
i 3 8 bai • f, rnaifon. Balintx., bains, publics. Pourquoi les
avoit ianii fa „¿cefljires anciennement quaujourdhui.
& de les fuira i« eP mamiScoice. ^ Romains
reçu dans les bains. De lheur ^ j méchanifinc
fiulbient ufage. Suffi. }■ A g *• Dé<ady" reprèfe..-
de «cBes Sgafedojnt oan troauve ale dweflin Bdans ,w w autrefois chez les Komams, t
ntiquité aujourd’hui chez F ¡ÎH a ïS iW sÇ
b a b A u t r e s particularité s h if to r iq u e s f u r l e s j g a j B W
defcription des bains des Romains : diverfes obfer-
• c r..r ces lieux XVL 268. <z, ¿. 269.*, ¿- Appartemens
3 ,® dans les bains. XVII. 708. a. Les bain* des fem-
m«,pavls d’argent pur du rems de Séneque. Y ^ /Le'tirs
Repofoirs dans les bains des Romains. XIV. -
haisnoires II. Mi b. Ufage du ftngile dans les bains. XV.
e J L , b. Vafe avec lequel les
fur ceux qui ètoient dans le bain. Suppl. L 74 J. “■
oerfonnes qui V étoient employées. VU. 1018. *> »• v iu -
x68 b 469. V .X X U . 380. i. Robe que prenoient le s Romains
au for'tir du tain. XV. 764- ^ T ^ I I
ils fe rendoient vers les trois heures: de 1 apres-mitf XVIb
ü b. utf.a. Chanfons dans les tans. II. i^ * . Ban. de
dames romaines avant que d’alleràleur
a. Bains fameux prèsd’lïymere VIU. 20». e . -
mfs A oD a r tem en t de bains m o d e rn e s . Vol. V IU. des pl. 1-trru
auitr pi 9- Bains dePoitevinfurlaSeine. Aid.pl. 10, 11, **.
^ BÀllIfautb o u i , p,oprtti,{Midtcmt)oe quor.appelle
bains nénéranx, & bains particubers 8c pédduves. I sa.a.
S ieTtans chauds d’eau douce, 8c de ceux d’eau froide.
■r • î« (iomeftiaues que l’on compofe de pluficurs façons,
S Z S X d e » de riviere de fleuve ou de
mer • bains fecs. Explicadon de laSion des tauns. Ibid. b.
Phrénètiques guéris par des bains d’eau froide. Ceux de ri-
vicre en^été préfervent des maladies de cette faifon. ExpU-
cation des effets du bain de mer; des bains de vapem-s Pré-
caudons à prendre pour tirer quelque fruit de 1 ufage du
j S & S Ê f e a ! différentes fortes de: tan s , dillinguéspar
la nature du fluide employé, par fes différens degrés de chaleur
par les parties du corps humain auxquelles ce fluide
BAI l ’air contenu dans les humeurs. 320. Sa fluidité augmentée
en proportion de fa raréfaftion. 330. Comment lair atmo-
fpherique agit fur-nos corps, 34°- & l’air intérieur fur nos
humeurs. 350. Comment il cimente les parties conftituantes.
de nos folides, & pour régénérer celles que la putridité avoit
altérées. 36°. Des propriétés de Veau. De fa peianteur, fluidité
cft appliqué, & par la maniéré dont fe fait cette appbcation.
S“^ h ^ } i t X s propriitis S, Us uhas du bain.
Recherches relatives à cet objet, Jur la nature &■ Us facultés
Au corps hümàtn . < . > ,
i°.Des fibres, a». Des caufes qu. peuvent agir fur leur
propriété réfiflante & leurs facultés aflives. W . 1 . 7 « . b
> Toutes les fonâions animales 8c vitales font le produit
âu‘ jeu de fibres, 6c eUes s’exécutent avec une bberté pro-
nortionnée à leur ton. 40. Organes 8c fonihons animales qu il
Sut principalement confidérer, pour apprécier la maniéré
d’agir des bains. 3”. D’où dépend l’aébon pli* ou moins forte
des vaiffeaux fur la maffe des humeurs, 6 . 8c le plus ou
le moins de fenfibilité des nerfs. 7". Strufrure Sc ufages de
la peau.fiid. 733- u.8°. 8c du uffu cellulaire.9 . Correfpon-
dance des parties du cotps humain. 10°. Caules du plus ou
moins de fluidité 8c d’âcreté des humeurs. De la proportion
qui doit être entre la maffe humorale 8c les yaifleaux. Maladies
qui réfultent de cette proportion détruite, t t . Effets
de la circulation des humeurs fur leurs quittés propres, 12 .
Organes où s’opère le plus fenfiblement 1 élaboration de la
maffe humorale. 13°. De li chaleur ammale Sa caufe. Ses
différens degrés. Ses effets, lbtd. b. 14 . Caufes des différens
degrés de plrfeffion de l’hématofe, des fecrétions 8c des
excrétions ! 3°. Principe d’aôion dans l’être fpmmel uni au
corps humain. 16». De la famé du coras, 8c des caufes qu.
peuvent y contribuer. 170. Des effets du feu fur nos organes.
Les molécules ignées, en vertu de la loi de 1 équilibre ,
partent d’un corps qui en contient- beaucoup, dans celui ou
elles étoient réunies en moindre quantité. Ibid. 754* i®0*
Leur aâion fur la maffe humorale, 190. fur les folides ,
ao°. fur les nerfs, 21°. & fur tout le iyftême nerveux. 220.
Partage des molécules ignées du corps humain dans les corps
ambians. 23*. Effets de cette diminution de chaleur animale,
fur les humeurs, Ibid. b. 240. fur les folides, 250. fur les
nerfs , 26°. & fur tout le fyftême nerveux. 27°. Réfultat des
obfervations précédentes. 28°. De l’air 6» de fes propriétés relativement
au corps humain. 290. Sapefanteur diminuée en rai-
. fon inverfe de fa raréfaction. 30°. Caufes de fon plus ou
moins d’élafficité. Ibid. 755'. a. 3x°. Effets de l’élafticitê de
, infipiditè. 370. D’où dépend fa faculté de s’unir aux
mucilagineux & aux huileux. Ibid. b. 38°. Propriétés
acquiert par fon union avec différentes fubftances. 30 . Sa
température proportionnée à la quantité de molécules ignées
. qui l’ont pénétrée. 40°. Propriétés que lui donnent fa pefan-
teur 8c fa fluidité. 410. Effets de la compreflion qu’elle exerce
furie corps humain auquel elleeft appliquée. 420. Ses effets
ifuurr ileess fniDbrreess,, le tuifufuu cv-evl luml aire 8c la maffe hum-orale. 43 -
Les mêmes effets augmentés oti diminués par la température.
440. Effet de fon union au principe aérien, 450. 8c
aux mucilagineux. Ibid. 756. a. 46°. Aélion de l’eau fur le
corps , loilqu’elle fort de véhicule à des huiles éthérées :
47Morfqu’eUeeft mêlée avec des fols. 48°. Efficacité des eaux
minérales, félon la nature particulière des minéraux. 490. Tous
ces effets au gm e n té s ou diminués par la température de ceseaux.
Ibid. b. <o°. Comment on peutfe rendre faifon delà manier«
d’agir des différentes efpeces de bains, 8ç de leur efficacité. 5
Comment l’air peut devenir la matière d’un bain médicinal. <2 .
Effets d’un bain d’air froid. 530. Ceux d’un air dont la chaleur
eft-augmentée. 54°- Air chargé de liqueurs fpintueufes, d acides
de vapeurs aqueufes, ouqui fe trouve dans 1 état dehxitô.
Le bain aqueux fimple agira comme le bain d’air , non-
feulement par les qualités propres de l’eau ; mais encore
par fes qualités accidentelles. Ibid. 757. a. 56“. Effets des
bains partiels d’eau pure, foit tiede, foit chaude, foit fraîche
, foit froide. 57°. Des douches 8c fimples afperfions d eau
pure. 58°. Des bains entiers 8c partiels, faits avec une eait
chargée du principe aérien. 590. Des bains mucilagineux.
Ibid. b. 6o°. Effets des bains d’eaux minérales. 6i°. Des propriétés
des bains de mer. 62°. Réflexions fur l’ufàge des bains
en général, Ibid. 75.8. a. 8c fur leur utilité. De celle des
bains froids eh particulier. De l’établiffement de bains publics.
Ibid. b. . .
. Bain de fantê. Sentiment de Locke fur l’ufage journalier des
bains à l’eau froide. V. 195. a. Danger des bains froids quand
on eft échauffé. VII. 328. b. Des bains d’eaux thermales. X.
537. a-f-lr. Lieux appellés thermal'par les anciens, où il y avoit
des bains d’eaux thermales. XVl. 267. a. Bains de Thermie.
270. a. Terme où la chaleur d’un bain n’eft plus fupportable.
m. 32. b. Incommodités qu’on éprouve dans une eau ther-
msde trop chaude. Suppl. II. 309. b. Etuves dans les bains.
VI. 97. b. Bains de vapeurs , voye% ce dernier mot. Machine
inventée à Paris pour adminiftrer les bains médicinaux fans
fortir de chez foi. V. 82. a. Des demi-bains. VIII. 788. b.
Obfervations fur les bains 8c demi-brins d’huile dans certaines
maladies. XL 453. b. Des brins de pieds. XII. 237. b. 556. b.
Exemple d’un brin de pieds qui guérit tout-à-coup une violente
douleur de tête. XIV. 509. a. Des brins de vapeui|p
VII. 366. b. De l’ufage des brins chauds, des bains de vapeurs,
8c des brins de pieds. XVII. 197. b. Des brins de fable ; leurs
ufages. XIII. 537. b. 538. a. XIV. 464. a. Voyez quelques
appareils de brin, vol. III des planches, article Chymie, pl.
6, 9 8c 10. , , é .
B ain, ( Chym. ) chaleur modérée par un intermede entre
le feu 8c la matière fur laquelle on opere. Bain de mer, ou
par corruption bain-marie. I. 21. a. Brin de vapeur. Chaleur
de l’eau bouillante dans les moindres 8c plus grandes hauteurs
du baromètre, 8c fur les montagnes. Sa plus grande
chaleur eft au premier inftant qu’elle commence à bouilfir.
Brins de fable ou de cendre. Bains vaporeux. Métal en brin.
Autres ufages du mot bain. Ü. 21. b.
Bain, fourneaux pour les différentes fortes de bains. VII.
234. d.
Bain-marie, quels font les cas où l’on doit avoir recours
au bain-marie pour l’évaporation. VI. 131. a. Obfervations
fur les diftillations au bain-marie. VI. 928. a, b. Comment
on doit ménager au bain-marie le principe odorant des médi-
camens. XI. 353. b. Brins-maries faits d’un grandchauderon,
au milieu duquel parte une tour de fonte qui contient le feu,
comme une tour d’athanor. VII. 248. 4. d. Bain-marie, ou
diploma des anciens, repréfenté vol. III des planches, article
Chymie, planch. 9. Bain-marie à plufieurs cucurbites, Ibid.
pl. x^.bis.
Bains pour les chevaux. V . 200. a, b. . . .
Bain t {Chevaliers du) ordre militaire en Angleterre, borne
d’abord à quatre, enfuite augmenté à quarante-deu^ chevaliers.
Leur devife. Leur coutume de fe baigner avant de
recevoir les éperons d’or. Circonftances dans lcfquelles on
conféré cet ordre. Occafion de fon inftitution. Cet ordre
commença de renaître fous George premier. 11. 22. a.
Bain, (chevaliers du) III. 313. a. .. r . TT .
Bain, |ordre du ) voye^ planch. 34 de blafon, vol. II. des,
planches.
BAL BAIRA , CterTe l ^0, ,
BAIRAM, (Hift- m°d- ) grande fête annuelle des malio-,
mérans. IL 22. a. C’eft la pâque des Turcs. Grand 8c petit
b a iram . Jour où il commence. Comment les Turcs célèbrent
cette fête. Contrafte entre la célébration du ramadham 8c
celle du bairam. Les Turcs tuent l’agneau pafchal en mémoire
d u facrifice d’Abraham. II. 22. b.
BAISE-MAIN, ( Hift. ) marque d’honneur ou de refpeft,
répandue par toute la terre, 8c partagée entre la religion 8c
la fociétè. faux dieux qu’on faluoit en baifant la main. Les
officiers dans l’églife donnent leur main à bai fer aux autres
miniftres qui les lervent à l’autel. Ufage des baife-mains dans
, ja fociété, dès les tems les plus anciens, 8c chez les Romains.
II. 22. b. Coutume de baifor la main du prince. Baife-mains
en ufage chez les Negres 8c au Mexique, du tems de Fernand
Cortez. Brife-main,. offrande qu’on donne aux curés.
Ibid. 23. a.
BAISEMENT des pieds. XII. 5 58. a.
BAISER, ( Géométr.) ce qu’on entend quand on dit que
deux courbes fe baifent. I. 23. a.
Baifer. Baifor que fe donnoient chez les Romains les futurs
époux, après avoir été accordés. XL 680. b. Baifer de paix en
ufage dans le chriftianifme, 681. a. particulièrement chez les
premiers chrétiens. XV. 121. a. Comment il fe donnoit dans la
liturgie gallicane. XI. 770. b. Baifor tendrement, expreffion
correfpondante en latin. XV. 561. a. Caufephyfique du plaifir
du baifor 8ç de certains effets qu’il produit. IV. 33 .a.
BAISSER, abaiffer, (Synon.) différence entre ces mots,
ü. 23. d.
BAISSOIRS, réfervoirs d’eau dans les falines. Defcription
de ces réfervoirs ou magafins. II. 23. b.
BAIVE, ( Hifl. mod.) faux dieu des Lapons, dont ils n’ont
aucune figure particulière.' Thor 8c Baive ne. .font qu’une
même divinité adorée fous différens afpeéls. II. 23. b.
Baive , {Myth. ) les dieux Thor 8c Baive des Lapons,
diftinguéspar quelques auteurs. Suppl. I. 758. b.
BAKELEYS, nat.Econ. domeft. ) efpcce de boeufs à
boffe, ou bifons. Education que leur donnent les Hottentots.
Ufages qu’ils en tirent. Suppl. 1. 758. b.
BAKER, {Thomas) XV. 335. a.
B a k e r , (Henri) anatomilie. Suppl. I. 410. a. Phyfiolo-
eifte. Suppl. IV. 359. a.
BAKKER, {Jean) XVII. 411. a.
BA L , origine des bals. IV. 625. b. Comment on les com-
mençoit autrefois. II. 397. a.
BALA, ( Botan. ) efpcce de bananier. Suppl. I. ,782. b.
78& a la a m , ( Hift. facr. ) obfervation fur ce prophète.
Suppl. IL 194. a. .
BALADINS, 8c danfeurs de corde chez les Romains.XIIL
259. a, b. Baladins d’Etrurie. VIII. 230. b. Baladin, voyeç
Farceur , Histrion , Mime.
BALADOIRES, danfes: leur origine. IV. 627. b. Ana-
thême prononcé contre ces danfes. 624. b.
BALAFO, {Luth. ) inftrument des Negres. Sa defcription.
Son ufage. Suppl. I. 758. b. Voye^pl. I de Luth, dans le Suppl.
BALAGATE, ou B a la g a is te , ( Géogr. ) province de
l’empire du Mogol. Revenu que l’empereur en tire. Ses
produirions. Moutons remarquables qu’on y voit. Suppl. I.
7 î ! a l a i , ( Chirurg.) broffes ou vergettes de l’eftomac. A
uel ufage on s’en fort. II. 24. a. Comment on l’emploie.
7rand éloge qu’en font quelques médecins étrangers. Exemple
d’un homme qui s’en fcrvoit fur lui-même pour gagner fa
vie. Ibid. b.
BALANCE, (Méchaniq.) l’une des fix puiffances fimples
en méchanique. Balance ancienne ou romaine. Balance moderne.
II. 24. b. Théorie de la balance. Ibid. 25. a.
Balance de M. Roberval. II. 26. b.
Balance, fléau de la balance. VI. 849. a. Points de fuiben-
fion de la balance 8c des poids. XV. 700. b. Aiguille de la
balance. I. 209. b. Détails fur les balances d’effri. V. 984. b.
Petite balance appellée trébuchet. XVI. 575. a.— De la balance
romaine. XII. 450. b. XIV. 341. a. Defcription de cette
balance, par Vitruve. XV. 494. a. Voyez aufli vol. V des
planches, article Méchanique, planch. III. Pourquoi les balances
courtes font moins exaltes que celles dont le fléau eft
long, 8c les romaines moins que les balances communes.
Vil. 344. b. Le point d’appui eft moins chargé dans la balance
romaine que dans la balance ordinaire. I. 560. a. .Balances
appellées pefon à reffort ,8c pefon à tiers-point. XII. 451. a.
Article de littérature 8c d’antiquité romaine fur les balances,
au mot Statera. Voyez aufli les planches du balancier,
vol. II.
Balance hydroftatique , par laquelle on trouve la pefan-
îv îr ^P^ci^flue des corps liquides 8c folides : fa grande uti-
A* I S Ä for lequel cft fondé l’ufage de cet inftrument.
Manière de s’en fervir. II. 26. b. On peut par fon moyen,
1 . connoître la pefanteur fpécifique d’une liqueur; 20. com-
B A L 139
parer les pefanteurs fpécifiques de deux liqueurs ; 3.0., comparer
les gravités fpécifiques de deux folides ; 40. comparer
la gravité ipecifique d’un,corps folidc avec celle d’une liqueur.
Balance hydroftatique du dolfeur Hook, qui peut fervir à
examiner la purete de l’eau. Les expériences de plufieurs
favan^ qui fe font donné la peine de rédiger en table les
pefanteurs d’un grand nombre de matières , tant folides que
liquides, ne peuvent nous fervir de regie que comme des
à-peu-près. Quand on veut favoir au jufte la pefanteur fpé-
cihque de quelque corps,, il faut le mettre lui-menie à
l’épreuve, tbid. 27. a. On donne cependant ici une table
dreffée par M. Muflchembrock, des pefanteurs fpécifiques de
plufieurs matières comparées à celle de l’eau commune ou de
pluie, dans une température moyenne. Ibid. b.
Balance hydroftatique, vpl. V des planches , article Hydroftatique,
pl. 3. De fon ufage. Suppl. III. 473. b. Table des
pefanteurs fpécifiques des principaux coips connus. XII. 446.
a , b. 447. a ,b. Table des pefanteurs fpécifiques de différentes
liqueurs en été 8ç en hiver. 448. a. Voyez A r é om è t r e ,8c
Pese-liqueur.
Balance commune, balance irne ou trébuchet, balance
fourde, balance d’ertai, balance du chandelier. II. 28. a.
Balance hygrométrique. VIII. 388. b.
Balance pour pefer les laines filées. Suppl. III. 699. b.
Balance deffài, ( Eco nom. Comm. ) machine dont les
Hollandois. & les habiles négocians de bled fe fervent pour
le commerce des grains. Le poids du bled frit connoître fa
qualité. Pefanteur d’un fetier de bled de la tête, mêfure de
raris. Défavantaee des bleds humides. Avantage des bleds
focs. La farine de ces derniers préférable à célie des'bleds
.humides. Suppl. I. 759. a. Defcription de la balance des grains.
•Rapport des poids à'la mefure. Ibid. b. Opération del’effri.
Obfervations fur l’ufage de. cette balance, Ibid. 760. a. Ses
avantages pour les grains. Ibid. b.
Balance, {Aftron.) figne du zodiaque. & conftellation.'
II. 28. a.
Balance, moyen de connoître cette conftellation dans le
ciel. Suppl. II. 367. b.
Balance, {Myth.) fymbole de l’équité. II. 28. a.
Balance, figure fymbolique. XV. 731. b.
Balance de commerce, égalité entre'la valeur des mar-
chandifes achetées des étrangers & la valeur des produirions
du pays , tranfportées chez.d’autres nations. Nécertité de cette
balance. Diverfes méthodes pour acquérir la connoiffance
néceffaire1 pour l’établir. i°. Prendre une exalte notion dii
produit que rapportent à proportion les marchandifes exportées
& les marchandifes importées. Difficulté d’acquérir cette
notion. Incertitude de cette méthode. 20. Obforvcr le cours
du change. Cette méthode eft encore imparfaite. 30. La troi-
fieme méthode fe prend de l’accròiflement ou de la diminution
de notre commerce &de nos navires en général. II. 28. b.
4°. Obferver l’augmentation & la diminution de notre argent,
foit monnoyé, foit en lingots. Ibid. 29. b.
Balance du commerce. III. 131. a. 698. a. Balance du commerce
de la France & de la Hollande. V . 969. b. De la fortie
des efpeces hors d’un pays, pour acquitter la balance de ce
qu’on doit dans le commerce. X. 194. b.
Balanceclôture de l’inventaire d’un marchand. II. 29. a.
Balance, déclaration que font les maîtres des vaifieaux
des effets dont ils font chargés. IL 20. a.
BALANCÉ , terme de danfe. C’eit un pas. fort gracieux
que l’on place dans toute forte d’airs ; fort ufité dans les
menuets. II. 29. a.
BALANCIER, ouvrier qui fait les inftrumens dont on fe
fort pour pefer les marchandifes. Réglemens & obfervations
fur tout ce qui concerne la communauté des balanciers. II,
29. b.
Balancier, outils dont il fe fort. XI. 718. A Voye[ les plan-;
ches du balancier, vol. II.
Balancier, dans les grortes forges. Defcription de cette
machine. II. 29. b.
Balancier , ( Horlog.) rrifon de la forme qu’on lui donne.'
Différentes méthodes dont on a fait, ufage dans l’application
du balancier aux horloges, avant que l ’addition du reffort
fpiral l’eût porté au degré de perfeéiion où il eft parvenu fur
la fin du dernier fiecle. II. 30. a. De la matière du balancier.
Rrifons de la préférence qu’on, doit donner à ceux d’acier
fur ceux de laiton. De la forme du balancier. Sa circonférence
dévroit être une efpece d’anneau cylindrique. Ibid. b.
Balancier, obfervations fur les tigerons des balanciers;
moyen trouvé pour conferver de l’huile à fes pivots. XVI.
327. a. Virole du balancier qui fort à mettre la montre d’échappement.
XVII. 330. a , ¿.Nombre des vibrations du balancier
dans une heure. II. 148. a. Étendue du branle du balancier
dans une montre ordinaire. 397. b. Avantages du pendule
fur le balancier. XII. 299. a. La théorie du balancier expliquée
aux articles régulateur, échappement, arc de levée, arc de
fupplément.
Balancier, defcription du balancier de compas ou de bouf