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finies dm rendent l'accompagnement difficile :
S S v e t o fa maniéré de chiffre^ les baffes ; l’autre
dans les méthodes d’accompagnement. L 75: "• * * 8 * 5 «
xemédier à la première. Divers moyens gi|on^mplo)t|s:guuL
nues neutres pour remédier a la fronde. Cerf a?.am
que nous femmes redevables d une méthode
L s les inconvéniens miens udce 1c-eolliews qy«u ’vo“n -a vo--i-t —fu, m e s;j,u t*a .a<
préfent. En nous feifant connoitre la baffe “
nous a découvert le s véritables fondemens dun art ou tou
A C C
dé c e t t e "multitude d’accords
Voyez lur cette coinum.uii>n i nri' _ . .. . , ,
ment on eft infenfiblement parvenu a introduire dans la compo-
fition un trèsgrand nombre d accords différens. Suppl. ~ 11
Principes d’après lefquels on peut déterminer quels font les
accords admiffibles. Ibid. b.
Accords immédiats , ceux dont les tons font féparés par des
intervalles limpies ; les accords médiats font ceux dont les
intervalles font compofés. Dans quelqu oéfave que 1 on compte
l’intervalle , il eft cenfé être le même , & conferver le nom
qu’il a dans la première. Cependant, dès qu il s agit d accords
réels dans un chant à plufieurs parties, ces intervalles ne font
plus équivalens ; & l’on fe trompero« beaucoup , fl Ion
crovoit pouvoir indifféremment fubflimer le limpie au com-
polc , ou le compolê au fonple,&prendre un accord médiat ,
au lieu d’un immédiat. Suffi. I. 119.«. On en diftingue trois
efpêces, le majeur I le mineur 8d’açcord diminué. Quels lont
les cas dans leiquels on emploie l’accord parfait. Ibid. b. Cette
forte d’accord n’exige pas néceflairement les trois confon-
nances qui le composent ; il n’y a que la tierce, dont il ne peut
jamais fe paffer ; mais il n’eft pas indifférent dans les cas particuliers
, lequel des deux intervalles on choififfc , pour le
répéter à la place de celui qu’on veut omettre. Double trarff-
pofition qu’admet l’accord parfait. Du pafîage de cet accord à
d’autres. Suppl. 1. 1 20. «-
Accord, des effets que peut produire le choix des accords
par rapport a l’expreffion. Suppl. II. 926. a. b. Art de diftri-
buer les accords. Voye^ C ontre-p o in t . Anticipation de
l'accord. Suppl.450. «.Faces d’un accord. VI. 357. b. Accords
fondamentaux. VII. 57.a. b. Suppl. III. 83. b. Formule harmonique
, par laquelle on détermine l’accord convenable à
chaque degré du ton .fur la fucceffionde la baffe. XIV. 22. b.
Renverfement de l’accord. 122. b. Accords direfts. Suppl. II.
723. b. Accords durs. 746. b. De l’art de chiffrer les accords.
III. 334. b. Maniere de toucher fucceflivement les différens
tons d’un accord, au lieu de les frapper à la fois. Voyej A rpé-
GEMENT. I. 701. b. & Ha RPEGEMENT. VIII. 58.«. b. InftrU-
ment qui fert a donner le ton de l’accord. XVI. 404. a. 405 .ai
De l’origine du plaifir que donne la perception des accorda
. XVI. 58. b. Suppl. IV. 211. a.
Difpofition des doigts fur,l’orgue ou le clavecin pour
l’accord parfait. V . 17. a. Pour l’accord diffonant. Ibid. b.
Origine de l’accord parfait majeur , & de l’accord parfait
mineur. VII. || | a. Quel eft le ion qu’on appelle fondamental
dans tout accord parfait. Ibid.Des accords confonnans & diffo-
nans. L 76. a. IV. 50. a. b. 1049.-'«. b. Suppl. II. 354. a. b. 726.
a. b. Suppl. III. 9.a. Pafîage" d’un accord diffonant, à un autre
accord quelconque. II. 313. b. Accords de fécondé. XIV. 858.
b. Suppl.IV .738. a.b.De fixte.XV.23?. a.Suppl.IV. 801. ¿.I)e
ilpcicmc. XV. 72. a. SupplrlV. 780. a. b. De neuvième. XI. 12. i.
b. Suppl.IV. 36. a. De lafous-dominante. XV. 417. ¿.Par fuppo-
fition. XV. 679. ¿. Suppl.1V. 847. a. Accord appelle fufpenlion.
XV. 700.. b. Accord appelle triade enharmonique. Suppl. IŸ .
aj6.'b. Accord de triton. 977. b. Obfervations fur les accords,
a l’article T empérament. Voye[ auffi l’article Harmo nie.
Obfervation critique fur l’article A c c o r d de l’Encyclopédie.
III. ix. Des accords félon M. Kirnberger. Suppl. ÍV. 873. b.
Accord de l’orgue : ce mot fignifie, i°.partition. Voyez fon
article particulier; 20. l’accord refpeétif de tous les jeux. La
partition , qui eft le fondement de l’accord , fe fait fur le
preftant. Ordreàfuivre pour accorder fucceflivement tous les
jeux de l’orgue. 1. 79. b. Ufage des accordoirs , pour accordez
tous les jeux de mutation. Ibid. 80. a.
ACCORDER des inflrumens , | Mufiq. italien. ) .maniere
d’accorder les inflrumens. Les inflrumens dont on tire le fon
par infpiration , montent fenflblement, quand on a joué
quelque tems. Précaution à prendre en les accordant. 1«
80. a.
Accorder, maniere d’accorder les tuyaux de l’orgue. XL
623. a. Regles pour accorder l’orgue ou le clavecin. XII.
107. a. XVI. 37. a. b. &c. Maniere d’accorder urte vielle. XVII,
261. a. b. La baffe de viole. 312.«.
ACCORDOIR, (Luther.) defeription de l’accordoir du
clavecin, & des accordoirs d’orgue. L 80. b.
Accordoir | des clés ou accordoirs. III. 318. b. Ufage desí
accordoirs pour l’orgue. XII. 108.«.
ACCOkE , ( Marine) on diftingue plufieurs fortes d’accores l
qui tous prennent leur nom de l’endroit du vaiffeau qu’ils
appuient. Suppl. 1. 120. a. Regles fur la maniere de les difpofer.
& de les ranger, Ibid, bf
Accore'i
miels fa méthode eft fondée. ïh... 7 • *'• r)nns Îa DluDart
On ne doit pas accompagner la mufique françoife comme la
mufique italienne. 6°. Le gorft de l’accompagnement for 1 orgue
eft différent de celui du clavecin. Accompagnement fe dit
encore de toute partie compofée fur un chant principal, pour
y faire harmonie.Pourquoi il convient d’accompagner les voix
de quelque infiniment. I.77. a.
Accompagnement> préceptes pour la manière de 1 accompagnement
fur l’orgue ou le clavecin, tirés d’une differtation
de M. Rameau, v. 17. a. En quoi confifte l’art de ne point
couvrir la'voix-dans l’accompagnement. Maniéré d’accompagner
le récitatif. VIII. 38. b. Suppl. IV. 390. g Table de tous
les chiffres de l’accompagnement. III. 334. b. Quel doit êtt^
l’accompagnement, pour que la mufique ait plus d exprefîlon.
Suppl. if. 927.«, b. Agrément qui a lieu dans l’accompagnement
du clavecin. Ibid. 1. 112. b. Des quintes & oôaves cachées
dans l’accompagnement de cet infiniment. Ibid. II. 91. a.
Accompagnement fans chiffres. Tout bon accompagnateur
doit pouvoir accompagner une baffe non chiffrée, lorfqu’il a
toute la partition, & même lorfqu’il n’a que la partie principale
au-deffus de la baffe ; mais il eftimpoflible d’accompagner
bien ,lorfqu’on n’a que la baffe feule. Suppl. I. 116. b. Cependant,
comme on a quelques réglés bonnes pour cet accompagnement,
dans les cas ordinaires, fauteur, les préfente ici,
mais en déclarant qu’elles font infuffifantes dans bien des cas.
Ibid. .117. a.-
A c com pagnem ent, ( Peinture) objets ajoutés dans un
tableau , ou pour l’ornement , ou pour la vraifemblance.
Î .7 7.
ACCOMPAGNER , ( Mufiq. ) ce mot même avertit celui
qui accompagne dans un concert, qu’il n’eft chargé que d’une
partie accefïoire ; qu’il ne doit s’attacher qu’à en faire valoir
d’autres, & que fi-tôt qu’il a la moindre prétention pour lui-
même , il gâte l’exécution, 8c impatiente à la fois les concer-
tans 8c les auditeurs. Suppl. I. n j.b .
ACCOMPLISSEMENT, ( Théolog. ) une même prophétie
peut avoir plufieurs accompliflemens en différens tems. De-là
la diftinétion d’accompiiflement dirëél 8c par accommodation.,
Uaccompliûement d’accommodation ne fait preuve, qu’autant
■qu’il eft contenu, ou clairement indiqué dans leà écritures, ou
conftamment enfeigné par la tradition. 1 .77. b.
A ccompliffement, examen du fenriment de ceux qui admettent
dans l’accompliffement des prophéties , un objet prochain 8c
un objet éloigné. XIII. 463. b. 8cc. De l'accompYiuemcntdes
prophéties en Jefus-Chrift. Ibid. 8c IH. 484.«. XVI. 779. b.
ACCON , | Marine ") efpece de bateau , ayant la forme
•d’un quarté long 8c à fond plat. Avantage 8c inconvèniens de
•ces bateaux. Dimenfions de ceux de Saint-Domingue. Suppl. L
-117. b.
ACCORD , ( Jurifp. ) accommodement. 1. 77. b.
A ccord , ( convention, confentement ) différence entre ces
mots. IV. i6i.b. Sur la matière des accords, voye^ C o n tr a t ,
C o n v en t io n , C lau se , O b l ig a t io n , Pa c t e , St ipu la t
io n , T ran sa ct ion .
A c co r d , ( Peint. ) harmonie dans la luraiere 8c les couleurs
-d’un tableau. L 78. a.
A cc o r d , ( Mufiq. ) accord parfait, compofé de trois fons.
On y ajoute ordinairement l’oôave du fon principal, pour
avoir l’enfemble de toutes les confonnances dans le même
accord , -8c la diffonance exprimée par une quatrième partie.
Accord imparfait, celui où regne la fixte au lieu de la quinte ,
8c où le fon grave n’eft pas le fondamental. Accords confonnans
8c accords diffonans. Table de-tous les accords reçus dans l’har-
monie.Accords fondamentaux. 1.78. «.Accords par fuppofition.
Ibid. b. Obfervations fur les accords. i°.Le choix des divers ren-
verfemens d’un même accord n’eft point indifférent pour l’harmonie
ou l’exprefiion. 1. 79. «. 20. Le choix des intervalles n’eft
guere moins important 30. On rend les accords plus harmonieux
en les refîerrant Ibid. b.
Accord °n ne peut déterminer au jufte le nombre d’accords
pollibles. Outre ceux dont il eft parlé, (article A ccord de
J Encyclopédie ) il y en a nombre d’autres, dont les grands
uiatres fe fervent, 8c fé font fervis. Suppl, L 117.b. Preuves
A C C
Accore, adj. côte-accorè. Il eft difficile de fe.iàuver lorfqu’on
éclioue à une telle côte. Suppl. I. 120. b,
A CCOSTÉ, ( Blaf. ) pal accofté. Bande accoftéei L 81.«.
ACCOUCHEMENT, ( Médec. Ghirurg. Phyfiolog. ) divers
fentimens fur la caufe de 1 accouchement. I. 81. «.Pourquoi
Quelques femmes ont une grofleffe peu apparente. Douleurs
e l'enfantement: comment on les diftingue des douleurs de
colique. Leurs caufes. I. 82. «.Moyens de faciliter l’accou-’
chement. Soins du chirurgien dans l’accouchement. Situation
la plus avantageufè à la femme. Maniéré de tirer l’enfant.
Ibid. b. Situation qu’il faut lui donner dès qu’il eft
né. CnmmentJQiàut couper le cordon.,
du placenta. Signes de la préience d’un fécond enrant'Seins
à prendre lorfque l’enfant a foufferi au pafîage. De l’accouchement
où l’enfànt préfente les pieds. Ibid. 83. «. Caufes qui
peuvent rendre difficile un accouchement naturel. Remedes
ou’elles exigent. Accouchement du foetus mort. En cruel cas
enfans naifîent coëffés. Ecoulemens qui précèdent l'accouchement.
Trois codditions pour que l’accouchement foit naturel.
Ibid. b. Variétés dans le terme de l’accouchement. Conduits
extraordinaires par où fort le foetus. Relation d’un accouchement
par le fondement. Ibid. 84. a. Du lieu qu’occupoit le
foetus pendant la grofreiïe. Ibid. b. Exemple d’un accouchement
de neuf enfans 8c d’une malle informe. Autre exemple
d’un accouchement de cinq enfans. Examen dé la qùeftion,
s’il fe fait un écartement des os pubis dans l’accouchement.
Ibid. 83. «. Auteurs françôisqui ont écrit fur les accouche-
znens. Ibid. b.
Accouchement : celui qui fè fait avant le terme, voyeç
A vo rtem en t . Caufes qui prématurent un peu le terme de
neuf mois. VI. 444. b. Des douléurs de l’enfantement & du
foin de diftinguer les vraies d’avec les fauftès. V. 664. b.
D ’où viennent les eaux que les femmes perdent avant l’accouchement.
Suopl. I. 296. b. Etat de la matrice aux approches
de l’accouchement. Suppl. m . 270. «. Caufes de l’accouchement
8c des douleurs qui l’accompagnent. VII. 960. «.
?6i. a. Situation du foetus aux approches 8c au terme de
accouchement. VIL 6. b. 7. «. Suppl. III. 69. b. De l’exclu-
iion du placenta après l’accouchement du foetus. XII. 673. b.
Précautions à prendre en accouchant une femme fujette à
lachûte de matrice. X. 201. b. Ce qu’on doit faire avant ou
après l’accouchement, lorfqu’il y a lieu de craindre l’atonie
de la matrice. Suppl. I. 679. b. 680. «. Mauvaife pratique de
quelques fage - femmes de pouffer le coccyx en arriéré
dans l’accouchement. IH. 338. b. Accouchement laborieux
ou même impoffible : fes caufes. V. 181. « , ¿.Réflexions qui
doivent faire ceffer les alarmes que pourroit eau fer l’affem-
blage de ces phénomènes. 182. «. Les acoeuchemens des
femmes trop jeunes fouvent dangereux. Des femmes chez
qui certains défauts de conformation rendent les accouche-
xnens très-laborieux ou même impoffibles.X. 119. «.Accou*
chemens malheureux , caufés par la mauvaife conformation
du baffin. Suppl. I. 826. a. Des maladies de la matrice qui
peuvent rendre les accouchemens laborieux. XVII. 336. b.
8cc. Véritable caufe qui met obftacle au paffage de l enfknt
par l’engagement de la tête. III. 338. b. Moyen d’ouvrir
la tête d’un enfant dans les cas où il eft néceffaire de vuider
le cerveau. Moyen-de percer le ventre d’un enfant gu’une
hydropifie empêche de venir au muude. I Y „ 40O. b. Cas où
l’on ne peut fe difpenfer de mutiler les enfans monftruêùx.
Ibid. Obfervations fur les accouchemens empêchés par la
tuméfaction de la tête du foetus. IX. 838. b. Il ne faut pas
regarder le détachement de l’épiderme comme un figne certain
de la mort de l'enfant. V. 790. b. Comment on excite
des épreintes pour procurer la fortie d’un enfimt mort, ou
du placenta. 83 6. b. Obfervation fur l’ufage des vomitifs pour
procurer la fortie du foetus mort, ou de l’arriere-faix. XVII.
467. «. Des accouchemens de plufieurs enfans à la fois. VII.
2. «. Exemple d’une fille qui accouche d’une autre fille huit
jours après fa naiffance. Suppl. I. 438. b. Sortie d’un foetus
par le fondement. VII. 78. b. Des inftrumens : lit fur lequel
, / aic Accouchement. Suppl. III. 763. «. Ufage de la chaife
chirurgicale dans les accouchemens laborieux. Suppl. II. 304.
ru% e ^es crochets dans les accouchemens.
49° - «»¿- De l’ufagedu forceps. VII. 123^. 126. « , b.
o lance dans l’accouchement du foetus mort. IX.
I 1JM1 j U îire“t^te- XVI. 343. b. Caufes de l’impoffibilité
ablolue de 1 accouchement, qui rendent indiipenfable l’opération
cêfarienne. II. 867. b. Des maladies qui fuivent l’accouchement.
VI. 478. a , b. &c. Ecoulement involontaire
dimne a la fuite de certains accouchemens. XVII. 206. b.
JJilacéranon de la fourchette. VII. 223. b. Déchirement de
la matrice. X. 199. b. Comment la mere peut nuire dans
1 accouchement au tempérament de fon enfant. V. 6<o. b.
Comment les fage-femmes nuifent auffi aux ènfiins. Ibid.
Accouchemens faciles des américaines. Suppl. I. 1 1|| ^
gloire des femmes iroquoifes eft d’accoucher fans fe plain-
’ 788. «, lifte des principaux ouvrages qui ont paru
Tome I.
A C C PliliË!— - 1 B- g I Æ ” “ N T .ÎA Î ê ç to i/™ * / .) t i clUfe dans U
for ce foier T a f ' 1 a 11 uteruSl Premier iyftême propofê
tomes Î I ?kÉs|■fï ueP f j a“ SI” ' n'Vio”/ “ volume d u f jm s ,
MM* tes fibres du col de la matrice fe font épanouies &
que les fibres de cet organe ne peuvent plus prêter, elles
commencent alors à fentir l’irritation du foetus ; elles fe contractent
, le fond defeend, & l’orifice eft dilaté da-ns le même
l i p i llJ.s/f ler e- Ce fyftême, tout ingénieux qu’il eft,
ojtre des difficultés qui le font abandonner. De nouvelles
S J w W “ des ¡ÉÈfi de l’utérus ont fart conclure qu’elles
devoient agir comme celles des inteltins en rétreci&nt les
« ufouff “ V ité .& e n pouffant devant elles tout
J “ n,Kn« dans l utérus. Suppl. 1. 121. a. Mais outre
n u S m e Si ■*11 fa" ‘ c°nffdérer principalement cet effort
S à » aPPel,e travail, & qui n’eft que
.rentra 1 . lointe à celle des mufoles du £asventre.
la caufe de cette aftion eft évidemment dans la
refptranon & dans les efforts prodigieux que lait la femelle.
La caufe irritante de 1 accouchement 'eft apparemment dans
Ohfe^1 ri r I meJ e .P°uffées m plus haut point.
Obfervation fur le terme de 1 accouchement. Ibid. b Caufes
qui le font varier, foit en le prématurant, foit en le recu-
lant. Du terme le plus accéléré auquel un enfant peut vivre
Uii. 122. a. Ce terme paroît être à la fin du feptieme’
mois. Phis on avance vers le neuvième, plus l’accouchement
eft naturel. Du terme le plus reculé de l’accouchement.
Caufes de ce retardement. Ibid. b.
A ccou ch em en t , ( Jurifp. ) voye^ Pa r t . XII. 84. b. Examen
de quelques queftions fur l’accouchement des femmes
foupçonnées d avoir ôté la vie à leur enfant. Suppl HL
: P I u Des ü$?es ^ul Peuvent indiquer dans une femme
fi réellement elle a accouche. 599. e , b. S’il eft permis dans
certains cas de tirer lu foetus par pièces pour conferver la
mere. Suppl. I. 718. «.
AccouraEMsKT (Myth.) divinités qui préfidiient aux
accouchemens. Vin. 555. a.VSL. 713. n. V , , 8. VII ,8 c “
1 ,A c c ° uÇh™ e1?t , (Uift. nat. ) l’accouchement eft fans"
hémorrhagie chez les animaux. VII. 960. n. Et moins lab“
neux ï ue ez fés femmes. 961. b.
ACCOUCHEUR ( Zoolog. ) développement de h eénéÂ
c C O ^ H F U S E aT r - r e la ? rcnol“ lle-Suppl. I. M *
ACCOUCHEUSE, ( Ckimrg. ) ou Sage-Femme. Les
accoucheufes gâtent fouvent la tête de l’enfimt. Autres femelles
effets de leur impende ou de leurs imprudences Barbarie
exercée par quelques fage-femmes pour gagner de
1 argent. 1. 8e. b. Voyc* Sa g e -Femme. 6 8 e
À C oe U PI, EME N T , ( Hiil. bat. des anim. ) parmi les
animai" qui ont des fexes, il y en a beaucoup iu i ne fe
joignent pas par une vraie copulation. Tems de Paccouplen
” ti POUr dl,Verfe,S efpef es- f i dfi. a. Effets que produit l’ac-
couplement dans les maies de quelques eipeces. Ibid b
Accouplement (Zoolog ) tous les animaux tiiéntleur
origine d un animal lemhlable à eux. Les animaux les plus
fimples multiplient à la manière des plantes : ils fe diviient
St leurs parties fe forment & deviennent de nouveaux animaux.
Suppl. I. 123. a. Maniéré dont accouchent quelnues
animaux microfcopiques. Un grand nombre d’animaux marins
engendrent de véritables oeufs, fans avoir de mâle &
fans avoir d organes des deux fexes. Les coquillages com-
S 3 9 R i d°nner- l’exemple des deux fexes, réunis, à la
vérité,dans le même animal. Ibid.
Il y a un nombre confidérable de coquillages & d’animaux
hermaphrodites, doués des deux fexes, fouiffant. des
organes femelles d’un autre animal de leur efpece, dans le
tems quils offrent aux organes mâles de ce même animal
la jouiffance de leurs organes femelles ; c’eft ici que commence
1 accouplement Parmi cette claffe, il y a des animaux
dont laccouplement eft tres-compofé, & dont plufieurs indi-
vidus font attachés entr’euxpar les chaînes du plaifir. Efpeces
d animaux dont les individus fourniffent uniquement la li-
qtienr fécondante, tandis que les autres n’ont que les oeufs
qui doivent être fécondés par cette liqueur. Accouplement
des polirons. Infectes dans lefquels il y a un fexe différent
de celui des autres cia«es. Suppl. I. 124. u. Des animaux
dont les individus n’ont qu’un fexe. L’organe du plaifir fe
trouve dans tous les mâles de ces efpeces. Dans les mâles
du moins dans les quadrupèdes c’èft la préfence d’une quan-’
tiré fuffifante de liqueur fécondante qui produit la pâfion
avec laquelle ils pourfu,vent & fubjuguent les femelles.
Inflammauon paffagere de l’organe de h f femelle qui excite
les defirs du maTe. Dans les claffes d’animaux’ dont les
p i s ? Γ rPaflf.nt le nombre des femelles, c’eft la femelle
qui folhcire laccouplement. Ibid. b. Plus un animal eft lent
plus ion accouplement a de durée. Des moyens dont la nature
fe fert pour fevonfer l’accouplement. Ibid. 12 , a
Accouplement«/« infeClcs.WX. 784. a, b. Papillons qui" fan,
accouplement, produifent des oeufs fécondés. Sup^l. II. ¿$7.