3*6 C I T
•CrTHERON , antre de ce mont. X V . 461. a. Nymphes
qui l ’habitoient. Ibid.
Ç ithero n , ( Myth.) roi de Platée en Réotie. Comment il
réconcilia. Jupiter 8ç Junon. Suppl. II. 446. a.
C I T IA , ( Botan. ) nom brame d’une plante du Malabar.
Scs différentes défignations. Sa defcription. SiippL IL 446. a.
Lieux où elle croît. Ses qualités & mages. Sa claffification.
Ibid. b. . , .
C I T O C T I , {Botan. ) nom brame d’une efpece de calaba
du Malabar. Ses différentes dénominations. Suppl. II. 446. b.
Defcription, culture, qualités & ufages de cet arhre. Obfer-
vations fur quelques erreurs des botaniftes au fujet de cette
plante. Ibid. 447. a. Sa çlafiification. Ibid. h.
C ITO L E , ( Luth.) infiniment de mufique. Suppl. II. 447. b.
C IT O Y E N , deux fortes de citoyens ; les originaires & les
naturaliftes. Les A théniens ont été très-réfervés à accorder la
qualité de citoyens de leur v ille à des étrangers. O11 enre-
giftroit un jeune homrne à l’âge de vingt ans au nombre des
citoyens. Serment qu’il prononçoit. On devenoit citoyen
d’Athènes par l’adoption d’un citoyen & le confentement du
peuple. En quels cas on n’étoit plus regardé comme citoyen.
Conditions qui étoient néceffairps pour conftituer un citoyen
Romain. 1U- 488. b. Dénombrement des c itoyens fait fous Au-
gufte. Différence qu’il y avoir entre un citoyen & un domicilié.
Privilèges dont jouifioit un citoyen Romain. L e nom de citoyen
ne convient ni à ceux qui v ivent fubjugués, ni à ceux
qui vivent ifolès. Le citoyen peut être confidéré & relativement
aux lpix de la fo cié té , & relativement au rang qu’il
occupe dans l’ordre hiérarchique qui y eft établi. Ariftote ne
rçconnoît de vrais citoyens que ceux qui peuvent parvenir aux
grades de magifirature. Ibid. 489. a. Reftri&ion que fait Puf-
tendo rf du nom de citoyen à ceux qui par une réunion première
de familles ont fondé l’é ta t , & à leurs fucceffeurs de
pere en fils. Le citoyen a des droits qu’il fe réferve & dont il
ne fe départ jamais. Il y a des occafions où il fe trouve fur la
même ligne avec l’être moral qui commande à tous. Deux
cara&eres, l’un particulier, l’autre pub lic, fous lefquels cet
être peut fe eonfidèrer. Occafions où il eft juge 8c partie.
Parti auquel s’attachera le citoyen dans le tems de trouble.
Plus les citoyens approcheront de l’égalité, & plus l’état fera
tranquille. Ibid. b. Voÿe^ C lT É , droit de.
Citoyen, différence entre c ito yen, bourgeois & habitant.
IJ. 370. a. Différence entre fujet & c itoyen. X V . 643. a. D u
droit de citoyen à Lacédémone. X V I I . 65 1. b. — 654. a.
Des citoyens Romains. Selon la jurifprudence, un enfant n’étoit
point citoyen du lieu de fa naiffance , mais du lieu de celle
de fon pere. X IV . 34. a. Nombre des citoyens romains,
félon plufieurs dénombremens. V . 738. b. Diftinftion de trois
fortes de c itoyens romains. X I. 59. b. Citoyens de la première
claffe. III. 307. «. T rois fortes de nouveaux citoyens que les
Romains diftinguoient. X V I . 625. a. Tribus dans lefqueiles ils
étoient diftribués. Ibid. L e droit de citoyen romain recherché
des peuples d’Italie. X IV . 156. b. - Obligations & droits du
citoyen. X V I I . 856. a , b. Liberté du citoyen. IX. 472. a.
Cas qu’on feifoit dans les républiques anciennes de la vie des
citoyens. V . 34a. a , b. La vie & les biens des citoyens ont
été des objets de la plus haute importance, fous les gouver-
nemens qui fe font diftingués par leur fagefle. X V IL 864. a.
Comment la mauvaife volonté des chefs anéantit les droits
des citoyens fans paroître les attaquer. V . 342. b. Principe
des devoirs du citoyen. X V I I . 178. a ,b .
C ITR O EN V IS CH , ( Ichthy.) poiffon des iftesMoluques.
'Auteurs qui en ont donné la figure. Sa defcription & fes
moeurs, Ufages qu’on en tire. Sa claffification. Suppl. II.
448- a-
C I T R O N , ( Chym. Mat. mèdic. ) à quelle claffe de fubfian-
ces végétales le fuc de citron doit être rapporté. III. 491. b.
I l eft employé à titre d’acide & comme précipitant dans
certaines teintures, 8c à exalter certaines couleurs. Ses ufages
à titre d’aUment. Propriétés médicinales de ce fue. Le feorbut-
de mer eft guéri très - promptement par l’ufage des citrons:
cette demiere propriété mife en doute. Maniéré dont les
apothicaires confervent le fuc de citron. Préparation du fyrop
de limon. Ibid, 492. a. Les Allemands 8c les Anglois emploient
l’acide du citron combiné avec différentes matières alkalines.
Attention que doit avoir le médecin en preferivant le fyrop
de citron dans les mélanges. Teinture d’antimoine préparée
avec lç fuc de citron. Goût 8c propriétés de l’écorce de ce-
fruit. Préparation du fyrop de. cette é c o r c e , connu fous le
nom de. jyrupus fia-vedinum citai. Huile effeptielle de citron :
fes propriétés. Ibid. b. Propriétés de l’eau retirée par la coho-
hation des écorces, de citron. Eau connue fous le nom d’efprit
dp cjfron. Eau fans pareille. Propriétés? de l’écoree blanche
de .citron, Ufages médicinaux des graines de citron. Ufage,
du citron dans les tifannes royales. Celui qu’on en fait dans
les tems. de peûe. Celui qu’on peut faire des différentes confitures
de citron.. Préparation d’un éleftuaire , connu fous lé
nom de tablettes,purgatives de citjrpn, Ibid. 493. a. Son ufage
a été abandonne. Ibid, b.
C I V
C IT R O N N E L L E , ( Botan. ) méliffe des jardins. X . 317. a.
Defcription de la grande citronnelle. Suppl. I. 562. a.
C IT R O N N IE R , caraéleres de ce genre de plante. Définition
tirée de Virgile. III. 489. b. Le printems fe confond
avec l’automne dans cet arbre admirable. En quoi il différé
de l’oranger : ce qu ’en dit Virgile. Georg. II. 131. Sa defcription
: celle de l’arbre, des feuilles, des fleurs, des fruits.
Ibid. 490. a. Son origine : divers lieux où on le cultive. Ses
efoeces. Les botaniftes en diftinguent une dixaine : la plus
eftimée. Son ufage chez les Romains : en quel tems il commença.
Il y a des citrons qui font en même tems oranges.
Ibid. b. Citrons en forme de main. Citron appellé main dé
dieu par les Chinois. Citron qui naît enfermé dans un autre.
D ji bois de citronnier des anciens. L ’ufage de ce bois étoiç
très-rare & très-eftimé à Rome. Prix énorme de certaines
tables faites de ce bois. Promeffe que fait Horace à V énus de
la part de Maximus, de dreffer une ftatue à la déeffe dans
un temple de bois de citronnier. Bois almugim dont il eft
parlé dans l’écriture. Divers fentimens fur ce bois. Ibid. 491. a.
Auteurs anciens 8c modernes qui ont traité du citronnier.
M. Geoffroi a enfeigné le procédé de tirer le fel effentiel du,
citro n , & celui d’en tirer l’huile effentielle. Ibid. b.
Citronnier, efpece appellée pommier d’Adam. XIII. 7. a.
Autre dite cédra. H. 796. b. Comment on tire J’huile effen-
tielle des citrons. VII I. 334. b.
C IT R O N V IS C H , ( Ichthy. ) poiffon des Moluques. Caractères
qui le diftinguent du citroinvifeh. Sa claffification. Suppls
I I .4 4 8 .4 . .
C IT R O U IL L E , defcription de cette plante. Ufage de fon
fruit. Lieux où elle croit. Defcription de celle qu’on appelle
pepo oblongus. III. 493. b. Cette plante eft devenue tfès-
commune dans nos jardins, &c. Ibid. 494. a.
Citrouille, efpece appellée bonnet de prêtre. II. 323. a.
C itrouille , ( Mat. méd. ) fa femence eft une des quatre
femences froides. Propriété de l’huile qu’on en retire. III.
494. a.
C itrouille, {D ie te) comment on la prépare. Propriétés
de cet aliment. Pain fait avec fe pulpe. I l f 494. a.
C I T T A , di Cajlello, autrefois Tif ërnum tiberinum. X V I .
326. a.
C IT V IS C H , ( Ichthy. ) poiffon des Moluques. Auteurs
qui en ont donné la figure. Ses différens noms. Suppl. II.
448. a. Sa defcription & fes moeurs. Ufages auxquels on
l’emploie. Maniéré de le claffer. Il ne doit pas être confondu
avec le chietfevich. Ibid. b.
C IV A D IE R E , ( Marin. ) voile du mât de beaupré. Son
ufage. III. 494. fl.
C IV E 01 1 Civette, {Jardin.) trois efpece®. Sa racine. III.
494. a. fe feuille, fes fleurs. A quoi on l ’emploie. Sa culture.
Ibid. b. .
C IV E L L E , {P êche) petit poiffon. Ufage qu’en font les
pauvres gens. Tems & maniéré de faire Cette pêche. K l.
494. b.
C IV E T T E , ( Zoolog. ) à quel genre appartient cet animal;
Pays que la civette habite. Divers noms qu’on lui a donnés.
Étymologie du nom civette. III. >494. b. Defcription anatomique
de cet animal. Dans quelle partie s’amaffe la matière
odorante que les Arabes appellent flibet. Ibid. 495. a. L ’odeur
de cette matière fe eonferve. Elle eft aufti répandue partout
le corps de l’animal.. C e quç Pline dit des y eu x de l ’hyene,
qui paroît être le même animal que la civette. Belon a prétendu
que la civette & l’hyene des anciens ne font point des
animaux différens. Particularités fur le fec où la civette porte
fon parfum , Ibid. b. 8c fur le parfum lui-même. Autres animaux
, qui comme la civette ont Une poche pour y contenir
un parfum particulier. Ibid. 496. a.
Civette; {Hifl. nat. quadrup. ) voye1 vol. V I des planch.
Hift.nat.pl. 12. Carafteres qui diftinguent cet animal duziber.
Suppl. II. 448. b. Combien Linnæüs a été embarraffé pour
placer la civette dans fe méthode. Ses variations fur ce fujet.
Claffification de la civette & du zibet. Ibid. 449. a.
C ivette, {Mat. méd,.) propriétés d e là matière balfemi-
que de cet animal. Maniéré de l’employer. Préparations où
elle entre. III. 496. a. Cho ix de la meilleure qualité. D ’où
il faut fe la procurer. Prix auquel on la vend. Ibid. b.
CIVIERE . Machine à porter des ferdeaux. Defcription.
Ouvriers qui s’en fervent. III. 496. b. Voye{ Bar.
• C IV IL , (Jurifpr.) droit civil. Corps civil. III. 496. A
Loix civiles. Le terme civil eft quelquefois oppofé à canon.
O n dit quelquefois le droit civil par oppofition au droit
coutumier. Civil eû encore oppofé à criminel: Jouir des effets
'c ivils. P a r tie , conclufions civiles , intérêts c iv ils , &c. Ibid.
497-m a;
Civil, divers ufages de ce mot. Action civile. I. 123. a.
Année civile. 387. d. 388. a , b. Code civil. III. 571. b. Contrat
civil. IV . 124. b. Dépôt civil. 865. a. Droit civil. V . 123. b.
Effets civils. 406. a. Exception civile. VI. 219. a. Intérêts
civils.. VII I. 824. b. Juge civil. IX. 11 . b. Jurifdiâion civile,
74. b. Juftice civile. $4. a. Lieutenant civil. 505. b. Des lojx
C L A
fciviïes. 6 *4- L H * b‘ civi1®- T74- *• k f l
Obligation civile. 304- Office civil. 418. b. Greffier civil
«lu parlement. XII. 1 1. b. Tournelle civile aq parlement de
Paris. 29. b. Partie civile, 103 .b . Peine civile, a.46. b. Poffef-
Jion civile. XIII. 165. b. Procédure civile. 404. a. Procès
civil. Ibid. Requête civile. X IV . 162. b. Société civile. X V .
359. a , b. Tems civil. XVJ. 96. a. Teftament civil. 192. b.
Tradition civile. 510. a. V ie civile. X V I I . 254. b. 237.b.
" , honnête , affable , gracieux , { Synon. ) XII.
■ *79* f f îÈ : ■ , { Jurifpr. ) civilifer une affaire ; rendre civil
un procès qui s’inftruifoit comme criminel : ce que dit là-
deflus l’ordonnance de. 16 70, titre 20. Lorfque les charges
paroiffent lé gè res , on renvoie quelquefois les parties à
l ’audience , &c. III. 497- ^ I I . . TTt
Cmlifer ; procédure civilifée , procès civihfè. X l l l .
^ C IV IL IT É , politeffe, affabilité. Différences & rapports
entre ces exprefiions. Définition de chacune de ces qualités.
III . 497. a. Montaigne cité fur ce fujet. La civilité cérémo-
nieufe eft fatigante & inutile. Eloge de la vraie civilité.
Quelques légiflateurs ont voulu que les maniérés repré-
fentaffeot les moeurs. Réglés de la civilité chez les Chinois.
Ibid. b.
Civilité, différence entre la politeffe & la civilité. V. 4 16. a.
Différence entre la politeffe, la flatterie & la civilité. XII.
016. a. . n
C IV IQ U E , ( Couronne) celle que les Romains accordoient
à ceux qui avoient feuyé la vie à un citoyen. III. 497. b.
Voyc^ C o ur o n n e . Elle fut accordée à Augufte & à Cicéron*
Ibid. 498. fl.
C IV IT A T U R C H IN O , ( Antiq. £ Italie) montagne à trois
milles, au nord de C arneto. Suppl. II. 449. a. Sa defcription.
Appartenons fouterreins qu’on y a découverts. Antiquités
qu’on y trouve. Peintures 8c inferiptions. Ibid, b. V rye£ pl. I V .
d ’antiq. Suppl.
C i v i t A , autrefois Teanum. X V L 1. a.
C I V IT A S , ce qu’on entendoit par ce mot. X L 747 . a.
C IV O L I , {Ludovico) peintre. V . 318. b.
C L
C iv il , po li:
004. fl. Suppl. I
CIVILISER
C L A IE , ufage qu’on en fait dans le jardinage pour paffer
les terres. Claie fur laquelle on traîne par les rues ceux qui
fe font défaits, &c. I Il. 498. a.
Claie , paffer à la claie. XII. 14Q. a»
C l a ie , {F o r tïf.) III. 498. a.
Claie portative derrière laquelle les archers tiroient, XII.
193. b. dont fe couvroient les affiégeans. Suppl. IV . 238.%».
yClaie , dont fe fervent les bergers. U L 498. L
Claie, en terme d’orfevre. Defcription & ufage. III.
498. b. „
C L A IN , {Jurijpr.) diverfesfignifications de ce mot. Clain
& arrêt. Clain de cerquemenage. Clain de dégagement. Clain
de rétabliffemeut. Clain de fimple feifine. 111. 498. b.
C L A IO N N A G E , {Maç. b Jardin.) utilité de ce travail;
Comment il fe fait. III. 498. k.
C L A IR , {L ogiq .) notion claire. XI. 232. b. Penfée claire.
XII. 309. b. Voyez C.LARTÉ.
C l a ir , Saint- ( Géogr.) Suppl. IV . 697. a.
C l a ir -o b s cu r , ( Peint. ) importance de la connoiffance
de la lumière. C e qu’on entend par l’incidence des hunieres.
L ’incidence des lumières forme, le peintre à fuivre les loix
de la perfpeétive , au lieu que le clair-ohfcur dépend absolument
de l’imagination du peintre. C e qu’on entend par
clair 8c par obfcur. III. 499. fl. T ro is moyens conduifent à la
pratique du clair-obfcur. i 9. La diftribution des objets. Expli*
cation de ce que Titien appelle la grappe de raifoi. x°. Le
corps des couleurs. 30. Les accidens. C e qu’on entend par un
deftin de clair-obfcur. III. 499. b.
C la ir -o b s c u r , ( Peinture) l’intelligence du clair-obfitur
confille dans l'habileté à choifir les couleurs locales , claires
ou fombres, les plus propres à renforcer ou à mitiger félon
le b efo in, les. jours oc les ombres naturelles. — Il ne feut
pas confondre le clair 8c l’ohfcur». qui. dépend des jours 8c
des ombres, avec le clair-obfcur, qui ne. dépend; que des
couleurs locales, quoique, ces deux choies très - differentes
puiffent produire un même effet. SuppU II. 43Q. a. Etude que
doit faire le peinne pour acquérir l’intelligence du. clàir-
obfcur. L e s graveurs ont aum trouvé l’art d’exprimer les
couleurs locales, tantôt claires, tantôt fombres, tantôt douces y
tantôt tranquilles. Ibid, b,
Clair-obfcur. La partie du-coloris,, qui comprend auifi celle
du clair-obfcur , eft une des plus, effentielle* d® la peinturai
HI. 638. b. Leçons de clair-ohfcur que le Titien, tirait: d’une
grappe de raifin. V i l . 860. fl. .
C L A 1R A N G U E , grattes o u verveux emmanchey {R iche)
Infiniment pour la pêche. Q ù fei pratique la pèche; de la
clairangue. III. 3.00. a. .
C L A 327
B ÇLAIRAUT . ( A le x is ) fc géométrie. V . 45*. b. ÈléOten*
dtfgebm île ce t alitent. Ibid. Théorie for k figure tle k
terre. V I . 757. a , i . Mémoire fur 1a confentation ries forces
Vives. V II . 1 13. b. Ses ouvragés aftronomiques. Suppl. I.
6 6 j . a. Tables du m ouvement de la lune. IX.733. b. Recher*
çhes fur les moyens de conftruire un télefeope dioptrique
ecromatique. X Vl. 49, a , b. Ses formules pour la courbure
de fes verres. Suppl. III. 814. a,
C L A IR E , ( Religieufes de fdinte ) commencemens d e Cette
communauté : leur réglé : on les diftingue aujourd’hui en
Damianiftcs Ôc en Urbaniftes. III. 300. a.
Claire , ( Sainte ) obfervations . fur cette fainte. X .
683. b.
r LAIRÎ* ( Chym. 6» Docim.) cendré d’os calcinés,
Ufage qu on en fait en docimafie. Avantages de la claire.
Comment on fait calciner les os ou arrêtes, & on les leffive.
III. 300. a. Inftruftions fur la maniéré de s’en fervir, Ibid, b.
CL AIR É E , ( Rajin. ) paffer la clairée. X ll. 140. a.
C L A IR E T , ( Pkaratac. ) différentes fortes de vins clairets.'
Quelques-uns fubftituent au vin dans la compofition des
clairets, l’eau-de-vie ou refprir-de-vin. III. 300. b.
Clairets , Tles ) maifon de rehgieufes, &c. 111.300. b.
C L A IR E V O I E , différens ouvrages faits à claire-voie.
III. 300. b.
C LAIR IERE ou Clariere , ( Econ. rufllq. ) moyen de
remédier aux clairières dans les endroits aquatiques. Voyet
B o is . Comment on y peut remédier dans les autres expo-
fitions. Comment les baliveaux donnent lieu aux clairières.
Suppl. II. 430. a.
C L A IR O N , {Luth. ) cet infiniment fut en ufage chez les-
Mores , qui le tranfmirent aux Portugais. III. 301. a.
Clairon \ jeu d’orgue. III. 30t. a.
Clairon y pédale de clairon. XII. 23?. b.
Clairon\ { Blafon ) IIL 301. a.
Clairon , (Madcmoijelle) e fpece d’applaudiffement qu’elle
reçut d’un fpeciateur. IV . 684. a.
C L A IR V O Y A N T " , éclairé, {Synon. ) V . 269. b.
C L AM E R , {Jurifpr.) divers fens & ufages de ce mot;
HI. 301. b.
C L AM E U R , {Jurifpr. ) divers fens de ce mot. Clameur
de hourfe, clameur de bourfe gagée, clameur à droit conven
tionne l, clameur à droit de lettre lue. IIL 301. b. Clameur
fauffe ; forte clameur ; clameur de gage plege, clameur
gagée ; clameur de haro ; origine de cette expreflion ; premier
exemple mémorable de l’ufege que l’on feifoit de cette clameur
de haro ; la même clameur de haro faite contre Henri V *
roi d’Ang leterre, lorfqu’il affiégeoit Rouen. Claufe des ordonnances
, 6*c. Nonobftant clameur de haro. HL 302. a. C e que
l’ancien coutumier de Normandie dit du haro. Extenfion de
la pratique du haro au-delà des cas prononcés par la coutume.
Sur la maniéré d’intenter le haro. A quoi chacun étoit obligé
lorfqu’on criojt haro. L a clameur de haro ne peut être intentée
qu’en Normandie, &c. Ibid. b. Par qui & contre qui elle peut
l’être. Effet du haro. A qui en appartient la connoiffance.
Comment la clameur du haro tombe en péremption : le juge
du haro doit prononcer une amende contre l’une ou l’autre
des parties. Les parties ne peuvent tranfiger dans cette matière.
Recueils 8c ouvrages à confulter.
Clameur lignagere ou clameur de bourfe. III. 303. a. Clameur
de loi apparente;, clameur feigneuriale ; clameur révo-
catoire; clameurs ou rigueurs; ouverture de clameur; clameur
du petit feel de Montpellier; clameur pour dettes. Ibid. b.
Clameurs , décime des , IV . 670. b.
Clameur , cri, ( Synon. ) IV . 461. a.
C L AM P , gaburon, gemelle , ( Marine ) clamp ou clan de
mât ; clamp de beau-pré. n i . 303-. b.
C L A P E T , ( Médian. ) efpece de foupape feite d’un rond
de c u ir , &c. Defcription 8c ufege. III. 304. a.
C L A P IE R , {Econ. ruft. & Chaffe) terrein clos où l’on
nourrit des lapins. Détails fur tout ce qui concerne la conf-
truftion d’un clapier, & fur la maniéré d’y élever les lapins;
III. 304. a.
C L A Q U E S , ( Cordonn. ) maniéré de les travailler. Suppl. IV .
814. b.. 813. V
C L AQ U E BÔ IS , ( Luth. ) infiniment de per-euffion & à
touches; IL a été en ufage chez les Flamands. III. 304. a.
Defcription de cette efpece d’épinette ; manierode s’en fervir.
Ibid. b. . .
C l a q u e b o is , {Luth. ) voye{ vo l. V desplanch. de Luth,
planch. 1.
C L A R AM O N T , poudre de. X V I . 180. b.
CLARENGIEUX ou Clarence , ( Hifl. mod. ) nom affefté
au fécond col ou héraut-tfarmes- d’Angleterre. Création de
ce héraut: par Edouard IV . Son office. III. 304. b.
C LAREN IN S, ancienne congrégation de l’ordre de S*
Franço is , &c. Ses commencemens, fes révolutions. IH,
____
C L A R IC O R D E , ( Luth. ) inftrument de mufique; Voye£
M an l c o r d e , C l a v ic o r d e , 8c Suppl. U. 829. b»