ï 7<5 B L A
chaux eft regardée comme un grand cofmèdque. Comment
on prépare cette chaux en médecine. Ses ufages intérieurs &
extérieurs. II. 270. a. Maniéré de tirer les fleurs de bifmuth.
Ibid. b. . \ g '
Blanc des Carmes, chaux de Senîis fort blanche & tres-
fine. Comment on l’emploie. Blanc plus pur encore qui le
fait dans les Indes. II. 270. b.
B l a n c , ( Doreur fur bois ) comment on le prépare Sc 1 on
s’en fert. II. 270. b. . ,
B l a n c ,<chtl UsFondtursitcamlt,m‘) i». H S Q morte
à fondre les caraftera. a". On dit des lettres en fonte , u elles
ont blanc deffus, deffous, ou deffus & deffous. 3 . Keglettes
minces que l’on met à l’imprimerie entre chaque ligne de
caraéleres. IL 270, b. 4°,- Fonte portant fon blanc. Ibid.
271. a.
Blanc, voye^ fur ce fujet. II. 657. b.
Blanc, chez les faâeurs d’orgue. Compofnion pour blanchir
les parties qu’on veu t fouder. Comblent on. fait le blanc
propre à blanchir les foudures. Effai qu’on en fait. Comment
-on l’emploie. TI. 2 71. a.
Blanc, {Jardin.) maladie des concombres & des oeillets.
Caufes de cette maladie & moyen de la prévenir. II. 2 71 . a.
Blanc y maladie des plantes. Suppl. III. 835. b.
Blanc de baleine , voye{ X V . 4 51. a. 8c les planch. fur cet
a r t ic le , vol. II. Celui qu’on tire du cachalot. II. 36. a , b.
503. b. Ufage de l’emplâtre de blanc de baleine. V . 591. b.
Blanc bois- Arbres compris fous ce nom. Qualité de ces
Bois. IL 271. A. . tt
Blanc-étoc. Défenfe de couper une forêt à blanc-étoc. 11.
^Blanc-Manger , ( Pharmac. ) efpece de gelée. Comment
elle fe prépare. Son ufage. V IL 542. b. ■ -
Blancs-Manteaux , {H ifl. eccl. ) religieux de 1 ordre des
■ fer vîtes. Pourquoi on leur donna ce nom. Inftitution de cet
ordre. Rue 8c monaftere des blancs-manteaux à Paris. Eloge
des religieux qui occupent aujourd’hui ce monaftere. IL
2 71. & . -
Blanc-d'oeuf Son emploi en médecine 8c chez les relieurs-
doreurs. IL' 272. a.
B L A N C H A R D , ( Jacques) peintre. V . 220-a.
B L AN CH E , ( mer) pourquoi elle n’a pas de marée fenfible.
V I . 906. a. , . .
B L A N CH E T , terme d’ufage en pharmacie , chez les imprimeurs
, IL 272. a, & chez les rahneurs. Ibid. b.
Blanchet. Maniéré de s’en fervir pour les filtrations. V I .
808. a.
B L AN CH E U R , {Phyfiq.) en quoi elle confifte , félon
M. Newton. Divers degrés de blancheurs, félon les mélanges
de couleurs de différens ordres. Blancheurs‘du premier &
du fécond ordre. Pourquoi les métaux blancs font plus blancs
que les autres corps. Comment on fait devenir blancs l’or 8c
le cuivre. IL 272. b. -
Blancheur, caufes de celle du lait. IL 252. a. D e la neige.
X I. 87. a. D e certaines plantes. VI. 833. I.
Blancheur, {Médecine) celle duv ifae e appellée pâleur.
D e quelles maladies ou accident elle eft le fymptôme. Dérangement
intérieur qu’elle dénote : ce que marque la blancheur
dans les urines , dans les déjeftions. Le pus d’un blanc terne
& mat eft un pus bénin. IL 272. b.
B L AN CH IM E N T , à la monnoie. Préparation qu’on donne
aux flancs. IL 272. b. Comment il fe faifoit autrefois. Comment
on le fait aujourd’hui. IL 273. a. Voye^ les planches de
mon noyage vo l. V I IL '
B LAN CHIR la cire. C e qu’on appelle cire brute. Préparations
par où elle paffe dans les blànchifferies. IL 273. a. Voy.
les planch. où ces opérations font décrites dans le vol. III.
Blanchir la cire. Toutes les cires ne font pas également
propres à recevoir un beau blanc. III. 471. b. Explication
des opérations de l’art de blanchir la cire. Suppl. II.‘ 434. a , b.
Préparation de la cire. Maniéré de la blanchir. III. 472. a.
A qui nous fommes redevables de cet art. Ibid. D ’où vient
cette faculté de la cire de pouvoir fe blanchir. 473. a. Lieu
où l’on fond la cire. V IL 79. b. Maniéré de la fondre. 80. a.
Blanchir les chandelles. III. 126. a.
Blanchir, {Epinglier) faire changer au laiton fa Couleur
jaune en blanche. Defcription de cette opération. IL 274. b.
• Blanchir, {Monnoyage) comment l’argent fe blanchit.
IL 274. b. -
Blanchir l’argent : explication de ce procédé. IX. 739. b.
X V . 392. a.
Blanchir, ( Orfevre en grojferie) ce qu’on entend par-là.
Comment on le pratique en Allemagne. II. 274. b.
Blanchir le plomb , {terme de Plombier) pièces que les
plombiers font obligés de blanchir. Maniéré dont fe fait cette
opération. IL 274. b. ï
Blanchir le linge : utilité des fels lixiviels pour cette opération.
IL 814.' £.
'. )Blanchir la fo ie y ( i defcription de cette
neeuvre. Maniéré de plan i l favo
B L A
& à l’eau ; 20. au foufre ; 30. avec la craie, l'indigo 8c le foufre.
Suppl. I. 906. b. ... r r
Blanchir les laines 8c les foies par le moyen du loutre.
VHI. 476- I X V . 402. a. # , . I ,
Blanchir, fubftances jaunes qu’on blanchit au loleu oc a la
rofée. VII I. M ® , 1 I \ j •
BLAN CH IS SAG E du linge , ( Économ. domejliq. ) defcrip-
tion des opérations de leflive 8c de lavage du linge les plus
propres à le blanchir 8c à le ménager. Suppl. BR 906. b.
BLANCHISSERIE des toiles, fe dit de la r t de blanchir
les toiles, 8c du lieu où fe fait cette-opération. Situation de
la blanclufferie 8c parties qui la compofent. Situation de celles
de Senlis. La première préparation que l’on donne aux toiles
à la blanchifferie confine à en ôter le parou, qui eft l’apprêt
■ que l e tifferand leur donne. Enfuite on repame les toiles. On
les étend pour ries faire fé ch er , &; .on coule la première
leflive. Defcription du lieu où fe coulent les leflives. Préparation
de la leflive. IL 275. a. Comment on la coule. Ibid. b.
Comment on étend les toiles fur le pré après la première
leflive. Difpofition que doivent avoir les prés pour mouiller
les toiles. Seconde leflive 8c fuivantes, le nombre en eft
indéterminé. C e qu’il faut obferver dans chacune. Lorfque
les toiles font blanches-, ils faut les retirer du pré , les repa-
mer pour les métré au lait, après qu’elles font égouttées^.
Salle de la laiterie. Ibid. 276. a. Les toiles repamçes vont
toutes mouillées à la frotterie ou au frottoir. Uftenfiles de
la falle du frottoir. Savonnage des lifieres. Leflive douce.
Opérations qui doivent fuivre jufqu’à la leflive fuivante ,
qu’on appelle lejjive légère. Autres opérations jufqii a ce que
la toile ait acquis toute fa blancheur. Ibid. b. Cette fuite
d’opérations n’eft pas ft abfolument preferite que l’ouvrier
ne doive les varier félon les circonftances. Premier bleu
qu’on donne aux toiles. Enfuite 011 les étend fur les {lieux
pour les faire fécher. Apprêt qu’on leur donne lorfqu’elles
font feches. Ibid. 277. a. Lorfqu’à la fuite de cet apprêt elles
font féchées de nouveau, on les porte au magafin ou à la
ploieriez Diverfes préparations pour effacer les faux plis.
Ibid. b. Enfin, on les met en papier. Mauvaife opération du
mailloir. Ufage de la calendre. Ses inconvéniens à-peu-près
femblables à celui du mailloir. Voye^ les pl. fur le blanchiuagc
des toiles, vol. IL
Blanchifferie des toiles ; remarque fur cet article. V .
647. a. / SJ
B L A N C S , vers, {Belles-lett. Poéf. ) vers non rimés dans la
poéfie moderne. Cette forte de poéfie pratiquée par les An-
glois 8c les Allemands. Avantages qui lui manquent. Suppl. L
908. b. ’ . . . VT. r
B L A N D R A T A , ( George) obfervations fur fa vie. XIV .
383. a.
BLAN DUSIE , ( Géogr.) fontaine qu’H orace a rendue
célébré. L iv .lI I . Od. 13. Suppl. I. 909. a.
B L AN K A , Blankenhaym & Blankenheim , ( Géogr. )
obfervations fur ces trois articles de l’Encyclopédie. Suppl. L
^ 9BLASER , ( Ichthy. ) nouveau genre de poiffon , de la
famille des coffres. Sa defcription. Suppl. 1. 908. b. Ses qualités
8c moeurs. Ibid. 909. a.
BLASIUS , {Gérard) anatomifte. Suppl. 1. 308.a.
BL ASO N , ( Art héraldique ) étymologie de ce mot. II.
278. a. Différence entre les armes 8c le blafon. Réglés de ceo
art. Trois formes de blafon. Explication de quelques termes de
l’art .Ibid. b.
Blafon. Son origine. Articles fur les différentes parties de
cette fcience ou art. Des émaux. Maniéré de les repréfenter.
Suppl. I. 909. a. Leur fignification. Pièces honorables. Leur
j pomion. Ibid. b. Partitions. Répartitions. Parties du corps
i humain. Châteaux 8c tours. Ibid. 910. a. Animaux 8cjeurs
parties, Inftrumens de guerre. Arb re s , fleurs 8c fruits. Ibid. b.
Aftres. Meubles d’armoiries. Pofition des pièces 8c meubles.
Étymologie .du mot blafon. Ibid. 9 1 1 . a.
Blafon. Réflexions fur la vanité de cette fcience. V I I I . 143.
a. Jeux de cartes pour le blafon. X IV . 7 9 2..b. 793. a. Les principes
généraux du blafon font expliqués dans le fécond volume
des planches.
BLASONNER. Différentes fignifications de ce mot. Suppl.
1. 9x1. a. L’objet de cet article elt d’enfeigner à blafonner par
principes ; c’eft-à-dire, à expliquer les pièces 8c meubles de
l’éc'u en termes propres 8c convenables. Ibid. b.
BLASPHÈME. Extenfion du fens de ce motr, félon les
théologiens. S. Auguftin cité. Le blafphêms eft une fuite ordinaire
(le l ’héréfie.ll. 278. b.
Blafphême. Origine de ce mot. XII. 76. b.
BLASPHÉMATEUR. Punitions infligées aux blafphéma-
teurs. IL 278. b. Chez les Juifs ils étoient punis de mort.
Loix françoifes qui les condamnent au pilori 8c à avoir la
langue percée. Réglemens de P ie V fur cette matière. Aujourd’hui
la peine eft l'amende honorable 8c le banniffement. Ibid.
27O. b. S : i " ■
ÉLASPHÉM ATOIR E. Proportion telle de Janfemus;
B L E
Deux fortes de propofirions blafphématoires, félon le cardinal
^ B L ^ IE R ^ m a r c h a n d de blé. Étymologie de ce mot.
Communauté de blatîers à Paris, nommés aujourd’hui regra-
tiers ou grainiers. A qui eft .reftè le nom de blatîers. Avantages
8c inconvéniens de ce commerce pour le public. 11.
BjLÂ T IN , {Ichthy.) efpece de pourpre à canal é v a fé ,
ainfi nommé au Sénégal. Defcription de la coquille. Lieux où
ce coquillage fe trouve abondamment. Suppl. I- 9 1 1. b.
B L A T T A Byiantina , ( Conchyliol.) couvercle d’une
coquille oblongue, dont la fubftance reflemble affez à de la
corne. D ’où lui vient ce nom. Propriétés qu’on lui attribue.
Divers fenfimens des naturaliftes lur ce que peut être cette
coquille. IL 279.a. . ..
B L A T T E . On a donné ce nom à plufleurs mfeéles de nature
très-différente. IL 279. a. Infeétes auxquels Linnæus réferve
ce nom. Ibid. b. . , .
Blattes fepréfentées , vo l. V I . & planch. re|ne minéral,
planch. 77. ’ T
B L A T T I , ( Botan.) arbriffeau du Malabar. Suppl. 1. p ix .
i . Sa defcription. Lieux où ip r o î t . ,i%Ses Qualités &
ufages.’ Maniéré de le claffeï. Ibid. b.
B L AW E -S T A A R , {Ichthy.) efpece de fpare, ou d étoile
bleue d’Amboine. Defcription de ce poiffon. Lieux qu il tre-
quente.Suppl.1 .9i i2 .b. , _
B L A Z E R , ( Ichthy. ) poiffon d’Amboine , du genre du
poupou. Defcription de deux efpeces de ce nom. Moeurs de
ces poiffons. Suppl. 1. 912. b. Leur claflification. Ibid. 9 13 .a.
BLÉ. Trois fortes , de blés dans le commerce, le froment,
le feigle & 1 e mèteil. Les laboureurs en reconnoiffent beaucoup
-d’autres , qu’ils appellent petits blés. Pays où l’on cultive le
blé. Les autres ont le maïs & le riz , ou les patates & le
manioc. Ancienne Fertilité de l’Égypte. Pays de 1 Europe
qui lui ont fuccédé. Nourriture des hommes avant 1 ufage
du blé. A qui l’on doit la connoiffance du blé. IL 280. a.
Moyens de conferver le blé. Exemples de blés confervés tres-
long-temps. Ibid. b.
Blé de Turquie, mais. Defcription de la plante & de ton
fruit. Pays où il croît parmi nous. Ufage qu’on en fait. Obfervations
fur fa culture. II. 280. b.
Blé noir ou farrafm. Defcription de fa fleur, d efafemence
& de fes racines. H. 280. b. Ufage qu’on en fait en France. Sa
culture. Ibid. 281. b. , _ „ . . .
Blé , ( Botdn. Agrïcult. ) étymologie de ce mot. Sa figmfi-
cationi — Avantagés que nous retirons de la diverfité des
plantes néceffaires à la vie , par rapport à leurs différons
degrés de vigueur , & à la variété des faifons où 1 On doit
les femer. — L ’objet de cet article eft de donner ùnè con-
noiffance étendue des divers blés.
I. Blés des anciens. Les Romains diftinguoient deux genres
de frumentum ; celui qu’ils nommoient far feu ador_, 8c le
froment qu’ils appelloient triticum. Suppl. I. 913. b. Étymologie
du mot far. Cette forte de blé fut chez les Romains le
plus ancien 8c le plus connu : on l’employoit dans diverfes
cérémonies religieufes. Il étoit le principal aliment des premiers
habitans de Rome. — Paffage de rline fur fa culture.
Différentes efpeces de far. — Étymologie du mot triticum.
On.endiftinguoit trois efpeces. Ibid. 914. a. Différences entre
le far & le triticum. A quelle efpece de blé connu doit fe
rapporter le far. Quelques-uns l’ont confondu mal-à-propos
avec l’épéautre , d’autres avec le feigle. Ibid. b. I l paroît que
le far adoreum n’eft autre chofe que notre orge d’h iv er ,
connu fous le nt>m d'écourgeon. Raifons qui appuient ce
fentiment.
H. Blés des modernes. V . Les blés proprement dits , ou
les gros blés. Ces grains diftingués en trois claffes. 20. Les
.petits blés , ou menus grains. Ibid. 915. a. En général, les
grains farineux font de deux fortes , les blés 8c les légumes.
I l eft aufïi des racines farineufes, dont l’art peut trouver le
' fecret de faire du pain. Toutes ces plantes croiffent en France,
8c peuvent s’y cultiver aifément.
III. Des diverfes qualités & maladies des blés avant la récolté.
Importance de cette connoiffance. Ibid. b. Dans nos climats
on voit le fort des blés entre le 15 mai Sç le 15 juin. La
couleur de la fanne 8c des tuyaux de blé fin doit être d’un
beau verd plein. Quand lés plantes ont un oeil jaune , elles
nqfproduifent pas de beaux épis. Quand elles font javmes-
■ roug es, elles n’ont pas pris leur nourriture. Lorfque le pié
pouffe beaucoup de tu lle s , c’eft une marque que le fol
eft b o n , 8c que la récolte promet beaucoup. Des moyens
de donner cette touffe ou piè-d’oeillet à la plante. Les mau-
vaifes herbes trop multipliées , diminuent beaucoup lè produit
des récoltes. Énumération des mauvaifes graines qui
croiffent avec le blé. Ibid. 916. a. Examen de l’épi. Caractères
des bons , des médiocres 8c des mauvais. Nombre des
grains que produifent ces différentes claffes dépis. Ibid. b.
Examen des épis noirs ou niellés , ftériles , avortés , cliar-
bonnés 8c ergottés. Obfervation du tems pendant la faifon
Tome 1,
L E 177
de la croiffance du blé , de fa maturité 8c de fa récolte-
Mauvais effets des brouillard^ 8c brouines du printems. Maladie
des b lés , appellée la rouille. Tems fiivorable à la maturité
du blé. Danger des pluies fréquentes. Ibid. 9,17. a. Tems le
plus avantageux à la moiffon. D u blé récolté humide. Utilité
des pluies qui tombent quelque tems avant la moiffon.-
Corruption du blé lorfqu’il eft moiffonné dans une faifon
humide, avant que la maturité foit parfaite.
IV . Des blés apfts l'a récolte , 6* des précautions à prendre
pour en faire les achats. Comment l’acneteur doit ei) faire
l ’examen , ïbid. b , lorfqu’il eft encore dans la grange , ou en
tas dans les magafins, ibid. 918. a , ou en fac dans les marchés
publits. . •
V . Connoiffances générales & particulières des différentes claffes
de blé. Trois fortes de qualités de b lé ; favo rr, le blé de la
tête , dite de qualité fuperieure ; le blé du milieu , dit blé marchand
; le blé commun , dit de derniere qualité. Manière de
diftinguer ces différentes qualités par la couleur, ibid. b , la
forme , le poids , ibid. 919. a , à la main, à la netteté , à
l’odeur 8c au goût. Ibid. b.
V I. Qualités des grains, dues au fo l & à la culture. Choix des
femences. Préparation de la terre. Ibid. 920. a. Qualités
dues au fol. Blés de fonds pierreux. Blés de terres fortes."
Blés de terres à jardin. Les blés de fonds inférieurs à ceux
de plaine. Ibid. b. Goût de terroir contrarié par les blés.
Qualités du blé marné. Notice fur le produit en grain des
ternes de première , de fécondé 8c de troifleme qualité.
Ibid. 921. a: Produit des terres à feigle , 8c des terres lemées
en orge. Influence des climats 8c de la température des
pays fur la qualité des blés. Différentes qualités des blés de
France , d’Allemagne , de Sicile , d’Italie , du Le v an t ,
de Barbarie 8c de Pologne. Qualités du feigle félon les
climats. Ibid. b. Confeils fur l’art d’acquérir la connoiffance
dés blés.
V IL Du prix proportionnel des grains , relativement à-leurs
qualités. D u prix des fromens de la première claffe. Produit
en pain des différentes.qualités de blés. Caraftere auquel on
reconnoît les blés barbus 8c les blés de mars. Qualité de
leur farine^ Ibid. 922. a. Leur prix. D u feigle : prix de fa
mouture. Son produit en farine oc en pain. L e prix du feigle
toujours proportionnel à celui du froment. Quand le froment
eft à bon marché , il convient au négociant d’acheter des
feigles par préférence. L e feigle. fe conferve plus aifément
que le froment. D u mélange de ces deux fortes de grains,
Ibid. b. D u prix de ces grains mêlés, félon les différentes
proportions de leur mélange. D e l’orge: poids commun du
feptier. Son produit en farine. Qualité de cette farine. Son produit
en pain. D u prix de l’orge.
VIH. Du tranfport des grains. Raifons qui doivent engager
l’acheteur à faire cribler les grains avant le tranfport. Ibid.
923. b. Peu de précautions qu’on apporte ordinairement pouf
le tranfport des grains dans les magafins. D e là réfulte une
altération dans leur qualité. L ’humidité des grains tranfportés
avec peu de précaution , eft la caufe ordinaire des avaries
confidérables que fouffrent les approviftomiemens. Moyen
de prévénir ce préjudice de l’humidité. Ibid. ^. Dommage
immenfe que la mouillure caufe aux blés.
IX. Des ennemis du bled. Ces ennemis d ivifés en trois claffes
les oifeaux, les rats 8c les infeétes. Ibid. 923. a. T o r t que
font au blé les moineaux 8c les pigeons. Moyens ‘d’y remédier.
Ravages caufés par les rats. Précautions à prendre à cet
égard. Préjudices caufés par différentes efpeces d’inTeétes. Ibid,
b. Moyens les plus propres à lès éloigner. Ibid. 923. a.
B le , ( Économ. rufiiq, ) de la maniéré de femer le blé.
X IV . 942. a , b. Echauler le blé qu’on v eu t femer. V . 244.
b. Suppl. IL 408. a. D u labour des terres deftinéés à produire
le blé. IX. 146. a , b. I. 183. b. Expériences faites avec la
houille pour la culture des blés. VII I. 324. â. Examen de
la végétation du b lé , 8c particuliérement du froment. Suppl.
III. 207. a , b , 8cc. Semer le blé , voye^ Semer. D e l’ufage
de laiflèr paître les blés quand ils font trop forts. VI. 634.
b. D u blé charbonné : recherches des caufes de cette maladie
, 8c des moyens de la prévenir. HL 193- a > b. Blés
retraits. X IV . 2x3. a. Dépenfes annuelles pour la culture des
blés. V I . 334 .b . Defcription de là plante qui fournit le blé.
Détails fur fa culture. V II . 334. b. Suppl HL 207. a , b , 8cc.
Voyer aufïi fur ce fujet les articles A griculture 6* Ger,-
m in a t io n . Javeler l e blé. VIH. 470. b. Maniéré de fécher
lés gerbes. IL 14Ô. b. Battage des blés. II. 146. b. Ble en
fueur. X V . 623. b. D e la fubftance que contient le ble.
Suppi. I. 379. a. Défavantage des blés humides , avantage
des blés fecs. 739- a- Avantages qu’auroit le ble mondé.
Suppl IV .4 1 0 . b. Détermination de la quantité de pain produite
par une certaine quantité de blé. Suppl. I. 219. b.
Expérience qui prouve la grande fécondité du blé. Suppl. IV .
410. b. Faunes teignes qui attaquent le blé. X V I . 7. a. Conf-
truélion d’un grenier qui préferve le blé de la corruption.
Comment on l'cmpêchè de s’échauffer. V IL 941. b. O uve rtures
dans les greniers , pour garantir les blés des charan-
Y y