
A V E R T Æ S E M E N T .
i° . C e t t e Table rapproche les articles qui fervent de fupplement les irns aux ai , ^ ^ un mgme arCie-
& fe développent mutuellement; elle réunit' les ôbiervâtiôns, les correéhons qu r ’eiTainfi par exemple que
& que le leâeur ne foupçonrte pas, ou ne pourroit trouver quavec beaucoup de pem ■ nuoicme le nrénier
le lefleyr trouvera qu’après avoir lu l’article Aius-loçutius, on doit lir e l ^a Orptmfnt où l e mLie~’ o£jei elt
ne renvoie point au fécond-; qu’après l’article Arsenic, on doit lire lartide Or ’ , . - 1 HistcirÉ na.
traité dlune maniéré plus exafle & plus étendue. C’eft ainfi encore que 1 on trouvera dans 1
M. de Voltaire, la critique d’une propofition renfermée dans l’article Ce r titu d e ; que e yit . 1?
mot Fermes du Ro i, fe trouve réfute fous le mot Subside, & c. & c. I .Encyclopédie eil pleine . e
forte, qui doivent être lus conjointement, quoique cette connexion n’ait etc indiquée par aucun renvoi.
A 0. Plufieurs articles très-importans, qui n’exillent point formellement dans 1 Encyclopédie , ont ete crées de
matériaux épars tirés d’elle-même, 8c.placés dans la Table à leur rangpalphabetique : tels iont les articles KEOE,
( Hiß. nat. ) M o n a d e , ( Hiß. de la Phil. ) P r o g r è s d e s C o n n o i s s a n c e s , 8cc.
30. Les Supplémens ne font plus qu’un même corps avec l’Encyclopédie dans cette Table. _
4°.- Si l’Encyclopédie renferme des contradictions, on n’a point voulu. les diffimuler. Il_etoit comme împoffibhgp
les éviter dans un ouvrage, auquel tant de mains différentes ont travaille , & qui a effuye tant dobilacies Sde
iécoiifles. Ces contradictions rapprochées , pourront amufér les critiques &. milruire les fages. fi \
}°. On a établi entré les Volümes*’de planches & ceux de difcours, une relation qui n’exifloit que tres-defedueufeimt,1
6°. Cette Table fournit au le&eur un moyen facile de tirer de l’Encyclopédie, fur chaque matière de fcienc&
d’art, des traités auffi complets que la nature de cet Ouvrage peut le permettre. |
7°. Divers articles n’ont,été prefentés dans l’Encyclopédie que fous , un mot fcientifique. Nous avons cru dévoilés
préfenter fous leur terme vulgaire ,.& lever ainfi le voile qùi déroboit au commun des leéteurs des richeffes philofophies
ou littéraires , auxquelles chacun a "droit'de prétendre. '
8°. Plufieurs articles de Philofophie ou de Métaphyfique étant fort étendus dans l’Encyclopédie, l’analyfe dees
articles, les préfente fousr un. point de yue plus reflerré ¿¿ plus commode: d’où réfultent divers avantages ; cone
de donner au leileur une idée générale de la maniéré dont ité font traités; de fervir à lui rappeller l’enchaînemt
des «idées principales qui s’y trouvent-développées ; enfin de lui faire trouver avec facilité dans un article d’irne certie
étendue, telle penfée, telle obfervation que le befoin du moment peut faire defirer.
90. L’Encyclopédie étant un Dictionnaire d’arts & de fciences, il n’y a aucun article pour les noms d’homn ,
quoiqu’il y ait peu d’hommes illuflres dont il ne foit fait mention dans cet Ouvrage. On indique les endroits cil
eil parlé de chacun d’eux & de leurs ouvrages.
io°. L’impoilibilité de mettre fous chaque mot tout ce qui s’y rapportoit, à moins de faire un traité compleie'
chaque ^article, a rendu les renvois & les tranfpofitions (a ') inévitables dans l’Encyclopédie: la Table abie
finguliérement les recherches à cet égard; non feulement ;elle indique fous un. feul; mot tout ce qiii a rapport âe
mot dansJes différens ; Volumes ; mais par le fecdurs deS renyois qui portent également fur la Table même & x
le corps de l’Encyclopédie, & par celui des analyfes qu’elle renfermé, elle fournit au leftéur, dans plufieurs «
un moyen très-expéditif de fatisfaire fa curiofité, fans fortir de l’Ouvrage même. ■
| i i °. En fuppoiànt, ce que nous fommes bien éloignés de croire, que Tordre alphabétique foit un inconvémt
dans l’Encyclopédie, cette Table y remédie complettement.
ix °. Elle eil précédée d’un tableau, de toutes les connoiifances humaines, avec des définitions claires, courtesc
précifes, & elle eil fuivie d’ime Table de tous les arts &c métiers traités dans l’Encyclopédie, également difu<>
par ordre alphabétique. D v
Quoiqu’au premier coup-d’oeil rien ne paroifle moins fufceptible d’une Table de matières qu’un Dictionnaire ( puifqu
général la Table d’un Ouvrage n’ell qu’une efoece de Dictionnaire dans lequel on rapproche fous un même mot tout:
qui peut y avoir rapport), l’expofé vrai & fidele du plan & du travail de cette Table de l’Encyclopédie, unique d‘
ion genre , fuffit pour en faire connoître la néceffité, l’importance & l’utilité.. *
La célébrité de l’Encyclopédie dans toute l’Europe , exigeoit qu’unr Ouvrage dpfliné à faire corps avec elle eûfe
degre de perfection propre à le rendre digne d’une pareille affociation; il exigeoit de l’unité dans le plan & d®
haifon dans les parties; il demandoit de plus qu’une perfonne feule fe chargeât de l’exécution; mais où trouver»
homme qui fut affez verfé dans les différens genres de connoiflances, & qui pût avoir affez de patience & de t&
pour lire & analyfer, la plume à la main, trente-trois Volumes in-folio, enfin qui réunît tous les talens néceflaires n*
un travail aufli penible & auffi difficile ? ‘
M* bouchon, Miniilre de TEglife Françoife à Baile, a eu le courage de l’entreprendre : fes connoiflances en te
genre, & 1 application qu il a donnée à cet Ouvrage , nous répondent du fuccès .de fon travail & de la reconnoiflan '
du public : il y a confacre huit années' entières ; & ceftx qui l’examineront avec attention, feront étonnés au’il ait
en venir à bout dans cet efpace de tems : c’efl le fruit de tant de veilles/que nous donnons aujourd’hui au oubli
tous le titre de Table analytique & raifonnéc des matures contenues dans les X X X III Volumes in-folio de C Encyclopédie
On avon annonce cette Table pour 1777: elle n’a été retardée que parce qu’on a voulu y fondre les SiiDolémor,
cette nouvelle tache a ete entrepnfe & achevee avec le même courage & la même faeacité n a r M '
pouvoir feul mettre de l’unité ¿ d e l’enfemble dans les divers réfultat? de ce travaü immeSS W Ê S t S
Ainfi, on peut regarder la Tab e que nous annonçons, comme un excellent Abrégé de çe fameux Difrionnain
elle eft neceffaire à ceux qui ont l’Encvclopéd.e & les Supplémens : elle peut fervir I ceux qui ne poflédantuas
grand Ouvrage, ont çepencfant befoin, & font à portée de fe confulter quelquefois : elle le complette, elle en multin]
finguliérement 1 utilité, & en rend l’ufage auffi fec.le que commode : elle peut même le remplacer dans bien des oaafior
(a) Ces tranfpofitions font en très-grand nombre, & il étoit néceflaire de les indiquer dans la Table. Plufieurs obi.,« l . i . •. • r
dune manière plus étendue, quelquefois plus iutéreflante que dans leur, article propre. Il a fallu y renvoyer. par <,cc,‘“
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'encore la, Gèoyrapdce, en, fleta
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dace perpendiculairement a, I hër
'on,entre Vomii et Vobfet.J,a.Pcr.
Ijpcetcve est ètç spéculative, ou.jn
i tique, ¡Speculative, art la thcor
‘ fffrentes apparences eu r
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Îoant les différentes vosU ’
l ortul q u ite repartie, fr i
e st la méthode do représ
\ée qui paro à à nojyeuce,
™qùe notre imagination co „
&>it,ccde,lcs representen so.
^wtefòrme semblable/
' Tftsootyets que noti,
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_ ~rE 0& /L ÍPM *
fllIS T O R lQ UE%.
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fu i p a y s ou une vitte,, el/Æ
f aprésente, les dMerenteéÊ
evotutioris', a, quels p rin d ß
s ont ete sufetv successif*
fment.be commerce q u if“
raâ, les batailles, les lû t
>, les traités de Paiqx.
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I\fe n à a té o n d e s k
\ r en ta ü o n d e s ìi
Kc c l e sm s t iq ia
OrsquéUe,
t'rsqueUeryrrése/itÆ
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„/GRAPHIE v»
/Ci v i l e o3|
... ° l i t i q t j e ,
||pd*r la Description À
-Hcßfiut des Souverai/j
netxr p a r rapportéjjl
Gouvernement,
>ii ou,Poli A,
jrEiVS N
G R A PH IE ss- .
S a c k ê e % ,
forsquelle a.pour buË^ Ipe traiter desptn/sdôiftk
h e,réfb[l mention,
Ecritures eàfU aans Ih/istoirt/jW
cotes iq s t i - A
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fjuiclion Ecclesiastique:!)
IbevWi fa/fatriarchats
WsVrimaties, les D iol
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Paonnes, les D ei
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Y g r a p h ie ^
^-Ph y s iq izÆ
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rrrétlré, non.pas tane...
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7u l en, com pofe—.
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S T^ T/OJVtZ f .
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/ Af/ITT C l.n , n U
rapport
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C« ie t par n f de Tï:,lf l' cv,!''< V ° US MÊMES; Ct dix.
■‘ s-tftru niaZ'S,^V rm.re Pour S ,'7' ° x -
“r S y -'î'h /a tornai,.
Henard Direaûc..