156 BAT
Voyez Mortier 6> Bombe. Inftroô'ron de M. Camus des
To uch es , pour le fervlce d’un mortier de douze pouces, a
un ficge. Ibid. 150. b. Les petits mortiers fe fervent à proportion
comme celui de douze pouces. Ceu x à grenades font
fervis par un feul homme ; à l’égard du pierrier il ne faut
que trois -hommes. Différence qu’il y a de fon fervice a celui
du mortier. Récapitulation des différentes fondions des cadets
bombardiers 8c foldats, dans l’exécudon du mortier de
douze pouces. . .
B A T T E R IE à ricochet. On tire le canon a ricochet lori-
qu’on le charge d’une quantité de poudre capable feulement
de porter le boulet vers le commencement des faces des
pièces attaquées. Effet qui en réfulte. Ce s batteries ont été
inventées par M. de Vauban. C e qu’il prefcrit touchant ces
batteries. II. 15 a. a. Leurs propriétés dans les commence-
mens d’un fiege. Voysi Ricochet. Après ces batteries , il
n’en faut point d’autres que celles du chemin couvert.
Ibid. b. Elles font toutes de même efpece ; mais elles ont
différens ufages. Difpofition &• ufage des premières én
ordre ; des fécondés. Les bombes peuvent aufli fe tirer à
ricochet. Relation des expériences faites à ce fujet par les
commandans de l’école d’artillerie de Strasbourg , en J 7 £3-
Grands avantages d’une telle batterie. Ibid. 153. a. Differentes
dénominations des batteries. Batteries en rouage,
enterrées, dire êtes, de rev e r s, en écharpe , d’enfilade , croi-
fées. Ibid. b. ■. ■ '
Batteries , ( Marine ) nombre & difpofition des batteries
d’un vaiffeau. II. 154. a. .
Batteries fur-les côtes, ( Art milit. Fortifie. Artill. ) deftinées
à la défenfe d’un p o r t , d’une rade , ou de quelque partie
abordable par l’ennemi. Suppl. I. 829. *. Obfervation fur
leur nombre , leur emplacement, leur direélion, leur conf-
truélion & leur armement. — Exemples qui montrent qu’on
ne doit pas trop compter fur les batteries pour la défenfe &
la iïireté des p o r ts , des rades , & en général des côtes.
Ib id. b. _ . <
Batteries des anciens , ( Art milit. Fortifie. Artill. ) lieux ou
ils placoient leurs catapultes , baliftes, onagres, &c. Comment
ces batteries étoient confinâtes 8c dilpofées. Suppl. I.
830. a.
Batterie , terme d’arquebufier. Batterie, en boiffellerie.
Batterie , terme de chapelier. Battèrie, dans les manufaéhires
-de papier. II. 154. a.
Batterie, piece du fufil. Suppl. III. 160. b.
Batterie de cuifinc. Définition , origine de cette expref-
fion. Réflexions contre l’ufage des uftenfiles de cuivre dans
les cuifines. Suppl. 830. a. Raifons qui doivent porter à
fubftituer à l’ufage de ce mé tal, celui du fer. D e lanécefïité
& de la maniéré d’étamer les uftenfiles de fer battu. Abrégé
du contenu d’un ouvrage de M . W e x fur ce fujet. Ibid. b.
Batteries de cuifine, celles qui furent trouvées à Hércu-
lanum. Suppl. 111. 353. b. Batteries de cuifine, en cuivre &
en fer. Voyer ces deux mots.
B A T T EU R . ( Artméch.) Batteur de plâtre, de foude ,
d ’étain, d’or. Batteur en grange. II. 154 -b .
Batteur en grange, tems où l’on doit battre le bled : opérations
qui doivent fuivre. V I I . 336. b. Voyez les planches
d’Agriculture, vo l. I.
Batteur d'or: moulin de cet ouvrier. X. 815. a. Chaude-
rets. III. 233. b. Baudruche. II. 163. a. Liqueur appellée
fond. V II. 54. a. Fourreau. 253. b. Voyez Battre l’or-, &
les planches qui fe rapportent à cet a r t , vol. II.
Batteurs d'efirade , cavaliers envoyés pour reconnoître
les environs du camp. Précautions 8c foins qu’ils doivent
prendre. II. 154. a.
B A T T E U X , {M . l'abbé) fa nouvelle opinion fu r l’inver-
fion graimmaticale, examinée 8c réfutée. VII I. 852. b. 853.
a , b. 8 c8 .\ i,é .859. a. Réflexions empruntées de cet auteur
dans plufieurs articles de littérature.
B A T T I , ( Botan. ) nom malabare d’une plante qui a
l’apparence d’une ortie. Suppl. I. 830. b. Différentes dénominations
qu’elle a reçues. Sa defeription. Erreur de quelques
botaniftes fur cette plante. Ibid. 831. a. Deuxieme e fpece,
fa la , fes différons noms. Defeription , culture, qualités &
ufages de cette «fpecè de batti. Efpece de fcarifications 8c
de friélions que les Indiens fe font avec cette plante. Ibid. b.
Leur utilité. Maniéré de conferver 8c de tranfporter fur mer
les feuilles de la fala liées en fâifceaux. Troifieme efpece,
camadu, autre efpece de fala. Sa defeription 8c fes ufages.
Ibid. 832. a. Matti, ou ortie blanche. Ses autres noms. Défi*
cription, culture, qualtés 8c ufages de cette plante. Erreur
de Linnæus. Ibid. b.
B A T T O L O G IË , voyez Bat.
B A T T O R I , Etienne, (Hifi- de Pologn. ) événemens qui
fuivirent l’évafion de Henri de Valois. Comment Battori
monta fur le trône de Pologne. Tableau de fon régné. Suppl. I.
832. b.
Battori, ( Etienne') roi de Pologne. XII. 933. b. Police mili-
' taire qu’il établit parmi les Cofaques. Suppl. IL 621. a.
B A T
B A T T R E , frapper, (Synon.) différence entre Ces mots.’
IL 154. b. ~
Battre. {Artmilit.) Battre en breche, par camarade, en
falv e , en é charpe, de bricole,'enfape , 1a chamade. II. 15 5.«/.
Battre, ufages de ce mot dans l’art militaire. Suppl. I.
833. a. ■ ' ,
Battre la mefure, ( Mufîq.) mefures à u n , deux, trois
& quatre tems. L e tems frappé eft toujours fur la note qui
fuit la barre immédiatement. D ’où dépend le degré de lenteur
ou de vîteffe qu’on donne à la mefure. Différence entre
les muficiens françois & les italiens, dans la maniéré de battre
la mefure. La mufique françoife auroit beaucoup plus befoin
que l’italienne d’une mefure bien marquée. Différence fpé-
cifique entre l’une & l’autre. II. 13 5. Comment les anciens
battoient la mefure. Fonélion du coryphée. Ibid. b.
Battre , ( Manege ) a plufieurs fens. C hevaux qui battent
à la main. C e qu’on fait pour leur en ôter l’envie. Chevaux
qui battent la poudre ou la poufliere. Chevaux qui battent
du flanc. II. 155. b.
Battre l ’or, l'argent, le cuivre ; aélion de réduire ces
métaux en feuilles extrêmement minces. Opérations principales.
Qualité de l’or qu’on emploie. Il y a trois fortes d’or
en feuille , le p â le , le fin ou verd & le commun. Maniéré
de fondre l’o r , de le fo rg er, de le tirer au moulin. Defcrip-
tion du moulin. II. 156. a. Pourquoi on fe fert du tirage au
moulin. L e ruban forti du moulin eft roulé fur une petite
latte & forgé enfuite. Si l’on 11e fe fert point du moulin, on
forge la matière jufqu’à une demi-ligne d’épaiffeur, enfuite
on la*coupe en cinquante-fix quartiers d’un pouce 8c demi de
long fur un de large. Comment on forge ces quartiers, jufqu’à
ce qu’ils aient la dimenfion d’un quarré dont le côté
auroit deux pouces. Ibid. b. On prend enfuite des feuilles de
velin , on en place deux entre chaque quartier, &c. cet
affemblage s’appelle le premier caucher. Difpofition & ordre de
ce premier cauché. Lorfqu’il eft ainfi arrangé, on le bat fur
un marbre. Ibid. 157. a. A u fortir du caucher, on partage
les quartiers en quatre parties égales avec le cifeau , 8t de
ces parties on forme le fécond caucher. On le bat comme le
premier, enfuite on défemplit le fécond caucher. Maniéré
dont on pofe & rangé les feuilles. Ibid. b. Après cela , on les
coupe en quatre parties égales, ce qui donne 896 feuilles.
Cette divifion faite, on arrange ces feuilles entre des feuillets
de baudruche j cet affemblage s’appelle chaudret. C e que
c’eft que la baudruche. O n bat environ deux heures le chaudret.
On erileve les feuilles d’or entre les feuillets de baudruche
, on les rogne & on les divife en quatre parties égales
; ce qui donne 3 584 feuilles. O n diftribue ce nombre en
quatre portions. D e chaque portion l’on fait un affemblage
qu’on appelle une moule : ainfi l’on forme quatre moules. Ibid.
i <j8. a. Battage de ces moules. Chacune ne contient qu’en-
viron 800 feuilles, par la perte de quelques-unes qui arrive
néceffairement dans le travail. Comment on tire l’or d’entre
les feuillets de la moule pour le placer dans lès quarterons
ou livrets dans lefquels les feuilles fe vendent. Ibid. b. Quatre
onces moins dix-fept gros peuvent fournir trois mille deux
cens feuilles quarrèes, chacune de trente-fix pouces de fur-
face. Comment on fe procure de bons cauchers. Comment
on prépare la baudruche. Prix que coûtent au batteur les
feuilles de baudruche. Préparation qu’il léur donne'avant de
les employer. Les batteurs donnent le nom d’outil aux affem-
blages, foit de v e lin , foit de baudruche. Maniéré dont ils les
humeélent lorfqu’ils font las , & dont ils les font fécher dans
un outil qu’ils appellent plane, enfuite ils les bruniflent. Ibid.
x 39. a. Les Romains ont poffédé l’art d’étendre l ’o r , mais ils
ne l’ont pas pouffé au même point que nous. P remière dorure
dans Rome : progrès du luxe à cct égard. Il n’a pas été nécefi
faire d’affujettir les batteurs d’or à la marque. Difficultés de
l’art de battre l’or. Ibid. b. Obfervation fur la découverte de
la baudruche. Ibid. 160. a.
Battre du papier, l’applatir, le rendre uni. Comment cette
opération fe fait. IL. 160. a.
Battre les livres pour les relier : explication de cet ouvrage. •
II. 160: a.
Battre au tric-trac ; différens ufages de ce m ot dans le jeu
dutric-trac. II. 160. h.
B A T T U , vaincu, défait, ( Synon. ) IV . 731. a. Différence
entre armée battue, armée mife en déroute, & retraite d’une
armée. 870. b. Reffources qui relient à une armée après avoir
été battue. X IV . 215. a-. Conduite à obferver à l’égard d’une
troupe qui a été battue. Suppl. II. 160. b.
B A T U E C A S , ( Géogr. ) peuples d’Efpagne, dans le royaume
de Léon. Situation de leur pays , preique inacceflible. Ils
n’ont été découverts qu’au commencement du fiecle paffé.
Conjeélures fur l’origine de ces peuples. Leur groflïéreté.
II. 161.4.
B A T T U R E , compofition qu’on met fur les ouvrages de
peinture à p la t, ou de boffage, & fur laquelle on applique
de l’or ou du,.cuivre en feuilles. Comment elle fe fait 8c
s’emploie. II. 161. a. .
* B A U ,
BAU
B A U ,-b a a H Q H R u i foli« <!effinèe à affermir
les bordages Se à foutenir les nllacs Defcripnon de cette
partie du vaiffeau. Différence entre bau Sc barrot Epaifieur
& largeur des baux du premier pont. II. 161. a. Difpofition de
cette charpente. Ibid. b. , ^
Baux, faux. Comment on les pofe. C ’eft fur eux qu’on
fait fouvent un faux p ont, où les foldats couchent. II. 161. b.
B A V A R O IS , ( l e s ) peuples d’Efpagne , autrefois Boiens
ou Boïares , premiers Germains qui ont paffé les Alpes. En
493 , ils occupèrent la haute 8c la moyenne Autriche. Leur
bravoure. IL x6 i. b. * .
Bavarois , ( Géogr. ) faute à corriger dans cet article de
l’Encyclopédie. Suppl. I. 833. b.
Bavarois -, lo id e s , IX. 653. A
B A V A Y , ( Géogr' Antiq. ) ville de F rance dans le Hainaut.
Différens noms fous lefqliels elle a été défignée. Recherches
fur fon origine. Les divers monumens qu’on y admire enco re ,
prouvent qu’elle étoit autrefois auffi étendue que floriflante,
& que fon origine remonte à la plus haute antiquité. Pierre
à fept coins , placée au milieu de la place. Chemins militaires
qui viennent y aboutir. Fameux aqueduc connu fous
le nom de murs des aidus. Suppl. I. 833. b. Veftiges de
bâtimens qui couvroient plufieurs bains, tant pour les hom-.
ines que pour les femmes. Ouverture d un fouterrein, ou
quelques habitaris de B a va y trouvèrent une cave amplement
fournie & bien confervée. Cirque que les colonies romaines
établirent dans cette ville. Ibid. 834. a. Superbe monument
érigé en l’honneur de T ib e r e , que l’on v o yo it dans l’enceinte
des vieux murs. En (quel tems cet empereur fit fon entrée
dans Bavay. Monumens qui prouvent l ’ancienne étendue & la
population de ce. lieu. En quel tems cette v ille fut ruinée.
Ibid. b. ' •
B A U C IS , Philemon 6- , ( Mythol. ) leur hiftoire , félon les
voëtes. La Fontaine , Prior oc Swift ont mis en vers cette
fable. Différens carafteres de leur petit poème. Inftruéliôns
renfermées dans cette fable.. Voyez Philemon.
B A U D E LO T de Dairval. Sa critique dé l’art diplomatique
du P . Mabillon. IV . 1020. b. . - ; . . • • - ' ■
B A U D IU S , ( Dominique ) obfervations fur ce poète latin
8c fur fe§ ouvrages.IX. 533. 4. . ;
BAU D O IN , ( Jean ) obfervations fur ce favant & fur fes
ouvrages. XIII. 257. a. * ■ _ ; '
B A U D R IE R , ( Hifi. anc.) coutume d’ôter autrefois fon
baudrier à la table de l’empereur. Baudriers dorés Sc.conf-
tellés que le fils de Gallien enleva à des officiers qui étoient
à table avec l’empereur. Talifmans qu’on a cru gravés fur
ces baudriers. C e qui peut avoir donné lieu à cette fuperf-
tition des gens de guerre. C e qu’on peut entendre d’une
maniéré fimple 8c naturelle par ces baudriers dorés 8c conf-
tellés. IL 16 a. b.
BA U D R O IE , ( Ichthy. ) poiffon de m e r , dont la bouche
eft fi grande , qu’on l’a comparée à un baudrier. Defeription
de ce poiffon. Mauvaife qualité de fa chair. Tranfparence de
fon corps, quand on en a tiré les entrailles. IL 162. b.
B A U D R U CH E , {B a u . d’o r ) ufage de la baudruche.il.
158. a. 139. a. Comment on la prépare. 159. a. Obfervation
fur fa découverte. 160. a.
BU V EU S E , ( Hifi.nat. ) poiffon de mer. Sa defcription.il.
163. a. .
B A U G E , (Econ. ruftïq. ) terre franche , mêlée avec de la
paille 8c du foin hachés. Üfag*e .qu’on en fait au lieu de plâtre
8c de pierre. Quand elle eft foutenue par de la charpente ,
cet enfemble s’appelle torchis. Comment on bâtit en torchis.
I I .16 3 . «.
B A U G IA S , f Thomas ) fa patrie, fes ouvrages. XI. 348. a.
B A V IE R E , ( Géogr. ) état d’Allemagne. Ses bornes 8c ion
étendue. Sa divifion en haute 8c baffe. Cercle de Bavière.
Palatinat de B avière. IL 163. b.
Bavière , cercle de, IV . 70. a. Suppl. 1. 3 x o. b. D e l’éleéleur.
IV . 66. a. C e t électeur archidapifer de l’empire. I. 613. a.
Vicariat de Bavière. XV II . 232. b. La fuccefhon féodale du
comté de Haag parvenue à la maifon électorale de Bavière.
Suppl. III. 285. a. Armes de l’éledeur , planch. 16 du
blalon, vol. IL
BAULIEU ou Baulot , (Jacques) connu fous le nom de
frère Jacques l’hermite, chirurgien. Suppl. III. 777. b.
B AUM AN N , ( caverne d e ) proche de Goflar , dans le
comté de Blanckenburg. Elle contientfix grottes. Pierres qu’on
y trouve , figurées en os d’animaux. II. 163. b.
Baumann. D efeription de cette grotte. V IL 967. b.
BAUM E, (Hifi. nat.) le baume de Giléad eft des plus eftimés.
Arbre d’Égypte 8c de l’Arabie d’où on le tire. IL 163. b. Quand
8c comment fe fait l’incifion. Diverfes couleurs fùccelfiyes
que prend le fuc. Son odeur 8c fon goût. L e fuc qui nous
eft apporté , n’eft qu’une préparation du bois 8c des branches
vertes diftillécs. Liqueur extraite de la femence qu’on
fait paffer pour Je véritable baume. Defeription du baumier.
Son fruit entre dans la thériaque de Venife. Ufage. que nous
faifons^de fon bois. U. 164. a]
B A Y 157
Baume de la Mecque : il a toutes les vertus du baume de
Giléad. n . 164. a.
Baume du Pérou , trois efpeces : baume d’inc.ifion , fon
ufage ; bauftte fe c , fon ufage ; baume de lotion ion ufage.
IL 164. «z.
Baume de Copahu, de deux fortes. U fage qu’en font les Juifs.
IL 164. b. .
Baume de Tolu. V o y e z T o lü .
Baume d’ambre liquide. IL 164. b.
Baume de Giléad ou Galaad. XI. 5 11. b. Baume de Jéricho.'
VIII. 509. a; Baie ou fruit de l’arbre qui produit le baume
de Judée. IL 698. b. Baume cofniétique de la Mecque. IV .
292. a. Baume appellé opobalfarnutn ,• on en diftingue deux
efpeces , Lune qui eft le v éritable , l'autre celui de la Mecque
8c de Conftantinople. XI. 310. b. 5 1 1. a. Différence entre le
baume de Copahu 8c celui du Pérou. IV . 172. b. Baume de
To lu. X V I . 396. a. Baume de poix. XII. 899. b. En quoi les
baumes different des réfines. X l V. 172. b.
Baume de foufre térébenthinè. Comment on le fait. Dans quels
cas , 8c comment on s’en fert. IL 164. b. Cas où il feroit
dangereux. Baume de foufre anifé. Maladies où on l’emploie.
Avantages des baumes de foufre fur le baume blanc du
Canada, Propriétés du baume de foufre employé extérieurement.
Maniéré de le préparer pour ce dernier ufage. Ibid.
163. à ./
Baume du Pérou artificiel. Maniéré de le préparer. IL 163. a.
Baume d’Arçeus. Sa préparation 8c fon ufage. IL 163. a.
Baume du commandeur. Sa préparation. Son ufage. IL 163. a.
Baume , ou onguent de genievre. Comment on le fait. IL
Baume de Lucatelli. Préparation 8c ufage. IL 163. b.
Baume odoriférant. Préparation 8c ufage. IL 163. b.
BaumepeEloral. Préparation. II. 163. A
Baume préparé par la décoflion des bois refineux b .ilf uniques.
Comment fe fait cette décoélion ; fon ufage. IL 163. A
Baume folide & aflringent. Sa préparation, fon ufage dans les
gonorrhées; IL 165. b. .
Baume vert de Metz , ou de madempifelle Feuillet. Maniéré do
le faire. II. 163. b. Son ufage. Ibid. 166. B,
Baume vulnéraire. Préparation 8c ufage. Lérnèry compte
73 efpeces différentes de baumes artificiels. IL 166. a.
Baume facré, dont les chrétiens orientaux fe fervent dans
quelques cérémonies. X. 913. b.
Baume , (Botan.) defeription de cette plante par Virgile»
V I . 832. b. ■' " / ï ' - ‘ 7
Baume les Moines , ou les Mejfieurs, ( Géogr. ) abbaye de
France en Franche-Comté. Son ancienneté. Tombeaux qu’on
v o it dans fon églife. Épitaphe de Jean de W a te v ille , enterré
dans ce lieu. O bfervations fur cet abbé. Moines de l ’abbaye de
Baume. Ouvrage à-confulter. Suppl. I. 83 3. a.
Baume les Dames, ou les Nonnains, ( Géogr.) petite v ille
de Franche-Comté. Son origine. Abbaye dè chanoineffes dans
ce lieu. Suppl. 1. 83 3. a.
Baumes fatfices. Celui de faturne. A quoi il eft propre. IL
164. b.
Baumes de foufre. VIII. 33 3* b. X V . 400. b.
BAUM G ART EN . Son ouvrage fur la fcience efthetique.
Suppl.IL 873. <1.
B A UM IE R , bois de cette plante. XVTI. 638. a.
B A V O L E T , coëffures à ba volet. III. 390. b. Origine du
mot bavolet. X V II . 430. a.
B A X A N A , ( Botan. ) arbre à fruit v énéneux 8c à racine,
anti-vénérienne , qu’on trouve proche O rmuz. Particularités
fur cet arbre , fur ion fruit 8c fur fon ombre. II. 166. a.
B A X T E R , (Richard & Guillaume) X V . 143.d.
B A Y A , (Botan. ) efpece de plante. Suppl. I. 786. b.
B A YA D ER E S , femmes galantes , entretenues dans les
pagodes des Indiens. X V II . 73.7. a , b.
B A YAN ISM E , ( Hifi. eccl. ) erreur de Baïus 8c de' fes
difciples. Abrégé de la vie de Baïus, né en 1313 , dans la
Hainaut. Sa doélrine, 1°. fur l’état d’innocence. II. 166. b.
20. Sur l’état de nature tombée.
30. Sur l’état de nature réparée par le Rédempteur. IL
167. a. A
C e fyftême eft un/compofé bizarre 8c monfoueux de péla-
gianifme , de luthéranifme 8c de calvinifine. Quant a 1 état de
nature réparée, tous fes fentimens font direélement contraires
à la doélrine dü concile de Tren te. ..
Ouvrages qui l’ont réfuté. IL 167. £.,Sounuffion de Baïus
à la bu lled u jxape Pie V . Seconde bulle de Grégoire X I I I ,
acceptée par Baïus , 8c après laquelle cependant les contefta-
tions fe réveillèrent. L es opinions de Baïus renouvellées par
Cornelius Janfenius, dans fon ouvrage intitulé : Augufiinus.
IL i 62. a.
B A Y A R D , ( le Chevalier ) fa mort. Suppl. IV . 380. b.
BAYER» ( Théophile Sigeffoi) ouvrage de ce favant, intitulé
: F il du labyrinthe. X. 742. b. Analyfe d’un ouvrage-de
cet auteur , intitulé : fundamenta interpretatio'ni» &' adminiflra-
tionis gêner alla, ex mundo, mente & feripturis jatla. 744 .a . Son
R t