
i iS AST Ä u Bas-Armagnac. Deux erreurs à corriger dans cet article
‘ '^ ^ lA R o u A c T A S t A R , ( Gtogr- ) h c d’Afte, voytj V an
daA S T A § O T | t f anc. ) idole des Philiffins & des
Sidoniens. Signification de ce mot. Quelle éroit cette idole.
L 775. b. Divers noms ibus lefquels la lune ¿toit adorée chez
différentes nations. L 776. «. — A starte.
ASTARTÉ, ( HiJL anc. ) lignification de ce mot. Principale
divinité des Sidoniens. Comment on la g g g g g K g SuprL L
660. a. Différens peuples qui l’ont adorée fous difterens
attributs. Noms qu’ils lui donnaient. Célébration de: fes myf-
teres. Proilitutions en fon honneur. Son temple le plus fré-
«nenré élevéàTyr par Kram. Les Talmudtftes lut donnent
un rang dHHngué dans la hiérarchie infernale. Origine du
culte d’Aftarté. Ibid. b.
Aftarté, déelTe des Sydomens. XV. 730. a. XVII. 36. a.
'Voyez A s t a r o th . BH B BM I
ASTATHIENS, {Htft. eccl.) hérétiques du neuvième
fiecle. Dérivation de ce mot. Leur fort fous quelques empereurs
d’Orient. Leur origine, leurs pratiques, il. 776. a.
ASTER, célébré archer qui creva un oeil à Philippe au
fiege de Méthone. X. 46a. b. Suppl. IV. jjgg a.
ASTERIE, ( Minéral. ) conjeftures for l’efpece de pierre
à laquelle Pline donne ce nom. Afteries pierres étoilées. Leur
defcription. Origine de ces pétrifications. Suppl. I. 661. a.
Voyez A stroïte.
A steries , ( Hiß. nat. ) Vol. VI. des pl. Coquilles, fojftles.
pL 2 & 3. Nouvelle hypothefe for leur origine. Suppl. IV.
223. ¿. 224. a. Voye{ Etoilées , pierres.
ASTERION, {Myth.) addition à foire à cet article de
TEncydopédie. Suppl. I. 661. a.
ASTÉKIQUE, comment cette elpece de ligne le marquoit
autrefois. XI. 298. b.
ASTHMATIQUE, phthifie. XII. <33. b.
ASTHME, difficulté de refpirer. Caufes générales. 1. 776.
I. Caufes prochaines ou particulières. Ce qui occafionne les
accès d’afthme. Ce que cette maladie a particulièrement de
fâcheux. La foite ordinaire de l’afthme humide eft l’hydro-
pifie de poitrine. Comment on le doit prévenir. Remede
pour l’aithme fec. I. 777. a.
ASTI, ( Géogr.) ancienne ville d’Italie dans le Mônt-
Ferrat. Suppl. I. 601. a.
ASTIANAX, {Hiß. anc. ) fils dUedör & d’Andromaque.
Sort malheureux de ce jeune prince. Suppl. I. 661. a.
ASTOLPHE, roi des Lombards. Guerre entre ce prince
8c Pépin le Bref. Suppl. IV. 289. b. 8cc.
ASTRACAN ,'obfervations fur ce royaume. XIV. 443. a.
lieu prés de la ville d’Aftracan d’où l’on tire le naphte. Autre
lieu près de cette ville, où le terrein brûle perpétuellement.
XI. 16. b. Projet que forma Pierre-le-Grand, de foire dans
le royaume d’Aftracan une communication entre la mer
Cafoienne & la mer Noire. IX. 110. b.
ASTRAGALE, ( Anatomie) os du tarie. I. 777. b.
AsTRAGALEjinembre d’architeâure. Tous lés fiits fupérieurs
des colonnes font terminés par un aftragale | qui leur appartient
& non au chapiteau. L’aftragale fe voit aufli for les
pièces d’artillerie. 1 .777. b.
A s t r a g a l e , ( Bot. ) genre de plante. Ses cara&eres. I.
777. b.
ASTRAGALOMANCIE, divination qui fe pratiquoit
avec des offelets, 6*c. Oracles qui fe renaoient de la forte.
Etymologje du mot. S’il eft vrai qu’Augufte & Tibere aient
été adonnés à cette divination. 1. 778. a.
ASTRAL, année aftrale; en quoi elle différé de l ’année
tropique. I. 778. a.
ASTRE, ( Boian. ) l’aunée eft une efpece appartenante à
genre de plante. L 883. a.
A stres , (Blafon ) dans les armoiries. Suppl. I. 911. a.
A stres , {Myth. ) fentiment des païens flur les aftres. L
77®- a• ,
Aßres. Erreurs des Juifs & d’Origene fur lès aftres. XH.
956. a. Doéfrine des Stoïciens for les aftres. XV. 529. a.
De l’adoration des aftres. XII. 955. b. &c. Cette adoration
enfeignée par les Chaldéens. IÎI. 21. b. Voye{ for cette partie
de l’idolâtrie l’article Sabiisme. De l’infiuencë des aftres,
morale, phyfique & méchanique. VIII. 729. « , ¿.— 738.
ASTRÉE, quand & comment elle quitta la terre. Comment
on peint cette déeffe. L 778. b.
ASTRICnON des fibres, {Médec.) voyez VI. 671. b.
673. «, b. & les articles C onstriction , D ist en s io n .
Ex tension , Rigidité , Resserrement
ASTRINGENT ( î îô î c . ) propriété des remedes de ce
nom. Dcilx fortes d aftringens. t ’adminiftralion de ces remedes
demande foute laprudence poffible. I. 77fi a
- l I É P m‘ d‘c.) critique de cet article de
l Encyclopédie. Laéhon des aftnngens n’eft pas bornée aux
premières voies. Des cas dans lefquels on les prefcrit. Corn-
A S T
«.w.t 3 s corrigent les évacuations trop abondantes. De leur
qualité abforbante. SuppL 1. 661. b. De leur aftion immédiate
fur le corps des animaux, & des effets de cette aChon. En
quels cas ces remedes font employés. Divifion des aftringens
en forts Sc en foibles, en internes & en externes. Lifte des
remedes des deux premières claffes. Ibid. 662. a. |
Aftringent, médicament aftringent qui empêche l’inflammation
d’une partie en augmentant le reflbrt des folides. XIV.
195. b. Baume’ folide aftrmgent. II. 165. b. Amande de 1 atun,
éminemment aftrineente. Suppl. I. 693. b. Excellent ^vulnéraire
aftringent. 788. b. Puiflant aftringent tiré du bapgi. 792. f
Ufage extérieur des aftringens. Voyc^ St y p t iq u e .
ASTROÏTE, {Hift. nat. ) deux chofes confondues fous ce
nom ; une plante marine madrépore, & une pétrification.
Il ne s’agit ici que de la première. On lui a donné le nom de
pierre étoilée. Enfuite on l’a mife au rang des plantes marines
fierreufes. Enfin elle a paffé dans le regne animal. I. 778. b.
lufieurs efpeces d’aftroïtes. Celle qui eft nommée cerveau
de mer. Aftroïtes fofliles, & aftroïtes pétrifiées. Ibid. 779. a..
AfiroiteSy madrépores repréfentées vol. VI. des planches
Regn. anim. pl. 89. Aftroïtes fofliles, pl. 7. des coquilles
fofliles. Voyez A stérie.
ASTROLABE, ( Aftron. ) anciens inftrumens de ce nom.
Le premier eft celui d’Hipparque. Aftrolabe de Ptolomée. I.
779. a. Plan de projeCtion qu’u fout prendre pour les plani-
foheres & les aftrolabes. Aftrolabe polaire de Ptolomée.
Inconvéniens de cet inftrument. Aftrolabe des modernes.
Ibid. b. Conftruétion de l’aftrolabe de Gemma Frifius. Celui
de Jean de Royas. Nouvel aftrolabe de M. de la Hire , qui
remédie aux inconvéniens des précédons. Ibid. 780. a. Recherches
de M. Parent, qui ont perfectionné ce dernier. Ibid. b«
— Voyez PLANISPHERE.
Aftrolabe de mer. Les Arabes l’appellent ÀJlarlab. T rai té
de l’aftrolabe en langue perfane. Defcription de cet inftrument.
Son ufage. Ibid. b.
ASTROLOGIE, étymologie & fens littéral de ce mot.
I. 780. b.
AJlrologie naturelle » vrais fondemens de cet art. Principe
for lequel Boyle en établit la certitude. Réflexion en foveur
de ce principe. Voye{ Influence des astres.
AJlrologie 3 origine de l’aftrologie chez les Ethiopiens. VI.
5 3. b. Hiftoire de cette fcience & de l’ufage qu’on en a fait
en médecine. VIII. 729. b. — 738. b.
AJlrologie judiciaire, prétentions de ceux qui la profefîenr.
Son origine. Crédit des aftrologues à Rome 8c dans l’Inde.
Cette aftrologie s’appelloit Apotélejmatique. Les Juifs , les
Chrétiens, les Grecs modernes en ont été infotués. Son
empire en France au feizieme fiecle. Ineénicufe fotyre qu’a
foite Barclan for ce préjugé de la cour de France. 1. 781. b.
Exemples qui montrent que cette tidicule prévention en
faveur de l’aftrologie n’eft pas entièrement déracinée. Réponfe
de l’aftrologue Thrafyllus à Tibere qui le confidtoit. Partages
de Tacite qui prouvent qu’il tenoit lui-même à l’opinion
générale en foveur de l’altrologie , quoiqu’avec certaines
reftriétions. Ibid. 783. 4.
AJlrologie judiciaire, origine de cet art. l i t 22. a. IV.
10*72. a. Combien les Orientaux en ont toujours été infatués.
Empire qu’il donnoit aux Chaldéens fur les peuples. Mépris
que conçurent pour les aftrologues , Alexandre, & dans un
certain tems les Romains. III. 22. a. Des prédirions i de
l’aftrologie. I. 290. ¿.. Sentiment d’Agrippa fur cet art. IX.
853. «.Réflexions for l’aftrologie. XVII. 796. a. Preuves dé
la variété de cet art. VI. 356. a. XIII. 270. a, b. Alphabet
aftrologique attribué aux Juifs. II. 479. b. L’aftrologie particulièrement
cultivée par les rabbins. XIII. 733. «.
ASTROLOGUE, ajlronome, différence entre ces mots.
I. 782. b.
Aftrologues généthliaques. VII. 778. a 3 b.
ASTRONOMIE, étymologie du mot. Définition de cette
fcience. Divers fentimens des anciens fur l’origine 8c les
m Ë Ê m 1'a?ronomie- 1 783- t. Raifons fur lefqueUes
M. labbê Renaudot attribue l'invention de l’aftronomie anx
anciens patriarches. Connoiflance de Moïfe & de Job dans
faftronomie.
Rudbek prétend oue les Suédois forent les premiers aftro-
nomes. L 784. b. Obfervations aftronomiques apportées de
Babylone, pm- Alexandre, dont les premières étoient de
1 an 115 du déluge. Comment les Babyloniens & les Egyp-
riens tranfmettoient leurs obfervations à la poftérité. D e
lanuqiuté ques’attribuoient les Babyloniens & les Egyptiens,
& aujourdhiu les Orientaux. Ce qu’on doit croire de plus
raifonnable for 1 antiquité des obfervations des Babyloniens.
Pourquoi ces peuplés s’appliquèrent de bonne heure à l’aftro-
nomie. La grande étude des Chaldéens étoit plutôt l’aftrolo-
gie que l’aftronomie. Ibid. 785. a. Connoiflances des Phénir
ciens dans cette derniere. Si les Egyptiens l’ont cultivée
avant les Chaldéens. Leurs découvertes aftronomiques. Etat
de cette fcience dans les premiers tems de la Grece. Con-
noiffances aftronomiques de Thaïes, d’Anaximandre, d’Anaxi-
A S T
Wene 8t d’Ànaxagoras. Ibid. b. Celles dé Pytïiagofe, 8c dé
quelques autres. Cycle de dix-neuf ans publié par Métom
Ltabliflemênt de l’aftronomie en Grece félon Vitruve. Sort
de cette fcience depuis Pythagore, Ibid. 786. a. Ariftarque
de Samos, Archimeae, Démocrite & autres, &c. Aftronomie
d’Ariftote, de Numa, de Pythéas de Marfeille. Aftronomie
de l’école d’Alexandrie, lbid<. b. à la tête defquels on doit
placer Hipparque. Ses foccefleurs. Etat de l’aftronomie chez
les Romains. Ibid. 787. a. Aftronomes des fix, fept & huitième
fiecles.1 Charlemagne étoit fovant dans l’aftronomie. L’auteur
anonyme de la chronique des rois de France, Pépin, Char-
lemagne & Louis ,*la cultiva. Aftronomes du dixième, du
onziemç & du douzième fiecles. Une caufo du peu de progrès
de l’aftronomie fut l’ordre'que donna Omar III, de brûler
tous les livres. Ibid. 788. a. Cette fcience cultivée par les
Arabes. Travaux du calife Almamoun pour la perfectionner.
Traduétion de leurs ouvrages. Ibid. b. Etat de l’aftronomie
chez les TartaresBc chez les Chinois. lbid% 789. a. Ce qu’ont
fait les Juifs dans cette fcience. Comment elle rentra en
Europe après un long exil. Principaux aftronomes qui fe font
diftingués en Europe depuis le douzième fiecle. Ibid. b. Nicolas
Copernic, Jérôme Cardan, Tycho-Brahé.Ibid.790. «.Kepler,
Galilée, Hevclius. Autres aftronomes modernes. Ibid. b. En
Italie, Riccioli & Grimaldi. En Hollande, Huyghens; en
Angleterre, Newton , Halley, Flamfteed , - Bradley. En
France, Caflini, Picard, &c. Ibid. 791. a. Progrès que font
dans* l’aftronomie les Italiens, les Suédois, les Rufles. Obier-
vatoires conftruits en divers endroits. Femmes qui fe font
diftinguées dans cette fcience. Connoiflance des Brachmanes
dans l’aftronomie , des prêtres de Madagafcar , des Siamois.
Ibid. b. des Péruviens. Extraits d’où cet article a été tiré.
Ouvrages à confulter for le même fujet. Ibid. 792. «.
Aftronomie ancienne. Aftronomie nouvelle3 ouvrages où celle-ci
eft contenue. Ibid. 792. «. Almagefte nouveau de Riccioli.
Moelle de l’aftronomie ancienne de Taquet. Prélevions aftronomiques
de Whiftorh Autres ouvrages en ce genre» Expofi-
tion abrégée de celui de M. le Monnier. Elémens d’aftronomie
de M. Caflini. Ibid. b. Aftronomie iphérique, aftronomie
théorique, aftronomie phyfique. On peut encore divifer
l’aftronomie en terreftre oc nautique. Ouvrage de M. de
Maupcrtuis fur cette derniere. Autres fciences & arts qui
fervent à l’aftronomie. Ibid. 793. «»
A stronomie , fautes à corriger dans cet article de l’Encyclopédie.
Méthode la plus naturelle à foivre pour traiter
de l’altronomie & pour l’étudier. Obfervation du mouvement
diurne du ciel. Suppl. L *662. b. Connoiflance des pôles du
monde & de l’équateur» Diftinétion des planetes ; mouvement
annuel du foleil ; découverte de l’année fydéréale. Ibid.
663. a. Révolutions des planetes. Différence dans leur couleur
& leur éclat, qui aide à les reconnoître. Leur mouvement
rapporté à l’écliptique. Ufage de la trigonométrie fphérique
dans l’aftronomie. Des inégalités dans le mouvement des
planetes. Inclinaifons & noeuds des orbites. Ufages qu’on a
tirés de la connoiflance des parallaxes. Découverte de la
rotation des planetes. Circonftances dans lefquelles fe font
les principales obfervations des aftres. Inftrumens dont on fe
fert. Ufages & applications des connoiflances aftronomiques.
Ibid. b. Catalogue des meilleurs -ouvrages d’aftronomié. Ibid.
664. «.
Aftronomie, fon Origine en Chaldèe» Ilï. 2o. •«. L’invention
de cette fcience attribuée aufli aux Ethiopiens. VI. 55. b.
Son antiquité dans les Indes. VIII» 661. b. Cette fcience cultivée
par les anciens Arabes,. Suppl. I. 502. «. Hiftoire des
progrès de l’aftronomie dans ces derniers fiecles» IX. 743. b.
744.«, b. Ancienne aftronomie. 1.441. b. Aftronomie fphérique.
XV. 45«[. b. Syftêmes d’aftronomie. 778. b. Réflexion fur
l'impuiffance Où nous ferons vraifemblablement toujours
d’expliquer plufieurs phénomènes du ciel. XI. 68. «. Eloge
de l’aftronomie. I. vj. XII. Ç37. a. Secours qu’elle prête à la
géographie. I. 552. b. V il. 613. b. Comment l’aftronomie
tient à l’hiftoire naturelle. VIII. '226. «. Ufoge des cartes
célcftes en aftronomie. Suppl. H. 2 ç 3. «, b. Ufage des baguettes
logarithmiques. Suppl. III. 770. a, b. Utilité que-l’aftronomie
retire de lanalyfe. 917. b. Caraéleres ufités en aftronomie.
IL 649. «■ —• Planches for l’aftronomie. Vol. V. des planch.
ASTRONOMIQUE, obfervations aftronomiques. Ptolomée
nous a confervé celles des anciens dans l’almagefte. I.
793. «. Contenu de ce livre publié fous l’empire d’Antonin.
Siècles d’ignorance depuis la chûte de l’empire d’occident en
476. Obfervations qui parurent depuis l’an 880. Hiftoire
célefte de M. Lemonier fils. Lieu aftronomique d’un aftre.
Ibid. b. Théologie aftronomique de Derham. Ibid. 794. «.
Aftronomique. Obfervations aftronomiques. XI. 313. a 3b.
323. b. 324. a 3 b. Celles qui forent faites à Babylone. I.
783- «.III. 22. b. VIII. 221. «.— Inftrumens aftronomiques.
VlII. 802. b. Inftrument des partages. XII. n 3.«, ¿.Quarts
de cercle. XIII. 666. a , b. SeVeurs. XIV. 877. «, b. Micro,
metre. X. 488. « , ¿. Héliometrè. VlII. 102. b. Voye[ encore
l’article Instrument, Inftrument de l’ancienne aftronomie,
ATE 1 1 9
W Ê SÉ Ê rn Êm m ^
navigation. E 56. a , i &c. S o lu r i r r ^ p f o b S « ‘i r é *
nomtquespar le moyen «les figures. VII. 850!X Z c „ . w ,
agronomiques, t t 649. a. Syftêmes aftronomiques. XV , ,8
4. Calculs aftronomiques, voyez C a l c u l Découvertes a iw
noimques de Galilée. Suppl. IÙ. 173. 4. Lobe aftronomiques
? Æ i ï er- iSH H Tabies aftronomiques. XV. 707. 4. s imi.
IV. 878. a , b. &c. Tems aftronomique. XVI. 9 6 . Chronologie
aftronomique. W. 392. a. Éphémérides aftronomiques
V. 772. a. Géographie aftronomique. VU. 612. 4. Danle
aftronomique chez les anciens. IV. ¿25. 4. Talilmans aftro-
npnumies.Xy. 868. u. - r les d’aftroflomie
vol. V. des planches.
g-. ñ1s w î“ 3“ ” " 1" 6' Suppl 1 4° 5' ¿
ASTRUM, (Ckyrji) cemot fignifie une pins grande vertu.
puiiTance ou propriété, acquife par U pïépa?arion qu'on à
donnée à une ehc f . AJlmmJidphuris, S g i falis, aftrum
mercurn. Suppl. I. 666. «. y
^ c ïK n « ' ?Ç??rK ,de 1,aihlce avec la fineffe.VI. 816.6.
A b l UKA , ( Ocogr. ) riviere de la campagne de Rome
tvenemens remarquables arrivés près d’un bourg fitué à fon
embouchure. Suppl. 1. 666. a.
A STYAG E , (Hift. anc.) dernier roi des Medes, fils de
Cyaxare. Songe qu’il fit for l’enfont dont fo fille Mandane
devoit accoucher. Suppl. L 666. «.
ASTIMEDE, (Hijhpoét.) fécondé femme d’OEdipe, &c»
Suppl. I. 666. «»
ASUGA. {Géogr. ) Obfervation for cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. I. 666. «»
ASYLE, étymologie & définition. Le premier fot établi
à Athènes par les Héraclides. Quels étoient anciennement
les lieux dalyle. Villes de refoge chez les Ifraêlîtes. I. 794.
«. Dans quel principe les païens accordoient refuge aux plus
coupables criminels. Vienne & Lyon étoient un afyle Ce
droit confervé dans quelques villes d’Allemagne. Infcrip-
tions for les médailles de T y r & de Sidon, qui les défi-
giioient comme lieux d’aiyle. D ’où leur venoit cette qualités
Afyle que donnoient les monafteres 8c les màifons d’èvê-
ques. Ces afyles dépouillés enfuite de plufieurs de leurs
immunités. Ce qu’on entend par afyle en Angleterre. Fameux
afyle rie Béverly. Celui de S. Martin de Tours en France»,
Atteinte que Charlemagne donna aux afyles» Ibid. ¿..
Afyle. Du droit d’afyle établi autrefois chez les juifs &
chez les païens , & aujourd’hui dans quelques villes d’Allemagne,
dans les palais des princes,8cc» VHI. 378. ¿.Villes
autrefois inviolables. XVII. 280. « , b. Afyle du temple
d’Ephefe. XVI. 71. ¿. Du droit d’afyle des églifes 8c lieux
faints. VOL 379.« ,¿ . Les églifes & les cimetieres étoient
autrefois en Angleterre des afyles refoeâés» I. 17. a, XIV.
¿09. a. Afyles ou lieux de franchise. VII. 284. «» Les hôtels
des ambaiiàdeurs — iiVi. conûdèrés vcovmmumice udreas a«1f1y/licehs eenn tceerrrtaaiins
cas. VIU. y 9. ¿. Efpece d’afyle dans Paris. XVI. 87» b.
ASYYfMl P f O TE , ( «G«éo«m».. )j duévfminuiutiuonu duce cgecthtec lniggnnee :: minee?x
étitude de celle qu’on donne ordinairement. Etymologie du
mot» Certains géomètres en diftinguent plufieurs efpeces. L
793. «. Deux courbes afymptotes l’une à l’autre. Afympto*
tes dans les courbes du lecond , troifieme 8c quatrième degré
» Afymptote de la conchoïde : elle eft très-propre à donner
des notions claires d el’afymptote en général. Comment
on trace celles de l’hyperbole» Une courbe peut avoir dans
certains cas pour afymptote une droite , 8c dans d’autres
une courbe. Une courbe géométrique ne peut avoir plus
d’afymptotes droites, qu’il n’y a d’unités dans l’expofantdé
fon ordre. Ibid» b. Autres obfervations for (les afymptotes.
Ibid, 796. «.
ASYNDETON, figure de grammaire , qui confifteàfup-
primer les liaifons entre les mots d’une phrafe, comme dans
cet exemple, veni 3 vidi, vici. Cette figure eft oppofée à celle
qu’on nomme polifynthèton. I. 796. ¿»
A T
A T , ( Botan.) arbre d’Afrique 8c de l’Afie. Ses difféiens
noms. Auteurs qui l’ont décrit. Defcription qui en eft don*
iiée dans cet article. Suppl. I» 666. b. Lieux où il croît natu*
T e llem e n t . Sa culture 8c fo n produit. Ses qualités 8c ufages»
Erreurs de Linnsus. Ibid. 667. «.
ATABEK,(JW/?» modl) pere dü prince ; titre qu’ont porté
plufieurs feigneurs > inftituteurs des princes de la maifon des
Selgiucides. Dynaities qu’ils établiient en Afie. 1. 796. b.
ATALANTE , ( Myth. ) fille de Cènée , roi de Scytosi
Ses aventures. SuppU I» 607. «.
ATAROTH. ( Géogr. facr.) Obfervatiôiî fur cet article dé
l’Encyclopédie. Suppl. I. 667. b.
A T É , ( Myth») deeffe inalfaifante. I» 797» «> Fiôîolïs d’Hci3
mer« for cette déeffe. Ibid» b»