
.Additions. phabétique ies mots : cardes, céleri, chicorées, citrouilles, courges,
haricots, m é l o n g è n e s , pimens, poireaux, salsifis.
Dans ies remarques du n” 157, avant le mot cultivées, mettez : On ies
nomme aussi Turneps ; sont.
Après le iT 1 5 7 , ajoutez: n“ i 57 his, Rye-grass. [Voy. Foin. )
Dans les remarques du iT 158, mettez ; Castor oil tree (ricinus). Cet
arbre vient ici à souhait, et pourroit former un objet intéressant de culture.
Dans les remarques du n“ 161 , au iieu de la phrase : Les sauvages
sont extrêmement avides de ses produits , lisez : Les sauvages en sont
extrêmement avides.
Après ie iT 162 , ajoutez : i 62 bis. Turneps, ( Voy. Rave),
T . II, 2,® part,, p. 6 9 7 ,— Dans la colonne des remarques du n° i, au lieu de
boeufs du Cap de Bonne-Espérance ; lisez : boeufs d’Angleterre, d’Irlande,
du Cap de Bonne-Espérance,
p, 4pp. — Dans ia colonne des remarques du n® 60, avant le mot Swarnp,
placez ceux : (Centropus phasianus),
p. ^ 0 1.— Après ie n® 149, ajoutez : t 49 bis. Limaces et limaçons. Grands
ennemis surtout des plantes potagères,
p. yo2.— Dans la colonne des remarques du n® i 57, après ie mot Cuana,
ajoutez : ow. Iguana (Iguana delicatissima).
p. 704.— Après la note 3 au bas de la page, ajoutez : Les sauvages des
environs d’Adélaïde, capitale de la colonie Sud-Australienne, paroissent
supérieurs aux indigènes de Sydney et de l’île Van-Diémen, en corpulence
comme en intelligence, [Voy. John Stephens, History o f South-
Australia).
p. no6. — A la suite de la note au bas de ia page, ajoutez : Dans les environs
d’Adélaïde, capitale de la Sud-Australie, ies indigènes font
usage delà sagaïeetdu ivotnera ou levier à lancer; mais ils ne connoissent
pas ie bomerang, ou sabre-à-ricochet. (Foy. John Stephens, ouvrage cité.)
P. 735, lig. 12 . — Ayowtrj'Le révérend M. Ullathorne (i), vicaire général
delà mission catholique d’Australie, ne croit pas quon puisse porter
cette population à plus de 500 000 habitans; et il ajoute que la tribu la
A p p e n d i c e . >437
plus voisine de Sydney ne compte plus aujourd’hui que 5 ou 6 individus.
Les calculs du major Mitcheli donnent des résultats encore bien moindres.
La population indigène (i) est, selon lui, très-clairsemée dans les régions
qu’il a explorées, et qui forment environ la septième partie de la surface
entière de la Nouvelle-Hoilande. Il ne peut, dit-il, en porter le nombre à
plus de 6 000 âmes, et il croit même que cette estimation est forcée.
S’ii étoit permis d’admettre que le continent austral est uniformément
peuplé, nous serions conduits à conciure, de ce qui précède, que sa population
entière est de 7 fois 6000 ou de 42000 habitans, ce qui
sembleroit peut-être bien minime. Mais à quoi serviroit-il de faire des
recherches pius exactes sur la population indigène totale de cette cinquième
partie du monde? Ce qui existe aujourd’hui de la famille australienne
ne finira-t-il pas bientôt par disparoître devant ies colons
anglais? et ces infortunés ne sont-ils pas destinés à subir le sort des
aborigènes de i’île Van-Diémen, dont les tribus ont été presque entièrement
détruites par la même cause? L’abbé Ullathorne nous apprend
en effet, dans un des numéros des Annales citées (année 1838), qu’il ne
restoit à peine alors que 150 Diéménois, et qu’on avoit transféré
depuis peu ces infortunés sur une des îles du détroit de Bass , où ils
devoient être entretenus aux frais du gouvernement; qu’ainsi l’extermination
presque complète de cette race d’hommes avoit à peine exigé un
intervalle de vingt ans !
T . II, 2.® part., p. 817, lig. 19 .-— Cette colonie a été rétablie depuis peu
(1838).
P. 829, iig. 24. — A la fin de l’année 1832 et après la ligne z 4 > ajoutez:
Le major Mitcheil entreprit, dans le cours de cette année, une reconnoissance
des contrées situées au Nord des montagnes de Liverpool, et,
s’étant avancé jusqu’au 29.® parallèle, il rectifia dans sa marche le cours
de plusieurs rivières jusqu’alors mal connues.
P. 8 3 1 , lig. I t. — Ajoutez ' Les limites en longitude de la colonie Siid-
Austraiienne n’ont point été changées ; seuiement, sur les cartes récentes,
publiées en 1838, cette colonie se trouve comprise entre les parallèles
de 26° et de 3 8°.
(1) T om e I I , page 3 5 1 du vo y ag e cité.