2.66 C H A
font tes deux
i k c D e l a ehr
IV. D e s4
par la chalcui
grands principes de tous les phénomènes en
Ul'nges chymiques de la chaleur. VI. 609. b.
eur des efferveiccnccs. V . 404. b. 405. a. De
crmentation. V I . 517. b.
s de la chaleur fur Us corps en général. Il n y a
ns la nature qui ne {bit plus ou moins pénétré
V i l . 320. a. Principes généraux (tir la maniéré
-dont les corps font nfteftés par la chaleur. Suppl. IV . 938. a.
Les corps font fufceptibles de chaleur en raiion mverfe de
leur volatilité. Suppl. III. 469- **• La chaleur fe répand avec
inouïs de facilité dans un corps fait de plufieurs pièces ,que
s’il étoit d’une feule. V i l. 72S. b. Tous les corps renfermés
dans un même lieu deviennent également chauds. V I . 601. a.
Chaleur qu'acquiert un boulet de canon en traverfant l’air.
ƒ/•;}. b. Les effets de la chaleur Sc du froid ne fe communiquent
jamais avec plus de difficulté, qu’au travers des corps
lolides, qui font rares, caverneux & lpoiigieux. V II . 240. a.
Dilatation des corps par la chaleur. IV . 1003. />. Celle des
fluides en particulier. XIII. 812. a. La chaleur neceffaire à la
germination. X V I . 9J5 4. a. Effet de la chaleur de la terre fur
les plantes. I. 437. a. Des corps élevés dans 1 atmofphere par
l'a&ion de la chaleur. V I . 124- b- Matières durcies par la cha-
•. III. 607. a. D e l’expanfion des corps produite par cette
même caufi
les corps l.
effets de 1;
a. Excès de
72 1. b. Dé
, b. D e la chaleur que produit dans
û ri que. Suppl. III. 105.«/.
rapport à l'homme & aux animaux. Des
nos organes. Suppl. I. 754. a , b. 753.
i l’homme peut fupporter. Suppl. IV.
eur extérieure dans laquelle on peut
vivre. 621. b. Danger des chaleurs exceffivcs pour notre
corps. 1. 233. b. XL. m o i a. C ’ert la chaleur animale qui fixe
l ’idée du chaud & du froid. VII . 320. b. 321. a , b. Effets des
grandes chaleurs fur le corps des animaux. 323. a. Pourquoi
la chaleur afloupit. X V . 333. a. D e la fenfation que frit fur
nous la clialeur qui précédé tin orage en été. Suppl. III.
l o i . b. Plus un pays eft chaud, plus le fang s’y diffout avec
facilité. Ibid. IV . 722. a. Comment le fens du toucher juge du
chaud Sc du froid. X V . 821. a.
V I . Chaleur du globe terreflre. Il y a dans l’intérieur de la
terre une chaleur qui n’eft point aflujettie à la variation des
faifons. V II . 315. a. Chaleur qui régné en certains endroits
dans le fein de la terre. X . 779. a.
VII. Chaleur des climats & de la faifon. Effets de la chaleur
du foleil. VIII. 734. a, b. La chaleur confidérée comme caule
Sc non comme effet du vent du fud. X V II . a i . b. Pourquoi le
tems de k plus grande chaleur n’arrive ordinairement que
cinq ou fix femaines après le commencement de l’été. V I .
40. a. L’étage lupérieur d’une maifon eft- le plus chaud dans
le jou r, Sc le plus froid la nuit. Obfervation fur la chaleur
d’été des différens climats. V I . 601. a. Obfervations météorologiques
fur le chaud & le froid. X V I . 118. a. Caufes de la
chaleur dans les différentes zones. X V I I . 725. a. D é la chaleur
fous la zone torride.-723. é.——"729. b. Sous les zones
tempérées. 733. a , b. Sons les zones glaciales. 731. a. 724. a.
Rapport entre la chaleur de l’été & le froid de l’hiver des
climats tempérés. VII. 326.^. Des divers degrés de chaleur
qui régnent dans les différentes parties du globe. 624. b.
C haleur, ( Economie animale) diftinéfion faite par quelques
zoologiftes des animaux en chauds Sc en froids. Chaleur
abfolue de l’homme dans l’état de fanté. Rapport des excès
de chaleur & de froid dans les climats avec cette chaleur de
l ’homme. La température de l’homme eft uniforme dans ces
differens degrés de chaleur ou de froid extérieur , &c. On
appelle proprement chaUur animale, l’excès dont la chaleur
abfolue d’un animal furpaffe celle du milieu qui l’environne.
III. 31. a. Degré de cette chaleur dans l’homme. Diftin&ion
du dofteur Douglas entre la chaleur innée des animaux &
.la chaleur .commune ou dépendante d’une caule externe ;
diftimftion qui revient à celle que faifoient les anciens entre
la chaleur primitive Sc la chaleur naturelle ou vitale. Principaux
phénomènes de la chaleur animale. Il y a un certain
degré de chaleur extérieure, dans lequel la chaleur innée
d ’un animal, quoique vivant & en bonne fanté, eft totalement
détruite. Depuis ce terme de la chaleur innée d’un
animal, fon accroiffement eft proportionnel à celui du froid
jufqu’à une certaine limite. Ibid. b. La latitude de la chaleur
différé dans les differentes parties d’un animal & :dans les
differens animaux, fuivant les vîteffes refpeftives de leur
circulation, &c. Les grands animaux éprouvent une moindre
perte de chaleur que les petits de la même température, &c.
: Les quantités de chaleur produites par le^. animaux de la
même température, fo n t , volume pour vo lum e , réciproquement
comme le diamètre de ces animaux. La latitude de
. la chaleur eft plus grande dans.le tronc, Sc."diminue dans
les autres parties à-peu-près à raifon de leur diftance du
tronc. Ibid. 33. a. Chaleur de la fievre. T erme où la chaleur
d’un bain n eft plus fupportable. Il ne faut qu’une- certaine
habitude pour laver impunément les mains avec du plomb
fondiiv^haleur .capable de tuer un chien, un oifeau , &c.
C H A
Chaleur des partie« dans lefquelles le mouvement naturel
feroit intercepté. Explication de la chaleur animale donnée
par différens phyfiologiftes. Ibid. b. Celle du doéleur Mortimer
; celle cîu dotteur Douglas. La chaleur animale , fuivant
ce dofteur, eft produite par le frottement des globules du
fang dans les vaifl'eaux capillaires. Démonftration de cette
propofition. Comment le clo&eur Douglas déduit de fon principe
l'uniformité de la chaleur animale dans les differens
degrés de température du milieu environnant. Ibid. 33. a.
Défenfe du fentiment des Galéniftes & des Arabes. Explication
du même phénomène d’uniformité de chaleur animale
félon l’ancienne école. Les fubftances inflammables don’t les
parties des animaux font compofées, ont excité quelquefois
dans les animaux un véritable incendie. Ibid. b. Obfervations
fur le fyftème même du doéleur Douglas. Objeélions contre
ce lÿftême. Ibid. 34. a. C ’eft une queftion à décider ; favoir
fi le fang eft rafraîchi ou échauffé par le jeu des poumons.
Ibid. 35. a.
Chaleur, animale, ( Phyfiol. ) chaleur de l’homme félon
le thermomètre de Fahrenheit. Chaleur dans les fievres.
Incommodités qu’on éprouve dans une eau thermale trop
chaude. L’homme peut v ivre dans un air coriftdérablement
plus chaud que ne l’eft fon fang. La chaleur animale ne monte
jamais au - delà d*un degré fixe & médiocre, mais elle fe
produit très-aifément dans une atmofphere très-froide. Suppl.
II. 309! a. L’homme & les animaux v ivent dans les froids
énormes du Nord. Degrés de chaleur que l’animal fe procure
à lui-même au-delà de celle qu’une atmofphere auflx rigou-
reufe lui ôte continuellement. La chaleur animale paroît être
l’effet du mouvement. Objeétions contre cette théorie , tirées
de ce que dans certains cas, la chaleur a été plus forte avec
un moindre nombre de pouls, Sc plus petite avec un plus
grand nombre. Réponfe à ces objeétions. Pourquoi la chaleur
a fubftfté plufieurs heures dans certains cadavres, D e la chaleur
des poiffons. Ibid. b.
Chaleur animale. Sa caufe , fes différens degrés , fes effets;
Supvl.1. 753. b. C e que les anciens entendoient par chaleur
innée. III. 564. a. Feu v ital que plufieurs anciens & quelques
modernes placent dans le coeur des animaux. V I . 839. a.
Théorie des anciens fur le fo y er du'chaud inné. VII . 263. a.
Chaleur animale indépendante de l’air : degré de cette chaleur
dans l’homme, 318. a. Sc dans les différens animaux. III.
37. b. Chaleur du fang. Suppl. IV . 617. a. 621. b. 72 1. a.
La chaleur propre à l’animal augmente jufqu’à un certain
point à proportion qu’il en reçoit moins du milieu dans lequel
il vit. V I I . 327. a. Il s’engendre moins dé chaleur animale
dans les parties préfervèes du. froid par rhabillement, que
dans cèllés qui y .fontexpofées. 330. b. De la caufe de la
chaleur animale. Cette chaleur 11e peut s’expliquer par l’ame.
XII. <38. a. Caufe de cette chaleur félon Helmoht. V I . 319.
b. La partie rouge du fane paroît fur-tout propre à produire
la chaleur. X IV . 622. b. Il n’eft pas befoin de fermentation
dans le fang pour former & entretenir la chaleur dans le
.corps humain. 614. a. Expérience qui prouve que la caufe
.primitive de la chaleur eft l’aétion des vaifl'eaux. Ibid. b. Les
animaux les plus chauds font ceux dont les vaifl'eaux ont
beaucoup d’élafticité. VI. 601. b. Découverte de la véritable
caufe de la chaleur naturelle dans l’aâion des .vaifl'eaux, &
fur;tout des arteres : importance de cette découverte. III.
567». b. La chaleur du fang caufée par fon mouvement dans
■ les arteres. Suppl. IV . 731. a , b. Effets de la chaleur animale.
Effets de la chaleur fur l’embryon & fur le foetus. Suppl. I.
127. a. Suppl. III. 66. a. 7 1 . b. rfx . a. Les anciens lui attri-
buoient la-coétion des matières nourriffantes 8c des humeurs.
III. 364. a. Elle contribue à la préparation dii chyle Sc des
autres humeurs, mais elle ne fuffit pas feule. 367. a , b.
Comment elle contribue à la digeftion. Suppl. II. 877. b.
La chaleur vitale contribue à difloudre les parties les plus
eroffieres de nos fluides. XI. 286. b. Effets de la.diminution
de la chaleur animale fur les humeurs. Suppl. I. 734. 4. Sur
les folides & les nerfs. 733. a. Si la chaleur contribue au
mouvement du coeur. Suppl. II. 439. b.
Analyfe de l’article Chaleur animale de l’Encyclopédie. V IL
3 22. a , b. Objeétions que l’auteur de cet article oppofe au
fyftême du doéteur Douglas. Ibid. b. Réponfes à ces objeétions.
.323. a ,b . &c. Correéiions faites au fyftême de ce doéteur;
323'. a y b. &c.
Chaleur animale contre nature.. Pour que ce phénomène
foit un figne de maladie, il faut qu’il foit accompagné
de la léfion des fonélions , ou au moins, de-.mal-aile, d’incommodité.
Chaleur générale idiopatique. Chaleur générale
fymptomatique. L ’augmentation idiopatique de la chaleur
générale ne peut jamais être regardée que comme une incommodité
, &c. Confeils à ceux qui font tujets à s’y expofer. Le
fymptome le mieux càraétérifé de réchauffement c’eft la
conftipation ; état d’une rnoindre conféquence qu’on ne
l’imagine. Ibid. b. La chaleur augmentée fymptomatique
générale eft la même chofe que 1a chaleur fébrile. Degré de
la chaleur fébrile. Dans le* froid de la fièvre la peau m
C H A
cependant plus ctaixfc <K? B S M É J ,cl
lobrile ne peut être pouffee au point de çpagiUer le
Autres effets généraux — r-ibu.é..s............ ...c..h3a8BleEuSrB fSéb rile • . #
(lui ne font pas plus à craindre que celui du, fang coagule
ja fievre Ibid. 3 6. a. Si le danger de la chaleur exceilive
11’eft prouvé par aucun effet fenfible, il eft établi-au contraire
<iue ce lymptopie peut acçqmpagner un grand nombre de
maladies ordinairement peu funeftes. S’il eft permis quelquefois
au médecin de redouter cette chaleur, Ce .n’eft que
comme figue d’un vice plus à craindre. Ibid. b. La confidéra-
t:on de la chaleur comme figne , doit entrer dans l’établiffe-
ment régulier du diagnoftic & du prognoflic des maladies
aiguës. Chaleur humide, chaleur fe ch e , chaleur douce &
clialeur âc re , obfervées par les praticiens. L’augmentation
particulière de la chaleur eft regardée par la faine partie des
médecins comme une efpece de fievre locale, Obfervations
fur cette chaleur. Chaleurs particulières paffageres.Ibid. 37. a-
Chaleur fpontance paffagere qu’on regarde comme annonçant
la lièvre heétique. Chaleur brûlante caufée par les
p iroxyfinies de paffion hyfiérique. Cas le plus grave de chaleur
augmentée. Le rapport des malades n’e ft.pas . toujours
un moyen fuffifant pour s’affurerd’une augmentation réelle
de chaleur. Ibid. b. . ,
Chaleur animale contre natufe. V o y e z F ievre, ECHAUFFE-
MENT. Effet de cette chaleur fur la graiffe. VII . 840. a.
Effets de la faignée dans ce cas. X IV . 3 1 2 .« , b.
Chaleur , ( Degrés de ) des différais animaux. Quels font
ceux que nous appelions chauds, Sc ceux que nous. appellons
froids. Les iufeacs font ceux qui fuppqrtent les. plus grands
froids. Exemples qui le prouvent. 111. 37. b. Chaleur remarquable
des abeilles. La chaleur des poiffons eft très-peu au-
deffus de celle du milieu qui les environne. Celle des fer-
pens, des grenouilles, ijes tortues de me r, des crapauds,
«S-f. des hirondelles. Ibid. 38. a. Chaleur des animaux chauds.
Clialeur du corps humain. Chaleur de l’urine. Ibid. b. L’efpece
humaine eft prefque la derniere de la ciafle des animaux
chauds. Degré de chaleur que dpnnent au thermomètre les
quadrupèdes ordinaires. Celle des poiffons cétacés. Chaleur
des oifeaux. Ibid. 39; <j. Voyc^ A nimaux.
" Chaleur des animaux. Expérience de Brauns fur ce fujet.
Suppl. IV . 364. a. ,
' Chaleur, par laquelle un animal en recherche un autre do-
fon efpece & d’un autre fe'xe. L’homme n’a befoin que de
la préfence de l’objet pour reffentir cette efpece de chaleur ,
qu’il peut toujours foumétere aux loix qu’il a reçues pour la
régler. III. 39. a. • . ;
Chaleur, dans les animaux difpofés à l’accouplement. Suppl. 1.
124. b.-- . ... 4 -V
C H A L IG N Y , (M . 'd i ) 'fe s tablés fur la préceffion des
équinoxes. Suppl. W . 919,.,#■ -, .j ','. . .é, .T/iKWiLJ
CH A L IL , (Mufiq. infir. des Hébreux ) efpece de flûte ou
de tambour dont le fervoientles H é b r e u Suppl. II. 3x0. b.
CH A L IN G U E , petit navire dont on fe fertdans les Indes.
Sa defçription. III. 39, •
CH A L 1N I S T E , ( Mythol. ) furnom de Minerve. Etymologie
du mot. Sa ftatuc. III. 39. b.
C H A L L U L A , Clchth. ) poiffon fans écailles, mal décrit
par les voyageurs. Lieux où on le pêche. Qualité de fa chair.
i n . 3 9 .b\ I • ' m . ■ ., I
CH ALO N S , ou Chaulonsffur-Marne, ( Géogr.: ) ville de
la Gaule Belgique de la cité des Rémois. Auteurs anciens
qui en parlent. Evêque de Châlons. Promenade du Jard.
Porte ' dauphine. Académie des fciences Sc belles-lettres.
Cathédrale. Hommes diftingués dont cette ville eft la patrie.
Suppl. II. 310. éi '
Chalon, ou Challon-fur-Saone , ( Géogr. ) état de cette
ville fous les Romains. Monumens de fon antiquité. Les rois
de Bourgogne y ont fait leur féjour. Révolutions de cette ville.
Suppl. II. 310. b. Ses abbayes. Hommes célébrés qui y font
liés. Ibid, n i 1. a.
CH ALO U PE , ( Marine ) petit bâtiment. Son ufage. Elle
v a très-bien à la voile. Dans le cours d’un voya ge elle fe
haie dans le vaiffeau & s’embarque. Proportions de fa longueur
& clé fà largeur avec le vaiffeau auquel elle appartient.
J II.- 39. b. Defçription par figures. Son équipage. Chaloupe
bonne de nage , chaloupe bien armée, chaloupe à la toue,
chaloupe .en fagot. Ibid. 40. a.'
Chaloupe d’un grand vaiffeau, vol. VH. des pl. Marine,
pl. 16. Cordages de la chaloupe d’un vaiffeau du premier
rang. IV . 202. b. Haubans de chaloupe. VII I. 64. a. Maître
de chaloupe. IX. 903. b. Patrons de chaloupes. XH. 183. a.
C H A L Q U E , (Science monét.) inonnoie ancienne d’Athe-
nes. Deux endroits de l’évangile félon S. Marc , où il eft
parlé du chalque. Suppl.il. 311. a.
C H A L U C , ( Ichthy.) poiffon de mer femblable au chabot.
Sa defçription. Il eft peu eftimé comme aliment. IH. 40. a. .
CH A L U C E T , ( Louis Bonnin de ) é vêque'de Toulon.
X V I . 449. b.
CH A L UM E A U , ( Mufiq.') celui des anciens. Inventeurs
C H A fo7
de cet inftrumént. Defçription de notre chalumeau. HI. 40. en.
Il a le fon défagrèable Sc fauvage, Celui dont la longueur eft
moindre que d’un pied peut fonner l’imiffon des tailles Sc du
defllis du clavecin. III. 40. b.
Chalumeau des G r e c s , nOmirié bombysi. Suppl.éM. j j„ ni
Chalumeau, chez les oirfevres,émailleurs, &c. Defcripa
tion & ufage de cet inftrumént, III. 40. b.
C H A L U T , ( pèche ) drague ou rets fraverfier. Dimen-
fions de ce filet. L ’on pêche quelquefois avec ce filet fur huit
à dix brafies de fond. Autrefois les pêcheurs chargeoient lô
bas de leurs chaluts de vieilles favates. Lieux où ce filet eft
en ufage. Defçription de tout ce qui appartient à ce filet*
111. 40. b. On y pêche également le poiffon rond & le poiffon
.plat. Comment on retient dans le fac celui de cette der-*
niere efpece. Comment on fait caler le fond du fac pour le
retenir en état. Ibid. 41. a.
. Chalut à l ’angloiji : defçription de ce filet. III. 41 . a. Teins
de la pêche. Obfervations fur la manoeuvre. Ibid, b.
Chalut, ce filet repréfenté vol. V II I des p lan ch e sa rt ic le
Pêche, pl. 14.
C H A L Y B E S , divers peuples de ce nom. III. 42. a.
CH A L Y B S , fleuve d’Efpagne auquel on attribuoit la vertu
de tremper l’acier. D elà vient qu’on appelloit l’acier chalvbs.
I I I .42. 4. -
CH AM , ( Hiß. fainie ) fils de Noé. Malédiélion qu’il s’attira.
‘Sa poftérité peupla l’Afrique. Culte qu’on lui rendit.
Suppl, II. 31 1. a.
Ch am , ou Kan , prince Tartare. Il n’eft permis qu’au
légitime fucceffeur de prendre ce nom. Pourquoi les princes
Tartares n’ont rien à craindre pour leur vie & leurs biens de
la p a i t du gouvernement. Dignité du grand cham des Kal-
moucs. Dépendance du cham de la petite Tartarie. III. 42. a.
Titre de cham donné en Perfe à certains feigneurs. Dériv ation
du nom de kan. Ibid. b. Voyc^ ce mot.
C H AM A D E , battre ou fonner la chamade, Dérivation du
mot chamade. III. 42. b. .
CH AMÆCER1S E , ( Botan. ) c’eft-à-dire , cerifier près de
terre. Ses noms en différentes langues. Suppl. II. 3 x 1. a. Enumération
de cinq efpeces qui lui appartiennent-Defcription
commune à ces efpeces. Defçription particulière de chaque
efpece. Leurs ufages & leur culture. Ibid, é,
CH AM Æ R O D O D E N D R O S , ( Botan. ) noms de cette
plante en différentes langues. Son caraélere générique. Enumération
de fix efpeces renfermées dans ce genre. Suppll IL
313. b. Leur defçription, culture Sc ufages. Lieux où elles
croiffent. lbïi.% 14. a.
CH AM A R E S , ( Géogr. ) life[ CH AM A V E S . Obfervations
fur ces peuples. Suppl. II. 3x4. b.
CH AM A R IE R , ou C h am b r ie r , ( Hift.eccl. ) c’eft la
première dignité de l’églife collégiale de S. Pau de Lyom
Pourquoi il a été ainfi nommé. III. 43. a.
C H AM A S , Saint-, ( Géogr. ) Suppl. IV . 696. a,
CH AM B E L L AG E , droit qui fe paie au feigneur dominant
pour chaque mutation de vaflal. Origine du terme de cham-
bellage. Autres noms qu’on donne à Ce droit en certaines
coutumes. Il n’eft pas de droit commun. Coutumes où il eft
iifitè. Il eft fournis à différentes réglés félon les lieux. III. 43. a.
Chatnbellage , droi,t que les prélats du royaume payoient
au roi, en lui prêtant ferment de fidélité. Origine de ce droit;
Quelle en étoit la quotité. En quoi il confifte aujourd’hui.
IH. 43. L
Chambellage , droit que la chambre des comptes taxe à la
réception d’un vaflal en foi Sc hommage. Son origine. O r donnance
en 1272 fur Ce droit. I l eft dévolu au premier
huiiïier de la chambre. III. 43. b.
CH AMB ELLAN . Quels officiers on a fubftitués aux anciens
chambellans de ia cour des rois de France, L es rois de P e r fe ,
les empereurs des-,Romains avoient leurs chambellans. III.
43 • b.
C hambellan , (grandi) en France. Sa principale fonéfion.'
Il étoit inférieur au grand chambrier. Diverfes fondions de
fa charge. Marques de fa dignité. Ancienneté de cet office.
On a une fuite des grands chambellans depuis l ’an 1200.
Prérogatives autrefois attachées à cette charge. III. 44. a;
Familles qui ont prérendu qu’elle leur étoit héréditaire
Ibid. b. Armes, du grand chambellan, planch. 18 du blaion,
v o l IL
, Chambellan. Archi-chambellan. I. 612. b. Vxce-chambellan.
X V II . 23 3. A. ' . , , , , -
CH AM B ERI, fontaine remarquable près de cette ville.
V I I 10p. a. Parlement de Chamberi. XII. 31. b.
CHAMBERLAJN , en Angleterre, la même clxpfe que
chambellan en France. Dignité & offices du grand Chamberlain.
Ses droits. Maifons qui ont poffédé ou qui poffedent
cette charge. Chamberlains dans la plupart des cours d’An-
glétèrre. Cette charge eft beaucoup plus étendue en Angleterre
que celle de grand chambellan en France. IH. 44. b.
CH AMB ERS, obfervations fur l’Encyclopédie angloife.de.
Cliambers. I. xx xy . HI. iy . y .