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T a b l e a u comparatif des importntions qui ont eu lieu à Port-Jackson, à differentes époques.
IMPORTATIONS.
Alinees.
S3.
S33
Année finissan:
auîonovemb,
, 8 ¡ z .
Année finissant
au 5 janvier
1833.
Année finissant
au I o octobre
1833.
SO M M E S B R U T E S
DES IM PO U T A T IO N S .
Mo nnoie ang la ise .
l.st sh d
362 324. o. o.
570 000. o o.
Ó59 SS I ■ ¡0 >. o.
•02 0 ? 2. O. 0 .
645949. 9.:
Mo nn oie française.
fr c
9058 lOO ,00
14 250 000 ,00
1 6 497 025 ,00
15 050 Ö00 ,00
1 6 1 4 8 736 , 4 6
? G
I et 2
=—i
^—4
3— 4
3— 5
4— 5
D I F F E R E N C E P R O G R E S S IV E
POUR l ’in t e r v a l l e .
M o nn oie anglaise.
l.st sh d
-F-207 Ó76.0.0.
-1-32 032. o. o.
— 5 7 8 4 9 .0 . o.
— 13 95 1.Í0.10.
-1-43 9' 7-9-2'
M o nn oie française.
-H 5 191 900 ,00
-F- 2 247 oz) ,00
-+- 800 800 ,ÜO
— I 4 4 6 225 ,00
— 34.1^ ,54
-■h I 097 936 ,40
, R EM A R Q U E S .
On ignore pour cette annee la v a le u r des objets qu
été le produit de l’industrie et des c ap itau x coloniam
M êm e rema rque qu e c i-d e ssu s .
D u montant des importations pour cette période ii h;
dédu ire la v a ieu r des objets qu i fu ren t le produiidi
l ’ind us trie des c ap itau x c o lo n iau x , et q u i est ici
1 4 9 1 4 8 liv . st. [ 3 7 2 S 7 0 0 f r a n c s ] : en sorte que
total réel des importations n’est que dc 5 1 0 7 3 3 1 1 1
[ 1 2 7 6 8 3 2 3 f ra n c s ].
P a r ie même m o t if, on doit retrancher de la v ale u r brut
des importations ia somme de 10 3 10 8 l . s t . [ 2 5 7 7 700 fr.;
ce qu i ia réduit à 498 9 24 iiv . st. [ 1 2 4 7 3 10 0 f r .]
T a b l e a u comparatif des exportations de Port-Jackson, à différentes»époques.
EXPORTAT IONS.
A n nées.
8j,
833
M o nn oie ang laise . Mo nnoie française.
Année finissant
au 5onovemb
.8r-
Année finissant
au 5 janvier
Année finissant
au 1 o octobre
1833.
SO M M E S B R U T E S
D E S E X P O R T A T IO N S .
l.s t sh d
76 3 14* O. o.
90 oyo. o. O.
3 7 ' ' 7 4 - ° - ° -
I 3 4 4 . 10. o.
473 / = “ • ' 3- “ •
t 907 850 ,00
2 2y I 2yo ,00
9 2 7 9 3 5 ° »00
9 608 612 ,yo
I 1 880 066 ,40
2—4
3—5
4— 5
A U G M E N T A T IO N P R O G R E S S IV E
POUR l ’in t e r v a l l e .
Mo nnoie an g la ise . M o nn oie frança ise.
Es t sh c
13 736. O. O,
2 8 1 1 24* °*
294 294. 10. 0.
04 028. 1 3 .2 .
90 8y8. 3 .2 .
R E M A R Q U E S .
3 4 3 4 ° °
7 020 ioo ,00
7357362.50
2 600 7 1 6 ,46
2 271 453 ,96
On n'a pu tenir c om p te , p endant ce s d eu x années, •!“
montant des traites tirées su r le trésor britannique'
Au total des exportations de cette année il faut ajouiet tt
montant des traites tirées p a r !c commis saire de la es-
Ionie su r ie trésor b ritan n iq u e , pour l’cntrcticn
etablissemens m ilita ire s ct des convicts , lesquelles
éré données en payement dc ma rchandises et dc denrc»;
cette somme s ’ élè v e ici à 1 1 5 629 I. st. [ 3 890 7 2 5 fr-, j
en sorte qu e la v a le u r totale des exportations est J :
4 8 6 8 0 3 liv . st. [ 1 2 17 0 0 7 5 f r . ] I
L e s traites tirées cctic année par le commissariat de H
colonie su r le trésor britannique ne nous sont p.as
n u e s ; on pourroit ce|>cndaiu su p po se r, en raison cic
proximité des époq ues , qu i ne s ’écartent en clTct l’unfj
de l ’autre qu e dc 36 jours , que leur montant est le niéii'fj
que celui de la période précédente.
§. III.
Prix des marchandises.
Nous nous proposons de faire connoître dans ce paragraphe la valeur
des produits coloniaux qui alimentent le marché de Sydney; notrê intention
n’étant pas toutefois de parler avec détail des produits qui sont
exclusivement du domaine de l’industrie mécanique, nous ne dirons qu’un
mot des objets de cette classe qui se rapportent à la laiterie, ainsi qu’à
la plus ancienne industrie manufacturière du pays, celle des étoffes grossières
en laine.
Houille. — En i 8 10 le charbon de terre valoit à Sydney 4 ° shillings le
chaldron, ce qui équivaut (i) à 23 5 par ton [28*, 82“ les i 000 kilog.].
En 1834 la même substance, prise à la jetée du Port-Hunter, ne coûtoit
que S'^'le ton [9*, 8 5 “ les i 000 kilog.].
Sahle quartzeux. — La dépense nécessaire pour se procurer du sable
siliceux de Sydney et le transporter à bord d’un navire n’excède pas
aujourd’hui ( 1834) 2®'®6‘'à3®'® par ton [3*, 08“ à 3 *, 6 f les i 000 kil.].
Grains. — Les inondations, les sécheresses prolongées ont, à certaines
époques, et surtout dans le jeune âge de ia colonie, causé d’étranges
variations dans ie prix des grains, et particulièrement dans celui du maïs et
du froment. Pendant les disettes, en effet, l’arrivée d’un vaisseau d’approvisionnement
faisoit tomber les prix de ces denrées, alors excessifs, à
un taux comparativement fort bas. Le froment fut coté au marché de
Sydney, en mars 1806, au prix élevé de 80 shillings le bushel [275*, 12 “
l’hectolitre]; l’année suivante il descendit à 30®'* [103*, 1 7 “ l’hectolitre];
et le prix moyen, en laissant toutefois de côté les cas ies plus extrêmes,
( Í ) L a pesanteur spécifique de la houille compacte étant 1 ,3 2 9 2 , et le bushel contenant
80 livres avoirdupois d ’eau d is tillé e , le chaldron, qui vaut 36 bushels, contiendra donc
2 8 8 0 livres de cette e a u , équivalentes à 3 828 livres de houille compacte mesurée r a s , ou la
meme quantité mesurée comble, en admettant que la différence entre ces deux mesures soir
accordée pour les v id e s; or le ton v a lan t 2 2 4 0 livres a voirdu p o is, nous aurons enfin pour
le prix d’ un ton de h ou ille , 23*’' f i {le s températures et les pressions barométriques étant sensiblement
et respectivement égales).
p p p p p p *
C o lonie
de
Port-Jackson.
Commerce.
Marchandises
minérales.
Marchandises
végétales.