
Noms des Auteurs far ordre alphabétique.
Me ffieur s.
A N D .R Y, Piufieurs articles de Médecine
pratique & de
Biographie médicale.
C a i l l e , Piufieurs articles de Médecine
pratique.
C h a m e o h , Les maladies des femmes.
C h a m s e r u , Les Maladies des yeux,
& divers autres articles.
C o l o m b ie r , Tous les articles qui concernent
la Médecine militaire
& ' les maladies
des hôpitaux & des pri-
fons.
De F ourcroy, La Chimie médicale &
la Thérapeutique ou
matière médicale.
D e H o r ^ i , Les maladies vénériennes,
les } différentes fortes
d’hydropilîes, morbi à
ferofâ colluvie. -
D o u b l e r , Piufieurs articles communs
avec M. Colombier ,
& les articles nouveaux
de la Médecine légale.
G ou l i n , Les articles dp Biogra-
phie médicale.
MeJJieurs.
H a l l e , Toute l’Hygiène , dans laquelle
font comprifes
les Topographies rné-
' dicales.
H v Z A R d , La Médecine vétérinaire,
dont piufieurs articles
lui font communs avec
M. Vicq d’Azyr.
J e A N R o i , Les Maladies des enfans &
quelques autres articlés
de Médecine pratique.^
L a P o r t e , Divers articles de Médecine.
Ma u d u y t , L’électricité médicale.
S a i l l a n t , Divers articles de Médecine.
\
T ho u r e t , Piufieurs articles communs
avec M. Colombier
, le Magnétifme &
divers autres articles.
V e r d i e r , La Jurifprudence de la
Médecine & de la Pharmacie.
Vi cq d ’A z y r , Editeur de cet Ouvrage,
un grand nombre d’articles
de divers genres»
Piufieurs autres Médecins ont bien voulu nous promettre dé nous aider dans ce
travail. On les fera connoître dans les nouveaux volumes - qui paroîtront.
Les noms des auteurs font écrits a la fin de chaque article»
Lé noth de M. Vicq d’Azyr elt foüvent marqué comme il fuit : V . J).
A . E . Signifie ancienne Encyçlopédie. .
A V E R T I S S E M E N T
D E L 'E D I T E U R.
L A Médecine eft , dans l’ordre encyclopédique, une branche de la
Zoologie, qui eft elle - même une- divifion de la Phylique particulière»
Elle a , comme toutes les autres Sciences , des faits & des obfervations
qui lui appartiennent ; mais tout, jufqu’à l’art de voir, y eft difficile.-
Tout y exige la prudence la plus confommée & le jugement le plus
fain. ,L homme y eft lu-i-même le fujet de fes propres expériences., &
cette circonfpection, que l’on peut regarder comme la première qualité
requife dans celui qui exerce la Médecine, doit auffi caractérifer l'Ecrivain
qui fe propofe d’en recueillir & d’en publier les principes. Les fautes de
ce dernier feraient même les plus graves, puifqu’elles deviendroient une
fource intariffable de méprifes pour ceux qui liraient l’ouvrage où l’on
auroit configné l’erreur.
Ces vérités, que 1 ôn ne doit jamais perdre de vue lorfqu’on médite
fut la Médecine, fuffifent pour faire voir qu’un feul homme ne pouvoir
fe charger des travaux & des recherches dont ce Dictionnaire
contient 1 enfemble. L importance & la variété des objets qui dévoient y
etre traités, font fi grandes , qu’il étoit indifpenfable de recourir aux-
lumières des perfonnes les plus exercées dans chaque partie de-cette Science.
Tel a toujours été mon projet; c’eft ainfi que je l’ai conçu & annoncé (i).,
<§t c eft de cette maniéré que je 1 exécute. Piufieurs de mes confrères ont
bien voulu être mes coopérateurs ; ils ont ehoifi, différens articles qu’ils
ont rédiges, & à la fin defquel's leur nom eft infcrit. Cette diftribution
d articles a été faite de forte que chacun des Auteurs eft chargé d’un,
oi-die- paiticulier de travaux , ou dune des grandes divifions de la
Médecine. Ainfi, ce Diêlionnaire contiendra divers traités entre lefquels on,
s eft effoicé d établir autant de concordance & d’harmonie qu’une pareille,
rédaêtion a pu- le permettre.
C i ) vVeye^ page 16 du■ ■ Projpecàis publié en 1782..
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