
Pi
f i
A dditions. depuis ie départ seulement (nous avons eu) deux ou trois indispositions
de coliques, qui sont déjà dissipées. ■» (Voy. le Journal des voyages de
MM. de Leuven et Ansart, cahier d’avril 1829, p. 54-)
L’opinion que j’ai émise a dû se former non-seulement des expériences
faites pendant le voyage de ÏUranie, mais aussi de ce que j’avois
eu occasion de voir à bord des corvettes Je Ge'ogrdphe, Je Naturaliste et la
goëlette le Gasuarina, à deux époques différentes du voyage de Baudin
aux Terres-Australes ; j’ai pu m’éciairer encore des désastres arrivés, pour
ainsi dire sous mes yeux et dans ies mêmes circonstances, à plusieurs navires
anglais et anglo-américains. Au reste je suis loin de trouver à redire
au fait curieux annoncé par M. de Tromeiin. Une observation bien faite
est toujours précieuse, mais elle ne sauroit infirmeries faits antérieurs,
également étudiés avec soin.
T. II, I .'“ part., p. 2 1 0 , lig. 24. Après le mot Madrazo, ajoutez en
note : Dans le cours de cette même année, Gemelli Careri parut devant
l’île Gaam , mais il n’y mouilla pas.
P. 273. Entre les n'" 84 et 85 du tableau, intercalez ie numéro 84
bis, et ajoutez : Goatafi. Poisson dont nous ne connoissons pas le nom
français correspondant. Ne seroit-ce pas l’espadon!
P. 278, lig. 13 . Après les mots noirs el lisses, ajoutez : Une chose
digne de remarque, nous apprend M. Quoy, c’est qu’au nombre des
enfans qui viennent au monde, beaucoup naissent blancs et blonds,
et conservent ces couleurs jusqu’à 4 et 6 ans et plus; qu’ensuite ils finissent
par prendre la couleur brune, qui augmente avec l’âge par l’action prolongée
du soleil.
P. 280, lig. 8, Après ie mot intellectuelles, ajoutez en note Le major
D. Luis avoit encore sa grand’mère, et il étoit lui même grand-père;
cette trisaïeule, qui comptoit 13 7 descendans, y compris ies maris des
filles et les épouses des garçons , n’avoit pas encore 90 ans.
P. 303, lig. 8. Après le mot mapanas, ajoutez : Cependant nous sommes
porté à croire que ce mot, qui ne se trouve pas dans notre dictionnaire
mariannais, nous a été donné, ainsi orthographié, par erreur, et que ce
seroit mafanas qu’il eût fallu. En effet ï action d’aplatir le rima, mûr ou
cuit, se dit fanas, verbe dont ie participe est mafanas.
Appendice. 1421
T . II, i.^ p a r t ,, p. 401 , lig. 13 . —■ Après ies mois fabrication de ï huile,
ajoutez ; C’étoit ordinairement les femmes qui faisoient cette dernière
opération; plus tard on a désigné l’instrument dont elles se servoient, par
les mots katcha palaaan, ou katcha famalaaan; le premier vient de l’espagnol
cachar, briser; le second signifie femme. C ’est comme si l’on disoit :
instrument dont les femmes se servent pour briser les cocos.
T. II, 2 .“ part., p .6 5 0 , lig. 18 . — kprhsXes mots jusqu en 18 2É, ajoutez; et
quelques numéros de gazettes beancoup plus modernes. J ’ai consulté en
outre ; Journey of discovery to Port Phillip, par Hovell et Hamilton Hume,
I 8 2 5 ; an Account of the state of agriculture and grazing in New-South Wales,
par James Atkinson , 1826; Histoire des colonies pénales de ï Angleterre, par
Ernest de Biosseviile , 1 8 3 1 ; Plan of a company for the purpose of founding
a colony in Southern-Australia, publié chez Ridgway and sons, 1 832;
Authentic Information relative to New-South Wales and New-Zealand, par
Busby, 1 8 3 2 ; The New-South Wales Magazine, par Ralph Mansfield,
I S3 3 ; Two expeditions into the interior of Southern-Australia, par Ch.
Sturt, I 8 3 3 ; Historical and statistical Account o f New-South Wales, par John
Dunmore Lang, 1834; The New British province o f South-Australia, publié
chez Knight, en i 834 ; Report from H. M . Gommissioners for inquiring
into the administration o f the poor laws, 1834; The Act for the amendment
and better administration of the laws relating to the poor, par Tidd Pratt,
1834; The laws of the customs, par J , D. Hume, 1834; un assez grand
nombre d’années du New-South Wales Galendar and general Post-office directory,
jusqii’en 1836; South-Australia in i8yy and i8y8, par Robert Goiiger,
1 838; History of South-Australia, par io\w\‘8>tep\\o:r,&, 1839; et queiques
autres documens particuliers, qui s’étendent jusqu’à i’année 1838.
P. 651 , lig. 19. — Au iieu des mots des pratiques se tiennent toujours,
mettez ; Les Anglais ont placé un feu flottant sur cet écneil, qu’ils
nomment Sow-and-Pigs. Le navire qui le porte est mouillé par 22 pieds
anglais [4 brasses 1/2] d’eau, de basse mer, dans les grandes marées; et
l’on peut en passer à petite distance. Les vaisseaux qui entrent de nuit et
parut! mauvais temps doivent jeter l’ancre très-près de ce navire-phare,
à bord duquel on trouve toujours un pilote et un canot pour le service.
Des pratiques se tiennent également, autant qu’il est possible..........