420 c o u
•diculaires qui fe t r o u v e n t - t o u t e s les couches de la
terre. V I . 49a. a , b. Dèi Ta formation de ces couches. IV.
Sop. b. Obfervations fur les couches des montagnes , particulièrement
de celles qù’on appelle récentes. X. 674. b. Ordre
St diftribution des matières qui le trouvent dans une colline,
compofée de matières vitrifiables. II. 534. b. La maniéré dont
les couches de la terre font difpofées , favorable à la péné-
' trarion des eaux de pluie. VII. 92. a , b. Effets qui réfultent
de l’impénétrabilité des premières couches par l’eau pluviale.
94. a. Couches'de graviers 8c de fables , formées par
les torrens & par les fleuves. ,624. a. Couches de terre glaife.
700. a. Couchas de cailloux. Suppl. II. 107. b. Des couches
qui cachent une fource. Suppl. IV . 818. a , b. Couches de
limon , formées par les inondations des "fleuves. IX. 544.b.
Couches dans les mines de charbon. III. 190. b. Couches
de coquilles , voyc^ ce mot. Couches de végétaux dans la
terre. VII. 624. a. X. 92. b. X V I . 469. a. Sonde deftinée à
conuoître les différentes couches. X V . 349. a , b, 8cc. Explication
que donne Linnæus des différentes couches de la terre. Suppl. l l l . 94. a , b.
Couches, ( Botan. ) celles dont la plante eft compofée.
X V I. 954. è. 9 5 5 .4 , b.
Couche , ( Jardin.) trois fortes de couches , la chaude ,
la tiede 8c la fourde. Culture des plantes femées fur la couche.
IV . 320. a:
Couche. Conftrn&ion de nouvelles couches , que l’on
échauffe par la vapeur de l’eau bouillante. Suppl. II. 626. a.
Avantage que ces couches ont fur les autres. Ibid. b.
Couches. Maniéré d’employer la houille dans le j couches.
Son utilité. VIII. 324. b. Obfervations pour les couches de
melons. X. 321 .a. Comment on rechauffe les couches. XIII.
847. b.
Couche , terme de tanneurs , &c. terme de doreurs,
o’c. terme employé auffî dans l’économie domeftique.IV. 3 20. b.
CO U CH É , maniéré de fe tenir, ( Mèdec. ) po.fture dans
laquelle on fe tient au lit. On juge affez bien, par la pofture
dans laquelle on fe tient couché , de la force ou de la foi-
bleffe de la faculté motrice. Comment le médecin doit trouver
le malade couché , félon Hippocrate. Indications de maladies
dans les mouvemens d’une perfonne couchée. IV . 320. b.
Maladies dans lefquelles la mauvaife maniéré d’être couché eft
à craindre. Divers prognoftics tirés de la maniéré dont le malade
fe tient au lit. Ibid/321. a.
Couché. Quand on eft couché , on devient plus long,d’un
demi-pouce. I. 90. b. Maniéré de coucher un enfant dans fon
berceau ou dans fon lit. V . 569. b. 756. b. Il eft dangereux de
fe tenir couché la tête renverfée derrière le traverfin. XIII.
174. b.
Couché, terme de blafon , de brodeur , d’ouvrier en foie.
IV..321 .a.
Couche , ( Blafon ) voye^ vol. II des pl. Blafon pl. 6.
C O U C H E R , ( Aftron. ) La réfraélion fait que lès ; affres 4
nous paroift'ent fe coucher plus tard qu’ils ne fé couchent en
effet. Trois fortes de couchers des affres ; le cofmique,
l’achronyque, l’héliaque. D ivers ufages du mot coucher &
favoir , en jurifprudence , boulangerie, en terme de doreur ’
d’evantaillifte , de jardinage. Ibid. b.
Coucher, acronyque, cofmique , & héliaque : voyez ces
mots. Etoiles qui ne fe equehent jamais. IIL 462. b. Cou- ‘
leur apparente des ombres des corps au coucher du foleil.
IV . 332. b. Suppl. IV . 1 4 3 .« , b. D e la maniéré de compter
le jour depuis le coucher du foleil. VHI. 890. a. Foyer Lever.
Coucher, chambre à, III. 4<.a,b. *
C oucher , ( Manege ) fe Coucher fur les voltes. IV . u i a
C oucher Por,(Relieur) IV . 321. b. ' '
C oucher , ( Manuf. en laine ) IV . 3 21. b. "
CO U CH E S en Bourgogne, ( Géogr. ) gros bourg d e l’Au-
tunois. Fondations remarquables dans ce lieu. Autres obfervations.
Suppl. II. 629. a. Y oyez Suppl. 1. 7 io . b.
_ C O U C H O IR , ( Relieur ) in finiment des relieurs-doreurs.
11 deVxfo rtes : leur defeription 8c ufage. IV . 321 b
C O U C O , place d’Afrique : fon commerce. II. 69. b.
C o u c o , (Géogr ) obfervations fur cet article de l ’En-
cyclopedie. Suppl. II. 629. a.
C O U C O U , ( Omithol.) genre d’oifeaux. En quoi con-
iutent les différences qm caraélérifent les efpécès de ce
genre. Defeription du coucou le plus commun dénuée par
Willughby. Autre defeription donnée par Aldrovande.
IV . 3*22. a.Maniéré de nicher de cet oifeâu. Plumage de
les petits. C e qu’il devient-en hiver. Ibid, b
( , ftruflure de f6n eftomac : obfervations fur ce
lujet. X V 11, 3 2, b.
Cojamiblen d e laC U n e , vol. des pl. regiie amiral, pl.
Coucon huppt dn Brefil. Suppl I. îo o. a , i. Coucou 1l„
Bengale, nommé bought-fallik. Suppl. II. u „ V
d ï vcet de fes
Covcou, ( Myth. ) pourquoi il èft confacré à Jupiter. IV .
C O
C o u c o u , {Jeu de cartes) détails fur les loix de ce jeu; IV .
CO.UCOUME, racine en ufage dans la teinture. X V I . 11. a.
C O U D E , ufages de ce m o t, en anatomie , archifeéture,
chauderonnerie, hydraulique, jardinage , manege. IV . 323. a.
Coude. O s du coude. IV. 1. b. Biceps du coude. II. 241. à.
Coude du cheval. TumeuPa la pointe du coude , appellée
éponge. V . 824. a, b.
C O U D É E , mefure ufitée chez les Hébreux, fa longueur.'
Diftinélion de deux fortes de coudées. IV . 323. a. Coudée"
géométrique , ?oudée romaine. Ibid. b.
Coudées des anciens. X. 412. a, b. Divers fentimens fur celles
qui fervirent de mefure à l’arche de Noé. I. 606. b. Coudée
d’ufage en Angleterre. IV . 531. æ.
CO UD RE . Aiguilles à coudre! I: a o j, a , l. Différentes
it imaginaires
fortes de points de couture. XII. 874. a b.
CO U D R IER , ( Bot. & Jard. ) on l’appelle aufîi noifettier.
V°ye{ ce mot. Sa defeription. Ce t arbre eft très-robufte, croît
promptement, fe multiplie aifément, tous lesterreins lui-con-
viennent. IV . 323. b. Moyen d’en faire de grandes plantations.
Il fe tranfplante aifément. P rofit qu’il donne étant mis en taillis.
A quel âge il rapporte du fruit. Terme de maturité, où la
noilette eft meilleure à manger. Qualité des noifettes conft-
derees comme ali mens. Ufage du bois de coudrier. Les prétendues
propriétés de la baguette divinatoire font il
& fuperlfitieufes. Ibid. 324. &
C O V E N A N T , ( Hijl.mod. i ’Angl. ) ligue des Ecoffois'en
ï 63 8. IV . 324. a. En quoi eile confiftoit. Q n elen é to it le but.
Funeftes effets qu’il produifit. Ibid. b. Voyeç Convenant.
C O U E T S , écoits , ( Marine ) quatre groflès cordes dix
vaiffeau. Comment elles font amarrées. Leur ufage, & celui
des écoutes. D ifférence entre la manoeuvre des couets 8c celle
des écoutes. IV . 324. b. On peut cependant confidérer les
couets Sc les écoutes comme les mêmes cordages, étant
amarrés au même point de la voile. Quelle eft la feule différence
qui les diftingue. Ibid. 323. a.
C O U E T T E , ( Tourneur ) grenouille , crapaudine. Poupées
à couettes. Ouvriers qui en font ufage. IV . 32 y. a.
C O U G A R , animal d écrit, vol. V I des pl. Régné animal ■ 10. 1
C O U H A G E , ( Botan. ) fe ve des Indes orientales. Ufage
qu’on en fait dans l’hydropifle. IV . 323. a.
C O U L A G E , {Marine') marchandifes fuj ettes au coulage.'
IV . 325. a. Dans les vaiflêaux du roi , le munitionnaire fait
embarquer douze pour cent de vin d’augmentation pour les
déchets.& coulages ; &c. IV. 325. b.
C O U L A N T , terme de boutonnier, d’orfe vre , de joüail-
Iier.IV. 325. b.
Coulant, {Beaux-arts) ouvrage qui occupe notre efprit
d’une maniéré foutenue 8c toujours également fo r te , fans
embarras ni empêchement. Effet que produit fur nous ce
caraélere^lans les ouvrages. Suppl. II. 629. a. L e coulant doit
être réfervé aux produirions de pur agrément, 8c à celles
qui font faites pour toucher doucement. Ouvrages dans lef-
quels ce caraftere feroit un défaut. Qualités de l’efprit auxquelles
eft attaché l’art d’être coulant. Ibid. b.
C O U L E , ( Hifl. eccl. ) robe monacale. Etymologie du mot.'
Deux fortes de coules chez les bernardins. Quelques auteurs
ont diftingué deux fortes de coules ou de vêtemens chez les
anciens moines.IV. 325. b. Foyeç Chape.
CO U L É , ( Mufiq. ) comment il s’exécute par la v o ix 1
fur les inftrurfiens à corde 8c au clavecin. Comment il fe marque
en mufique écrite. IV . 326.Æ.
Coulé, terme d’eferime, voyez vol. I V des planch. article
Efcrime, pages 6 , 7 , 8. a. ,
C O U L É E , terme de marine, d’écriture, 8c de groffes forges.
IV..326. a. ( 6
Coulée. D e l’écriture coulée.IX. 431 .b. Voyelles pl.d’écriture
, vol. II.
CO U L EM EN T d’épée. ( Efcrime ) Différentes maniérés dé
couler : quelle eft la meilleure. Coulement de pré ferme 8c
fans dégager ; comment il s’exécute. IV . 326. a. Coulement
de pié ferme en dégageant. Coulement d’épée en entrant en
mefure fans dégager. Coulement d’épée en ferrant la mefure
8c en dégageant. Ibid. b.
C O U L E R , diverfes acceptions de ce mot en différensarts.'
IV . 326. b.
Couler, {Jardin.) fe dit de certains fruits qui ayant
fleuri, n’ont pas enfuite noué. Caufes de cet accident. Blés
coulés. Suppl. II. £29. b. Voyeç COULURE.
CO U L E T A G E , ( Jurifp. ) quel eft c e droit dans la cou-]
tume de Lille. IV . 327» a.
COULEUR. ( Gramm. ) Remarques fur le mot couleur, dans
ces expreffions, un beau couleur de feu, le couleur de rofe, d’or,
d’èau, de chair, de citron, 8cc. C ’eft ainfi qu’il faut parler 8c
écrire, 8c c’eft ainfi qu’on parle en effet depuis plus d efoixante
ans. Fondement de cette expreffion. Suppl. II. 629. b.
CO U L EU R , ( Phyf.) définition des Phyficiens. Quatre
maniérés différentes d’envifager ce mot. C e 'n ’eft aucune
propriété
C O U
propriété du corps qu’il défigrte , mais feiiléhrent Une modification
de notre ame. IV . 327. a. Rien de plus fingulierque t e
penchant que nous avons à rapporter à une fubftance matérielle
, ce qui appartient réellement à une fubftance fjjirituellé
& funple. Examen de cette queftion ; fi tous les hommes
voient le même objet de la même couleur. Suivant l’opiniori
d’A riftote, on regardoit la Couleur comme une qualité réfh
dente clans les corps colorés 8c indépendante de la lumière;
'Selon les Cartéfiens , les corps colorés ne doivent être cdn-
fidérés que comme des corps qui réfléchiffent la lumière avec
certaines modifications. C ’eft fur-tout à Newton que nous
devons la vraie théorie des couleurs. En quoi confifte cette
théorie. L’expérience fait juger, que les rayons de lumière
font compofés de particules , dont les maffes font différentes
entr’e lle s , ou dont les unes ont beaucoup plus de vîteffe que
les autres : de là leur différente réfrangibilité. Ibid. b. Les
rayons qui different le plus en réfrangibilité , font auffi Ceux
qui different le plus en couleur. Les couleurs des rayons ne
peuvent pas être regardées comme de fimples modifications
accidentelles de ces rayons , mais comme des propriétés qui
leur font néceffairement attachées , 8c qui confiftent probablement
, dans la vîteffe 8c la grandeur .de leurs parties;
Toutes les tranfmutations de couleurs produites par le mélange
de couleurs de différentes efpeces t ne font que fimples
apparences, puifqu’auffitôt qu’on fépare les rayons de ces
couleurs, on a les mêmes couleurs qu’auparavant. Il y a
donc deux fortes de couleurs ; les unes primitives 8c fimples *
les autres fecondaire? ou hétérogènes. Ibid. 328. a. Plus-une
couleur eft compofée , moins elle eft v iv e 8c parfaite. Dift'é-
rens effets des compofitions des couleurs : le plus firtgulier
eft de produire le blanc par la réunion de toutes les couleurs
primitives. La réfraélion la plus fenfible eft celle que
produit le prifme. Précis des expériences faites avec le prifme
triangulaire. 1®. Les rayons du foleil traverfant un prifme
donnent fur la muraille oppofée une image de différentes
couleurs , dont les principales fo n t , le rouge * le jaune , le
v erd , le bleu 8c le violet. 2°. L ’image colorée n’eft pas
ronde , mais oblongue. 3 °. Les rayons jaunes font plus dé-4
tournés de leur chemin reétiligne que les "rouges , les verds
plus que les jaunes , 8c ainfi de fuite jufqu’aux violets. Ibid.b.
4°. Les couleurs des rayons féparés par le prifme ne faurdient
changer de nature ni fe détruite. ç°. Les rayons colorés que
donne le prifme étant réunis par un verre lenticulaire, donnent
le b lanc, 8c au-delà du point où ils fe croifent prodüifent les
mêmes couleurs qu’en fortant du prifme, mais dans un ordre
renverfé. 6°. Si les rayons du foleil tombent obliquement fur
le prifme , les rayons violets fe réfléchiront, 8c les rouges
feront tranfmis. 70. Deux prifmes c r eu x , remplis l’un d’une
couleur bleue , l’autre d’une couleur ro u g e , appliqués l’un
contre l’autre, deviendront opaques. 8°. Couleurs dontparoif-
fent bordés les objets vus au travers du prifme. Ibid. 329;
a. 90. Si deux prifmes font placés de maniéré que le rouge
de l’un 8c le v iolet de l’autre tombent fur un même papier ,
l’image paroîtra p â le , &c. io °. Les rayons qui ont traverfé
une lentille convexe font bordés de rouge du point où ils
fe réunifient, 8c.de bleu au-delà de ce point. On diftingue
fept couleurs primitives dans le fpeélre folaïre. L ’étefidue
proportionnelle de ces fept intervalles, répond allez' jufte
à l’étendue proportionnelle des fept. tons de la mufique.
Trois maniérés dont la nature produit les couleurs, la réfraction,
l’inflexion, la réflexion. Couleurs des lames minces.
Ibid. b. Cette théorie fur la couleur des lames minces eft
ce que Newton appelle la théorie des accès de facile réflexion,
6* de facile tranfmijjton ; théorie qui n’a pas tout ce qu’il faut
pour fatisfaire entièrement l’efprit. Anneaux colorés des
verres. Couleurs des corps naturels : quelle eft la caufe des
coùleurs dont chacun d’eux paroît affeCté. Ibid. 3 30. a. Caufe
de l’opacité 8c de la tranfparence. Les corps opaques s’échauffent
d’autant moins qu’ils réflécliiffent plus de lumière.
Des corps dont la couleur dépend de la fituation de l’oeil.
Caufe de la vivacité des couleurs des corps. Comment les
différentes épaiffeuts des lamelles des corps opaques confti-
tuent leurs différentes couleurs. D ’où vient que certaines
liqueurs affeélent une couleur, différente félon la maniéré
dont on les regarde. Certaines couleurs chez les peintres j
broyees extrêmement fin, éprouvent un changement; Ibid. b.
D ou vient ce phénomène fingulier du mélange des liqueurs
d o u réfultent différentes couleurs. Pourquoi Une liqueur
colorée étant verfée dans un verre'conique placé entre l’cèil
& la lumière, paroît de différentes couleurs,, dans les diffé-
rens endroits du verre. Couleurs qui réfultent du mélangé
de différentes liqueurs , ou de l’arrangement de différens
corps. Ibid. 331. a. Couleurs accidentelles -r celles qui né
paroiffent que lorfque l’organe eft forcé ou qu’il a été fortement
ébranlé. Ibid. b. Perfonne, .dit M. de Buffon , n’à'fait
avant M. Jurin d’obfervations fur ce genre de couleurs :
cependant elles tiennent aux couleurs naturelles par plu-
fieurs rapports. Suite de faits affez fingulièrs que çè philo-
Tophe expofe fur cette matierç, Ibid. 332. a.
Tome A
C O U 42i
Couleurspajfahie's. E l l e s font la même chofe que celles
qu on appelle couleurs fantaftiques ou emphatiques. IV . 332. b.
■ Couleur dans les arts. La préparation 8c l’empldi 'de ces
couleurs j fe v o it aux móts, Peinture-, Émail ; Faycnce, Porcelaine
, Poterie de terre i Ferre, Teinture & Ferais. IV. a.
Couleur. Expériences fur les couleurs par lé nroÿen du
prifme. XIII. 384. a, b. 385; a. Ahneaüx colôrés qui font
l’effet du contaél de deux objeéllfs : ceux qui fe forment fu i
les bulles du favon; VIII. 30; b-. II n’éft pas poflible de juger
des couleurs par l’attouchement. X V . 82i . b. Il paroît cepen-
dant que Chaque couleur particuliere à fôn efoece de riidefle
ou d’âpreté au fens du toucher. I. 561. a. Couleurs lvomo-
genes 8c hétérogènes , propofitions de Newton fbr lès couleurs;
IX. 72 1. E T r a ité de ce philofophe fur ce füjet. X V I I .
633. a. Sur la do&rine des couleurs , voyez ia théorie de
laroen-ciel expliquée. I. 593. * , b. To üte là théorie dé
Newton fur les couleurs eft fondée fur la différente réfrangibilité
des rayons. XIII. 90p. b. Recherches cllymiqiies fur
les couleurs; III. 4x9. b. La volatilité du feu , principe des
couleurs; Suppl. IV . 339. é. Coulèurs des rayons de lumière.
XIII. 835. b. 836. a. Càufé de la fenfation des côüleurs excitée
par tes rayons. X V II . 230. b. Caufes des couleurs des
fleurs, voye^ ce dernier mot. Couleur apparente des objets
proportionnelle à leur diftance. IV; 1051. b. Infiniment qui
préfente a volonté toute forte de combinaifon de Couleurs.
III. 5 1 1. a, b. Sur les couleurs , voyez encore l’article
LUMIERE;
C ouleurs accidentelles, { Ôptiq.) extrait d’ùri ouvrage dii
P. Scherffer , jéfuite i fur la nature 8c les caufes des couleurs
accidentelles; Expériences faites fur ce fujet par M. dé
Buffon 8c confirmées par l ’auteur qui vient d’être cité. Siippl.
II. 636. a. Principes d’où l’on déduit l’explication de cetté
fiiite d’expériences. En quoi corififte la cOuleur blanche.
Pourquoi parmi lés différentes Couleurs' quë réfléchit, üii
corps , il n’y a que celle qu’il réfléchit en plus grande abondance
qui foit fenfible. Pourquoi j lorfqu’unde nos feus éprouvé
deux împreflions j l’une v iv e 8c l’autre folble j hdüs ne fen-
tons point celle-ci. Explication des phénomènes qui réfultent
de l’infpeélion d’une figure noire fur une furfaee blanche 8c
d’uné figure blanche fur une furfaee noire. Ibid. b. Si deux:
objets peignent fur la rétine des images égalés éh grafidèur i
c’eft celui de ees deux objets qui eft le plus é loigné, qui
nous paroît le plus grand; Explication des couleurs âctideh-
telles que prodüifent les corps colorés. Ibid. 6jy. a. Pourquoi
l’on voit fuccéder un pourpre foible à la cohtemplàfioli d’unè
tache verte fur un fond blanc. Pourquoi la couleur accidentelle'
d’ufie figure bleue confidérée lur un fond MânC -, éft
rougeâtre 8c pâle.’ Pourquoi la couleilr accideiuéllé d’uiié
figure rouge doit être un verd tirant un peu Air le blefi.
Pourquoi une tache jaune fixée pendant qué'lque tems fe
peint en bleu fur une furfaee blanche. Ibid. b. Autres con-
féquences fur les couleurs accidentelles tiréès ' dès principes
du P. Scherffer. Suite dès obfervations de Ce favant fur lès
expériences de M. de Buffon. Ibid. , 6^8. a. Autres exp’é-^
riences fur lès couleurs accidentelles , 8c parriçijliêrement
fur l’ombre d’im corps qui reçoit là lumière du jo t i r , oii
d’une lampe. Ibid. b. Nouvelles expériences du m ême'jéfuite j
d’où l’on tire l'a conclufion que le mélange dés c'oùleurs
accidentelles fe fait de 'la même maniéré que celui des cou-*
leurs véritables. Ibid. 639/ 4.' Récréations d’optiqüe àùx-
quelles ont donné'lied la théorie-8c.les ObfervatîdnS_de ce
favant. SenfatioiiS què' fait èprduvér la vue dirëétè diï foleil*
lotfqu’on Ta confidéré près1 de Thbrizon ôü côuv.èrt p a i.d é
légers nuages. Tâirf. b. Conclüfidns qu’on petit firèr 'd é c“es
dernieres obfervattôns;'Ibid; 640; â. '
■ Couleur , ( Arts) 'matières métalliques que la p ro f îdencé
a employées pour coloriér lè s' minéraux, les végétaux 8c
les animaux. Suppl. II. 63p. 4. Obfeî vation'de la coulèut dans
les préparations chymiques. ConféqùëjiceS;>qiïe ieS'labpureurs
firent des différentes couléurs des terres 8c les,bbtaniftès
de celles dès fruits. L’art de découvrit* le cara&èr’è des hom*
mes par la phÿfionomieq eft en partie’Tondé Air l’pbfefva-
tion des couleurs. Des préfages fondés fur la êouleur du
fo le il, de la lune-, deJa mer,-: de l ’horizon, &ç.\Divers ufages
que les anciens ont fait'd u blanc 8c du ribir employés
cqinme co'üleùrs fyniboliques! Ibid. b. A qui font réfervés
les" habits / jaunes à la Chine. Ufages du rouge parmi les
anciens 8c les modernes. Pourquoi les enfans dévoient porter
d§S habits de laine de différentes1 couleurs. Ufages que les
anciens faifoient des couleurs pour l’ornement de-quelques
liâmes. Dés cdiiléiirs employées par certaines hâtions pouf
fe peindre le c o r p s 8 c par la nature pour dîftinguer les
nations. Ibid. 6)1. a.
- Couleur , ( Bijoutier ) mélange de. différens acides par
lequel on ra id à l’or fa côuleùr "nàwrelïè. Détik fortes aê
ces mélangés, l’un appellé tirepoil, l’autré vérdet : leur com-
pofitioh. Comment fë.fait Topéràliori du .tirepoil , cèllé du
verdet; IV.-^ÿj'"'^* 'r :
COULEUR, \Peihtüre, Antiq:!)' inftruéHons que ttôüs fotîr^
O O o 00