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Code Louis X III. III. 780. a.
Code Louis > on Code Louis X IV . III. 579. a.
Code Louis X V . III. 580. a.
Code marchand, ordonnance du commerce, du mois de
mars 1673. Principaux articles Contenus dans ce code. III.
580. a. Ce tte ordonnance forme une loi générale qui s’ob-
fe rv e entre toute forte de perfonnes , loriqu’elles font dans
les cas prévus par cette ordonnance. Ibid. b.
Code de la marine, ordonnance de Louis X I V , touchant
la marine. Matières traitées dans les cinq livres qu’elle renferme.
III. 580. b.
Code MichaultyOU Marillac, ordonnance de 1629. III. 580.
b. C e qui donna lieu à la rédaâion de ce code. Tems de fa
publication. Eloge de cette ordonnance : objets qu’elle réglé.
Erreur où font tombés fur ce code les continuateurs du dictionnaire
de Moréri. Difgrace de Michel de Marillac & de
fon fr e r e , qui fit tomber l’ordonnance en difcrédit, excepté
en quelques endroits du royaume. Cependant la fageffe de
cette ordonnance l’a emporté peu-à-peu fur la mauvaife fortune
, Ibid. 581. a. à l’exception de quelques difpofitionsintroductives
d’un droit nouveau qui 11’ont pas été reçues partout.
Ibid. b.
Code militaire, compilation d’ôrdonnances pour les gens
de guerre , depuis 1 6 5 1 , jufqu’à prèfent, par M. le baron de
Sparre. Autre code militaire des Pays-Bas. III. 581. b.
Code Néron, recueil d’ordonnances, édits & déclarations,
fait par Pierre Néron & Girard, avocats au parlement. Imperfection
de ce recueil qui eft cependant le plus ample qu’on
ait. Comment on peut luppléer à ce qui lui manque. XII. 581. b.
Code noir, édit de Louis X I V , pour la police dés ifles
françoifes de l’Amérique. Pourquoi on l’a nommé code noir.
III . 581. b. Matières que traitent les foixante articles qu’il
renferme. Ibid. 582. a.
Code noir y difpofitions de c e code. V . 941. a , b. &c.
Code Papyrien. A quelle occafion Papyrius le compôfa.
Tems où il vivoit. III. 582. a. Auteurs qui ont travaillé à
raffembler les fragmens qui nous relient du code Papyrien.
Ouvrage de M. Terraffon. U rapporte quinze textes de lo ix , &
vingt-une autres loix dont on n’a que le fens. C e que ces
lo ix portent en fùbftance./éù/. b. Soins que M. Terraffon a
donnés à cet ouvrage, pour en faciliter l’intelligence. Ces
lo ix font en langue ofque, qui étoit celle des peuples de la
Campanie. Differtation de l’éditeur fur cette langue. Ibid.
j s 3- “ ■ m
Code Papyrien y fautes à corriger dans cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. IL 486. b.
Code pénal, traité donné en 17-52, par un anonyme. Contenu
de cet ouvrage. III. 583. b.
Code Pontchartrain. III. 583. b.
Code des privilégiés. III. 583. b.
Code rural; il parut en 1749. Son auteur. Matières qu’il
traite. III. 583. b.
Code Savary, furnom que quelques-uns ont donné au code
marchand. Origine de ce furnom. III. 583. b.
Code du tabac. III. 583. b.
Code des tailles. III. 583. b.
Code Le Tellier.III. 584.a .
Code Théodofien, colleélion des conftitutions des empeleure
chrétiens, jufqu’à Théodofe le jeune. Il ne nous eft rien
relié des loix faites par les empereurs, jufqu’au tems d’A drien.
Le premier Code fait par ordre du prince eft le Théô-
dofien. Diverfes conftitutions faites par Théodofe le jeune.
Sa fceur Pulcherie avoit le plus de part au gouvernement.
Motifs qui donnèrent lieu à la rédaélion & publication de
fon code. Jurifconfultes qui furent chargés de le former. Il
fu t divifé en feize livres. Sommaire de chacun. III. 584. a.
Novelles faites par l’empereur pendant les dix années qui
Suivirent la publication de fon code. Défauts 8c contradictions
qui fe trouvent dans le code. Efpace de tems pendant
lequel il fut obfervé. Ibid. b. A quoi on peut attribuer la
fuppreflion de ce code qui avoit été répandu par toute l’Europe
, 8c qui fe perdit tout-à-coup en Occident. Comment
on a tâché de le rétablir en fon entier. Divers auteurs qui
y ont travaillé. Il n’eft pas douteux que le code Théodofien
a été autrefois obfervé en France. Tems où il perdit fon
autorité. Comment M. Brétonnier a prétendu prouver qu’il
n’a jamais ceffé d’y être obfervé. Ibid. 585. a. C e paradoxe
révolta contre lui tout le palais, 8c fut réfuté par M. T e r -
xaffon le pere. Ibid. b.
Code Théodofien y voyeç IV . 992. b. V . 139. b. 140. <z. O b servations
fur une prétendue loi de ce code tendant à augmenter
la jurifdiétion eccléfiaftique. IX. 76. b.
Code de la ville. III. 385. b.
Code, voiturin. III. 585. b.
Code de la voirie. III. 585. b.
CO-DEBITEURS. ( lurifp. ) Les co-débiteurs ne font pas
obligés folidairement, à moins que la folidité ne foit exprimée
dans l’aéle. Ils font appelles en droit : Çorrei debcndi fiye
promittendï. IIJ, 585. *.
C O -D É C IM A T E U R , ( Jurifp!) à quoi font tenus les co-dé*
cimateurs qui jouiffent des groffes dîmes. III. 586. a.
CO -D ÉT EN T EU R S , ( Jurifp. ) réglés de droit qui les concernent.
III. 586. a.
C O D I A V A N A C U , (Bo t. ) plante du Malabar. Ses différons
noms. Suppl. II. 486. b. Defcription , culture 8c ufages
de ce fous-arbriffeau. Caraéteres quile diftinguent de la plante
que Burmann appelle chamcelcea. Ibid. 487. a. Claifification de
l’une 8c de l’autre. Ibid. b.
C O D IC IL L A IR E , c M III. 514. a.
C O D IC IL L E , (Jurifp.) différences dans cette forte d’actes
, félon qu’ils font faits en pays de droit é cr it, ou en pays
coutumier; en quoi ils different des teftamens. Réglés que
l’on fuit pour les codicilles en pays de droit écrit. D ’où v ient
le mot de codicille. III. 586. a. C e qu’on entend par codicillant.
L ’ufage des codicilles étoit moins ancien chez les Romains, que
celui des teftamens. I l ne fut point permis d’abord de faire
des legs par codicilles. L e droit romain ne permet point
d’inflituer un héritier, ni d’exhéréder par codicille. Les codicilles
peuvent concourir avec un teftament, fubfifter fans
lu i , le précéder ou le fuivre.T ro is fortes de codicilles distingués
dans le droit romain. On ne doit pas prendre à là
lettre quelques textes qui difent que les codicilles ne demandent
aucune formalité. C e qu’on doit obferver pouf la
validité du codicille. C e que prefcrit, touchant les codicilles,
l’ordonnance des teftamens. Ibid. b. En pays de droit écrit
les difpofitions faites par codicille ne faififfent point, mais
font fujettes à délivrance. En pays coutumier, la forme des
teftamens 8c celle des codicilles eft la même. Codicilles militaires.
Capacité .qu’il faut avoir pour faire un codicille. Ibid.
587. a. Traité à confulter fur la matière des codicilles.
Ibid. b.
C O D IG I , (Bot. ) plante du Malabar. Ses différens noms.
Sa defcription. Lieux où elle croît. Maniéré de la claffer.
Supjjl. II. 487. b.
C O D I V I , ( Bot. ) nom brame d’une plante du Malabar.
Ses différentes dénominations. Suppl. II. 487. b. Defcription,
culture, qualités 8c ufages de cette plante. Sa claffification.
Ibid. 488. a.
• C O -D O N A T A IR E S , ( Jurifp. ) le donateur p eut les affo-
c ie r , foit par un même aéte, foit par des ailes féparés, &c.
n i. 587. b.
C O D U V O , (Bot. ) nom brame d’un arbre du Malabar. Ses
autres noms. Defcription. Suppl. II. 488. a. Cu ltu re, qualités
8c ufages de cette plante. Maniéré de la claffer. Ibid. b.
COE C A L E S , arteres ,(An a t. ) Suppl. III. 909. b.
CO E CH , ( Pierre ) graveur. V i l . 887. b.
COE C IT É , ( Phyfiol. ) réflexions de Milton fur la perte
de fa vue. Caufes internes de la coecité. III. 587. b. Caufes
externes. Caufes particulières à certains peuples 8c à certaines
perfonnes , félon leur état 8c profeflion. Avis aux gens qui
lifent 8c qui écrivent long^ems de fuite. Ibid. 588. a. C aufe
de la coecité dans la vieilleffe. Différentes efpeces de coecité
qu’on peut guérir ; favoir lafymptomatique , celle qui eft p roduite
par la fuppreflion d’un ulcéré ou de toute matière morbifique
, portée par la circulation dans le cerveau. Celle qui
eft caufée par l’altération du cryftallin, 8c enfin par des
vapeurs de Lieux fouterreins. Efpeces de cçecités incurables.
Ibid. b.
Coecité, réflexions philofophiques fur la coecité. I. 870. *.'
Ses caufes : aveuglemens périodiques. 873. b. Efpece de coecité
qui a lieu dès que le foleil fe couche. XI. 291. a , b.
COE C U M , ( Anat. ) pourquoi le premier des gros inteftins
appelle de ce nom. Sa fo rme , fa fituation , fes dimenfions r
bandes ligamenteufes , tuniques de cet inteftin. U fage du cæ cum.
III. 588. b. Appendice appelle vermiculaire ou vermiform»
qui fe trouve fur le côté au fond du cæcum. C e qu’on
penfe fur fon ufage. Pour connoître la ftruéture de cet appendice
, il faut s’en inftruire fur le cadavre. Diverfes obfer-
vations fingulieres fur le cæcum 8c l’appendice vermiculaire.
Ibid. 589. a.
Cæcum, defcription de cet inteftin. VIII. 841. b. Suppl. IL
613. b. Suppl. III. 636 .a t b. Parties qui appartiennent à cet
inteftin, voyer_C oeCALE.
CO ÉF FAG E. D u coëffage des rqmaines. X V I . 382. b , 8cc.’
767. a.
C O E F F E , ajuftement de femmes. III. 589. a. Comment les
'coëffes étoient compofées autrefois. Divers noms qu’elles
prennent félon leur forme. Voye[ C o ef fu re . Ibid. b.
CQEFFE à perruque. III, 589. b.
C oef fe , en anatomie. Vertus que les avocats attribuoient
autrefois à ces coëffes. Les canons en ont défendu l’ufage. III.
5 89. b.
Coéjfe, pourquoi quelques enfans naiffent coëffés. I. 83. b.
Préjugés attachés à cette coëffe. 365 .a.
C O E F F É , terme de chaffe, de draperie , de manege
8c maréchallerie. III. 5 89. b.
COEF FER y fe y ( Mar 'vie ) çn quç\ feos on le dit des voiles.
11 1.58 9.*. ' !
C d U C OE U 339
C oef fer un livre, terme de relieurs : comment fe fait
cette opération. III. 5 90. a. , I , , n
C o ef fer, ( Fera) terme de marchands de modes. Comment
ces fers étoient anciennement. Defcription 8c ufage
de ceiix du teins prtfent. III. 590. a.
COEFFEUSES chez les Romains. X V I . 382. b.
CO EF F IC IEN T , ( Algeb. ) ce qu’ôn entend par-là. Lorf-
qu’une lettre n’eft précédée d’aucuri nombre , eue eft cenféè
avoir 1 pour coëmcient. Différence entre le coëfficient 8c
l’expofant. Dans une équation ordonnée, le coëfficieiit du
fécond terme eft la fomme de toutes les racines : Coëfficient
du troifieme terme, du quatrième terme, dans la même
équation ordonnée. D e la méthode des coëfficiens indéterminés.
En quoi elle confifte. III. 590. a.
Coefficient.’ Les propofitions connues fur les coëfficiens des
équations , fervent quelquefois à démontrer, d’une maniéré
fimple 8c -élégante, des propofitions de géométrie. V . 849.
a. Coëfficiens indéterminés. Suppl. III. 572. b.
CO E F FU R E , ( Marchande de modes) variations que cette
partie de l’ajuftement des femmes a fubies dans tous les
tems. Nous n’avons point les noms des coëffures des anciennes
Romaines. Diverfes fortes de coëffures en ufage aujourd’hui
félon les états 8c les conditions. Détails fur les coëffures
à quatre barbes. Coëffures à bavolet. Garnitures de rubans
pour les coëffures. Coëffures qui étoient en ufage il y a quarante
cinq ans.III. 590. b. Petites coëffures d’aujourd’h u i,
( 1753. ) Coëffures encomete. lbid. ^ i . a.
Coëffures. Celles des dames romaines , repréfentées v ol. I ,
des planches, article Antiquités. Ancienne coëffure , nommée
chaperon. III. 177. b. Coëffure coloffale des dames
françoifes du quinzième fieele. VII I. 13 1. a , b. Autre appellée
font ange. Ibid. b. Coëffures, pièces de toilette. Suppl. III. 754.
b. Coëffure de nos foldats. VII I. 10. a.
CO EH O RN , ( Baron de ) fon fÿïlême de fortification;
V I I . 200. b. Voyh^ les planches de fart militaire , vo l. I des
planches.
COE L IAQ U E , ( Attatom. ) defcription de l’artere qui porte
Ce nom. III. 591. a.
C oel iaq ue , ( Anat. Phyfiolog. ) artere très-confidérable
du bas-ventre. Defcription très-détaillée de ce vaiffeau 8c
de fes ramifications. Suppl. II. 489. b.
C oel iaq ue , ( Médec.) affe&ionou paflion coeliaque. Arétée
eft le premier des Grecs qui en a donné la defcription. D ifférence
entre cette maladie 8c celle que Celfe appelle maladie
coeliaque de l’eftomac. La lienterie 8c là paffion coeliaque
ne different que dans le degré. III. 591. a. Diftinélion
trop raffinée que Freind fait entre la paflion coeliaque 8c le
flux chyleux. En quoi confifte la cure de cette maladie./*/*/. *.
COE L1US , mont. X. 678. *.
Coelius y médecin méthodifte. X. 462. a.
COE N A , coena re fia, coena dapfilis, coena acroamatica , explication
de ces expreflions latines. X V . 410. *.
' C O E N D O U , ( Quadrup. ) voyeç CUANDU. Suppl. II. 489. *.
C O E N E , ( Anat. ) étymologie du mot. Dans quelles fortes
de maladies la coëne fe forme fur le fang qu’on a tiré. III.
59 1. *. Pourquoi les médecins lui ont donné le nom de
croûte pleurétique. Lorfque le fang ne fort pas horizontalement
d« la v e in e , il ne fe couvre point "de cette pellic
u le , 8c le malade en eft moins foulagé. Autres circon-
ftances étrangères à la qualité du fang qui empêchent qu’elle
ne fe forme. D ivers fentimens fur la caufe de cette pellicule.
L e fentiment le mieux fondé e f t , qu’elle provient d’une
lymphe grofliere 8c vifqueufe du fang, &c. Ibid. 592. a.
Caufe des différentes couleurs qui fe trouvent quelquefois
fur la fuperficiê du coagulum. III. 592.*. Voye^ COAGULUM.
C O E Q U E , roi des Caftes chococas : étendue de domination
qu’il s’attribue. III. 592. a.
C o eq u e , ôbfervation fur cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. II. 490. a.
C O E R C IT IO N , ( Jurifpr. ) certains officiers de police
ont jus vocationis & prehenfionis, mais non pas celui de
coercition. Différence entre le droit de correction 8c celui
de coercition. III. 592. *.
C O E R L IN , ( Géogr. \ v ille d’Allemagne en Hàute-Saxe.
Sa fituation. Travail des habitans. Suppl. II. 490. a.
CO E S S L IN , ( Géogr.) v ille d’Allemagne en Haute-Saxe. Sa
fituation. D ifférentes obfervations fur ce lieu ..Suppl. II. 490. a.
CO E TH EN , (Géogr.) v ille d’Allemagne en Haute-Saxe.
Réfidence des princes d’Anhalt qui prennent le furnom
de Coethen. Son ancienneté. Ses embelliflemens. Etabliflë-
mens des luthériens 8c des réformés dans ce lieu. III. 490.
a. Société fruélifiante. Qualité du terroir. Bailliage de Coêdien.
Affemblée eccléfiaftique tenue en 1569. Ibid. b.
COE U R , ( Anat.) définition de ce vifcere. III. 592. *. Enumération
8c defcription de fes principales parties. C a p fu le ,
appellée péricarde, qui enferme le coeur. Figure extérieure
du coeur. Sa grandeur, fa fituation. Comment il eft attaché
8c foutenu dans le péricarde. Membrane qui l’enveloppe.
Ses deiyt ventricules. Ibid. 593. a. Le ventricule1 droit n’a
été fa i t , a ce qu’il paroît, qu’en faveur des poumons. Va i£
féaux qui fortent du coeur 8c ceux qui s’y fendent. V a lvu
les des arteres à leur embouchure dam chaque ventricule.
Valvules , appellées tricufpides, leurs' fondions 8c celles
des valvules mitrales. D e quoi eft compofée la fubftance
du coeur. Diverfes couches fibteufes qu’on rencontre dans
la difleélion de cette partie./*/</*. Pouf quoi quelques-uns
regardent le coeur comme un v fai mufcle. D ’autres le regardent
comme un double mufcle. Vaifleaux fànguins qui font
propres au coeur. Ses nerfs. Ses vaifleaux lymphatiques. U fage
du coe ur, fes mouvemens de diaftôle 8c de fyftole. Syftême
abrégé de la circulation. Infeéles qui ont plüfieurs coeurs.
O n a trouvé deux coeurs dans la même perfônrie. O n a
trouvé des Coeurs que des vers avoient rongés. Coeurs velusi
Ibid. 5 94. a. Coeurs qu’on a trouvés renverfés dans le corps.
Les animaux timides ont le coeur plus grand que les courageux.
O s dam le coeur de certains animaux. Autres animaux
dont le coeur p’a qu’un ventricule. Ibid. b.
Coeur. Defcription de ce mufcle. VII I. 271. a. Sac où il
eft renfermé. Ibid. b. Ses oreillettes. XI. 623. *. Son union
avec le péricarde. XII. 356. *. Suppl. IV . 297. *. Utilité
que le coeur en retire. Suppl. IV . 299. <1. Valvules qu’on
découvre dans le coeur. X V I . 827. *. 828. a , b. Ses ventricules.
X V II . 3 1 . *. Bafe du coeur. II. n 6 . a. Accroiffe-
ment du coeur dans le foetus. Suppl. III. 67. a , *. Formai
tion des fibres & Ugamens qui l’attachent au péricarde.
Suppl. I. 129. a. Comment fe fait l’accroiflement 8c le développement
du coeur. 132. *. Difproportion de l’accroiffe-
ment entre la tête , le coeur, 8c les parties inférieures. 13 5.
a. Irritabilité du coe u r , voye^ ce mot. Sympathie entre le
coeur 8c les vifceres du ba»-ventre. X V . 740. a. Sympathie
entre la tê te , l’eftomac 8c le coeur, V . 1006. *. Jeux de la
nature fur ce mufcle. Suppl. III. 55 1. *. 552. a. Coeurs
velus. Suppl. IV . 299. a. Ouvrage de Senac fur le coeur.
Suppl. I. 406. b.
Théorie du mouvement du coeur. Les anatomiftes modernes
ne s’accordent point fur le principe de ce mouvement. Ré-
fiftance prodigieüfe que le fang rencontre dam les arteres
8c que la force motrice du coeur doit furmonter. Lower a-
expliqué d’une maniéré admirable le mouvement de fyftole
8c le doéleur Drake celui de diaftôle. La raifon 8c l’expérience
prouvent que la contraction eft l’état naturel de tous
les mufcles. III. 594. *. Ainfi les mufcles ordinaires n’ ont
d’autre mouvement de reftitution , que celui qu’il? reçoivent
de leurs aiitagoniftes par lefquels ils font balancés. Autre
caufe qui contribue à la contraction du coe ur, les mufcles
intercoftaux 8c le diaphragme, qui aident cette contraction
en ouvrant un paflage au fang dans les poumons : outre
c e la , l’artere 8c la veine pulmonaires fouffrent les mêmes
altérations dans leurs dimenfions fuperficielies, que les bronches
des poumons dans l’élévation 8c la dépreffion des côtes :
8c par ce m o yen, "le fang paffe du ventricule droit dans
le gauche par les poumons. Quant à la diaftôle , M. Lower
l’attribue au mouvement que font les fibres pour fe remettre
dans l’état où elles étoient avant la contraélion. Improbabilité
de cette hypothefe. Ibid. 595. a. M. Cowper l’explique en
comparant le coeur aux pendules des horloges, en ce que
fon mouvement fe fa i t , d it -il, pat le moyen du fang qui
fait l’office d’un poids. Mais il eft aifé de démontrer que ce
poids feroit infuffifant pour dilater le coeur. Sentimens de
quelques phyficiens qui ont cherché dans l’aélion de l’air ,
la caufe de cette dilatation, par le mélange de l'air avec le
fang qui eft dans les poumons : ces fentimens rejettés. Ibid. *:
Q u o i qu’il en fo i t , la maffe de l’athmofphere paroît être le
véritable arttagonifte de tous les mufcles qui fervent à l’infpi-
ration ordinaire 8c à la contraélion du coeur. Développement
de cette hypothefe. Ibid. 596. a. La dilatation 8c la contraélion
des dimenfions extérieures du corps font fi néccffaires à la
vie de l’animal, qu’il n’y en a aucun dans lequel elles ne
fe trouvent. Méchanifine qui répare dans les poiffons le défaut
de dilatation de la poitrine. Difpofition dans le corps des
infeétes, par laquelle le corps s’enfle dans chaque infpiration,
8c fe refferre dans chaque expiration. Le foetus eu le feul
animal qui foit exempt de la néceffité de recevoir 8c de
chaffer alternativement quelque fluide. Objeéiion contre la
doélrine qu’on vient d’établir. Ibid. b. .
Eflimation de lit force du coeur. On peut déterminer la force
du coeur par le mouvement d’un poids qui étant oppofé au
fang , tel qu’il exifte hors du coe ur, foit capable d’en arrêter
le cours. Toute l’aélion du coeur confifte dans la conftruc-
tion de fes ventricules, par laquelle le fang eft preffè 8t
pouffé avec violence dans les paffages qu’il" trouve ouverts.
La force du coeur eftimee à 3000 livres avec laquelle il doit
furmonter une réfiftance de 135Ô00 liv r e s , ce qu’il fa i t ,
félon Borelli, par la force de percuflion. C e fentiment réfuté.
Autre calcul du doéleur K e i l l , pour eftjmer la force d u .
coeur. Ibid. 507. a. Expérience dont il s’eft fervi. Vîteffe
abfolue avec laquelle le fang eft pouffé dans l’aorte?Ibid. *.
Il fuit de fon calcul que la force du cceur eft égale à un