
une variété très-âccidentelle parm n’appartiennent point feulement ài Ylé Asf hroiqmumee, sm : ailiss Aonfi ee ,n &co mntêamoîet. eenn EAumroéprieq.u eL e, ura uc arMacetèxrieq ueel t, d’eên
ltr’ier isb ladnec sl ad e ppruenaue ll,e d’oavrdoiinr ailreesm cehnet vecuoxu lbeluarn cdse, rLôeleu-r , pe&au d’na’veofti rp aesn à gléan évréarli tél a duv ume êmdeé libclaatnec. que la nôtre , mais elle n’a point la couleur; peâftl ed ’u&n , blilvaindce., mda'ut.n léapflreezu xd éofuag rdé*aubnle m.âo vrto ;i r.e llIel pmaeronîtt' aq ulae mceatttieè red égcéonloérreafncteen,c feu facpeppatirbtileen dt er ébeelalueuconue
p dféec vréatriipénté s p, aqrutiic fuel ifèérpea ref ofuèsn fibl’léepmideenrtm ceo mdmees lheosm cmheevs eudxe .cdoéu lpeiuerf q,u eq utio ucso. lloersè hlo’imrism, els’u, v&ée q, u&e ntaoiunse sv opyeotfnosn, naeust îit rèps-arriomufiT ensoi.u s( Vfuory cla\ apretiacul ed Ae cerf
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var4iat,q.u e , ionn° lieu s. 8fi,cité,.')- r1e1m aferqrouiatb & article liensté rdeei ; A îalnat ir ,. cdoeu ch. l(eauvro II, idr art.anfis lelas 2 , - pene-a, cpiilfilaei uq.u, elelqsu ceh edveeguréx &da ln’isr isl ad .e ms ahtoièmrem enso|ijr eex iqleu ia utaif-i rels’*in,«t.érieur de l’oe il, lnvée , & les procè- denLt esle ns ègarlbesin ,o sd itc lo’manmciee nndee se nmcyocnlfotpreésd,i e& , res’goapr-
fpoorfmenetn at- illesu ru nm pueltuipplliec a? tiLoan :n afii fclaenlac ee df’tu, nc oamlbmineonst ceoftu ulenu ra cdcei decnuti;v riel , nadîet pdea repnasr eonlsi vnâotrierss ,, de ppaaïremnsi nenofuàsn,s dfeo npt araebnfso lbulmanecnst ofredminbaliarbelse s, dà onlet ulerss pauèrtreess. iDlse udxe pnoiru.r Olen s aallbbiinnooss, ? héo’mefmt ec e&q fue’monm ieg,n eonrgeè,fna’vat oidr oinlc fapuads'r obiet foleisn cdhee rlcehse re m& npdar’ercroe ieqnute- ffoe inms p êlcehs err éude
upltoipulri eern.; ifla vfoaruifderro,i t qupel usp odu’ar tteenn tieomn pê&c hdeer lqau me, ulatilbpliincoasti odna.n sO ln’ iflethsm aep pde’Allem MCeayislainl ,p Joasv ab l,a édrôiqnudeo ys bened Ansf riâ
,»cahraoîctr eqlause àn fbflaarfdfsa rfdosn t paprlmusi cnooums-.
muns parm i les montagnards ; au lieu que les alibnidnéopse
,n d&amc.m, ennati ffdeen tl ad atnesm pleésr actluirmea dtsu cliheauu dosù, i&ls preOnnne ennt’ naa ivfula ndceer.nièrement deux à Paris qui vehnéamienérta
dleosp emso ,n tca’gefnte-sà -dd’iAreu v, evrgonyea.n'Itl sl an en fuointt, p&o innet lveouyra nvtu ep aps eluet êjotruer ;b lfeefulelee mde’unnt tlraè sd-gélriacnatde fjleo udre; maMis . cedtet eP daéWli caat ebfleea ufdeb ucpo rrcigoen trpiabru ér hàa briétupdaen.dre loenst eértrée urresl edvoénets notruèss -vfaevnaomnsm deen t ppaarrl eMr ;. mLaei sF eelvleres fdaems mHeanyt easv, edca ncse uuxn dme élmao firoec iqéutéi rpoayroalîetr ad ei nMceéf-
decine, & M . de BufFon adonné aufli des réflexions
très-bonnes fur cet article. ( Hift. N a t., fuppl. 4®
vol. in-40., 8e vol. in-12;) M. des Hayes a conlV
ta té que les albinos étoiept fufceptibles de tous
les travaux dont nos nègres s’acquittent dans les
colonies , qu’ils avoieut la vue aflez bonue 8c aflez
perçante, 8c qu’elle pouvoit devenir aflez' forte
pôur leur permettre de chafler pendant le jour , &
de tirer à de grandes diflances.
Il rëfulte de là que s’il y a qualque degré de
foiblefle attaché à cette co’nftitution', elle peut
fe corriger infenfiblement par l’habitude 8c l ’exercice.
Le di&ionnai're d’Anatomie 8c de Phyfiologie
donnera fans doute des * détails plus complets fut
cet objet. ( M . H a l l é » )
ALBINUS. ( Bernard )
II naquit à Deflau, dans la province d’Anhalf,
le 7 janvier 1653 , de Chriftophe, bourgmeftre de
cette ville. Il fitfes premières études fous un précepteur
dans la maifon paternelle , & lies continua dans
le collège dont étoit alors retteur le favant Henri
Alers. Celui- ci'étant pafle à l’école de Brême ,
Albinus , âgé de 1.6 ans, l ’y fuivit du confente-
rnent de fon père (en 1669 ). Après fon cours de
Philofophie , il - alla étudier la Médecine à Leyde,
fous Charles Drelincourt, Théodore. Kranen, &
Luc Schacht. Ses difpofiiions , ion ardeur pour le
travail, fes progrès annonçoient ce qu’il feroit
un jour. Quoiqu’il eût rempli le temps fixé pour
les études il auroit déliré le prolonger pour
augmenter fes connoiflances ; mais obligé de céder
aux défîrs de .fes parens. qui le rappeloient, il prit
le grade de doéteur au mois de mai 1676 ( âgé
de 23 ans ). Peu-dé temps après fon arrivée' à
Delfau, il perdit fa mère. Devenu maître de lui-
même , il retourna à Leyde en 1^77 , pour y perfectionner
fes talens., tant dans la Médecine que
dans les Mathématiques. Lorfqu’il crut avoir acuis
ce qui liai mancjuoit, il voyagea, dans la
landre & dans le Brabant, en France & en Lorraine
; il revint dans fa patrie au mois de juillet
1680-(âgé de 27 ans }. Nom me la même année
profefleur à Francfort fur l ’Oder, il prit ponef-
fion de fa chaire le 13 janvier' 1681. Il fe montra
dans cette carrière cligne du • choix qu’on avoit fait
de lu i; fon-école fut bientôt la plus fréquentée;
fes fuccès ne furent pas moins brillans dans la
pratique de la Médecine : il obtint la confiance
générale ; elle fut fuivie de celle-de Frédéric-Guillaume
, éleCteur de Brandebourg. Ce prince étoit
mfenâcé d’hydropifie ; il fait venir Albinus • à PolL
dam , le confulte , le retient auprès de fa pèrfonne,
avec le titre de fon médecin & de confeiller privé.
La mort dé l’éleCteur ,*arrivée le 29 avril tô88,
rompt les liens qui retenoient Albinus $ il retourne
à Francfort , & y reprend fes fondions en-
feignantes. Il les exerçoit avec diftiodion , fans
rien folliciter pour l ’accroiflement de fa fortune,
lorfqu’en X'6$4 ( âgé de 41 ans ) les curateurs de
l ’académie de Groningue lui proposèrent la place
3e dodeur provincial & ; une chaire de Médecine.
Ces. offres avi.antagéufes le vtentoient ;
mais, jaloux de le retenir, dans fes états-,; l ’élec--
leur Frédéric augmenta fes appointemens de fix
pents florins, répandit fur lui d’autres bienfaits,
& promit de le nommer a la première prébende
qui viendr'oit à vaquer dans 'le .chapitre de M ag-
debourg. Il y obtint un canonicat en .1.697 , & fut
appelé à Berlin par Téledeùr qui le fit fon p re-
jnier médecin, & lui accorda le titre de conlèiiler
privé. L ’éledeur, en l ’attirant auprès de lui, à fa cour,
.avoit ' difpenfé Albinus des devoirs attachés au
canonicat. Il pouvoit donc jouir tranquillement
d’un revenu allez confidérable ; cependant, pour ne
pas incommoder fes confrères, il demanda à l ’é-
ledeur la per million de le céder ; ce qui lui fut
.accordé. Tandis qu'Albinus jouifloit de l ’eftime
8c des faveurs-de Frédéric, ,1.1a république des Pro-
yinces-Unies, qui avoit befoin d’un homme de
mérite pour former des médecins , avoit jeté les
yeux fur lui. Le‘ comte de Wafîenaer , au nom
de^.l’académie de Leyde, qu’il protégéoit en qualité
de curateur, folliçka vainement l’éleéte.uï de
permettre Albinus de venir y o.cçuper une chaire.
Ses inftances furent inutiles. Le comte les réitéra
avec plus .de fuccès dans • une autre . circonftance.
Albinus fe rendit donc à Leyde, & 'commença,
en 1702 , à exercer les fonctions, de p ro fefleur. Il
les continua durant 19 ans -, jufqu’à fa mort arrivée
le 7 feptembre 1721 , à l ’âge de 68 ans & 8 mois.
I l avoit époufé en 1696 Sufanne- Catherine ,
fille de Thomas-Sifroi Rings, -profefleur de droit
,â Francfort: fur l ’Oder. Il en eut onze enfans ,
quatre fils & fept filles. Nous parlerons des deux
.aînés , .Bernaid-Sifroi & Chriftian-Bernard.
Albinus le père pafle pour être auteur d’un
bon nombre de diflertations académiques, dont
plufieurs ont été loutenues fous fa préfidencè. Voici
les titres que nous avons recueillis.. . .<çv
i°. De Fonticulis. Francofurti ad Viadrum,
II681, in-40.
20. De affeclibus animi. Francof. 1681 , in-40.
30. De Jierilitate. Francof. 1683 , in-40.
4°. De facro Freyenwaldenfium fonte. Franc.
»685:, in-40. !
- 5°. De porls. Francof. 168s, in-40.
6°. De paraçenteji thoracis & abdominis.
Francof. 1687, in-40.
7°. D e phpjphoro liquido & folido. Francof.
il688 , in-40.
8°. De majfce fahgiiine eorpufculis. Francof.
Î688 , in-40.
M. Eioy donne ainfi. le titre : de Corpufculis
in fanguine confeclis. Lequel des deux titres-eft
le véritable ? Pour prononcer, i l faudroit javoir
la diflertation fous les yeux.
9?* De Jalivc\tione mercuriali. Francof. 1689.,
in-40. ‘
io°. D e epilçpfiâ. Francof. 1690.,' in-4°i
Dz fân\e caninâ. Francof,. 169 r, : in-40.
i l 0. D e paronychlii. Francof. 1694, in-40.
13 °. D e atherapeufiâ morbomm. Francof.
1694, in-40.
Keftner ( Biblioth. med. , pug. 488; ). indique
cette diflertation fur l ’incurabilité des maladies.
Manget n’en fait point mention, ni M M » Carrère
‘8c Eloy. '
140. De catarattâ. Francof. 1695 , in-40.
150. D é partit dijficili. Francof. 1696, in-40. 16°. De ortu & progrefit Medicinoe oratio.
Leydæ, 1702, in-40.
17°. Oratio de inc rementis & Jlatu artis Me -
dicæ foeculi xvij. Leydæ , 1711, in-40.
i:8°. In morte ni Ravit. Lugd.-BaL 1719, in-40.
C’eft Poraifon funèbre de Rau , qu’Albinus
prononça dans l ’églife de Leyde, le. jour que fon
corps y fut enterré.
19°. De tarenculoe mira vi. ( ]M. G o U LIN. )
A lbinus. ( Bernard-Sifroî. ).
I l étoit fils du précédent, 8c naquit à Francfort
fur l ’Oder le 24 février 1697. Après , avoir fait
fes humanités &■ fa philofophie , il commença
fous fon père fes premières études en Médecine ;
il 'prit enfuite les leçons de Bidloo , de Rau, de
Decker, de Boërhaave. Reçu doétëur en Médecine,
il fe rendit en 1718 à Paris; il y entendit
les maîtres habiles qui profefloient alors. Il lut
rappelé à Leyde par les curateurs de l’univerfité,
pour y remplir la chaire d’Anatomie & de Chirurgie
;, vacante par la mort de Rau.( en 17 19 ) .
En nommant un jeune homme de 22 ans à uive
chaire de cette importance, on ne réeompenfoit
pas feulement le père de fes fervices s on faifoit
encore, ju.ftice au fils q u i, par fon zèle & par
fon application, s’étoit rendu digne d’être le fuc-
celfeur d’un homme célèbre 8c le collègue de
fon père. On efpéroit beaucoup de fes talens ; on
ne fut point .trompé. Peu de temps après la moi t
de fon père ( arrivée , .comme on l’a dit, en 1721 ) ,
il fut .chargé de donner la defeription du cabinet
de Rau; elle fut publiée en 1725. I l devint, en
1745 , profelfeur de Médecine. Il fut deux fois fe-
crétaire de l ’univerfité , & deux fois reéfceur, en
1726 & en 1738. Cette compagnie voulut encore
l’avoir pour chef en 1758 & en-1770; mais fes
travaux anatomiques & fa grande pratique ne lui
permirent point d’accepter cet honneur.. I l mourut
le 9 feptembre 1770 , à l ’âge de 713 ans, après
avoir profefle durant ço ans.
J’efîayerai de donner la lifte de fes écrits, & de
ceux .dont il eft éditeur.
1 °. .Oratio de Anatome comparatâ. Lugd.-Bat.
17 17 , in-40.
Si'cette date eft exa&e , il fuccéda donc à Rau
de fon vivant; car ce difeoars fut prononcé pour
fon. inauguration à Ta chaire Rau ne mourut
. qu’en 17 9. Il, y a donc ici une erreur.
; 20. D e viiî in cognitioneni corporis humant,
1721 , in-40.