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où l’hiatus eft agréable , '& ceux où il déplairoit à Torelile;
Réglés fur l’hiatus dans notre poéfie. Ibid. b.
Hiatus, voye[ fur ce fujet l’article Bâillement. Hiatus
condamnés dans la poéfie françoife. II. 510. a. V . 308. a. Suppl.
IV . 98 3. a. Des hiatus dans notre profe. 509. b.
HIB ERNIE, pierre d ‘ , ( Litkolog. ) efpece d’ardoife. Lieux
où elle fe trouve. Son ufage en médecine. VIII. 200. a.
H IB L A , ( Géogr. anc. ) trois villes de ce nom en Sicile.
Leur fituation. Miel d’Hibla. V III. 200. a. Voye^ Hyb la.
H IB O U , chat huant, ( Ornithol.) defcription de cet oifeau.
.VIII. 200. a. , • r r
Hibou cornu. Sa defcription. Particularités curieules lur
quelques parties de l’oeil du hibou. Obfervations fur le mouvement.
des paupières des oifeaux. V I I . 200. b. Pourquoi le
hibou voit la nuit. Autres obfervations fur le b e c , les narines,
& le cerveau du hibou. Noms de cet oifeau en latin 8c en
hébreu. Ibid. 201. a.
Hibou, efpece de hibou nommée aluco. I. 305. a , b.
Hibou, figure fymbolique. X V . 733. b.
HIBRIDES , ( Gramm. ) mots compofés de diverfes langues.
Signification propre du mot hibride. L’auteur examine
fi l’on a raifon de rejetter ces mots compofés. V II I. 201. a.
H IC K E S , (.George) favant allemand. X V I I . 674. b.
H ID A L G O , (Hifl. d’E fpag.) titre qu’on donne en Efpafne
à ceux qui font de famille noble. E tymologie de ce mot.
rivilege des hidalgos. Les fildalgos portugais répondent aux
hidalgos efpagnols. VIII. 201. b.
H1D D ENSÉ E ou Hiddenfo , ( Géogr.) petite ifle de la
mer Baltique. Sa grandeur. Qualité du terroir. Sa population.
Suppl. III. 370. b.
HIEBLE, (Bo ta n .) efpece de fureau plus petite que le
fnreau commun. Defcription de cette plante. Lieux où elle
fe trouve. Quelles font fes parties d’ufage. VIII. 202. a.
Voye{ Y eble.
Hieble, (Ma t. médic. ) principes contenus dans fes feuilles
8c fes baies. Vertus attribuées à cette plante, à fes differentes
parties, 8c à fes différentes préparations. V I I I . 202. a.
Voyèr Y eble.
H 1E R A , ifle autrefois nommée Vulcani infula. X V I I . 576. a.
H IE R A C IT E S , ( Théolog.) héréfie qui s’éleva peu après,
celle des Manichéens, 8c dont Hiéracas étoit le chef. Sa
doélrine & fes moeurs. Il a beaucoup écrit. Q u elle étoit la
caufe de cette averfion pour le mariage, pour la rieheffe,
pour la fociété, qu’on remarque dans prefque toutes les premières
feâes du chriftianifme. VIII. 202. b. Voy. Hyeracites.
H IE R A C IUM , ( Botan.) v o y e z Piloselle & O reille de
SOURIS.
H IE R A C O B O SQ U E S , ( Antiq. egypt. ) nourriciers des
éperviers. C ’eft ainfi que les Grecs nommèrent les prêtres
d’Egypte. Vénération des Egyptiens pour les éperviers. VIII.
203. a. .
HIERA P ICR A de Galien, (Pharm. Mat. medtc.) Comment
fe fait cette compofition. Haute idée que Galien en
avoit. Vertus de cet éle&uaire. Sous quelle forme on l’ordonne.
V I I I . 203. a.
HIE RAPO LIS, ( Géog. anc.) différentes villes de ce nom.
Epi&ete naquit à Hierapolis en Phrygie. Abrégé de fa vie.
C e qui nous eft refté de fes ouvrages. D ’anciens religieux
le prirent pour la réglé de leurs monafteres. V II I. 203. a.
H IE R AR CH IE , (Hifl. eccl.) fubordination entre les divers
choeurs d’anges dans les cieux. VII I. 203. a. Compofition
de ce mot. Il défigne aufli les différens ordres de fideles.
Quelques théologiens ont mis de la différence entre être dans
la hiérarchie & être fous la hiérarchie. Deux queftions fur
la hiérarchie eccléfiaftique, l’une de fait, 8c l’autre de droit.
Diftinéfion entre les hiérarques , les uns confidérés comme
de droit div in, les autres comme de droit purement humain.
Ibid. b. Q uels font les ordres qui entrent dans la hiérarchie :
obfervations propres à éclaircir cette queftion. Divers fenti-
mens fur les ordres eccléfiaftiques & lur les facremens par
lefquels ces ordres font conférés. Pourquoi l’on n’a point fait
de la tonfure 8c de la papauté des facremens particuliers.
Pouvoir de l’églife de faire une autre hiérarchie. Ibid. 204. a.
Pourquoi les chorévêques ont été fupprimés. Principe du pape
Damafe, qui n’admet que deux ordres établis par Jefus-Chrilt,
& qui doivent fubfifter dans l’églife. Obfervations fur ce
principe. Diftinéfion néceffaire dans l’examen de ce fujet ; il
ne faut pas confondre le gouvernement fpirituel avec le fer-
vice temporel. Ceu x auxquels le premier a été confié font
d’inftirution divine , les autres font d’inllitution eccléfiaftique.
Raifon de l’établiffement des diacres par les apôtres.
Ibid. b.
Hiérarchies des anges. 1. 438. a.
Hiérarchie , (Antiq. grecq. & rom. ) v o y e z Sacerdoce,
HIERES, ( Géogr. ) obfervations fur cette ville de France
en Provence , & fur le P. Maffillon né dans cette ville. Ifles
d’Hieres. VII I. 203. a.
Hieres , ( Géogr. ) les pèlerins de la terre fainte s’embar-
quoient autrefois au port d’Hieres, & rendoiênt cette ville
H I E
brillante. Son état préfent. Ses environs. Diverfes oblêrva*
tions fur ce lieu. Suppl. III. 371. a.
Hieres , ( Ifles de ) autrefois ifles S toechades, X V . 3 24. ai
la plus orientale de ces ifles. X V I . 333. a.
H IE RN E , ( Urbain ) il rétablit dans la chymie l’influence
des affres. VII I. 732. b.
H IE R O C E R Y C E , (L i t t .) chef des hérauts facrés dans
les-myfteres de Cérès. Ses fonétions. L’hyéro céryce repré-
fentoit Mercure. C e facerdoce n’impofoit point la loi du célibat.
Famille à laquelle appartenoit cette dignité. V I I I . 203. a.
H IE RO C LÈ S , philofophe qui v iv o it fous Théodofe le
jeune. V . 281. a.
H IE RO G L Y PH E , (A n t iq .) première efpece d’écriture.
L a plupart ont cru que lés prêtres d’Egypte inventèrent les
hiéroglyphes pour cacher les fecrets de leur fcience. C e
fentiment combattu. VII I. 203.a. Véritable origine des hiéroglyphes.
Ufages qu’en firent les premiers Egyptiens. Signification
d’un hiéroglyphe qui fe trouvoit dans le temple de
Minerve à Sais. Ouvrage dans lequel il nous refte quelques
monumens des anciens hiéroglyphes. Combien ces lignes
furent multipliés en Egypte. D e u x maniérés dont ces peuples
employèrent la méthode hiéroglyphique. Ibid. b. De-là
l’hiéroglyphe curiologique, 8c l’hiéroglyphe tropique. O rigine
des hiéroglyphes fymboliques. Comment ces figues
devinrent énigmatiques, St fouvent inintelligibles. La fcience
des hiéroglyphes devenue particulière aux prêtres. Les hiéroglyphes
fource d’idolâtVie. Ce s caraéferes portés en façon
d’amulette & de charmes. Ibid. 206. a. Pierres nommées
abraxas fur lefquelles ces caraéferes font gravés. A u x abraxas
fuccéderent les talifmans, Ibid. b.
Hyéroglyphes, différence entre les hiéroglyphes & les figures
allégoriques. Suppl. I. 303. a. Sentiment de M. de la Naufe
fur le but 8c l’ufage des hiéroglyphes. I. 280. a. Diftinéfion
que fait Hérodote de deux caraéferes égyptiens , les uns
la c ré s , les autres populaires. II. 643. b. Origine de l’écriture
hiéroglyphique. V . 338. b. Maniérés dont on l’em-
ployoit : ufage qu’on en fit. Ibid. Comment elle fut perfe-
donnée. 359. a. Pourquoi les égyptiens conferverent l’ufage ■
des hiéroglyphes après l’invention de l’écriture. Ibid. b. Ufage
qu’en failoient les Grecs & les Romains. 360. a. En quoi
confiftoit l ’écriture h iéroglyphique chez les Egyptiens. 361. a.
Comment les hiéroglyphes devinrent obfcurs.434«EDifférence
entre l’écriture vulgaire & l’hiéroglyphique. 433. b. Le culte
que les Egyptiens rendirent aux bêtés 8c à d’autres êtres
de la nature, confidéré comme une fuite de l’ufage des hié-
roglyphes. 360. a. 438. b. V I I I . 206. a. Réglés fur l’inven-
j tion des hiéroglyphes. Suppl. I. 306. a. Comment il e£L
arrivé, félon M. P lu ch e , que les Egyptiens ont oublié le
vrai fens de leurs hiéroglyphes, & qu’ils les ont pris à la
lettre: ce qui a réfulté delà. IV . 1071. b. 1072. b. Impoffi-
bilité d’entendre l’écriture fymbolique des. Egyptiens. V I IL
913. a. Des figures hiéroglyphiques gravées fur^quelques obé-
lilques. XI. 299. a , b. A rt d’interpréter les fonges auquel la
fcience hiéroglyphique a donné lieu. 477. a , b. Examen 8c
; réfutation du fyftême de M. Pluche, qui attribue l’origine
de l’idolâtrie à l'abus des hiéroglyphes. XII. 937. b.&c. Obfervations
fur les fignes facrés des Egyptiens. X V . 189. a. G rottes
d’E g yp te , dont les murailles étoient couvertes de figu- '
tes hiéroglyphiques. 773 . b. Sur les hiéroglyphes , voyei?
Emblème. 8c Symbole.
H IE R O G R AM M A T É E , (Hifl. anc.) prêtre égyptien qui
préfidoit à l’explication des myfteres de la religion. Fonétions
de ces prêtres. Leurs privilèges 8c dignité. VII I. 206. b.
H 1E R O G R AM M A T IQ U E , écriture des prêtres Egyptiens*
V . 361. a. C e t ufage fut commun aux prêtres de plufieurs
nations. Ibid. b.
H IE ROM A N T IE , (A n tiq .) diverfes fortes de divinations
de ce genre. Ouvrage à çonfulter. VII I. 206. b.
HIE ROM N EM O N , (A n tiq .) préfident des facrifices,ou
gardien des archives facrées. C ’étoit des députés que les
villes de la Grece envoyoient aux Thermopyles dans l’affem-
blée des Amphiéfions. Quelles étoient leurs fonétions. VII I.
206. b. Première attention de l’hiéromnémdn à fon arrivé©
aux Thermopyles. Ordinairement chaque v ille n’envoyoic
qu’un hiéromnémon & un pylagore à l’affemblée. Comment
on èlifoit le premier. Compte qu’il venoit rendre à fon retour
de l’affemblèe. Prérogatives de la dignité des hiéromnémons
dans cette affemblée. Diftinéfion des années par les noms de
ces officiers. V I IL 207. a.
Hiéromnémon, (Litt.) pierre que les anciens employaient
dans la divination. "VIII. 207. a.
HIERON I , (H ifl. anc.) frere de G e lo n , tyran deSyra-
cufe. Principaux traits de fa v ie & de fon régné. Suppl. 1IL
371. a,
Hieron I I , (H ifl. anc.) defcendoit de G e lo n , tyran de
Syracufe. Hiftoire de fa vie 8c de fon reene. Suppl. III. 371. b.
H IE R O N IC A , loi. IX . 662. b.
H IE R O N YM IT E S } voye? Jéronymites.
HIE ROPH AN T E , ( Antiq. ) prêtre de Çérès chez les
H I N
Athéniens. Rang dilfingué qu’il ôcciipoit. Ses fondions. Ses
officiers en fous ordre. Obier varions fur Eumolpe, premier
hiérophante» V I IL 207. a. Durée de ce facerdoce. L ’hiérophante
étoit obligé à v iv re dans le célibat» Compofition du
mo t hiérophante. Ibid, b,
Hiérophantes, prêtres égyptiens | ils exercèrent l ’alchymie»
III. 423» b. Réflexions fur ces prêtres. V . 434. b. 433. 4»
436. a , b. 437. a
I H IGH LAND ERS, ( Géogr. ) montagnards d’Ecoffe.Obferva-
îions fur ces hommes. V I I I . 207. b.
H IGM O R E , ( Antre d’ ) ouvrage de l’anatomifte Higmore.
C e qu’on entend par l ’entre qui porte fon nom. VII I. 207. b.
Higmore , (Nathanaël) anatomifte , Suppl. I. 397. a. 8c
phyfiologifte. Suppl. IV . 330. b. Corps d’Highmore. Suppl. IL
6 l l . b. Suppl. IV . 936. a.
H IG U E R O , (Botan.) arbre d’Amérique. Qualités & ufages
de fon bois 8c de fon fruit. VII I. 207. b.
HILAIR E , (S a in t) évêque de Voiiiers.-Suppl. IV . 4 6 7 .a.
Examen de fes ouvrages. XII. 342. a , b.
H IL A R IO N , (Saint') habit qu’il portoit. V I I I . 16. b.
H IL AR 1E S , (A n t iq .) fête qu’011 célébfoit à Rome en
l ’honneur de la mere des dieux. Détails fur la maniéré dont
on la célébroit» VHI. 207. b. To ute cette fête fe rapportoit-
proprement à la terre. Comment les Romains pafloient la
v eille de leurs hilaries. Auteurs à çonfulter. Ibid. 208. a.
H IL A R O D IE , ( Litt. ) efpece de drame qui tenoit de la
comédie & de la tragédie. Caraéfere de la tragédie ancienne.
En quoi l’iiilarodie en différoit. O n croit que les fables rhin-
thoniques relfembloient, à beaucoup d’égards, aux hilarodies»
Piece intitulée Amphitrion, du poète Rhinton. 11 paroît que
le s parodies dramatiques avoient auffi beaucoup d’affinité
a v e c les hilarodies. VII I. 208.4, Voye[ Parodie 8c Phliaco*
■graphie.
H IL ARO -TR AG ÉD IE , ( Litt. ) piece dramatique mêléé de
tragique & de comique. D ivers fentimens fur'ce genre de piece»
V I I I . 208. a. Q u i en fut l ’auteur felon-Suidas. VIH . 208. b.
H IL D A N U S , (Guill. Fabric.) III. 333. a.
H ILD BO U R GH AU SEN , ( Géogr. ) v ille d’Allemagne dans
le cercle de la haute Saxe, lieu de la réfidence clés ducs de
S a x e , de la maifon de Gotha. Fondations , établiffemens ,
tribunaux dans cette ville. Suppl. III. 372. a.
HILDBOURGHAUSEN, principauté de ( Géogr. ) nom de fix
Bailliages fitués dans la Thuringe. Seigneur de ce -pays. C e
pays ne forme pas une principauté proprement dite. Re v e nus
qu’il en retire. Suppl. III. 372. a.
HILD E SH E IM , ( Géogr. ) v ille de la baffe Saxe. Religions
établies dans cette ville. Privilèges dont elle jouit. Sa dépendance
de l’évêque. P remier évêque d’Hildesheim. D e la célébré
colonne d’Irminfal placée dans l’églife de cette ville.
O u vra g e à çonfulter fur les foflïles d’Hildesheim. Deux
jurifconfultes nés dans cette ville. V I I I . 208. b.
Hildesheim , évêché de ( Géogr.) état d’A llemagne fitué
dans le cercle de baffe Saxe. Ses bornes 8c fon étendue. Ses
principales rivières. Qualité & productions du pays. Ses villes,
villages 8c terres feigneuriales. Affemblées qui s’y tiennent
fous le nom d’états. D e la religion du pays. Rang de cet
évêché à la diete, & dans les affemblées du cercle de baffe
Saxe. Sa taxe pour les mois romains t 8c pour la chambre
impériale. Troupes & principaux officiers du prince. Suppl.
I Il. 327. bi
Hildesheim, évêque de cette ville. IV . 68. b. Colonne
remarquable dans fon églife : la mémoire de la deftruétion du
dieu Irminful célébrée tous les ans à Hildesheim. VIII.903. b.
H ILO IR E S , ILO IR E S , A ILU R E S , (Marine ) dimenfions
de ces pièces de la conftruélion du vaiffeau. VII I. 208. b.
H 1M A N TO PU S , (Ornithol.) defcription de cet oifeau
aquatique. VII I. 209. a.
H 1M É E , (Littér.) chanfon des puifeurs d’eau chez les
Grecs. Ariftophane en parle comme d’une chanfon qui n’étoit
que dans la bouche des perfonnes les plus viles. Nom de la
chanfon des meuniers. VII I. 209. a.
H IM E R A , ( Géogr. anc. ) ancienne v ille de Sicile. Elle fut
faccagée par les Carthaginois. Bains fameux auprès d’Himere.
L e poëte Stéfychore étoit d’Himere. Obfervations fur ce
poëte & fur fes ouvrages. VII I. 209. a. Fable dont il fut
l’inventeur, & que quelques autres poètes ont mife en vers.
Himere paffoit pour avoir vu naître la comédie. Relies de
cette ville. Son nom moderne eft Termini. Ibid. b. V o y e z ce
mot.
Himera , ( Géogr. anc. ) deux rivières de ce nom en Sicile.
Comment on les nomme aujourd’hui. VII I. 209. b.
Himera. Cette v ille délivrée , par Gelon, des Carthaginois
qui l’affiégeoient fous la conduite d’Amilcar. Suppl. I . 363. a.
H IM O R E , efpece d’infeéle repréfenté vol. V I . desplanch.
Régné animal, pl. 77.
HIN D E LO P EN , Ou Hinlopen , ( Géogr. ) v ille maritime
de la F r ife , dans les Provinces-Unies. Obfervations fur les
habitans. Suppl. III. 372. b.
HIN GISCH , (Bot. exot. ) nom perfan de la plante d’où
H I P f i l
découle Ÿaflafoetida. Cara£lere6 de cette plante félon Kempfer.
VII I. 269. b.
H IN G -PU , ( Hifl. mod.) tribunal de là Chihe. Objets dé
de ce tribunal. Ses tribunaux fubalternes. Nul Chinois he
peut être mis à mo rt, fi fa fentence n’a été fignée par l’empereur.
VIII. 210. a.
. H IN G -W A N G , ( Minéral. ) efpece de réalgar ou d’arfe*
me rou g e , ainfi nommé dans les Indes orientales. Lieux où
il fe trouve. Comment on le prépare. Ses ufages. V I IL 210» <1*
I p,ante de C e y lan- SuPPl- IL 447‘ 1
H IPH IA L T E S , ou Epialtes. (Mythol.) Sorte de divinités
rultiques. Etymologie de leur nom. Les Romains les appelle-
rent incubes. Paffage de Raoul de Prefles fur ces divinités» V IIL
H IP P A R Q U E , ( Art milit. ) officier de cavdlerié chéz ies
Athéniens. Obfervations fur cette cavalerie & fur les hippar*
ques. Compofition du mot hipparque. Quels étoient ceux
que les Athéniens nommoient 1 . V 111. 210. a.
HipParque , aftronome & matéhmaticien. I. 787. a XI.
I32. a. X IV . 236. a. / /
H IP P IA S , hiftorien. X IV . 246. a. Hippias, tyran d’Athènes.
Voye[ Hyppias»
H IP P IA T R IQ U E , étendue & difficulté de cet art. Traité
qui en a été publié. VIII. 210» b.
H ip p Îa t r iq u È, (A r t vétérinaire ) médecine du chevah
Etymologie du mot. Suppl. III. 372. b. Ancienneté de l’ufage
des chevaux, de l’équitation, & de l’àrt de l’hippiatnque. L es
Grecs & les Romains fe font occupés de cet artj au rapport
de V é g é c e , qui fe plaint que déjà il'é to it négligé depuis
long-tenis. Autres auteurs, anciens qui ont parlé de l’iuppia-
trique, oü qui ont écrit fur ce fujet. Soin qu’ori prit dans
le dixiemef fiecle d’extraire les ouvrages grecs qui eu trai-
toienr. Ibid. 373» a. Elle eft énfùite déchue de fon écl.it
avec les autres arts 8c fciences. On ne vo it pas que jufqu’au
quinzième fiecle on s’en foit beaucoup occupé» Efpece dé
gens auxquels Cet art fut alors abandonné. Traduction faite
dans le feizieme fiecle des ouvrages des anciens fur l’hippia-
trique, qui avoient été confervés. Autres ouvrages qui furent
compofés fur ce fujet dans le même tems, mais qtfi cependant
ne tirèrent pas l’art de l’aviliffcment où il eft demeuré,
jufqu’à ce que le fiecle de la philofophie ayant frit fecouer
divers préjugés, l’hippiatrique a acquis l’eftime que fon utilité
mérite. Ibid. b. Eloge du cheval. Ses qualités èftimables.
Son utilité» Singulières marques d’affeétion pour leurs maîtres
que les chevaux ont données» Ibid. 374» a. Exemples
qui font connoître le courage de cet animal, fon jugement
oc fon intelligence» Ibid. b. Darius obtint le royaume de
Perfe par la vertu de fon écuyer 8c de fon cheval. Jules*-
Céfar avoit un cheval qui lui fut un préfage qu’il poffédë*
roit l’empire du monde. Autrefois il étoit enjoint parmi les
Grecs à tous les riche s , pour l’utilité de la république ,
d’entretenir des chevaux. C é to it une chofe fort honorable
d’aller à cheval. Toutes les belles qualités de cet animal doivent
le rendre digne de tous nos foins. Ibid\ 373. a. Prix
confidérable de quelques chevaux de l’antiquité. Exemples dé
quelques princes qui ont aimé leurs chevaux à l’excès. Les
anciens confidérant cette affociation de l’homme avec le chev
a l , ont feint que l’un 8c l’autre ne compofoient qu’un feul
individu, qu’ils ont nommé hippocentaure ; 8c cette fiélion
a même paffé pour une réalité aux y eu x des peuples qui
virent des cavaliers pour la première fois7 Ibid. b. Des maladies
du cheval. Relation entre l’art de guérir les maladies de
l’homme 8c l’hippiatrique. Ibid. 376. a. Les païens ont cru
relever la majefté de leurs d ieux, lorfqù’ils les ont dépeints
montés fur des chevaux, ou fur des chars traînés par ces
animaux. Anciennement les deux médecines des hommes 8c
des brutes étoient exercées par. une même perfonne. Ibid, b*
Ouvrages des anciens fur l’hippiatrique. Jugement de Veg ec e
fur quelques-uns de ces ouvrages. Ibid. 377. a. Abrégé que
cet auteur avoit recueilli des auteurs latins qui avoient travaillé
fur le même fujet»
Première partie. Hippotomïe Ou anatomie du cheval. Utilité
de l’art de difféquer cet animal. L ’auteur ne fait point mention
dans cet article- des chofes qui font communes à l’anatomie
humaine, 8c à l’anatomie du cheval.
Oflèologie ou hippofléologie. Explication abrégée des OS du
cheval, ou vue générale d’ôftéologie. Ibid. b. Des os eri parti*
culier. Des os de la tête. Du crâne. Ibidt 378. at D e s frontaux.
D e s pariétaux. Des temporaux. Ibid. b. D e l’occipital.
D e l’os fphérioïde ou bafilaire. D es os ethmoïdes. Ibid. 379. ai
Des os du nez. Des os du grand angle, ou os angulaires. D e s
os de la pomette. Des os maxillaires inférieurs où antérieurs.
Ibid. b. Des os palatins. Des os ptéry goïdiens. Des cornets
inférieurs du nez. D u vomer. D e la mâchoire inférieure ou
antérieure. Des dents en général. Ibid. 380. d. Des dents en
particulier. Des dents molaires. D e la connoiffanee de l’âge
.du cheval par l’infpeélion des dents depuis fa rtaiffan'ce jufqu’à
vingt-fept ans. Ibid. b. D e la hyoïde. D e l’épine 8c des
vertebres. Ibid, 381 .a . D e l’os facrùm. D u thorax ou de 1%
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