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dienne tracée dans l’églife de S. Sulpice de Paris. Ibid. 440. a.
Méridienne établie en 173 2 par M. Gaflïni dan^la grande falle
de l’obfervatoire royal de Paris. Ibid. b.
Gnomon , étymologie de ce mot : nfage des gnomons des
anciens. X I. 464. b. Des gnomons des anciens 8c des modernes.
X. 384. b. Maniéré d’obferver la hauteur du .pôle
par un gnomon. X II. 902. a: Efpece de gnomon des anciens ,
nommé fcaphc. X IV . 760.a.
G N O M O N IQ U E , ( Math. mixt. ) étymologie de ce mot.
Définition de l’art appellé de ce nom. Autres noms qu’on lui
a donnés. V II . 725. a. Inventeur des cadrans. Celui que
conftruifit Berofe. Cadran d’Ariftarque. Premier cadran fo-
laire qui parut à Rome. Autre cadran apporté de Sicile à
Rome par Valerius Meffala. Il paroît qu’il y a eu chez les
Juifs des cadrans beaucoup p lutôt que chez les nations dont
on vient de parler. Cadran d’Achaz. Defcription d’un cadran
lolaire portatif trouvé dans les ruines d’Herculanum. Ibid,
b. La gnomonique eft entièrement fondée fur le mouvement
des corps céleftes. Connoiffances qu’il faut acquérir
avant de s’appliquer à cet art. Çlavius eft le premier auteur
de la gnomonique parmi les modernes. Divers auteurs
qui en ont traité après lui : quelques obfervations fur leurs
différentes méthodes. L e cadran horizontal eft celui de tous
qu’on peut tracer le plus exactement & le plus facilement.
Mais les lignes des cadrans verticaux font moins fujettes
à être effacées par les pluies. Les cadrans équinoxiaux
font d’une defcription plus fimple que tous les autres. Ibid.
726. a.
Gnomonique, cadrans antiques trouvés fur le mont Tufculum,
& dans les excavations de Civita. Suppl. III. 240. b. Cadran
hém icy cle , vu par M. le Roi fur le roc de la citadelle d’A thènes.
Defcription d’un cadran portatif trouvé dans les excavations
d’Herculanum ou de Portici. Jaloufie a vec laquelle
les doéteurs Napolitains tiennent cachés aux y eux des étrangers
les objets curieux tirés d’Herculanum & renfermés dans
le mufoeum de Portici. Ibid. 241. a.
Gnomonique , v o ye z C a d r a n . Traité de gnomonique du
P. de la Madelaine. VII I. 3 1 1 . a , b. Cette fcience nommée
photofciiitèrique. XII. 528. b. polyhedre gnomonique. 943. b.
G N O S IM A Q U E S , ( Hift.eccl. ) hérétiques qui fe décla-
. rent ennemis de toutes les connoiffances.recherchées de la
religion. Etymologie de ce mot. Quelques auteurs donnent
un fens plus particulier à ce mot. Ils penfent que les gno-
fimaques étoient des ennemis des fpiritualités , 8c vouloient
qu’on fe contentât de faire de bonnes oeuvres tout fimplement.
V I I . 726. b.
G N O S SE , (Géogr. anc.) v ille de Crete,capitale du royaume
de Minos. Villages qui ont aujourd’hui pris la place de cette
ville. Traits hiftoriques fur Epiménide , natif de Gnoffe. V II .
7 2 6. b.
Gnoffe, faute à corriger dans cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. III 241. a. Obfervations fur le fameux labyrinthe de
Crete qu’on v o yo it auprès de Gnoffe. Ibid. b.
G N O S T IQ U E S , (Hift. eccl. ) anciens hérétiques fameux
dans l’Orient. Etymologie du mot. Pourquoi ces hérétiques
s’étoient attribué ce nom. C ’étoit d’abord des philofophes,
qui s’étoient formé une théologie fur la philofophie de
Pythagore 8c de Platon. Mais ce nom devint enfuite un
nom générique, qui fut donné à différens hérétiques du
premier fiecle. V i l . 726. b. Quelquefois c’eft un nom particulier
qu’on donne aux fucceffeurs des premiers N icolaïtes,
& des premiers Carpocratiens. Auteurs anciens à confulter
fur ce fujet.j Doctrine des gnoftiques; comment ils la (ondoient
fur l’Ecriture. L e nom de gnoftiques fe prend auffi
quelquefois en bonne p a r t , comme on le voit dans Clément
d’Alexandrie. Garaftere du vrai gnoftique félon cet
auteur. Ibid. 727. a. Quoique les gnoltiques coropofaffent
différentes feéies , ils convenoient tous fur certains chefs.
Expofition des principaux. Pourquoi on les v o it appéllés
docetes. Leurs principes de morale , & leurs moeurs déréglée
s & infâmes. Divers noms que l’on donnoit aux gnoftiques
, prefque tous relatifs à leurs dogmes ou à la dépravation
de leurs moeurs. Divers ouvrages apocryphes fur
lefquels ils fondoient. leurs impiétés. Ibid. b.
Gnoftiques , principe de leurs héréfies. I. 280. b. Leur ori-.
gine oc celle de leur fcience myftérieufe appellée gnoj'e. V.
7 4 t . a. Evangile d’E v e en ufage parmi les gnoftiques. V I.
317. a. Evangile des gnoftiques. Ibid, a , b. 118. a. Les
gnoftiques accufés d’avoir mangé des viandes immolées aux
idoles. X V II . 229. a. Seftes de gnoftiques défignées par
les noms fuivans : antirattes, I. 517. a. barbéliots, IL 73.
a. baftlidiens, 1 1 7 . a. héracléonites, VIII. 140. a. menan-
driens , X. 330. a , b. ptolémaïtes , XIII. <48. b. faturniens,
697. a. Valentiniens. X V I . 815. a , b. Sur les gnoftiques,
yoyc^ Philoso phie o r ien t a l e . X L 643.a , b.
G O
S O A , ( Glogr. ) vü le de lap reftp ’M e endeçàduGan ge .
G O E
Remarques hiftoriques fur cette ville. Elle étoit la clé dn
commerce d’Orient. Etat miférable où elle fe trpuve aujourd’hui.
On y garde toujours dans un fuperbe tombeau le corps
de S. François Xavier. Situation de la v ille de Goa. V u .
Goa. D e fon inquifttion. V I I I . 773. b.
G O B A IL L E , célébré maître écrivain. Suppl. IV . 467. a.
G O B E -M O U CH E , ( Zoolog. ) petit lézard des Antilles.
Couleurs différentes du mâle & de la femelle. Leur maniéré de
fe nourrir. Ils font très-communs dans les forêts 8c dans les mai-
ions: V II . 728. a. Voyez LÉZARD.
. Gobe-mouche. ( Ornith. ) Gobe-mouche hupé de Ma-
dagafcar, vo l. V I des planches. Regne animal, pl. 43. Gobe-
mouche hupé du B refil. Suppl. 1. 99. b.
Gobelet. ( Antiquit. ) Gobelet des Romains nommé cyathe.
IV . 583. a. celui des Lacédémoniens , nommé cothon. IX.
159. b. Divination par- le gobelet. IV . 346. b .— Foyer
C oupe.
Gobelet, ( Econom. domeftiq. ) defcription. V I I . 728.
a. Les gobelets dans lefquels on boit des liqueurs chaudes
font revêtus quelquefois d’un bois minc e, qui s’échauffe difficilement.
La chaleur fe répand avec moins de facilité dans un
corps fait de plufieurs pièces que s’il étoit d’une feule. V I I .
728. b.
Gobelets de cryftal, maniéré de les travailler fur le tour.
X V I I . 98. b y Ô’C.
Gobelets purgatifs. XII. 626. b.
Gobelets , tours de , ( Art d’efeamotage ) defcription des
gobelets qu’on emploie dans cette forte de jeux. Comment on
fait les balles à efeamoter. M aniéré d’efeamoter les balles. V II .
728. b. VoyezTOURS.
G O BELINS, le s, ( Hiß. des arts') lieu particulier du faux-
bourg S. Marceau à Paris. Origine du nom de Gobelin 8c d e l’é-
carlate des Gobelins. Premier tapiffier des Gobelins. Hôtel des
Gobelins : artiftes qu’on y loge. V II . 728. b.
Gobelins, habiles ébéniftes que cette manufacture a fournis.
X. 13 8. .r. Manufacture de tapifferies des Gobelins. X V . 897.
A i b , vol. IX des p lanches, les 18 dernieres. Teinture des
Gobelins, vol. X des planches, les 14 premières.
G O BERG E , ( Ichthy. ) defcription de ce poiffon qu’on
apporte de Terre-Neuve tout falé. Qualité de fa chair. VII .
729. a.
Goberge, ( Layetïer) dimenfions des petites planches de
hêtre qui portent ce nom. V II . 729. a.
Goberge, ( Marqueterie) VII. 729.0.
Goberges, ( Tapiffier) V I I .729.a.
G O B IN E T , ( Charles ) fa patrie , fes ouvrages. X IIL
698. W ÊÊ Ê
G O D A R D , Saint- ( Géogr. ) Defpréaux l’a nommé le
mont Adule. C ’eft une des plus hautes montagnes des Alpes.
Rivières qui y prennent leur fource. Hôpital de capucins fur
cette montagne. VII. 729.b. Voyez Gothard.
G odard , ( Saint ) de S alency. Suppl. IV . 707. a.
G O D D A R D , gouttes de. V II . 7 7 1 . b.
G O D E A U , ( Antoine ) faites de l’églife par cet auteur.
V I . 418. b.
G O D E F R O I de Bouillon, élu advoué du S. Sépulchre. I.
133. a. Pourquoi l’on a cru qu’il avoir vendu ou engagé le
duché de Bouillon. Suppl. II. 36. a.
Godefroi-Maurice, duc de Bouillon. Suppl. II. 3 8. a.
Godefroi Charles-Henri, de la T o u r d’A u ve rgne , duc de
Bouillon. Suppl. II. 38. a.
Godefroi, duc de la Baffe-Lorraine, adopté par l’empereue
Alexis. Suppl. 1. 174. a.
G O D IN , fon catalogue d’étoiles. Suppl. IV . 908. b.
G O D IN O T de Rheims : fa générofité envers les indigens.
V . 646. a. 749. b. Ses dépenfespour l’embelliffement de Rheims.
Suppl. IV . 397. b.
G O DM A N CH E S T E R , (Géogr. ) bourg d’Angleterre dans
la province de Huntington. Il exiftoit du tems des Romains.
Jacques I le tira de fon obfcurité. Application de fes habit
tans à l’agriculture. Suppl. III. 241. b.
G O D O L PH IN , ( Géogr. ,) colline d’Angleterre dans la
province de Cornouailles. Exploitatioh de fes mines d’étain.
Comte de Godolphin. Suppl. III. 241. b.
G O D W IN , ( Thomas) littérateur anglois. X V . 333. a.
G O E G H Y , ( Hift. d’A fie ) feéte de bénians dans les Indes.
Leur genre de vie. V II . 729. b.
G O E L E T T E , ( Marine ) defcription de ce petit bâtiment.
V II . 729. b. Ufage qu’on en fait aux ifies d’Amérique. Goelette
à chaux, fon ufage. Quelles font les pierres dont on fait la chaux
en Amérique, Ibid, y30. a.
G O E T A , (Botan. ) efpece d’arbre. Suppl. I. 865. b.
G O E L L E , ( Géogr.) petit pays de la Brie. Suppl. III.
896. a.
G O E T IE , ( Magie ) magie infâme qui n’avôit pour objet
que de faire du m a l, féduire le peuplé & le porter au
crime. Les miniftresde cet art fe vantoient ,d’évoquer les mânes.
Ils eaiployoiçnt dans leurs cérémonies tout ce qui pouvoir
redoubler,
G O L
redoubler la terreur des efprirs foibles. Différence effentielle
entre la magie goëtique 8c la magie théurgique. VII.
730. a.
G O E T R E , ( Chirurg. ) les habitans des montagnes font
fort fujetsàcette maladie. Conjeéhires fur fa caufe. Etymologie
du mot. V II . 730. a. Plufieurs l’ont confondu avec le bronchocèle.
L e goëtre eft formé par une congeftion de fucslymphatiques.
Dans quelle partie le fait l’engorgement de cette humeur
: différentes efpeces de goëtre. .Moyens curatifs affortis
aux différens cas. Ibid. b.
Goitres, leur principale caufe attribuée aux eaux de neige.
V . 194. b. Leur caufe dans les lieux voiûns des glacières.
Suppl. III. 230. a. 8c chez les habitans du T y r o l 8c du Valais.
470. a.
G O G 8’ M A G O G , ( Théolog.) l'écrituré a défigné par
ces noms des nations ennemies.de D ieu. Vaines conjectures
des interprètes fur ces nations. V II . 7 3 1 . a.
G O IL A N D , (Ornithol.) genre d’oifeau maritime. Ses
caraâeres. On compte deux genres fubordonnés dans la
claffe générale de ces fortes d’oifeaux. Ces oifeaitx chaffent
fur terre 8c fur mer. Lieux où on les trouve. Defcription
donnée par le P. Feuilléed’un goiland du Chily. VII. 731.
a. Lieux ou ces oifeaux niellent. Leur ponte. Defcription
de leur langue. Différentes fortes de goilands. Ibid. b.
G O KO IC F , (Hift. nat. du Japon) terme générique de la
langue du Japon , qui figrûfie les cinq fruits de la terre dont les
Japonois fe nourriffenr. Quels font ces cinq fruits. Selon qu’ils
abondent on eftime la valeur des terres. Ils fuppléent au défaut
de la viande défendue dans le Japon. Autre fienification du
mot Gokokf. VII . 73 1 . é.
G O L C O N D E , ( Géogr. ) royaume dans la prefqu’ifle en
déçà du Gange. Ses bornes. Sa fertilité. Ses ports. Son commerce.
Ses mines de diamans font fa plus grande richeffe. Capitale
de ce royaume. V II . 731. b.
Golconde, mines de diamans de ce royaume. IV . 938. a , b.
Ouvrage de Tavernier fur ces diamans. X V I . 876. a.
G O L D B E R G , (Géogr. Hift. nat.) ville de Siléfie. VII.
73 1 : b.
Goldberg, efpece de terre bolaire qui fe trouve à Goldberg.
Ses propriétés. VII. 731 . b.
G O L D M A N , éloge des ouvrages que cet archite&e a publiés.
Suppl. I. 340. b.
G O L G O T H A , ( Géogr. & Théolog. ) quelques-uns fe
font imaginé qu’Adam y avoit été enterré. Saint Jérôme
rejette ce fentiment. Pourquoi ce lieu a été nommé calvaire.
VII. 73 2. a.
G O L G U S , (Géogr. anc. ) v ille d’A fie dans l’ifle de C h y pre
toute confacrée à Vénus. Invocation de cette déeffe par
Catulle. VII. 73 2. a.
G O L G U S , ( Géogr. ) obfervations qui montrent que Pa-
phos 8c Golgos font deux villes différentes. Suppl. III.
G O L IA T H , fa taille. VII . 337. *.
G O LIU S , ( Jacques ) favant hollandois. VII I. 24. a.
G O LPHE.(G éo g r .) Lesgolphes d’une étendue confidé-
rable font appéllés mers. V I I . 732. a. On dillingue les golphes
propres 8c les golphes impropres , les golphes médiats
8c les golphes immédiats. Différence entre une baie 8c un
golphe. On connoît des baies plus grandes que certains
golphes. C e qu’on entend par anfe 8c cul-de-faç. V II . 73 2.
b. Table des golphes félon la méthode que M. Gordon a
ébauchée. Ibid. 733 a.
Golphe. Caufe de la formation des golphes : à qui appartiennent
légitimement les détroits 8c les golphes. IV . 904. b.
Pourquoi la marée eft plus fenfible dans le golphe de Venife
que dans le refte de la Méditerranée. V I . 906. a.
G o l ph e d ’Argiùn. (Géogr.) Golphe de l’Océan fur la
côte d’Afrique. D ’où il tire fon nom. C e golphe eft tout femé
de bancs 8c impraticable- aux moindres bàtimens. VII.
733. *.
Golphe de Bengale , dans la mer des Indes. Ses bornes. '
Sa largeur 8c fa profondeur. Ses principales ifies. VII .
733. a.
G o l ph e de Botnie ou Bofnie. ( Géogr. ) Obfervations qui
démontrent que les eaux de ce golphe baiffent continuellement.
On eftime cette diminution de quarante-cinq pouces,
depuis un fiecle. Suppl. III. 242. a.
G o l ph e de lE ch e lle, (Géogr.) nom donné par Denys
de Byzance au golphe d’Arnaut. Raifort de cette dénomination.
Origine du nom d’Echelles donné aux ports les plus fréquentés
du Levant. Suppl. III. 242. a.
Golphe de Lyon, origine de ce nom. VII. 73 3 .a. V o y e z Sinus
gallicUs.
Golphe perfique, entre la Perfe 8c l’Arabie. V II . 73 3. a. O n
y trouve du corail noir 8c de belles perles. Ibid. b.
Golphe perfique. Obfervations fur cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. III. 242. a.
G O L T Z , ( Henri ) peintre 8c graveur. V I I . 867. b. 889. a.
X . 853. ê. 834. a.
Tome I ,
G
G O L T Z IU S , (Hubert)
b , &c. XV II . 16.a , b.
O M 845
célébré antiquaire. X. 229. b. 630.
G OM AR lST E S . ( Théolog. ) Les gomariftes font oppofés
aux arminiens. Ils ont pris leur nom deGomar. On les appelle
auffi contre-remontrans. On peut connoître leur doétrine en
confultant l’article A rminiens. Ouvrage de Boffuet à coi>
iulter. Hiftoire des gomariftes. Perfécutions qu’ils firent
elluycr aux arminiens. VII. 733. b. & fuiv. Quoiqu’il ait été
permis enfuite à ceux-ci d’avoir des églifes dans quelques
villes des Provinces-unies , les gomariftes font toujours le
parti dominant. On eft encore obligé de fe conformer aux
dogmes rigides des premiers réformateurs pour avoir part
aux emplois eccléfiaftiques. Il en eft de même en A ngleterre.
Cependant une grande partie des miniftres dans la réfo rme,
s e u rapprochée des fentimens des arminiens. Parti fage que
les magiftrats hollandois ont pris fur ces matières. Ibid.
7-iï-b.
Gomariftes, leurs difputes avec les arminiens. 1. 696. b IV
140. b. Décrets abfolus félon eux. III. 840. a. Leur doéirine*
furia perfévérance. XII. 427. b.
G O M B A U L T ,(Jea n Ogierds) poète françois.XIV. 324.
a. Suppl. IV . 700. b.
G O M B A U T , ( Botan. ) plante potagère , commun©
aux Antilles. Sa defcription. Ufage de cette plante en
cuifine. Son ufage en médecine. V II . 733. b. Voyez
K e tm ia . - J x
G OM B E T T E , /oi. IX. 661. b.
G O M E R E , (Géogr.) obfervations fur cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. III. 242. a.
G OM E Z de Cindad R é a l,p o è te .V I I .9 73 .a.
GOMEZ, ( Madame de ) Suppl. IV . 699. b. .
G OM G OM , ( Luth. ) Voyez T ataboang.
GOMINE , mariage à la. X. 1 n . a.
G OM M E , ( Phyfiq.) celle qui découle d’elle-même pa-
roit être une maladie de la fe ve des arbres. Elle perce par
quelque endroit tendu, écorché ou rompu, 8c fait mourir
les parties voifines. Moyen d’arrêter les progrès du mal.
VII . 733. b. Mais le fuc végétal gommeux qui tranffude
quelquefois fur le fru it , n’eft pas une maladie. Efpece de
gomme qu on voit fouvent fur plufieurs pommes des pays
chauds. Gommes que jettent les prunes, & le laurier-cerifc.
Ibid. 73 6. a.
Gomme. Plufieurs réfines improprement appellées gommes'.
X IV . 173. a.
Gomme-, eaude,(Peint.enminiat.) X. 331.*.
Gomme. (Chyrn. Pharmac. & Mat. médic.) Définition 8c propriétés
de la gomme. C e qu’on entend par tirer le mucilage d'une
gomme. Maniéré de la réduire en poudre. Effets du feu fur la
gomme. Celles qu’on emploie en pharmacie. On donne encore
le nom de gomme a des réfines 8c à des gommes-réfines.
VII. 736. a.
GOMME-RESINE, ( Chym.Pharmac. Mat. médic.) moyen de
retirer de cette fubftance la partie, réfineiife , 8c la partie
gommeufe. Comment on obtient la diffolution du corps entier
des gommes-réfines. VII . 736. a. Moyen de les introduire
dans la compofition des emplâtres. Gommes-réfines employées
en médecine. Leurs qualités communes. Ibid. b.
~ Gommes-réfines. Maniéré deles employer dans.les emplâtres.
V.389.Æ.
G omme de notre pa y s, ( Mat. médic.) celle de. divers
arbres de nos climats : elle a les mêmes propriétés que la
gomme arabique. Pourquoi l’on préféré cette derniere. V IL
M b.
Gomme du gommier , ( Hift. nat. des drogues) galipot d’Amérique.
Deux fortes d’arbres d’Amérique appéllés gommiers.
Gommier blanc. Qualité 8c ufage de fon bois. Defcription
de cet arbre 8c de l'on fruit. Gommier rouge : fa defcription :
fon fruit. V II . 736. b. En quoi ces arbres different de nos
térébinthes, félon le P. Plumier. En quels lieux de l’Amérique
on les trouve. Ufage que les Méxicains font du gommier
, 8c de fa réfine. Abondance avec laquelle elle fort
du gommier. Ufage qu’on en fait en Europe. Comment on
la tranfporte d’Amérique. Les Américains fe fervent des
feuilles dans leurs paniers d’aromates. Comment les marchands
fophiftiquent cette gomme. Ibid. 737. a.
Gomme rouge de l ’acacia : fes ufages. Suppl. 1. 81. b. Gomme
jaunâtre ou purpurine de l’acacia. 82. a. Gomme du gommier
blanc. 85. b. Principaux lieux où l’on fait la traite de
la gomme au Sénégal; 86. a. Commerce de la gomme de ce
pays. Ibid. b. 8 y. a.
GOMME adragant. I. 146. a. Suppl. I. 803. b. Plante d’où
elle découle. X V I . 312. b.
Gomme ammoniaque. I. 364. b. Gomme arabique. I. 370. aÿ
b. Suppl. I. 309. a.
Gomme -gutte. (Hift. des drogues.') Caraéteres de cette fub-
ftancc. Lieux d’où l’on la tire. D ivers noms qu’on lui donne
Ibid. 737. a. Elle n’a été connue que depuis l ’an 1603. Cho ix .
de la meilleure. Arbres dont elle découle. Comment on la
recueille. Ufage que la peinture en retire. VH. 7 37. b.
E E E E E e e e e e