pao H I S
hiftoire. De t hiftoire moderne : pourquoi elle eft froide en
comparaifon de celle des Grecs & des Romains. V II . 720.
a. Cette, hiftoire fe trouve répandue dans les articles des
différentes nations 6c des principales villes moderqes. De
F utilité de l’hiftoire. Comment un philofophe doit juger les hommes
dont l’hiftoiré lui préfente le tableau. IV. 494. a , b. D e
la maniéré d’enfeigner cette fciencé 8c de fon utilité. V 1 .231.
b. La lééture de l’hiffoire propre à nous donner de l'expérience.
297. b. Utilité de l’hiftoire dans l’éducation d’un jeune
homme. V i l . 796. b , 8c dans celle d’iin jeune prince. 798. a.
Projet d’une académie d’Iiiftoire. Suppl. I. 93. a. D e la certitude
de l’hiftàirc. Cnraéteres de crédibilité qui lui font attachés.
H. 856. b. Objeétion contre la crédibilité de l’hiftoire.
8<8. b. Réponfe. 859. a. Ingénieufe comparaifon de M. de
Fontenelle, qui peint admirablement l’état où nous trouvons
Hiiftoirè ancienne; difficulté c|e concilier les hiftoriens
entr’eux. 1(1. 390. b. Objet de la critique dans l’hiftoire. IV .
490. b. La fatyre & la flatterie ont empoifonné les faftes de
l’hiftoire. VI. 843. a. D es inferiptions confidérées comme mo-
numens hifloriques. VIII. 778. a , voyez anffi l’article Monument.
De l'art d’écrire l ’hiftoire. Du ftyle. Suppl. I lï . 307: a.
Comment elle doit être traitée dans un diélionnaire. IV . 966.
b. Importance de l’étude des généalogies pour l’hiftoire. VII.
548. b. Défauts de ftyle à éviter lorfqu’on écrit l’hiftoire.
395. b. Les langues primitives ont été peu propres ap ftyle
hiftorique. VII I. 89. a , b. Pour peindre le génie des notions
& des rois, il faut éclairer leur hiftoire par leurs lo ix , &
leurs loix par leur hiftoire. IX. 646. a. Avantages que l’hif-
toire peut tirer des médailles. X . 230. a. 238. b t 8t de divers
autres monumens : voyez ce dernier mot. Réflexions
fur les différens perfonnages dont l’hiftoire fait ou devroit
faire mention. X. 345. a. D e f art de la narration dans
l’hifloire. XI. 29. a. Obfervation fur l’ufage très-ancien d’écrire
l’hiftoire en vers. X V II . 139. a. D e la maniéré d’écrire
l’hiftoire en forme de chronique. III. 387. b. De l'étude
de cette fcience. O n doit fe borner en s’y appliquant à ce qui
eft relatif à la vocation qu’on embraffe. V . 31 1. a. du tems
& de la maniéré de l’étudier. III. 637. a. Utilité de la fcience
étymologique dans cette étude. V I. x io . b. Jeu de cartes
pour l’hiftoire. X IV . 792. b. Utilité des fobriquets dans î’hif-
toire. X V . 249. b. 250. a.
Hiftoire fainte : maniéré de la difeuter. IV . 490. b. Ses
époques. V. 834. a.
Hiftoire eccléfiaftique. Corps d’hiftoire eccléfiaftique appellé
centuries de Magdebourg. II. 8301 b. Hiftoire eccléfiaftique
de l’abbé Fleury. V . 223. a. D ’Antoine Godeau. V I . 418. b.
Principales époques de l’hiftoire eccléfiaftique. V . 834. a.
Réflexions fur le peu de bonne foi de plusieurs de ceux qui
l’ont écrite. X V . 904. a.
Hiftoire des fciençes & des arts. Celle des beaux arts. Suppl.
I. 391. b.— 396. b. voye% les articles particuliers des arts. Utilité
de cette hiftoire. 1. xxxviij. Dïfc. prélirn.
Hiftoire de la philofophie, voyez le mot PHILOSOPHIE,
les articles particuliers de chaque différente feéte philofo-
phique , 8c l’article Lettres.
Hiftoire du commerce. III. 691. a , b.— 793. b.
Hiftoire métallique. X . 432. a.
Hiftoire célefte , par M. le Monnier fils. I. 793. b.
Hiftoire naturelle. Diftribution de l’hiftoire naturelle. I. xlvij.
Difcours prélirn. Hiftoire des animaux par Ariftote. L 638.
a. Cabinet d’hiftoire naturelle. II. 489. a , T—492. b. Progrès
que çette fcience a faits en ce fiecle. 489. b. D u cabinet
du roi. Ibid. &c. Les deferiptions des objets de l’hiftoirç
naturelle, prefque toujours imparfaites de la part des anciens.
III. 298. a. 643. a. Diftribution de ces objets en régnés,
claffes, genres, &c. 503. b. Les faits purement phyfiques
compofent l’hiftoire naturelle : comment la vérité s’en démontre.
IV . 491. u. Directions fur la maniéré d’étisdier
cette fcience. V II . 614. æ, b. &c. Divifion méthodique des
différentes productions de la nature. X . 438. b.—460. a. D u
goût des hypothefes dans l’hiftoire naturelle. Suppl. III. 94.
b. Auteurs qui ont traité de l’hiftoire naturelle. XI. 39, b.
Obfervations fur celle de Pline. X V II . 88. b. Planches pour
l’hiftoire naturelle. V I . vol. des planches.
Hiftoire naturelle. Objets compris dans cette hiftoire. VIII.
223. b. Divifion qu’il a fallu établir entre lçs diyers genres
de nos connoiflances pour les traiter plus exactement. Comment
l’aftronomie tient à l’hiftoire naturelle. Trois parties
principales de cette hiftoire ; les animaux , les végétaux Sf.
les minéraux. La defeription des productions de la nature,
fait la bafe de fon hiftoire. Deux fortes de deferiptions ; lçs
unes complétés , les autres incQmplettes. Ibid. 226. a. D étails
dans lefquels une defeription complette doit entrer. But des
recherches du naturalifte 8c de l’anatomifte. Q u el eft le grand
objet de l’apatomie comparée , qui a un rapport plus immédiat
à l’hiftoire naturelle que l’anatomie (impie. Comment
la médecine tient aufli à cette hiftoire. IVlaniere de
traiter, la Botanique confidérée comme partie d.e l’hiftoire
naturelle. Ibid. b. D e la matière médicale renfermée en partie
■ H I V
dans la Botanique & en entier dans l'hiftoire naturelle,générale.'
Recherches qu’il y auroit à faire, pour découvrir toutes les
propriétés précieufes renfermées dans les plantes, les animaux
& les minéraux. Etat d’imperfeClion où l’agriculture a
été laiffée. Combien il importe-de perfectionner cet art dans
toutes fes parties. Ibid. 227, a. Utilité de la culture des fleurs,
de l’anatomie des plantes ; avantages d.es cojmoiflances qu’on
en peut retirer. Ibid. b. Analogie entre Uéqonomie animale
8c l’économie végétale, En quoi confifte l’hiftoire naturelle
des minéraux. Différence entre les procédés du naturalifte
8c ceux du çhymifte. Émulation générale qui Ce manifefte
aujourd’hui pour l’étude de la nature. Différentes vues félon
lefqttelles les naturaliftesj travaillent. Ibid. 228. a. Multiplication
des cabinets d’hiftoire naturelle. Comment l’empire
de la mode s’étend jnfques fur les feiences. U tilités , agré-
mens de l’étude de rhiftoire naturelle, qui femblent nous
promettre qu’elle fera toujours en honneur 8c en vigueur.
C e n’eft que par le concours de plufieurs nations dans une
fuite dg fiecles, qu’il eft p.offible de raffembler les matériaux
de l’hiftotre de la nature, Heureux Jorfquc dans l’intervalle
d’un fiecle, il fe trouve enfnite quelque génie capable d’en
ordonner la difpofition. Ibid. b. D ’où dépend la durée d’uu
fyftème en hiftoire naturelle. Néceffité de joindre pour l’étude
de là nature , la leéture des liv re s, Ja connoiffance des
fyftêmes déjà propofés, & l’infpeCUon de.s protluClions naturelles.
Utilité des cabinets où ces productions fe trouvent
renfermées. Ibid. 229. a. Le naturalifte ne peut voir dans
les cabinets qu’une efquiffe de la nature ; mais elle fuffit pour
lui donner des vues , oc lui indiquer les objets de fes recherches.
Comment il doit réunir l’étude des liv re s , celle du cabinet
8c les obfervations, pour avancer dans la connoiffance
de la nature. Q u el doit être l’art de combiner les objets 8c
de les comparer. D e l’ordre à fuivre dans la compofition
d’un ouvrage fur l’hiftoire naturelle , 8c dans l’arrangement
d’un cabinet. Ibid. b. Toute divifion méthodique, qui n’eft
fondée que fur des rèfultats particuliers, eft fautive, A vantages
que nous préfentent ces diftributions quoique défeéiueu-
fes. Précaution avec laquelle on doit la fuivre. Ibid. 230. a.
HISTOIRE des maladies. ( Médec. ) En quoi elle confifte, 8c
divers objets qu’elle embraffe. C e n’eft que fur une femblable
expofition bien exaéte que peut être fondée la fcience expérimentale
du médecin. VIH. 230. a. Utilité de l’infpeéhon
anatomique des cadayres. Ibid. b.
HISTORIEN. Les poètes ont été les premiers hiftoriens.
Suppl. I. 807. b. C e qu’on entend par un habile hiftorien.
VII I. 6. a. Obfervations fur Tite-Liv e , Sallufte 8c Tacite.
IV . 638. b. Quelle forte d’éloquence convient aux hiftoriens.
V . 3 30. b. S’il eft vrai que rJiiiiorien n’ofe dire une fauffeté,
ni cacher une vérité. VIII. 223. a. Si les hiftoriens doivent
mettre dans la bouche de leurs héros des harangues direétes.
VII I. 41. a , b. Premier hiftorien grec qui a écrit en proie.1
X. 302. b. Reproche fait aux anciens hiftoriens d’avoir cru
aux prodiges : réponfe à ce reproche. XIII. 423. a , b. Des
avantages des hiftoriens modernes fur les anciens. Suppl. I.
I-IISTOR IOG R A PKii , ( Gramm. Hift. mod. ) titre
particulier exprimé par 2e mot. Obfervations fur les hifto-
riographes de France , depuis Boileau, jufqu’à M. D u clo s ,
8c fur les ouvrages qu’ils ont donnés en cette qualité. VHI.
230. b.
HISTORIOG RA PHIE : objets qu’elle embraffe. II. 763.
H ISTORIQU E. D ictionnaire hiftorique. IV. 966. b. X V II .
749. a. Eloge hiftorique. V . 327. b. Fable, hiftorique. VI.
342. a. Poème hiftorique. XII. 823. a , b. Preuve hiftorique,
voyez M onument & T r a d it io n . Récit hiftorique. XIII.
8x3. a. Relation hiftorique. X IV . 63. a , b. Style hiftorique.
x v . mm , H IS T R IO N , (Hift.rom.) baladin d’Etrurie. En quel tems
on çn fit venir à Rome. Premières danfes qu'ils exécutèrent.
Etymologie du mot hiftrion. VIH. 230, b. Pièces que ces histrions
récitèrent 8c accompagnèrent de danfes. Tems que
durèrent ces farces informes. En quel tems Andronicns fit
jouer la première piece réglée. Ibid. 231. a. Voyer B a l a d in ,
F a r c e u r , M ime.
« HITH ou Hyet/i, ( Géogr.) v ille d’Angleterre. O bfervations
fur fon port. Il paroît que les Romains l’ont connu fous le nom
de portus Lemanis. VIII. 23 i.a .
H IV ER , ( Phyfiq. & Aftron. ) commencement 8c fin de
cette faifpn. Le foleü eft plus proche de la terre en hiver
qu’en été. Sur la caufe de la diminution de la chaleur en
hiv er > voyez C h a leur 6* F r o id . Double hiv er annuel
fous l’équareur. Hiver de l’hémifphere auftral ; celui de l’hê-
mifphere boréal. D e la longueur des jours en hiver. VIII.
W jjgm . .. I
Hiver. Caufe de l’h iver aftronomique. XI. 909. a. Solftice
d’hiver. X V . 327. b. Caufes du froid en hiver. V IL 314. b.
Pourquoi le grand froid n’a pas lieu le jour du folftice. III.
28. b. Changement de température, caufé en h iv e r , lorfque
le
M O B
le vent paffe fubitement du fud au nord. VII. 3 16. a. Circpn-
ftances qui peuvent rendre le froid plus-confidérable 8c plus
général. Ibid, a , b. Un hiver rude* eft fuivi ordinairement
d’un printems humide 8c d’un bon été. L 233. a. Les arbres
durs.plus expofés en hiver què les arbres plus jeunes ou plus
tendres. 384. b. Caufe des brpud'ards en hiver. IL 445. a.
pourquoi l’évaporation eft confidérable en hiver. III. 890. b.
Pourquoi le feu brûle mieux en hiver. V I . 602. A Fleurs
d’hiver. 838. a. Bofquets d’hiver. Suppl. IL 23. b. 26. a. Pourquoi
les animaux ont plus d’aâion vitale 8c de vigueur en
hiver qu’en été. V I I . 323. a. Des pluies d’hiver. XÏI. 793. b.
Degré moyen du froid de l’hiver dans les climats tempérés.
3 2 a b. Obfervations fur diverfes contrées dont les hivers
font ordinairement très-rudes. 313. b. Hivers des zones g laciales.
XV II . 730. a , b. — 732. b. Relation de l’hiv er que. les
académiciens pafferent en 1736 à Torneo. VII . 3x7. b. 687.
a. VII I. 308. b. Autres phénomènes de ce climat pendant
riiiv er.1.888. b. Hivers exceffifs près de la baie d’Hudfon, V II .
2 v j.b .VII I. 331. b. y )±.a,b. de Jénifceaen 1733.V III. 308. a.
de la nouvelle Zemble en 1369. Ibid. b. XIII. 900. a. XV II .
700. a. Apreté des hivers de Pétersbourg. XII. 464. a. Froid
remarquable à Quebec en 1744. X III. 696. b. O bfervations fur
î ’hiverde 1709. I. 386. a. V I I . 31 '6. b. 540. b. 343. b. 544. a.
681. a. b. — Voyez Saison.
Hiver , ( Médec. •) régime à fuivre en hiver. X IV . 13. a.
HJ ver , ( Iconograph. ) les faifons perfonnifiées par les
Grecs 8c par les Romains : comment l’hiver eft repréfenté
fur différens monumens. VII I. 23 i .a . Comment les modernes
Vont repréfenté. Ibid. b.
Hiver , ( PoéJ. Litt. ) defeription poétique de cette falfon.
X V I I . 740. a , b. &c. Comment les anciens repréfentoient
l’hiyer. X IV . 330. a. . •
Hiver -, quartier d’ , ( Art mïlit. ) XIII. 686. b. Des contributions
qui fe tirent dans les pays où les troupes hivernent.
X V . 948. a. Campagne d’h iv er , voyez C am p a g n e .
H O
H O AM H O ou HôANGSO , ( Géogr. ) grande riViere d’A-
fie : defeription de fon cours ; eara&ere de fes eaux. Origine
de fon nom. VII I. 231. b.
H O A N G i, ( Géogr. ) le plus grand fleuve de la Chine : def-
cripcion de fon cours. Canal pâr lequel les Chinois ont joint le
Hoang au golphe de Cang. V I I I . 231. b.
H O A T CH É , ( Hift. nat. Comm. ) efpece de terre de la
Chine dont on fait la porcelaine. Reffemblance de cette terre
à la terre cimolée des anciens. Pofiibilité de trouver en France
des terres dont on tireroit un femblable ufage. L e hoatché
employé en médecine par les Chinois. VII I. 234. a.
Hoatché, pierre ou craie de la Chine » qui entre dans la
çdmpofition a e la porcelaine. X III. 1 ©7. b.
H O A D L E Y , ( Benjamin ) anatomifte , Suppl. I. 410. a.
phyfiologifte. Suppl. IV . 339. b.
H O B B E S , {Thomas) voyez Hobbisme.
HOBBISME. philofophie d’Hobbes. Abrégé de la v ie de
Hobbes. VII I. 23 2. a. Averfion qu’il avoit prife pour les
chofes qu’on enleignsit dans les écoles , 8c la manière de
les énfeigner. Etude qu’il fit des anciens. Circonftances dans
lefquelles il jetta les fondemens de fon fyftême politique :
fes études de mathématiques, de l’hiftoire naturelle 8c de la
phyfique expérimentale. Liaifon qu’il contrafla avec Gaffendi,
dont il goûta la philofophie. Témoignage que Gaffendi ren-
doit à Hobbes. Le P. Merfenne attaché à notre philofophe.
Publication du livre du citoyen. Liaifon de Hobbes avec
Galilée. Comment fut reçu du public le Leviathan de Hobbes
: enchaînement des principales propofitions de ce livre.
Ibid. b. Confeils de Hobbes à fes concitoyens : comment il
«’élevoit contre les régicides.'Ibid. 233. a. Circonftances qui
influèrent fur les principes de fa philofophie. Oppofition entre
les principes de Defcartes 8c ceux de Hobbes. Publication
des pièces de la difpute de notre philofophe avec Bramhall,
fur la liberté , la néceffité, le deftin 8c fon effet fur les aérions
humaines : fentimens que Hobbes y manifeftoit. Ibid. b. Réponfe
que fit Hobbes au P. Merfenne , lorfqu’il entreprit de
le convertir. Publication de fes traités de la nature humaine 8c
du corps politique. Satyre publiée contre lui par Sethus
.Wardus ,' aftronome , 8c enfuite évêque de Salisbury. Jugement
de Richard Stéele fur les derniers ouvrages de Hobbes.
Autres ouvrages qui fuivirent. Commentaire qu’il a laiffé fur
les loix de (on pays. Il s’occupa à perfeétionner les mathématiques.
Ibid. 234. a. Hobbes impliqué dans l’affaire que
s’attira le bachelier Sca rg il, pour avoir inféré dans une thefe
quelques propofitions de la philofophie de Hobbes, Derniers
ouvrages qu’il publia. Ordre qu’il fuivit dans fes travaux phi-
lofophiques. Ibid. b.
Principes fondamentaux de la philofophie de Hobbes. Principes
élémentaires & généraux. Ibiddzy y. a t b. De l ’animal. De s
fenlations ; de l’imagination : origine de l’opimori dés fpe-
étres ; du defir ; de l’averfion i de -la vplp^é . Ibidi 436. a.
Tome 1,
H O K £>11
D e Fhomm’e. D u difcours ; des déïnonftratî>>ils ; du hteri 8c
du mal. Origine des paffions, du caraélere , des moeurs, dè
la diftinéhon des vices 6c des vertus. Fondemens de la foi.
Ibid. b. D e la religion 8c du culte. D u 'Léviathan de Hobbes.
Analyfe de cet ouvrage. Ibid. 237. a, b. & fuiv.CzraQ.erc de
Hobbes. Ibid.240. b. Parallèle de la philofophie de Hobbes 8c d©
celle de Rouffeau de Geneve. Epigraphe mife à la tête de fa
vie. Ibid. 241. a.
Hobbifme. Obfervations fur ce philofophe 8c fur fes principes.
D L 948. a. X. 70 r. b. X V I I . 62. b. Terreurs auxquelles
i l étoit fujer. VII I. 18. a. Son hypbtliefe fur l’accélération des
corps dans leur, chûte. I . 61. a. Caufe deç fenfations , félon
ce philofophe. I» 333, a •; b. C e qu’il penfoit fur la moralité
des aâions. 803. b. Son traité du citoyen. V . 132. b. Précis
de fon ouvrage, intitulé > le Léviathan. 133. a. Fauffeté du
principe de Hobbes , qui prétend que toute. Jnjufticc envers
les hommes fuppofe des loix humaines. VHI. 734. a. Son
hypothefe fur la liberté. IX. 462. b. &c. Examen du fentiment
de Hobbes, que les hommes font naturellement en état de
guerre de fous contre tous. XI. 708. b. Obfervations fur un
lyftême dé politique chrétienne, par ce philofophe. X V . 143.'
a. Sur fes principes politiques. X V IL $6y .a,b.
H O BERE AU Ou haubereau, ( Ornithol. ) defeription de la
femelle de cet; oifeau de proie. VII I. 241. b.
H O BO K IN , ( Nicolas) anatomifte.^ Suppl. I. 398. b. ,
H O B U S , ( Botan. ) efpece de prunier des Indes occidentales
: defeription de (on fru it Propriétés de l’eau aromatique
que les Indiens font avec les fommités des rameaux de l’arbr©
8c avec leur écorce. P ropriété du fruit. Eau que l’ on tire de la
racine. 241. b. ,
H O C . {J eu x ) Comment fe joue le hoc mazarin. V I ID
4H O C A ou hoccd, . ( Jeux) efpece de jeu de hafard. C omment
il s’exécute : ce jeu prohibé à Rome ; 8c ënfuitc à Paris:
VII I. 242. b.
H O CH E ou Coche, ( A n méch.) ce qu’on entend par ces
mots dans l’art de bâtir. D ivers ufages des hoches ou coches.
VÏI I. 243. a. ,
H O CH E T . Archytas imagina le hochet pour animer fes
propres enfans. VII I. 243. a.
H O C H S T E T , ( Géogr. Hift. ) bourg 8c château de Bavière*
Défaite des Bavarois 8c des François à Hochftet en 1704.
Poème d’Adiffon fur cette journée. Caufes de l’élévation de
cet auceur.,Suppl. III. 429. b.
H O D E G O S j guide. ( Théolog. ) Deux ouvrages publiés
fous ce titre ; l’un d’Anaftafe, 8c l’autre de Tolaftd. V I I I .
4hodierna, W tm K Ê Ê Ê kilt. 760 . a.
H O D Y , ( Bùmfiex) favaM ariglpis. X L 73,8. a.
H O E A -N YW E L , (Botan.) efpece d’arek. S uppl. I. 348. a.
H O ED , ( Comm. ) mefure de contenance. Variations
de cette mefure , félon différens lieux des Pays-Bas. V I I I .
143. b.
H O EFE , ( Géogr. ) diftriét de pays fur la cote méridionale
lu lac de Zurich. Divers maîtres auxquels il a appartenu. Pro-
iuélions 8c ouvrages de ce pays. Suppl. III. 429. b.
HO EK EN , (Hift. mod.) nom de la faétion oppofée en
Hollande à celle des Kabeljaws. Origine des noms de ces deux
•aérions. VII I. 243. b. Hiftoire de ces faétions.Ibid. 244.a.
H O E L T Z IN , ( Jérémie) XI. 283 .^
HO EN , ( Ichthy. ) Voyez BONTE-HOEN.
HO ERD E , (Géogr.) v ille d ’Allemagne en Weftphalie;
bus ia domination pruffienne. Son château 8c fes églifes..
■’rocluétions de fes environs. Son bailliage. Suppl. III. 429. b.
HO F FM AN , ( Frédéric ) anatomifte, Suppl. I. 402. a. &
ihyfiologifte. Suppl. IV . 333. é. Sa differtation fur les crifes.
V . 478. a. Son traité des fievres. V I . 722. b. Sa differtation,
le eetatis mutatione morborurn causa , & remedio. VII I. 343 . a.
Dbfervations d’Hoffman , favorables à l’aftrologie. 732. b. Sa
loétrine fur l’influence, des planètes.'738. a. Liqueur minê-
ale anodyne d’Hoffman. IX. 366. a , b. X V II . 366. b. Bafe
le cette liqueur. V I. 33. b. Sa doétrine fur J a faignéè. X IV ; BHH M H ,
ce nom. VII I. 244. a. , c . ,
H O H EN B ER G , ( Géogr. ) comté d’Alleriiagne, en Souabe.
Sa divifion : villes 8c places qu’il renferme. Qualités dü pays;
Souverain auquel il appartient. Suppl. III. 43° ; f -
HOHEN-EMBS , ( Géogr. ) comte d Allemagne , en
Souabe. Famille des Grifons à laquelle il appartient. HI;
43H O IN , (Jean-Jacques-Louis) anatomifte. Suppl. î . 413.-7;
Hernie gangreneufe , traitée par ce chirurgien. 4^4-4 >/■ :
H O IT L A L O T L , ( Grnïth. ) oifeau d’Amérique. Sa defen*
ption. VIII. 244. b. , . . . .
H O K -C H U , ( Diete ) efpece de liqueur cjue font les C h inois.
Autre liqueur, appellée chdmchii, faite chez les memes
A A A A A a a a a a a