'auteur démontre enfutte le paralogtfme 8e le detaut.
S“& " p o 6ur°'lVp=nntge. Mamere de préparer une corde
pour empêcher l’effet de l’huimditè fut «B«- M - 7- “■
C o rd e diour ou dvuMr. « « P i
C o rd e s mobiles , V m M o m u
C o rd e fonore, ( Mujîq. ) ro y t i C o rd e s vilntton des.
(Mich. ) Corollaires, tirés de ce qui eft dit: dans ce dernier
article , lefquels fervent de principes à la théorie de la mufi-
oue Suppl. 11. s 99. b- La tenfion des cordes ne fe reprefente pas
mr leT poids tendans , mais par les racines de ces memes
oids. Plus une corde fait de vibrations dans un tems donné s
plus le fon qu'elle rend eft aigu. Trois moyens de changer le
ion d’une corde. Principes fur lefquels eft fondée la conf-
truélion des inftrümcns à cordes. La corde fonore outre1 le
fon principal qui réfulte de toute fe longueur, rend d autres
fons acceffoires moins fenfibles. Cette propriété fe trouve
dans tous les corps fonores. Singulière propriété de la corde
fonore , iorfque le chevalet qui la divifc n appuie que légèrement
& laiffe un peu de communication aux. vibranons
d’une partie à l’autre. Ce qu’on entend par cordes d harmonie.
^ C o r d e s jlubUs, ( Mufiq. dn anc.) P'ûyc{ S ta b le s .
C o rd es. (Àîb/î. ) Ufage qu’on feifoit dp lin pour^les inf-
trumens, avant l’invention dès cordes de hoyaux. II._7J- è
Sons que tend toute corde fonore. IV. 1098. i Cordes à
vuidc. X.VII. 574. a y b- Vibrations des cordes. XVII. 230.
b. Cordés à l’uniffon. 387. a. . . o. .
C o rd e nouit. {Hift. mod.) Comment les Chrnois & 1«
Péruviens fe font fervis de cordes, qui leur ter-oient heu
d’écriture. IV. 21 i. a. Voye[ QuiPOS.
C o rd e s de defenfe. (Marine) IV. 211. a.
CORDE à feu, ( Artificier. ) IV. 211. a.
C o rd e à puits, ( Boutonn. ) IV. 211. o.
C o rd e , f Comm. ) IV. 21 1 . a.
CORDE. (Manufad. d’étoffes. ) IV. 2 1X. a.
C o r d e .(Gafter.) IV. 211. a. ,
Î C o rd e du rouleau. ( Imprim. ) Uiage des deux cordes du
rouleau d’une preffe d’imprimerie. IV. 211. a.
Cordes, les, employées dans les machines, qui prennent
un nom pardeulier tire de leurs fondions, font renvoyées aux
articles des machines auxquelles elles appartiennent.
Co rd e. ( Manege) La grande longe qu’on tient autour du
pilier où le cheval eft attaché, &c. Cordes appeüées longes du
. caveffon. Chevaux qu’on fait donner dans les cordes. Chevaux
qui font la corde. Chevaux qui ont une corde de farcm.
IV. 2ix. b. i
C o rd e à faigner, (Matéchall.) IV.aix.fc
C o rd e , terme de jeu de paume. IV. arx.é.
CORDES. (Relieur) IV. 211. b.
C o rd e à encorder. Son ufage chez les Rubanniers. IV.
a u . b. ' BBB
C o rd e . ( Manuf. en foie) Différentes fortes. Corde cncor-
dée IV x li.b. Corde de calqueron, dejointe, degavtifli-
niere, de rame, de rouet, de femple , de boyau pour four-
diffoir, de valet, de trop, de l’ourdiffoir, cordes qui fui-,
vent. Ibid. 212.4.
C o r d e , (Tabacen) IV. 212. a.
C o r d e fans fin , ( Tourneur ) IV. 212. a. -
C o r d e , (P ic h ) il y en a de petites &de groffes .garnies
à leur extrémité d’un hameçon. Mamere dont les pêcheurs
fe fervent des groffes pour prendre les gros poiffons. IV.
s u . a. Ufage des petites. Pèche des cordes en mer, m aries
à des chaloupes. 11 y a des endroits ou Ion rend les
petites cordes fur des piquets le long des rivages, au moyen
de la longue corde fur laquelle elles font frappées. Autres
cordes qu’on nomme dans l'amirauté de S. Bneux , irajas ou
cordées. lignes des pêcheurs du. Croific, dans 1 amirauté de
Nantes. Cordes ou lignes de piéàpile , dans 1 amirauté de
Boulogne. Dans le reffort de l’amirauté de Poitou, ou des
fables d'Olonne , les pêcheurs font des lignes avec lefquelles
font la pêche des chiens de mer , plies, claires, polteaux
L autres gros poiffons. Ibid. b. Ceux de 1 amirauté du Boug-
tfault fe Suc avifès dans les gros rems, de tendre en cordes
ou lignes de pié, à la côte & fur les grèves qm bordent le
rivage. Ce qu’on appelle arrouelles dans le reffort de I ami.
rauté de S. Brieux. Ibid. 213. o.
C o r d e de bois. (March.) IV. 213.
Corde , fupphccdt la. XV. «y,, e.f SUSPENSION.
C o rd e s , ( Jean de ) chanoine de Limoges : hiftoire de fa
bibliothèque. XVII. 750. a.
CORDÉ.(Jardin.) IV. 213.4. . TV
C o rd é . (Blafon) Croix cordée, mftrumens cordés. IV.
11 ^ORDEAU. ( Charpent. ) Les Jardiniers ont auffi leurs
cordeaux. IV . 213. 4.
C o rd e a u x . ( Manuf. en laine) IV. 213. a.
CORDÉE, (Mèdec.) inflammauon 8c contraction du ira-
num 8c de la partie du pénis qui eft en deffous , ^-Maladies
dans lefquelles elle arrive. Ses caufes. IV. 213.4. Reme-
des à employer. Ibid. b. _ '• ,
CORDELAT. ( Drap.) Provinces & villes de France ou
cette étoffe fe fab r iq u e . E l le v a r ie dans fa longueur .logeur
8c fabrication, folon les endroits : détails fur cet objet. IV.
aIèoRDELI. ( Verrerie) Epithete que l’on donne au verre
dans certaines circonftances. IV. 213. ,, . , c
CORDELIERS, (Hift. eccl.) religieux de 1 ordre de b.
François d’Affife, inftitué vers le commencement du trei- .
zieme fîecle. Leur habit. Nom qu’ils portoient autrefois. Ils
font les premiers qui ont renoncé à toute propriété temporelle.
Diftinélions qui illuftrent ou qui ont îlluftré cet ordre.
E lo g e d e l’o rd re même. IV. 214.4. _■ , r ,
Cordeliers, voyez FRANCISCAINS. Difputes entreux fur la
forme de leurs capuchons, 8c fur la propriété de ce quils
mangeoient. II. 640. b. VII. 290. b. ,
. CORDELIERE, (Hift. eccl.) rehgieufe du même ordre.
IV. 214. a.
Cordelière, enarchite&ure. IV. 214. a..
Cordeliere, terme de Boutonnier. IV. 214.4.
Cordeliere, forte de ferge, dans les manufactures en drap;
IV. 214. 4. \
Cordeliere, en terme d’imprimerie. IV. 214.4.
Cordeliere., en tèrme de Blafon. IV. 214. a.
C o r d e lie r e , ( Blafon ) cordon entrelacé en forme de
treflé évidè, 6*c. Origine des armes de la maifon de Roquefeuil.
S“Péo lm u iw id e sA o d c s ,( Géogr.) haute chaîne demonm-
enes ffu Pérou. Extrait de la defeription qu en a donnée M.
Bouguer. IV. a 14. a. Voyage de cet acmlémicien dans ces mon-
Tagnls. Vallée oh eft fimée Qn’no. Elévanon du p.é de fe
monmgne appeftée Cbmborafo. Température de fe province
de Omio. Qualité du terrein du p.e de ces montagnes. Ob-
fervidons météorologiques du baromètre & du rhermometre
fur la montagne de Piehincha. Hauteur de fon fommet. Etat
de la neige fur ces hautes montagnes Différence qu on éprouve
dans les endroits élevés de la Cordeliere, en paffant de
fombre an foleih Abaiffement du baromètre ÿn s la partie
la dIus élevée du Piehincha ou font montés MM. Bouguer
& de laCondamine. Parties de ces montagnes où fe-trouve
de l’or. Relations à confulter. Ibid. b. Voye^ Andes 6* Cor-
DILc S e R I E , (:Marine ) bâtiment deftinè à filer les cables
8c cordages néceflaires pour les vaiffeauxdu roi. IV. 215.4.
Co rd e r ie . ( Arts michan, ) Les cordes^ de chanvre font
les feules qui fe fabriquent dans les corderies. La mamere de
préparer le chanvre, avant qu’il paffe entre les mains dR